Le Billard

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Elle était tellement trempée, elle dégoulinait. Elle a dit :

«Touche ma culotte. Tu aimes ma culotte? C'est doux au toucher une culotte de fille, dis-moi, Camille?»

J'ai pensé à ce que lui avait dit Cédric. J'ai pensé que c'était comme un jeu. Je lui ai dit que sa culotte était douce et soyeuse, si délicate et si jolie. Elle a poussé un cri de joie et elle a sauté du lit. Elle est allée farfouiller dans son armoire et elle revenue avec une brassée de culottes roses et soyeuses. Elle en a choisi une :

«Tiens, Camille, sois gentil, essaye celle-là.»

Elle m'a aidé à l'enfiler et à la mettre en place en caressant longuement mon sexe tendu et mes bourses gonflées par l'attente et le désir. Sans cesser ses caresses, elle m'a demandé :

«Tu es bien, dedans? C'est confortable! Maintenant, tu auras ta propre culotte, chéri! Tu aimes, n'est-ce pas? C'est si doux, au toucher, si soyeux, j'aime te caresser. Tu veux bien les garder pour me faire l'amour? Juste glisser un peu pour sortir ton sexe. Comme ça, voilà. Tu parais encore plus dur avec cette culotte. Elle te fait de l'effet, n'est-ce pas? Tu les garderas tout le temps, pour me faire plaisir. Tu veux que je sois heureuse, n'est-ce pas? Je t'aime.»

Je repensais à sa discussion avec Cédric, à ce qu'il lui avait demandé. C'était des culottes de fille, mais elles étaient si belles et si douces. J'ai trouvé drôle que ça me plaise, et j'ai pensé que je pourrais jouer le jeu pendant un moment, juste pour lui plaire, et lui faire plaisir. Sans savoir où tout cela me mènerait. C'est fou, quand on y pense, le nombre de conneries qu'un homme peut faire, par amour pour une femme.

Elle s'est allongée tout contre moi en massant ma bite par-dessus la culotte. Elle me parlait de ma peau douce, de mon teint de pêche, de la rondeur et de la douceur de mes fesses de fille. Elle m'a dit qu'elle aimerait m'habiller en fille, me faire porter de la lingerie, que ça l'exciterait. Elle m'a dit que je serais "heureuse" de porter des sous-vêtements "découpés aux bons endroits", afin que je sois accessible et féminine.

Elle me parlait d'une voix douce, sans cesser de caresser, elle me parlait d'hormone à base d'œstrogènes, de l'épilation à l'électrolyse, de gonfler un peu ma poitrine, pas trop, juste ce qu'il faut, que nous serions comme des copines.

Elle m'a parlé de Cédric, de son sexe énorme, qu'il l'avait pressé contre elle, sur sa hanche, sur ses fesses. Que cela lui avait procuré une émotion, elle avait trempé sa culotte. Elle m'a dit que c'était vrai ce qu'on raconte sur les africains, tu sais, si gros, si virils, et si pressants. Elle pensait sûrement à Cédric quand elle s'est mise à quatre pattes.

Elle m'a dit de la prendre en levrette, sans ôter ma culotte, juste glissée de côté, j'ai glissé ma bite dans sa moiteur, elle nous regardait dans le miroir à côté du lit, moi la chevauchant, elle disait :

«Oh, mon dieu, Camille, comme tu bouges bien tes fesses, tes fesses si rondes dans ta culotte de fille, tu as un boule de fille, chéri, tu es si féminine. Tu aimes ta culotte de fille. Tu aimes quand je te parle comme ça. Tu me baises bien, ça t'excite, hein? Oui, chéri, baise-moi plus dur, plus fort, baise-moi comme un homme, vas-y, défonce-moi...OUI!»

«Tu es venu fort, chéri. Ça t'excite quand je te parle de Cédric, de sa virilité? Et quand je te traite de fille, tu aimes? Regarde, tu reviens déjà en forme. Tu verras, on va bien s'amuser, quand tu seras vraiment efféminé. Maintenant, viens avec ta bouche, bonne fille, Camille.»

Elle m'avait mis une culotte et elle m'avait traité de bonne fille. Elle me parlait de cet africain qui l'émoustillait. Pourquoi ce type nous excitait autant, tous les deux. Nous avions baisé comme des bêtes en pensant à lui. Pourtant, je ne suis pas gay. Il chauffe ma femme et je ne suis pas jaloux. Juste envieux ... Envieux de quoi? D''être aussi viril que lui, ou d'être dans ses bras? Que se passait-il dans mon cerveau détraqué.

Adolescent, je me cachais pour espionner les couples pendant le coït. Cédric prenait le contrôle de ma femme, et je le regardais faire, et ça m'excitait. Je n'entendais même plus Valérie me dire qu'elle allait m'acheter de la lingerie, qu'elle devait de renseigner sur les hormones adaptées à mon cas, et me prendre rendez-vous pour une épilation.

Le lendemain soir, Cédric est venu jouer, comme d'habitude, comme tous les soirs, nous avons joué au billard pendant une heure, puis il m'a demandé de lui amener la femme, pas Valérie, LA femme .... encore une fois, sans discuter, j'ai obéi, je suis monté la chercher dans la chambre où elle se préparait pour lui.

Je lui ai dit que Cédric la voulait, elle est passée devant moi sans un mot, j'ai tout de suite remarqué ses seins, ils étaient plus gros, plus haut, plus compacts, et les tétons semblaient vouloir transpercer le tissu. Elle portait un bustier en dentelle qui montrait plus de chair qu'il n'en cachait. En bas, elle portait sa jupette blanche de tennis, ses jambes étaient nues sur ses mules à talon.

Je lui ai demandé si elle avait acheté un nouveau soutien-gorge. J'ai dit qu'elle avait l'air délicieuse, avec ses seins plus gros, elle a juste ri, m'a caressé la joue et m'a précisé que c'était un «push-up» et qu'elle l'avait depuis longtemps, mais qu'elle ne le mettait pas.

Elle était maquillée et sentait bon, ses talons et sa jupette mettaient ses jambes en valeur, son bustier était un appel au viol, je l'ai suivie jusqu'à la pièce de billard, en humant son parfum étourdissant. Sur le pas de porte, elle s'est retournée vers moi, la main sur la poignée, et m'a dit :

«Va regarder la télé.» Je devais avoir l'air misérable parce qu'elle m'a souri.

J'ai répondu : «OK, à plus tard.»

En partant, je l'ai entendu lui dire : «Tu es magnifique, chérie. Ferme la porte, et approche!»

J'ai couru pour faire le tour de la maison. Valérie se tenait devant lui, les bras ballants. La main de Cédric effleurait sa poitrine tandis qu'il la complimentait sur sa toilette, le volume de ses seins. Il l'a faite pivoter, s'est penché sur elle, elle a incliné la tête de côté, il a posé sa bouche dans son cou, longtemps, de nouveau elle a eu ce rire de gorge, ce petit rire énervé, séduite par la mâle virilité du grand black.

Toujours pressé contre elle, derrière elle, il a mit ses mains en coupe sous ses seins, pour la complimenter sur leur apparence. Il lui a demandé si elle avait bien découpé son soutien-gorge pour faire sortir ses tétons, qu'est-ce qu'elle avait utilisé pour qu'ils soient dressés comme ça, que ses adversaires ne verraient que ses seins excités quand ils iraient à l'académie de billard.

Elle restait là, les bras ballants, gênée et rougissante sous le déluge de compliments et de caresses. Il lui a demandée si ça l'excitait de troubler des hommes, si elle savait qu'elle était bonne, il l'a faite pivoter à nouveau pour l'embrasser langoureusement sur la bouche. Mais il avait été un peu vite en besogne, et elle s'est dégagée :

«Cédric, je suis mariée!»

«Valérie, tu es une gentille petite fille, mais tu dois te préparer mentalement pour aller affronter tes adversaires à l'académie de billard. Tu ne seras pas mariée, mais célibataire. Tu ne devras pas porter ton alliance. Camille comprendra. Nous devrons nous comporter comme un couple, d'accord?»

De nouveau, il l'a prise dans ses bras pour l'embrasser doucement. Elle l'a laissé faire, alors son baiser est devenu plus profond, plus intense, avec ses mains sur son cul, qui pressaient le ventre de Valérie contre sa virilité tendue. De nouveau, elle s'est dégagée, essoufflée, avec plus de difficultés :

«Cédric, je suis mariée!»

«OK, bébé ... mais on doit s'entraîner pour se comporter comme un couple quand nous serons à l'académie. Allez, embrasse-moi encore une fois, et nous allons attaquer le cours.»

Sur la pointe des pieds, elle l'a embrassé longuement, passionnément, tandis qu'il fouillait sous sa jupette. Il avait pris l'ascendant sur elle, la dominait, la contrôlait, je suis parti avant de jouir dans mon pantalon. Je n'étais pas jaloux, juste incroyablement excité, tourmenté par la rapidité avec laquelle il prenait l'ascendant sur elle, certain maintenant qu'il allait la baiser sous peu.

J'avais un autre sujet de préoccupation. La matière douce et soyeuse de cette culotte sexy que ma femme me faisait porter. Cette matière, ce contact m'excitait sexuellement. J'aimais son contact, j'aimais porter ces culottes de fille.

Pendant la publicité, je suis retourné à mon poste d'observation, près de la fenêtre. Cédric était assis sur le billard, les jambes pendantes, il avait attiré Valérie entre ses jambes, la pressant contre lui avec ses mains sur le bas des reins. Pour écouter ce qu'ils se disaient, je me suis faufilé sous la fenêtre entrebâillée.

«Valérie, parle-moi de la nuit dernière, quand tu t'es couchée avec ton petit mari.»

«J'ai fait ce que tu m'avais demandé, Cédric, je lui ai fait mettre une culotte de fille. J'ai été surprise, il a aimé...»

«À quel point?»

«Je ne sais pas comment tu l'as vu, je n'avais jamais réalisé qu'il avait un penchant pour se travestir, il était heureux de les porter, Camille aimait vraiment cela»

«Valérie, as-tu eu des relations sexuelles avec Camille, hier soir?»

«Oui Cédric, c'était très chaud, il a gardé la culotte sur lui, alors ça a été très rapide ...»

«C'est la culotte de fille qui l'a excité autant? Est-ce que tu pensais à moi pendant qu'il te baisait?»

«Tu ne devrais pas me demander cela, Cédric, je faisais l'amour avec mon mari ...»

«Oui, je sais, mais dis-moi, Valérie, as-tu pensé à moi? Dis-moi la vérité ...»

«Oui Cédric, je pense tout le temps à toi ...»

«Hum, Valérie tu es toute mouillée ... bonne fille! Est-ce que tu lui as acheté cette tenue de soubrette que je t'avais recommandé?»

«Oui Cédric, je l'ai rangée sous son oreiller, il la mettra quand nous irons nous coucher,»

«Alors, quand ce sera l'heure du coucher, dis-lui de monter se préparer, de mettre la tenue qui est sous son oreiller, et de t'attendre sur le lit. Quand tu monteras le rejoindre, si Camille a suivi tes instructions, s'il est travesti en salope, c'est qu'il aura accepté d'être ton esclave, une poule mouillée, soumise et docile. Alors, tu auras un mari obéissant à tous tes caprices, tous tes fantasmes, à ta botte, prêt à te servir. Il deviendra ta meilleure copine.»

«Donc, à partir de ce soir, plus de sexe direct avec pénétration, je te suggère de le masturber, lentement, en t'arrêtant quand tu sens que la moutarde lui monte au nez. Tu apprendras vite, tu verras, quand les couilles se contractent, qu'il va gicler, tu t'arrêtes de le branler, et tu serres fort la base de la bite jusqu'à ce qu'il se calme. Quand il sera dans cet état-là, en lui parlant doucement, tu pourras lui faire faire tout ce que tu veux. Il deviendra ton esclave docile.»

«Je te rappelle, pas de pénétration, ni devant, ni derrière. Tu ne le suces plus non plus. Par contre, lui peut te sucer tant que tu en auras envie. Et te doigter aussi, si le cœur t'en dis. Bon, tous les matins, n'oublie pas son traitement. Les œstrogènes aideront à calmer sa libido, diminueront sa pilosité, et aideront sa poitrine à se développer. Bien entendu, cela ne remplace pas l'épilation, mais ça la complète.»

«Valérie, si tu suis mes recommandations, très vite tu verras s'il devient suffisamment efféminé, et si nous pourrons envisager une transformation complète avec une chirurgie. Au Maroc, tout est possible, Camille sera une fille...»

«Bien, Cédric, je suivrai tes recommandations, pas de rapports sexuels, son traitement tous les matins, nous verrons s'il devient suffisamment efféminé.»

«Valérie, pendant cette période de transition, préfères-tu que j'arrête de venir jouer tous les soirs, pour te permettre de t'occuper de ton mari?»

«Non, oh non, s'il te plaît, chéri, viens tous les soirs, m'apprendre ...»

«OK, tu dois te comporter comme ma petite amie infidèle, maintenant, embrasse-moi ... mieux que ça, comme ton amoureux, embrasse-moi comme si tu voulais me séduire»

Elle s'est pendue à son cou et l'a embrassé passionnément, avec sa langue dans la bouche de son amant. Il avait ses mains sur son petit cul joufflu, l'amenant contre ce qui devait être une érection très importante, Il s'est avancé au bord de la table, se pressant contre elle d'une putain de manière, elle était étreinte contre lui, ses mains jointes sur la nuque de Cédric, il la possédait et elle le laissait faire.

Les arrêter? Mais j'en étais incapable! J'étais excité, avec une érection douloureuse, et je voulais en voir plus, le voir séduire ma petite femme, c'était bien, mais pas suffisant. Cet homme noir était en train de la dompter, de l'asservir, et j'espérais qu'il la baise!

Sa main descendit entre eux, se dirigeant vers sa chatte. Elle n'a pas esquissé le moindre geste pour l'arrêter. Il a mis sa main dans sa culotte, puis il a probablement agité ses doigts dans sa chatte, parce que je percevais un clapotis.

«Oh, oui, petite fille, tu as besoin d'un grand garçon pour cette chatte désireuse. Ton petit minet efféminé ne peut pas te satisfaire. Tu as besoin d'un homme pour assouvir tes besoins. Dis-le, Valérie, demande-moi de te baiser.»

«Mais Cédric, Camille c'est mon mari, Cédric Je suis mariée» Elle protestait faiblement en l'embrassant amoureusement.

Les doigts de Cédric dans sa chatte trempée, elle a commencé à agiter ses hanches en gémissant. Il l'a soulevée de terre pour l'asseoir sur la table à sa place. Il s'est positionné entre ses jambes écartées. Il a écarté sa culotte pour mettre à nu sa chatte accueillante ...

Bon sang, il allait la baiser, j'étais surexcité. Je commençais à sortir ma bite dure comme du roc, je devenais fou. Il l'embrassait légèrement, du bout des lèvres, alors elle a mis ses mains sur la nuque de Cédric, pour l'attirer et l'embrasser profondément, durement, en grognant et en gémissant.

Ils s'embrassaient passionnément, mais j'ai pu voir Cédric sortir sa bite de son pantalon. Bon sang, il était énorme, plus de deux fois ma taille, un gland énorme et violacé, les veines saillantes. En saisissant ses jambes, il l'a tirée sur le bord de la table de billard. Machinalement, elle a relevé ses jambes.

Il promenait nonchalamment le gland le long de sa chatte, écartant les grandes lèvres, sondant la fente, ou il heurtait le clitoris dressé. Valérie frissonnait d'impatience en attendant la saillie imminente.

«Si tu veux ma bite, Valérie, dis-le, dis-le maintenant, vas-y dis-le ....»

«Non, Cédric, non, on ne peut pas, je suis mariée»

Sans forcer, il a glissé le bout de son gland dans son orifice en attente. J'ai vu les yeux de Valérie s'écarquiller. La surprise, la peur, la douleur ou le plaisir, je ne sais ... Elle a retenu son souffle, mais il est ressorti immédiatement. Le gland ne l'avait même pas pénétrée entièrement, il est ressorti pour continuer de la caresser en tapotant son clitoris.

«Viens, Cédric, viens, maintenant, je suis prête ...»

«Si je mets ma grosse bite en toi, tu ne pourras plus m'arrêter. Tu le sais, si tu prends une grosse bite noire dans ta petite chatte, tu ne pourras jamais plus te contenter de la petite bistouquette blanche de ton chaton, tu deviendras ma femme, je te posséderai, toi et ta chatte de femme mariée et infidèle, tu seras mienne, tu réclameras toujours ...»

«Oh, oui, Cédric. Oui, viens maintenant...»

Je pouvais voir sa bite aller et venir le long de sa chatte humide, ouvrant les grandes lèvres, recueillant les jus qui suintaient. Valérie était en transe et cherchait à le happer en l'agrippant avec ses jambes, pour le faire tomber dans son trou en attente. Il l'évitait, se faufilait, lui échappait, jouait avec ses nerfs.

Elle s'énervait, grognait, le suppliait :

«Viens, Cédric, viens, ne me fais plus attendre.»

«Supplie-moi. Si tu veux que je te baise, supplie-moi!»

Et elle l'a supplié. Elle s'est abaissée, vaincue. Elle a pleuré, au comble de la fébrilité, tourmentée par son désir de sexe. J'ai pensé qu'il ne pourrait jamais insérer ce monstre en elle, sans la déchirer, sans la briser. J'ai vu le gland franchir la barrière de ses lèvres. J'ai vu sa chatte s'élargir, se dilater, s'ouvrir. J'ai entendu son cri, un cri de bête blessée, mais aussi un cri de joie. Elle s'est ouverte pour l'accueillir dans son antre. J'ai regardé ma femme se révéler, devenir une salope infidèle, en accueillant son amant jusqu'au fond de son ventre.

Il est resté immobile au fond de son ventre, le temps qu'elle s'habitue, et quand elle a bougé ses hanches, il l'a soulevée de la table sans effort. Elle s'est agrippée à ses épaules, les jambes autour de sa taille, et c'est elle qui a donné le tempo, montant et descendant sur le pieu de chair dressé sous elle.

Je regardais son visage ravagé par le plaisir, elle était dans un autre monde. Il la faisait sauter sur sa grosse bite noire, elle avait la bouche grande ouverte, sa respiration était sifflante et rauque, j'ai compris qu'elle lui appartenait. Et puis elle a joui. Un orgasme terrible, dévastateur, une explosion, les jambes tremblantes, le visage enfoui dans le cou de l'homme qui la possédait, un long sanglot s'est échappé de ses lèvres :

«Oh, mon dieu, Cédric, c'est merveilleux, tu es un amant extraordinaire, c'était ... féerique!»

Il l'a assise de nouveau sur la table, mais elle lui tendait ses lèvres, elle voulait sa bouche. Elle était amoureuse, conquise, lascive, elle lui appartenait. Comme pour s'excuser, elle a dit :

«Il faut que j'aille à la salle de bain, avant que Camille n'arrive.»

J'ai couru m'asseoir devant la télé, puis Cédric est entré : «Salut Camille, j'ai le temps pour quelques jeux...»

J'ai demandé s'il était content de ma femme, de ses progrès, il m'a dit qu'elle était bonne ... Valérie est arrivée, elle avait enfilé une sortie de bain, elle m'a expliqué qu'elle avait dû prendre une douche rapide, Cédric l'ayant fait transpirer. Elle s'est assise sur le canapé, à côté de Cédric, presque blottie contre lui, naturelle et souriante.

Nous avons joué quelques parties, distraitement, pendant que Valérie vaquait à ses occupations. Elle est venue nous dire que c'était tard, qu'il fallait se coucher. Valérie m'a dit de ne pas l'attendre, de monter d'abord, elle devait parler à Cédric. Elle m'a dit que je trouverai mon nouveau vêtement de nuit sous mon oreiller, elle l'avait acheté pour moi aujourd'hui, je devais le mettre et l'attendre sur le lit.

J'ai dit «Oui, Valérie» Cédric a commenté en lui disant qu'elle avait un mari obéissant, et Valérie a conclu en disant "elle" adore recevoir des ordres, n'est-ce pas "ma chérie", comme si elle parlait d'une fille. Elle avait dit "elle" en parlant de moi. Ça m'a émoustillé.

J'ai monté les escaliers pendant qu'elle accompagnait Cédric jusqu'à la porte d'entrée. Sur le palier, je me suis planqué pour les regarder. Elle lui a tendu ses lèvres. Il l'a embrassée, et la sortie de bain s'est ouverte. Elle était nue dessous. Il a caressé son corps. Elle a écarté ses jambes quand il l'a doigtée.

Je l'ai entendu lui demander si "elle" (moi) allait lui, obéir et m'attendre sur le lit maintenant, et ça l'a fait rire. Valérie a répondu, "elle" va être raisonnable maintenant, dans sa nouvelle nuisette, "elle" sera toute mignonne. Cédric lui malaxait le sein d'une main, en la doigtant de l'autre, Valérie a commencé à panteler.

Cédric a demandé : «Tu veux de l'homme?»

«Oh, oui, Cédric, s'il te plaît. Donne-moi encore, j'en ai trop envie.»

Il a sorti sa bite de son pantalon, il a retourné Valérie face au mur, lui a dit de se pencher, elle s'est cambrée en prenant appui contre le mur et en se haussant sur la pointe des pieds. Cédric a plié ses genoux pour s'aligner, et l'a pénétrée d'une seule poussée rectiligne. C'était beaucoup plus facile, sa chatte était déjà lubrifiée et dilatée. Cramponné à ses hanches, il l'a tambourinée sans ménagement, la faisant piailler.