Réveil préhistorique

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Un homme préhistorique intact est retrouvé en Sibérie.
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SalomeD
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Même si à priori ici, le gens ne comprennent pas les avertissements, je vais en remettre un, je dirais même que c'est une interdiction aux prudes de lire mon histoire. Ce texte est basé sur le viol. Je l'épelle en majuscule pour que l'on comprenne bien : V. I. O. L. Le non consentement, la violence. Donc si tu n'aimes pas le genre, ne lis pas. Si tu lis, tu es un grand garçon, prends tes responsabilités et ne commente pas pour dire, c'est mal, ce n'est pas bien, mon petit être tout sensible est choqué. Si tu le fais, ben je crois que l'on ne peut rien pour toi, tu es du genre à traverser une autoroute à l'heure de pointe et te plaindre de t'être fait écraser, de gueuler contre la délinquance routière, en gros, un être stupide. Attention, j'accepte les critiques, que ce soit sur la qualité, l'histoire, etc. Mais pour me dire que l'on n'aime pas le genre, que la violence, c'est mal, alors que je marque un avertissement, non. Je précise que c'est une histoire fantastique, que rien de ce que j'ai écrit, n'existe, du moins à ma connaissance. Pour tous les autres, bonne lecture.

Je tiens à préciser que cette fois, j'ai envoyé le bon fichier, du moins si vous lisez cette phrase. Qu'en outre il est corrigé avec le correcteur orthographique "Scribens", que je remercie au passage. Je pense que ce correcteur fonctionne bien, mais si vous en connaissez un meilleur, gratuit, n'hésitez pas à me le faire savoir. Merci à vous, bonne lecture. 

Dans un futur très proche, des scientifiques ont découvert une nouvelle espèce d'hommes préhistoriques dans la glace en Antarctique. Pour la première fois depuis la recherche archéologique, dans ce coin de la Sibérie, une telle découverte est faite. Le corps est étonnamment bien conservé dans la glace, il est entier. Ce n'est pas un fossile, il est intact. Il semble juste dormir. Pourtant, il n'est pas tout jeune, au moins un million d'années.

Le monde ayant évolué, la recherche ne s'arrête plus à l'observer et à le conserver dans un musée. Cette fois, les scientifiques, ainsi que le gouvernement, sont bien décidés à le réveiller. C'est là que l'on fait appel à moi. Je suis un expert en nanotechnologie, mais le monde n'est pas encore prêt à tester mon invention, pas plus grosse qu'un globule, sur l'humain.

Mais ce qui m'est interdit de réaliser sur un humain, ne l'est pas sur un mort aussi vieux. Sur celui qui pourrait être le fameux chaînon manquant. En ces temps de guerre, la Russie a besoin de se réhabiliter aux yeux du monde. C'est ainsi qu'ils me contactent, le seul à leurs yeux capable de réaliser cet exploit.

Le périple jusqu'en Sibérie, à cause des diverses interdictions est long. J'y vais avec ma toute nouvelle assistante, Monica, ma fille de dix-huit ans. Elle qui ne s'intéresse pas à mon travail, bizarrement, a trouvé cela très intéressant.

L'école étant terminée pour l'été, étant au début des vacances, j'ai accepté. Trop content de pouvoir passer du temps avec elle. Du fait de mes recherches, je ne l'ai pas beaucoup vu grandir, il est temps de rattraper ce retard.

Après des multitudes d'examens, il semble qu'il soit mort de froid, pris dans la glace. Peut-il être réanimé ? C'est ce qu'ont essayé les chercheurs. En vain, jusqu'à notre arrivée. Je suis un peu le messie pour eux, leur dernière chance de réussir cet exploit incroyable.

Baptisé Boogy, il fallut plusieurs jours pour qu'il sorte de la glace, afin de ne pas endommager son corps. Enfin, on put l'observer de plus près. Il semble avoir une vingtaine d'années, des poils sur tout le corps, mais la tête est humaine, cheveux longs un peu crépu, avec la bouche plus en avant et le cerveau plus petit. Il est étonnamment grand, près d'un mètre quatre-vingt-dix. Il est robuste, il a de grandes mains, qu'il devait utiliser souvent. Étonnamment, il a un sexe disproportionné, et des testicules tout aussi énorme.

Des dizaines de scientifiques se sont penchés sur son cas pour le sortir des ténèbres. Tous ses organes semblent intacts, aucun os fracturé, il ne suffisait qu'à faire repartir son cœur. Ce qui n'est pas, je dois le dire, la partie la plus aisée...

J'ai étudié son anatomie, son intérieur. Je pense pouvoir réussir cela, même si j'aurais préféré un corps encore tiède. Mais bon, je vais saisir ma chance, faire avec ce que j'ai sous la main. C'est beaucoup mieux que rien.

Après de multiples essais sur ordinateur, de multiples suppositions, les premiers essais sur lui commencèrent. Au départ, de simples électrodes pour voir si son corps réagissait à l'électricité. Puis l'introduction dans son corps de mes petites merveilles. Ensuite, encore l'électricité, des doses un peu plus fortes, jusqu'aux chocs électriques.

Et quelle ne fut pas notre surprise quand le cœur de Boogy se mit à battre. Au départ, lentement, puis il commença à prendre un rythme régulier.

L'homme préhistorique resta une semaine dans un coma artificiel, plongé exprès par les scientifiques pour vérifier que tout allait bien. Sous mon observation exclusive, avec ma fille. Bien que je pense qu'elle ne comprend rien à ce qui se passe.

Puis, il fut réveillé. Placé dans une énorme pièce transformée à l'occasion (ressemblant à un endroit où vivrait normalement des singes), Boogy se mit tout de suite à s'agiter, ne sachant pas où il était.

Il fallut de longues semaines pour « l'apprivoiser » et pour qu'il se calme face aux humains devant lui, venus l'étudier.

C'est là qu'intervient le destin. Je vais enfin pouvoir poursuivre le développement de mon invention. Cela va faire du bruit, surtout que je suis le principal acteur dans le réveil de Boogy. Enfin, je vais devenir un scientifique mondialement renommé. Monica est là tous les jours, pour voir l'évolution de son cousin lointain, fière de son aide, de son travail.

Monica est impressionnée mais surtout curieuse, par cet homme si différent. Dès qu'elle en a l'occasion, elle vient voir « la bête », à travers un écran, via une caméra dans la grande cage. Car oui, Boogy est dans une cage, même géante. Nu, ne supportant aucun vêtement.

Les autres scientifiques étudiaient sa façon de marcher, de manger, de se tenir, de vivre. L'endroit était assez grand pour Boogy pour ne pas se sentir enfermé, bien qu'il comprenne qu'il l'était. Moi, j'observe mes merveilles le réparer de l'intérieur. Le muscler, réparer son cerveau, ses organes. En bref, le rendre aussi fort que le jour de sa mort, il y a un million d'années. Quel exploit nous avons fait.

Monica voyait régulièrement les progrès de ce géant. Il lui est interdit de le voir en vrai, car il semble encore sauvage face aux « femelles », mais il n'oppose plus de résistance devant les hommes venant l'aider. On lui apprenait à communiquer, via des images, via des signes, des paroles.

Boogy ne parle évidemment pas, mais pousse des cris et semble, parfois, dire des mots, comme un début de langage à son époque.

Il semble aussi seul. On lui a mis des poupées, et il les câlinait comme si elles étaient vraies.

-- Regarde papa, il ne fait pas de mal aux poupées ! Laisse-moi le voir, et le toucher ! Dit alors Monica.

-- Non, non, c'est impossible ! ! Ce n'est pas un jeu, Monica ! ! C'est une bête dangereuse ! !

-- C'est un être humain, papa ! !

-- Oui, mais le premier. C'est dangereux !

Ma fille n'aime pas qu'on lui interdise et refuse les choses, elle n'en a pas l'habitude. Elle ne me le dit pas, mais elle veut absolument prendre un selfie avec Boogy. Elle entre à l'université, ma fille veut en être la star. Quoi de mieux pour cela, qu'un selfie avec celui qui va devenir l'information mondiale, quand on l'aura officialisé, qui va faire le plus de bruit de la décennie ?

Monica, à force de venir, sait que la nuit, il n'y a pas grand monde pour surveiller Boogy, la domotique le faisant à la place des humains. Et puis la nuit, comme tout le monde, Boogy dort, et est plus calme.

En plus, elle a appris par mes soins, la décision de le laisser seul trois jours, uniquement surveiller par des caméras. Pour voir sa réaction face à la solitude. Olga, une magnifique laborantine, vingt ans plus jeunes que moi, m'a proposé de passer du temps avec elle. Pas en tant que scientifique, mais en tant qu'amants. N'ayant plus eu de relation sexuelle depuis cinq ans et la mort de ma femme, je n'ai pu résister à une telle beauté.

Monica se débrouillant très bien seule, même ici, je prétexte une réunion à Moscou, avec des membres du gouvernement, pour m'éclipser ces trois jours. En réalité, je ne vais pas loin, dans les appartements d'Olga, situé un étage en dessous de ceux de ma fille et moi. Mais toujours dans cette base scientifique russe.

Après m'avoir observé pour connaître mes habitudes, en fin de journée, juste avant mon faux-départ, elle me vole ma carte d'accès, alors que je me douche. La jeune fille est bien décidée à voir Boogy de face, prendre un selfie à ses côtés. Il ne fera pas la différence avec les autres humains, pense-t-elle.

Après être descendu jusqu'à l'endroit où est caché Boogy, elle passe les portes sans problème. Elle connaît les lieux où passer pour ne pas se faire voir. Monica est très rusée. Si son cerveau n'est pas aussi brillant que le mien, elle est très intelligente.

Elle déjoua facilement l'attention du garde à l'entrée et pu rejoindre le « parc », où elle entre avec la carte d'accès. Et comme elle le devine, il n'y avait personne, la nuit. Pas plus qu'il n'y en aura les trois prochains jours. L'ordinateur de sauvegarde des images des caméras, ne gardant que vingt-quatre heures d'enregistrement, du moins à sa connaissance, sa petite visite passera inaperçu. Personne ne le saura jamais, et elle pourra montrer ses photos avec Boogy à ses amis, pour se faire mousser et devenir la star de l'université.

Monica est enfin devant la porte, et elle sait que Boogy est juste derrière, en train de dormir. Il s'est fait un lit de paille et semble toujours bien y dormir. Elle ouvre délicatement le premier sas, toujours personne. Derrière la deuxième porte, c'est le monde de cet homme préhistorique. Mais aussi celui de sa futur vie de star universitaire.

Elle l'ouvre. Il fait nuit. Un dôme de verre les protège, et la lune éclaire l'endroit.

Monica avance à pas de velours, se dirigeant vers le lieu habituel où dort Boogy. La jeune fille de dix-huit ans a son téléphone à la main, prête à faire ses photos. Sauf qu'il n'est pas là.

D'un coup, elle entend un souffle derrière elle. Elle se retourne rapidement, et trouve Boogy la dévisageant. Elle reste figée, complètement immobile, de peur qu'il l'attrape et la tue.

- Calme, Boogy, calme. Dit-elle machinalement, comme les scientifiques faisaient s'il est agité.

Boogy était bien plus grand qu'elle ne l'imagine. Il se tient devant elle, droit, la regardant dans les yeux. Puis place sa main sur son épaule. Elle la retire instinctivement, et rapidement.

Boogy est devenu fou après ça, il pousse Monica si fort qu'elle tombe. La jeune fille tente de se relever, et se retourne sur le ventre pour le faire. Mais elle eut le souffle coupé. Boogy a attrapé ses vêtements et les a déchirés, facilement, comme il le faisait pour lui quand les chercheurs voulaient qu'il en mette.

Monica était cette fois effrayée et s'en veut de ne pas avoir écouté son père. Elle ne pense plus qu'à se sortir de là. Elle sait qu'elle est seule, personne ne viendra avant trois jours. Personne ne regardera même les caméras, de peur que Boogy le sente. Monica ne peut compter que sur elle pour se sortir de ce très mauvais pas. Elle en oublie les selfies et la vie de star universitaire, seule sa survie compte maintenant.

Boogy lui a déchiré tous ses vêtements, culotte comprise. Et une fois que Monica est totalement nue, offrant à sa vue, son corps aux formes affriolantes, il semble plus calme. Elle peut se retourner et le regarder de face.

Pour la première fois depuis son réveil, son sexe, déjà pourtant hors norme, a pris vie. Monica n'a jamais vu ça, jamais vu une taille pareille. Ce n'est pas qu'elle en connaisse sur la chose, elle n'a jamais rien fait avec un garçon. Pas qu'elle ne soit pas jolie, au contraire, elle plaît aux hommes, elle le sait. Un très beau visage, de longs cheveux dorés, de gros seins, un cul sexy et bandant. La jeune fille sait que des tas d'hommes se retournent sur son passage. Chaque année, elle a été élue plus belle fille du lycée.

Non, Monica à deux raisons de ne pas perdre sa virginité. D'abord par conviction religieuse. En effet, la jeune femme est catholique et pratiquante, enfin autant qu'elle le peut. Ensuite pour honorer la mémoire de sa défunte mère. Cette dernière, également fervente croyante, lui a toujours dis, qu'une fille bien reste intacte jusqu'au mariage. Monica compte bien la rendre fière, même si elle n'est plus là, mais au paradis.

Par contre Monica a déjà vu des vidéos, lors de soirée pyjama entre copines. Et elle sait que la taille du membre de Boogy, n'a rien à voir avec la taille des êtres humains. Boogy a un sexe en érection d'au moins trente centimètres, et d'au moins dix de large. Et Monica sait aussi ce que ça veut dire pour un homme. Le fait qu'il est son membre droit et dur ne présage rien de bon pour elle et sa pudeur.

La jeune majeure tente alors d'appeler son père au téléphone. Lentement, elle sort du mode photo, passe en mode appel. Mais il n'y a aucun réseau ici. Par sécurité, pour que justement, jamais une photo de Boogy ne sorte, un brouilleur empêche les téléphone portable de fonctionner ici, et même dans le laboratoire. Une sécurité imposée par le gouvernement qui finance tout ce projet.

Boogy regarde Monica. Dès qu'elle bouge, il la ramène près de lui. Sans violence, mais avec fermeté. Il ne lui fait rien, il ne fait que la regarder. Dévorant des yeux ce corps splendide de femelle. Comme si la différence d'espèce ne le gêne pas. Pourtant, contrairement à lui, il n'y a pas de poils sur le corps de Monica. Sauf en bas, où un buisson non entretenu de poils blonds s'épanouit.

-- Gentil, gentil ! Dit-elle.

Puis, Boogy semble sortir de sa transe. Il attrape son bras frêle et la soulève pour l'étreindre. Il la serre contre lui, comme il le fait avec les poupées. Monica n'ose pas s'agiter de peur de l'effrayer. Elle ne touche plus le sol et doit s'accrocher à lui, car s'il la lâche, elle peut se faire mal. Monica ne sait pas que s'il ne la lâche pas, il va lui faire encore plus de mal, mais d'une autre façon...

Alors qu'il la serre contre lui, d'un bras, l'autre main de Boogy se déplace jusqu'aux fesses fermes et douces, Monica hurle quand elle sent qu'il met un doigt dans sa chatte. Un seul doigt qui lui fait mal, si mal. Qui va loin, si loin qu'il lui déchire l'hymen.

Le cri de Monica fait paniquer Boogy, mais lui donne aussi encore plus envie d'elle. Alors il la serre encore plus contre lui. Elle étouffe presque. Sa respiration n'est plus qu'un son rauque qui sort difficilement de sa bouche, lui brûlant la gorge au passage.

Son seul réflexe fut de mordre Boogy, il la repousse alors brutalement. Monica est sonnée par la chute. La jeune femme tente de ramper, mais son corps ne lui obéit pas. Avec horreur, elle voit Boogy s'approcher d'elle. Son énorme sexe fièrement dressé pointant droit devant lui.

Elle sentit Boogy la soulever et la retourner sur le ventre. Son père lui a tant de fois parlé de la vie des hommes préhistoriques, sauvages, violents, brutaux. Sans aucun respect pour les femmes, qui n'ont leurs mots à dire pour rien. Un peu comme aujourd'hui, mais sans la loi pour les protéger. Ils se rapprochent plus des animaux que des humains... Cela se confirme, quand Boogy vint derrière Monica. Elle comprit qu'il veut s'accoupler, sans bien entendu lui demander son consentement, que rien ne l'en empêchera, mais surtout que cela va être très douloureux pour elle.

Cette fois, elle pleure très fort, le supplie. Elle regrettait tellement d'avoir volé la carte d'accès de son père. Pourquoi se sent-elle toujours supérieure aux autres ? Pourquoi pense-t-elle tout savoir ? N'écoutant que ses envies ? Cela va causer, si ce n'est sa fin, la perte de son pucelage. Voir de ses pucelages...

Boogy a attrapé ses hanches et les a ramenées à son sexe, sans hésiter et sans la ménager, il l'enfonce dans son petit vagin, encore jamais visité, très profondément. Monica hurle comme une démente, secouant la tête en tous sens, s'agrippant au sol comme elle le peut. Ses yeux roulent dans leurs orbites, son visage se déforme de douleur, sa bouche est grande ouverte sur un hurlement sans fin. L'énorme queue la dilate si fort qu'elle pense en mourir, Monica en est certaine, il vient de la déchirer de façon létale.

Boogy bougea rapidement en elle, sourd à la réaction de Monica, serrant ses hanches, poussant sa queue toujours plus loin, tout en poussant des cris d'animaux. Il attrape ses cheveux, la redresse, le dos de la jeune femme heurtant le torse de l'homme-animal. Boogy attrape ses gros seins, les griffe, les broie, les détruits. Accentuant grandement le mal de Monica, la faisant hurler encore plus fort.

Monica n'a pas le temps d'essayer de fuir, n'a pas la force de se battre, elle veut juste vivre. Elle se concentre sur le fait de se tenir, de ne pas tomber, Boogy lui fait si mal. Mais le pire, il semble tellement aimer ça, semblant adorer le hurlement sans fin qu'il lui arrache.

Puis, gardant sa queue en elle, il se lève, marche vers l'endroit où il dort. Boogy a calé Monica contre lui, une main la tenant par la poitrine, l'autre sous le vagin, et poussant encore plus sa queue en elle. Pour lui, elle ne pèse rien. Il a une force étonnante, faisant tout cela sans aucune gêne physique.

Monica, par contre, meugle à chaque mouvement. La peur, la terreur, la douleur, la font uriner en même temps. Peut-être était-ce aussi parce qu'elle ne contrôle plus sa vessie et son vagin, trop dilaté. Massacré par un sexe trop gros pour elle, trop énorme pour toutes les humaines...

Sur le lit qu'il s'est construit, Boogy allonge Monica, lui avec elle. Il l'écrase de tout son poids, et reste sur elle sans bouger, la queue toujours bien calée profondément. Savourant les pulsions du vagin qu'il viole contre son énorme membre. La jeune majeure de dix-huit ans, le branlant de son intérieur.

Monica pousse des cris de terreur et de douleur. Seul un bras est libre et elle l'agite autant que possible, espérant que quelqu'un l'observe et la sauve. Son cerveau ne pense plus qu'à une chose, échapper à ce viol monstrueux, l'accouplement d'une bête avec une humaine. Parce que même si les scientifiques considèrent Boogy comme un humain, physiquement, c'est un singe qui viole la blonde.

Mais rien, ni personne ne vient. Comme si ce qui lui arrive est la punition divine qui lui est infligée, à la fois pour son comportement et pour le vol de la carte... Le corps de ce monstre l'écrase, elle sent son poids sur elle, son pieu qui grossit encore dans son corps.

Quelques minutes après, Boogy se relève et reprend le rythme en pompant sa queue, rapidement et sauvagement. Monica est secouée en tout sens. Son sang lubrifiant l'endroit, il glisse de plus en plus facilement en elle, détruisant tout de sa pine monstrueuse. « Une bête me viole, une queue est dans ma chatte » pense-t-elle.

Peu après, Boogy s'arrête. Il se met dans un coin, et ne bouge plus. Pourtant son sexe est encore bandé, dur, droit. Il n'a pas éjaculé, il n'a pas terminé. Mais Monica, dont c'est la première expérience sexuelle, ignore tout ça. Elle a vu des vidéos, certes, mais jamais jusqu'à la fin. Ou alors son état de stress lui fait tout oublier. En-tout-cas la malheureuse ne fait pas le rapprochement.

Monica, qui peut à peine refermer les jambes et marcher, se lève, avec une seule idée en tête, fuir. Elle regarde Boogy, qui s'amuse avec de la paille. La jeune fille avance, le corps en souffrance. Du sang coule le long de ses cuisses et elle peut sentir que son vagin reste béant. Du regard, elle cherche la carte d'accès qui lui a échappé lors de l'agression. La jeune femme en a besoin pour sortir d'ici.

SalomeD
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