Tout Ce Qu'il Voulait

Informations sur Récit
Une femme contemple son mari sombrer dans la soumission.
12.5k mots
4.42
4.4k
1
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
meo75
meo75
62 Admirateurs

Ce soir-là nous fêtions nos 5 ans de rencontre et surtout la vente de l'entreprise qu'il avait créé et qui nous octroyait une vie luxueuse à jamais. Je n'ai guère le tempérament à ne rien faire, et je n'imaginais pas ne plus travailler. Peut être différemment. Louis était intenable, comme souvent. Il devrait passer encore six ou neuf mois pour accompagner la nouvelle direction, mais rien à voir comme intensité de travail. Je m'étais mise très sexy comme j'adore, une veste marquant nettement ma taille et mettant en valeur ma poitrine toujours très ferme. Mes chaussures de luxe au talon effilé rallongeaient considérable mes jambes, gainées de soie dont le lisière des bas apparaissait sous ma jupe. Avec mes cheveux noirs libres sur mes épaules, ma chute de rein accentuée par les talons, rares étaient les hommes ne se détournant pas sur mon passage. Ce que j'adore. Je ne suis pas nymphomane, mais j'aime intensément baiser et dans toutes les positions. C'est quelque chose qui fait partie de mon équilibre psychique.

Louis ne voulait que moi, mais depuis quelques semaines s'était mis dans la tête que j'étais une Déesse et qu'il devait me mériter. Nous avions de nombreux jeux sexuels divers et variés, mais celui-ci lui plaisir plus que de raison, et j'étais furieuse d'être sevrée de lui. C'est de lui dont j'avais le plus envie, même si je prenais plaisir à me faire prendre dans la boîte échangiste où nous allions souvent, comme ce soir. Plein de beaux jeunes hommes, plutôt respectueux et polis. Louis s'interdisait toutes les femmes, et même de se caresser, se nourrissant de ma vue et de sa frustration. Ce soir j'avais envie de fêter cela avec lui, une longue et violente sodomie comme je les aimais. Au lieu de quoi je choisis deux beaux noirs et m'enfermait dans une pièce, pour le frustrer de ma vue. Bonne pioche, car ils étaient vraiment doués et m'ont fait oublier ma propre frustration pour me laisser les orifices béants, irrités comme il faut.

Je pensais le retrouver furieux au bar, il était au contraire extatique et encore plus en dévotion. Je noyais mon énervement dans un flot de champagne, avant de repartir me faire butiner violemment. Je voulais de la bite, et plein de bite.

C'est à partir de ce soir-là, précisément, que notre couple s'est mis à dérailler, sans que je ne puisse rien faire. Louis a une puissance d'action, une rigueur d'exécution infernale et je me suis laissée faire. Il est vrai que ce n'était ni désagréable, ni difficile. En rentrant le soir, il sort un pot de crème et me masse longuement le corps et plus particulièrement les pieds, les embrassant avec ferveur. C'est franchement divin et je m'endors ainsi au nirvana. Au matin, je le trouve allongé à même le parquet à mes pieds tandis que je veux me lever pour me soulager. Il se redresse aussitôt et m'implore de se soulager en moi pour pas que j'ai besoin de descendre l'escalier. J'aurais dû dire non, mais je me suis laisser aller sachant que je lui avais déjà uriné dessus dans de précédents jeux. Mais l'urine du matin, à boire c'est tout autre chose. Il me lèche le sexe, c'est doux et agréable, du coup je me recouche et lui demande de me laisser me rendormir.

A mon second réveil il se tient à genoux à mes pieds avec un grand plateau de petit déjeuner qu'il me pose, restant là à me regarder.

- Tu fais quoi mon amour?

- Je veux te servir tout le reste de ma vie, être ton esclave et te rendre la vie la plus belle possible

- Mais Louis, la vie est très belle ainsi avec toi, je ne te reconnais pas

- Pourtant jamais je ne me suis senti autant moi-même, à tes pieds. Je t'aime tellement, tu es tellement incroyable pour moi. Te regarder me semble un privilège.

- Louis, moi ce que j'aime c'est l'homme fort, mon alter ego.

- Je ne suis pas digne de toi Béatrice, laisse moi te montrer qui tu es vraiment, laisse moi te servir. Je ne peux plus vivre comme je le faisais, un personnage qui n'est pas moi.

- Mon Dieu et cela va durer combien de temps

- Tout le temps ma Reine, tu es une Déesse et je vais te le prouver jour après jour.

Connaissant un peu mon loulou, je l'ai laissé jouer son jeu, amusée de le voir se mettre dans des situations qu'il reproduisait depuis des récits, voire des guides de domination pour homme. Et ce sans aucune implication de ma part, ce qui était plutôt confortable. Il dormait aux pieds de mon lit, s'occupait de toutes les tâches de la maison, me baisait les pieds et me massait dès que j'en avais besoin, ne prenait la parole que quand je le lui demandais. S'il ne se sentait pas digne de me pénétrer, au moins il se perfectionnait sur le cunnilingus et les caresses pour me faire jouir plus souvent encore que d'habitudes. Nos sorties en clubs étaient de plus en plus fréquentes, et je l'obligeais à rester dans la partie salon pour totalement ignorer ce qui je faisais. Il devait se retenir pour ne pas se jeter à mes pieds quand je revenais fourbue et satisfaite par de vrais mâles, tant c'est mal vu dans ce genre d'endroits.

Pour lui faire plaisir, j'ai décidé de varier et nous sommes sortis dans des soirées dites fétichistes mais profondément SM, certaines mixtes, d'autres réservées qu'aux femmes dominantes. Louis était aux anges, pouvant alors ramper, se promener nu tenu par une laisse qu'il avait achetée, dans une attitude que les autres Maîtresses jugeaient parfaite, me demande comment j'avais fait pour le dresser. A quoi j'opposais un simple sourire, masquant ma propre perplexité. Car Louis ne faiblissait en rien dans ses désirs. Je le faisais battre par des femmes puissantes et j'étais ahurie comme il tenait le coup, alors qu'il était si sensible auparavant. Et je savais à ses regards que sa souffrance m'était dédiée. Je me refusais à le battre, mais, par pur sadisme et pour voir sa réaction, je m'occupais de plus en plus souvent d'autres soumis. Je riais de voir sa mine t son angoisse. Croyait-il vraiment que j'allais m'enticher de sous hommes pathétiques comme lui?

Louis gardait la liberté qu'il voulait, et même s'il se limitait volontairement, il pouvait faire ce qu'il voulait, à son grand damne. Ainsi un jour je le vis nu affublé d'une cage de chasteté dont il me remit la clé, ne voulant même plus bander, indique qu'il était à mes pieds. Il aurait voulu que je la porte à mon cou, que sa déchéance soit visible de tous. Cela me semblait adéquat, et après réflexion je fis ainsi mais en lui imposant de m'acheter une clé chez Tiffany, pour que cela soit joli avec. Je l'avais le lendemain. Sa cage était si petite, il mit beaucoup de temps à s'y habituer et je suis certaine beaucoup de plaisir à souffrir dedans.

Un autre jour ce fut l'apparition d'un corset. Il perdait déjà beaucoup de poids, ne mangeant systémiquement que mes restes. Avec le corset, son allure était bien plus svelte et attirante je dois dire. Une ou deux fois je me suis amusée à le serrer au maximum, heureuse de le prendre à son propre piège, lui indiquant qu'il devrait rester ainsi jusqu'au lendemain. Sans idée sur la contrainte que cela imposait. Je voulais le tester, sans trop comprendre sa démarche. Surtout notre couple se défaisait à grande vitesse. J'en avais marre de dîner seule, certes avec un repas très fin et un majordome aux ordres, mais ce n'était pas du toute la vie que je voulais.

J'ai pris un puis deux amants réguliers, je rentrais tard le soir, parfois pas du tout, sans même le prévenir. Il m'attendait derrière la porte comme un chien battu, ne demandant rien, il n'avait pas le droit de parler, mais connaissant mon tempérament, sachant très bien ce que je faisais. Je songeais de plus en plus à le quitter. Certes j'avais une vie incroyablement facile financièrement et en termes d'organisation, mais je n'avais jamais eu l'ambition de vivre en Reine adulée ainsi. Il pouvait passer des heures à me regarder, et en mon absence, à regarder mes photos.

Pour son anniversaire il voulu que je lui offre des anneaux de seins, pou marquer son esclavage. Il les choisit lui-même, et le jour du piercing, je les découvrais : 2 anneaux dorés que je trouvais très épais. Le perceur aussi, qui était assez réticent, sachant que les problèmes de cicatrisation peuvent être important. La souffrance dépassa ses attentes, et je compris ce jour là à quel point Louis s'était perdu dans ses fantasmes, et qu'il était prêt à tout pour les vivre à fond. J'ai trouvé cela à la fois magnifique, j'étais émue sur le moment, mais paniquant en même temps. Se rendait-il compte de la charge qu'il mettait sur mes épaules? Pour la première fois, en rentrant, je l'ai battu, longtemps, violemment, juste pour vider mon stress. C'était sauvage, il était gonflé de partout. Rayonnant aussi. Je me suis effondrée sans le détacher, pour un long sommeil réparateur.

Au réveil, mon cerveau avait construit un plan d'action clair pour me sortir de cette situation que je trouvais scabreuse.

- Louis, tu veux vraiment devenir mon esclave?

- Oui Déesse, je veux être tout à Vous (je ne relevais plus le vouvoiement et j'aurais été choquée en fait par un tutoiement)

- Cela fait presque un an que tu as commencé ton jeu, je n'ai plus l'impression de vivre avec toi mais avec un esclave. En plus tu ne travailles plus et tu es tout le temps là à me combler

- Oui ma Reine, cela ne Vous convient pas? Je ne suis pas assez obéissant? Satisfaisant?

- Oui tu l'es, mais je me demande toujours quand cela va s'arrêter et que tu vas vouloir d'un autre jeu.

- Pour être franc Déesse, je n'ai jamais été moi-même que cette année écoulée. Je me sens tellement à ma place, apaisé. Loin du théâtre de la vie, auprès de la seule belle personne que je connaisse. Si je changeais si souvent auparavant, c'est parce que rien ne me convenait. Mais là je suis pleinement à ma place.

- Définitivement?

- Oui tant que Vous le déciderez?

- Et cela te convient parfaitement?

- J'aimerais que Vous soyez plus dure, plus cruelle. Que vous abusiez encore plus, même si je sens comme cela devient naturel en Vous.

- D'abuser de toi?

- Oui quand je dois sortir à 6h le matin Vous chercher un croissant, quand Vous ne rentrez pas du week-end sans rien me dire, et du coup sans rien que je ne mange, comme l'habitude que vous avez maintenant de m'utiliser comme Vos toilettes, l'absence de délicatesse que Vous avez envers moi.

- Et cela te plaît?

- Oh oui, plus je suis attaché et plus Vous êtes détachée.

- Et tu aimerais que je sois encore plus dure?

- Oui mais Vous n'êtes pas cruelle et Vous devez être Vous-même. Mais cela pourrait être des humiliations publiques, ou ramener Vos amants à la maison que je les serve, me considérer de moins en moins.

- Oui je comprends, en tous cas je vois.

- Et Vous ma Déesse est ce que cela Vous comble?

- Non Louis, je ne suis pas comblée. Surtout parce que je ne me laisse pas aller car je me dis que tu vas changer d'esprit rapidement

- Oh non laissez Vous aller, et réaliser tout ce qui Vous passe par la tête sans réfléchir.

- Si j'ai envie de t'enfermer dans le dressing pendant un week-end pour ne pas te voir?

- Oui par exemple.

- Et si j'avais envie de te couper la langue?

- Je me renseignerai et Vous dirai où Vous adresser.

- Tu es sérieux?

- Oh ma Déesse, je Vous répète cela que depuis un an! Vous savez les anneaux aux tétons sont tellement gros, cela ne cicatrise pas, c'est une souffrance quotidienne que je Vous offre.

- Oui je vois cela.

Je pris un instant de réflexion.

- Bien, pour te prendre réellement comme esclave, j'ai besoin d'être rassurée et assurée.

- Oui ma Déesse, tout ce que Vous voudrez.

- Tout?

- Oh ce ne sera jamais assez.

- Nous allons voir cela

J'hésitais encore sur l'ordre des évènements, et je décidais de commencer la phase torture.

- Je veux éprouver quel est vraiment ta capacité à te donner. Je vais te supplicier puis nous continuerons cette conversation.

- Oh Merci Déesse, merci infiniment.

Louis avait un équipement de folie, aussi je n'avais que l'embarras du choix. Un bâillon boule énorme dans sa bouche, que je serrai vraiment fort, puis une cagoule en Spandex par-dessus pour ne plus le voir. J'avoue que son regard misérable commençait à vraiment me donner envie de le frapper! Les mains attachées au plafond, mais sans qu'il ne soit trop tiré, ni suspendu, je ne voulais pas couper sa circulation et je ne savais pas trop où était la limite. Il reposait ainsi confortablement sur ses pieds. Je serrais ses couilles émergeant de sa cage fermée depuis des mois, et les enfermais dans un parachute que je lestais de poids. 6 kg pour commencer. Là je m'étais renseignée. Je le senti fléchir. Puis avec un simple anneau, j'attachais un premier kilo à chaque téton. Je fus récompensée par le cri et le gémissement lorsque je lâchais doucement les poids. Les seins furent attirés par le sol et bien déformés. Conformément à ce que j'avais prévu, j'ajoutais enfin 3 kilos aux ouilles de mon nouvel esclave, arrachant encore de nouveau cris et supplications. Inutiles.

J'allais le laisser ainsi quand j'eu une nouvelle idée. Certaine que Louis serait fier de sa Maîtresse. Cela m'a pris du temps, mais de toute façon Louis n'allait pas s'échapper. Je pris une paire d'escarpin que j'avais trouvée dans ses affaires, à sa taille. Ou presque, elle me semblait un peu serrée. Je l'essayais sur un de ses pieds, et elle rentrait plutôt bien. Les talons ne me semblaient pas si grands mais c'était parce que la taille était grande, ils faisaient quand même 12 centimètres. Mon idée était de tapisser les escarpins de punaises à trois pointes que j'avais vues dans un de ses tiroir. Un peu de colle super glue, quelques minutes de travail, et j'avais là une torture qui me faisait frissonner, tant j'imaginais la souffrance que c'était. Lorsque je revins lui enfiler les chaussures, la réaction fut toute autre. Il en oublia ses poids, et sembla résister mais en vain. Les escarpins possédaient une lanière pour les enrouler autour de la cheville, pour qu'il ne puisse les enlever.

La vision était pathétique et d'effroi. J'entendais un hurlement permanent étouffé par le bâillon, tandis qu'il se dandinait d'un pied sur l'autre sans trouver de position de repos. J'étirais les cordes pour qu'il ne puisse presque pas bouger, et qu'il accepte ainsi sa souffrance. Je devais avouer que je n'en menais pas large. Je me répétais sans cesse que c'était ce qu'il voulait, et que je lui montrais ainsi toute sa folie. Après il reviendrai à la raison ou pas, mais dans tous les cas, moi je m'en sortirai.

Je revins deux heures plus tard, il ne bougeait presque plus. Je retirais le masque puis le bâillon, ses yeux étaient clos, il était épuisé, il me sourit, essaya de faire bonne figure mais ses yeux pleuraient. Il me remercia, me supplia, me remercia encore, c'était incompréhensible. Il me vouait une fidélité à jamais, me disait qu'il ferait toujours tout ce que je voulais, qu'il n'en pouvait plus. Je le giflais pour lui faire retrouver la raison. Je voulais qu'il entende ce que j'avais à dire. Il se redressa, souffrit le martyre, me demanda pitié, qu'il n'en pouvait plus.

Je voulais qu'il voie. Je pris deux poids de 1kg, et en le regardant droit dans les yeux je doublait le poids de chaque téton. Ses yeux s'exorbitèrent, il bloqua sa respiration, il était tendu comme un arc. Il n'arrivait pas à prononcer un mot. Je pris à nouveau 3 kg que je lui montrais et que je pendis à ses pauvres couilles déjà bien abîmées. Il tourna la tête dans tous les sens, essaya de parler, n'y parvint pas, s'affaissa encore plus dans ses chaussures. Mon Dieu, comme il était pathétique.

- Tu me voulais cruelle, le suis-je assez crois-tu ainsi?

- --- (il ne pouvait que hocher la tête, désespéré, et me regarder effaré de ce qu'il devait subir en quelques instants)

- Alors tu vois je suis généreuse, je vais te laisser comme cela méditer, je te l'ai dit, nous parlerons ensuite. Je vais aller au cinéma. Je crois que le film est long, on m'a dit plus de trois heures. Et prie que je n'ai pas envie de me faire sauter ensuite, ce serait tellement long pour toi.

Sa seule réponse fut un non de la tête, un cri d'agonie tandis que je mettais la musique pour couvrir les éventuels cris qu'il pourrait émettre. Je me demandais dans quel état il pourrait être en rentrant. Je lui avais fait dépasser ses limites, sans doute largement, je doutais que sa motivation en soit intacte!

Les fauteuils du cinéma étaient incroyables, je me croyais en classe affaires, même les pieds étaient soutenus, et l'espace devant était considérable. Je me sentais incroyablement bien, d'autant que j'étais dans un coin en arrière, calme. Le fil était sans doute captivant, mais j'étais bien plus intéressée par l'état de ma chatte que je sentais trempée. Je relevais ma jupe, massant doucement mon clitoris au travers de ma culotte. J'adorais cette sensation, mon sexe étant intégralement et définitivement épilé, tout n'était plus que douceur, volupté. A peine eu je reposé ma main sur l'accoudoir, que celle de mon voisin vint s'immiscer dans ma culotte. Elle était chaude et d'un mouvement réflexe je relevais mon pubis pour lui faciliter la tâche. Ses doigts tournaient autour de mon clitoris, l'énervant autant que possible, avant de plonger doucement dans mon sexe dégoulinant et avide de plaisir. L'orgasme vint très vite, tant la tension sexuelle de la journée avait été intense.

Mais loin de me soulager, il m'en fallait bien plus. La main se retira, je pris le relais. Sentant une bosse prometteuse sous le pantalon que j'ouvrir puis fit baisser. Je vérifiais, nous étions tranquilles. Le sexe jaillit comme un diable, si droit, si beau, il était vraiment parfait. Ni le plus gros, ni le plus long, mais le plus parfait. Je le massais doucement, me demandant s'il pouvait devenir plus dur. Je basculais alors mon bassin, faisant voler mes jambes par-dessus les accoudoirs, écartant mes cuisses pour accueillir l'intrus au plus profond de mon intimité. J'avais besoin d'une sodomie sauvage et mon voisin ne se fit pas prier. Il sut faire durer le plaisir, attendre la lubrification de mon cul et mes gargouillis d'orgasme pour se laisser aller en moi et éjaculer profondément. Comme c'est bon un vrai homme. Nous reprîmes le cours du film, je l'embrassais, nous recommençâmes deux fois, le film durait effectivement plus de 3 heures.

Je pris sa main dans la mienne et nous rentrâmes à la maison en nous embrassant. Je n'avais pas oublié mon mari, loin de là, mais je n'avais aucune envie de m'en occuper. Il le fallait, je n'allais pas le laisser pendu plusieurs encore. Alain monta avec moi, et malgré mes avertissements fut sidéré de voir la déchéance de son ami d'enfance. Il y avait des mois que les liens entre Louis et lui étaient rompus, tandis que j'avais pris largement le relais, ayant étable une relation très régulière avec lui. J'avais découvert qu'il n'avait jamais vraiment trouvé une femme, cherchant mon double, et heureux de l'aubaine de la perversion de Louis.

Celui-ci pendait inanimé par ses liens. Je le descendis doucement, il ne réagit pas, mais respirait régulièrement, ses mains bougeaient, tout allait bien je n'avais pas besoin d'appeler un avocat! J'enlevais tout ce qu'il portait, hormis la cage de chasteté bien entendu, et le laissant là à même le sol, nous allâmes nous coucher. Demain serait un autre jour!

C'est un reflet de soleil dans les yeux qui me sortit de ma torpeur matinale. Surprise je regardais mon mari à genoux, tête baissée, portant un plateau de petit déjeuner et attendant mon réveil, comme si rien ne s'était passé la veille et comme su j'étais seule dans le lit. Il ne dit ni ne manifesta rien. Il s'installa entre mes jambes pour me boire, et je l'envoyais faire de même avec Alain, mesurant ainsi sa capacité de dévouement. Il n'hésita même pas, au contraire d'Alain, gêné, surtout de bander dans la bouche d'un homme, qui plus est son ex meilleur ami. Mais je l'avais informé et il arriva à tout se vider. Deux vessies pleines de la nuit cela devait occuper un peu d'espace. Pendant que nous prenions le petit déjeuner qu'il avait préparé pour deux, j'envoyais mon esclave se doucher et se nettoyer. Il marchait à 4 pattes, ses pieds étaient affreux à voir, tout comme ses couilles toutes noires. Je n'étais pas certaines qu'elles seraient à nouveau fonctionnelles un jour!

meo75
meo75
62 Admirateurs