Le Billard

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Un jeu de queues et de boules.
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Valérie et moi, nous nous sommes connus au lycée. On s'est perdu de vue pendant les années d'université. C'est elle qui m'a retrouvé sur un réseau social. Quand je l'ai revue, j'ai eu un choc. La laideronne maigrichonne s'était muée en une superbe jeune femme. L'affreuse chenille était devenue un splendide papillon. En plus, j'étais sidéré qu'une telle beauté s'intéresse à moi.

Nous nous sommes installés dans une relation plaisante, je n'osais pas me déclarer, par peur d'un refus, et c'est elle qui a fait le premier pas. Elle m'a parlé du souvenir qu'elle avait, d'un garçon qui était gentil avec elle, quand elle n'était qu'une sauvageonne. Tous les autres la rejetaient, se moquaient d'elle, elle n'avait eu qu'un seul ami, MOI.

Maintenant, c'est elle qui méprisait ceux qui l'avaient brimée. Et j'étais son seul ami. À ce moment-là, notre relation a évolué rapidement, on s'est mariés l'année suivante, et nous venons d'acheter un petit pavillon en banlieue, après 4 ans de vie commune. Bien sûr, tous mes copains m'ont prévenus, cette fille est beaucoup trop jolie pour toi, ne fais pas cette connerie, tu vas souffrir, elle va t'en faire baver ...

Nous venions d'emménager dans notre petite maison, deux chambres à l'étage avec la salle de bain et un dressing, une grande pièce à vivre en bas avec un coin cuisine, et un bureau. Valérie m'a dit que cela pouvait être ma pièce, pour l'aménager comme je voulais.

J'adore le billard américain. J'en ai trouvé un d'occasion, et cette pièce est devenue une salle de billard, où je peux jouer avec mes potes quand ils viennent à la maison. En plus du billard, j'ai mis dans cette pièce un petit bar avec un frigo pour ranger les bières.

Valérie a un fort caractère, un peu dominante, qui s'accorde bien avec mon côté nonchalant et soumis. J'étais heureux qu'elle accepte de me laisser cette pièce pour recevoir mes potes. J'avais beaucoup d'amis, et bientôt ils appelaient tous pour jouer au billard. Valérie ne jouait pas, alors nous étions entre hommes.

Valérie est très belle, grande, avec la peau très claire, et elle s'habille sexy, parce qu'au travail les «mecs c'est des chiens, il faut les faire baver si tu veux obtenir quelque chose». Un matin, nous partions travailler, Valérie était en avance, quand je suis sorti la rejoindre, elle discutait avec un grand black. Lorsque je me suis approché, ils se sont tournés vers moi. L'homme s'est présenté, Cédric, nouveau voisin.

Il était proche de la quarantaine, et il était gigantesque, un véritable colosse. Nous nous sommes excusés, parce que nous devions partir travailler, et en chemin, Valérie m'a expliqué que Cédric l'avait abordée parce qu'il avait vu livrer le billard. Il prétendait être un excellent joueur, et Valérie l'avait invité un soir.

«Ce serait bien si tu avais un partenaire pour jouer au billard dans le quartier, tes copains ne peuvent venir que le week-end, avec Cédric tu pourrais jouer tous les soirs!»

J'ai dit : «Bonne idée!»

Le soir-même, Cédric s'est pointé, un pack de bières sous le bras. Nous avons discuté un moment tous les trois, puis nous sommes allés jouer, Cédric et moi, pendant que Valérie nous préparait le casse-croûte. Cédric était un bon joueur, je me défends, et nous étions presque égaux, c'était une partie agréable.

Valérie nous a apporté le casse-croûte, et elle est restée regarder quelques jeux. Cédric lui a demandé si elle voulait jouer, et elle lui a répondu que c'était inutile, qu'elle était nulle à ce jeu. Cédric a affirmé qu'elle avait juste besoin d'un bon professeur, et j'ai expliqué que j'avais essayé, mais que j'avais abandonné.

J'ai dit à Cédric : «Tu peux essayer de lui apprendre, mais avec moi, pas moyen!»,

Valérie a ajouté : «Ah, non, alors, avec Camille, pas question! Il me stresse, me rend nerveuse, je ne peux pas me détendre avec lui, je perds mes moyens!»

«OK, Valérie. demain, je te donnerai ta première leçon. Moins d'une dizaine de leçons, et tu sauras frapper correctement la bille, ou je ferai comme Camille, j'abandonnerai.»

Nous avons ri tous ensemble, et nous avons convenu de commencer le lendemain.

Le lendemain soir, nous avons joué au billard, Cédric et moi, pendant une petite heure, puis nous avons cassé la croûte tous les trois. Ensuite, Cédric a voulu donner son premier cours à Valérie. Je voulais m'installer dans un coin de la pièce pour les regarder travailler, mais Valérie m'a chassé :

«Pas question que tu restes ici à me regarder me ridiculiser. Tu vas te moquer de moi, et ça sera un massacre!»

Cédric a dit : «OK, première leçon d'une heure! Vas-y, Camille, je m'en occupe!»

J'ai eu un choc en entendant Valérie verrouiller la porte quand je suis sorti. Elle a dit que c'était pour être sûre de ne pas être dérangée par mes sarcasmes.

Je n'avais pas l'intention de me moquer d'elle, j'étais un peu dépité de m'être fait mettre à la porte de MA pièce, Cédric m'a demandé de les laisser une heure tranquille, j'ai dit OK, Valérie m'a mis dehors, j'ai dit OK! Devant la télévision, je ressassais ma rancœur. Profitant de la pause publicitaire, je me suis faufilé dehors, j'ai rapidement fait le tour de la maison, pour m'embusquer derrière un buisson proche de la fenêtre.

Il faisait sombre, je pouvais voir dans la salle de billard sans être vu, je me suis approché et j'ai vu Valérie, penchée sur la table, aligner la queue pour frapper la bille. Elle l'a très bien frappée et la bille qu'elle visait a failli tomber dans la poche. J'ai entendu Cédric lui dire :

«Très bien, maintenant, remets-toi en position»

Il a replacé les billes là où elles étaient, elle s'est penchée pour recommencer le coup, Cédric est venu près d'elle, et il s'est penché aussi. Dans la même position, juste à côté d'elle, la frôlant, ils étaient vraiment très proches l'un de l'autre, mais il la dominait de toute sa haute stature. Elle avait l'air si petite et si fragile à côté de lui, il a enroulé son bras autour de sa taille, pour poser sa main sur sa hanche, et son autre main sur la main de Valérie qui tenait la queue,

Il lui parlait à voix basse, je n'ai pas tout compris, des bribes de phrase. J'ai cru entendre : «détends-toi, fixe ton attention sur la bille, bougeons ensemble, pousse la queue, conduis-la ...»

Sa bouche près de son oreille, sans bouger ses mains, Cédric s'est déplacé légèrement, posant son pubis contre le cul cambré de Valérie. Le contraste de la couleur de peau était très évident, l'envergure du colosse planant au-dessus de ma petite femme, l'érotisme de la pause, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à la soumission de la femelle devant la puissance du mâle.

Juste en regardant Cédric et Valérie dans cette position, mon imagination a inventé un scénario rocambolesque, nourri par mes fantasmes, et j'ai dû m'enfuir, en proie à une érection surexcitée. Sans comprendre d'où me venaient ces idées tordues, je ne l'ai compris que plus tard, sur le moment la fuite a été ma seule réponse.

Assis dans le salon, rêvassant devant la télévision, je ne parvenais pas à calmer mon érection douloureuse. Je réfléchissais à tout ça, à cet homme noir planant au-dessus d'elle, à ses mains posées sur elle, à son ventre qui touchait son cul. Elle en était consciente, elle a forcément senti son membre appuyer contre sa fesse, et elle n'a pas bougé. Elle n'a rien dit, elle n'a rien fait pour l'empêcher, pour le repousser. Pourquoi?

J'ai pensé que ce serait sa première et dernière leçon. Oh! Combien j'avais tort! J'ai juste regardé le reste du programme, très excité. L'heure était écoulée, je suis allé toquer à la porte de ma salle de billard. Cédric m'a ouvert. J'ai pris un air détaché et un ton joyeux pour demander si tout s'était bien passé, et s'il était content de son élève.

Cédric a eut une phrase énigmatique, à double sens, vantant l'adresse de Valérie pour manier la queue et toucher les boules, ce qui a fait glousser ma femme, qui a ajouté «surtout les noires!» J'ai regardé Valérie, stupéfait, son regard était brillant et mystique, elle avait ce regard qu'elle a parfois après l'amour. Elle était si sexy à côté de Cédric!

Je lui ai demandé si cela lui avait plu, si elle voulait une autre leçon, elle a soupiré, regardé Cédric comme s'il était un preux chevalier du temps jadis, et elle a dit «Oh, oui!» Tournée vers Cédric, la main sur son bras, elle a dit :

«Merci, Cédric, pour cette belle leçon, à demain, il est temps d'aller nous coucher.»

J'ai trouvé étrange que ce soit elle qui raccompagne Cédric sur le pas de la porte, elle est sortie un moment en claquant la porte derrière elle, ils ont discuté, mais de quoi? J'étais monté me coucher, je l'attendais, et elle discutait dehors avec ce colosse noir qu'elle connaissait depuis deux jours seulement.

Je me suis aperçu que je ne connaissais pas Valérie. Qu'est-ce qui, chez ce black, l'a émoustillée à ce point. Elle est montée, toute joyeuse, elle m'a attrapé et m'a embrassé sur les lèvres en disant «viens au lit, chéri, je te veux». Sa main sur ma bite, instantanément raide, elle était surexcitée, je pensais à Cédric planant au-dessus d'elle, et j'étais excité moi aussi, on a fait l'amour comme des bêtes.

Taquin, quand elle s'est calmée, j'ai demandé si elle avait apprécié les cours de Cédric, elle s'est blottie dans mes bras et m'a juste dit : «Oh, oui, mon chéri!» Et nous nous sommes endormis ...

Le lendemain soir, Cédric est venu et nous avons joué entre hommes pendant environ une heure. Je subissais, moi aussi, l'emprise du colosse. Il me dirigeait, me commandait, et je perdais mes moyens face à lui. Je me comportais comme un débutant, et je suivais scrupuleusement ses indications.

Valérie était en haut, Cédric m'a dit : «Va la chercher, je pense qu'il est temps de commencer son cours. Reviens dans une heure!»

J'ai répondu : «Oui, Cédric!» et je me suis précipité, quand soudain j'ai réalisé que je me comportais comme un soumis devant son dominant. Cédric parlait, j'obéissais, naturellement ... Il me disait de lui envoyer ma femme et j'obéissais, Cédric avait pris le contrôle sur moi comme sur ma femme.

J'ai appelé Valérie, elle était dans la chambre ... Je lui ai dit que Cédric la demandait, et j'ai eu le souffle coupé en la voyant. Elle avait revêtu un short blanc étroit, qui moulait ses fesses et sa chatte comme une seconde peau, à se demander si elle avait une culotte dessous. En haut, un bustier qui lui laissait le ventre et les reins à nu. Aux pieds, des mules à talon que je ne lui connaissais pas.

Elle avait l'air si sexy, presque salope, elle était maquillée comme pour sortir et, en passant devant moi, l'air était chargé des effluves de son parfum, je lui ai dit qu'elle était magnifique, très sexy, peut-être un peu trop?

Elle m'a dit : «Oui, c'est Cédric qui m'a dit de m'habiller comme ça, le billard est un sport sexy, l'apparence compte, il faut être en accord avec son environnement, cela permet de distraire, ou même de troubler l'adversaire. Si je veux avoir une chance de te battre, je dois mettre tous mes atouts dans ma manche. Et si j'arrive à te battre, j'aurais ma récompense, Cédric me l'a promis!»

«Oh oui, j'attends cela avec impatience. Te battre et sortir ensuite avec Cédric. Non, mon chéri, pas toi, juste moi et Cédric. Il me sortira. Il m'emmènera au bar de l'académie de billard. Oui, très sexy, je ferai sensation!»

«Maintenant, Camille va regarder la télé, pendant que je vais m'exercer une heure avec mon professeur. Et ne viens pas nous déranger avant la fin de l'heure. OK, Camille?»

«OK, Valérie. Je ne vous dérangerai pas, pas besoin de verrouiller la porte.»

«Je verrouillerai la porte si j'en ai envie!»

Valérie est entrée dans la pièce, rejoindre Cédric, et elle a verrouillé la porte. J'ai pensé qu'elle se fichait de moi. Je suis sorti subrepticement, et j'ai fait le tour de la maison en courant. Il ne faisait pas encore nuit, ils avaient tiré un peu le rideau, je ne voyais pas grand chose, mais la fenêtre étant ouverte, je les entendais discuter.

«Oui, Valérie, c'est bien, mais je veux voir tes seins plus sexy demain soir. Tes seins sont splendides, haut perchés et bien ronds, il faut les montrer lorsque tu te penches sur la table.»

«Oui, Cédric»

Cédric a posé ses mains sur les épaules de Valérie : «Bien, pour l'instant, ajustons-les un peu ...»

Il a fait glisser le haut d'une épaule pour resserrer la bretelle en soulevant le sein avec la main, puis il a fait la même chose de l'autre côté. Je regardais avec étonnement la docilité de Valérie, qui se laissait tripoter les nichons.

Il a délaissé ses bretelles de soutien-gorge pour la contourner et se placer derrière elle, les mains sur la peau nue de ses hanches. Elle a penché sa tête sur le côté en tirant ses cheveux pour dégager son cou. Il s'est penché sur elle pour humer son parfum en déposant un baiser dans son cou. Elle a eu un petit rire de gorge énervé.

«Tu es merveilleusement belle et tu sens merveilleusement bon! Tu sais, chez moi, en Afrique, les gars sont francs et directs. Si tu as de beaux seins, ils te le diront. S'ils te caressent un peu, ça n'a pas de conséquences fâcheuses. Tu ne dois pas te vexer si mon admiration pour toi me conduit à ce qu'ici, on appelle "des gestes déplacés". Nous, les africains, n'avons pas de "gestes déplacés". Juste de l'affection et de l'admiration pour une belle femme. Une femme sensuelle et sexy comme toi, Valérie, ne dois pas être gênée par mes compliments, juste flattée et heureuse.»

Toujours debout derrière elle, il a remis son visage dans son cou pour en absorber l'arôme, en même temps ses lèvres déposaient une série de petits baisers dans son cou. Il s'est détaché d'elle à regret :

«Allez, bébé, c'est l'heure des cours. Ta leçon n°1, c'est ta tenue vestimentaire qui doit distraire ton adversaire. Quand je t'emmènerai à l'académie de billard, je te veux désirable et célibataire. Tu as un beau corps. Tu dois t'en servir. Je veux que les mecs soient distraits, Tu dois mettre une mini-jupe et un soutien-gorge pigeonnant. Quand tu seras à la table de billard, les gars ne doivent voir que tes fesses et tes seins, pas le jeu. OK, bébé?»

«Oui, Cédric»

«Demain soir, je voudrais que tu sois habillée comme pour sortir. Une mini-jupe la plus courte possible et un maximum de seins visible. Et tu vas battre Camille. Et je te sortirai. OK, bébé?»

«Oui, Cédric»

«Valérie, tu as verrouillé la porte, mais pourquoi?»

«Oh, c'est Camille qui me l'a suggéré, pour que je puisse être plus détendue!»

«Eh bien, oui, c'est une bonne idée, nous sommes parfaitement détendus en privé.»

En les écoutant, j'avais une érection dure comme du bois. Je suis retourné devant ma télé, j'ai résisté à l'envie de me masturber, et ça a fini par se calmer. Je suis un contemplatif, un rêveur. Je pourrais facilement être un voyeur. Ça ne me dérangeait pas beaucoup qu'elle se laisse tripoter par ce grand noir. Je ne comprenais pas pourquoi, mais au fond de moi, confusément, cela me plaisait. Pendant la pause publicitaire, je suis retourné voir l'avancement des cours.

Penché sur elle, son ventre frôlant son cul, il lui disait :

«Maintenant, ferme tes jolis yeux et sens la queue glisser doucement entre tes mains, sois douce, aime-la, sens comme elle est dure. Tu le sens?»

«Oui, Cédric»

«Bien, tu dois traiter cette queue avec amour, et tu seras une grande joueuse. Si tu fais l'amour à cette queue, tu battras Camille.»

Il s'est redressé, et j'ai pu voir qu'il bandait. Son renflement parfaitement visible devait s'appuyer contre elle, elle l'a senti sur ses fesses, et elle l'a accepté, elle était si jeune et si naïve.

Il a repositionné la bille blanche, et il lui a demandé de faire glisser doucement la queue dans sa main en poussant la bille vers l'objectif. Viser le trou, il n'y a que ça qui compte. Tout le temps, il a gardé sa main sur ses reins nus.

En bougeant sa main doucement, elle a frappé la bille, qui a heurté l'autre bille, qui est tombée dans le trou. Elle a sauté en l'air, de joie et d'excitation, et elle s'est jetée dans ses bras. Cédric l'a félicitée, en l'enlaçant tendrement, elle n'a rien fait pour s'opposer, pour s'échapper. Il a dû prendre comme une déclaration le fait qu'elle lève son visage vers le sien, il s'est penché sur elle pour déposer un baiser sur ses lèvres. Elle n'a pas protesté, elle lui a rendu son baiser.

Il l'a embrassé profondément, longtemps, avec les mains sur son cul :

«Voilà, ma fille, tu es une bonne élève, et tu deviendras une grande joueuse. Excuse-moi de t'avoir embrassée, tu es tellement belle, je n'ai pas pu résister. Est-ce la première fois que tu embrasses un africain?»

«Oui, Cédric» elle baissait les yeux, rougissante et troublée, sans chercher à s'éloigner de l'emprise de ses mains baladeuses.

«Dis-moi, bébé, tu n'as jamais fait l'amour avec un africain?»

«Oh, non, Cédric. Jamais!»

«Tu vas apprécier, chérie, c'est tellement différent. Avant de continuer la leçon, Valérie chérie, j'aimerais te demander?»

«Oui, Cédric?»

Valérie restait blottie dans les bras de Cédric penché sur elle, il chuchotait presque, je n'ai pas bien compris. Il lui parlait de moi, que j'étais très efféminé, est-ce que je me travesti, me maquille parfois, il a la peau si douce, ne crois-tu pas, a-t-il de la lingerie, peut-être devrais-tu le tester, peut-être il aimerait?

«J'ai souvent pensé que Camille avait un côté très féminin, peut-être que tu as raison, je devrais le tester, savoir s'il aimerait porter de la lingerie. J'ai un couple d'amis, mariés, elle a fait de son mari un cocu soumis, et ils s'amusent beaucoup, car il s'est avéré que son mari aimait la lingerie. Camille est comme ça, parfois, il y a en lui quelque chose d'efféminé.»

OK, je n'étais pas sûr de ce qu'avait pu dire Cédric, mais j'avais bien compris la réponse de Valérie.

«Bon, passons à la leçon si tu veux la battre.»

«Cédric, tu as dit de LA battre?»

«Oh, désolé! Camille est tellement efféminé, je pense à lui comme à une fille!»

Je suis rentré dans la maison avec une énorme érection, déconcerté par ce que je venais de voir. Ils se sont embrassés, et je ne pouvais rien y faire ou dire, sans quoi je devrais reconnaître que je les espionnais.

L'heure terminée, j'ai toqué à la porte. Frapper pour rentrer chez moi, dans la pièce qui m'était réservée, quelle honte.

«Juste une seconde, Camille!» J'ai entendu un remue-ménage, puis :

«Ouais, c'est bon, tu peux entrer maintenant, Camille!»

Ils se tenaient côte à côte de l'autre côté de la table, elle avait l'air émoustillée et posait sur Cédric un regard alangui. Elle était tellement sexy, était-elle amoureuse, mouillée, excitée?

«Bon, alors, tout se passe bien? T'es content de ton élève, Cédric?»

«Super! Je te l'ai déjà dit, mais Valérie est vraiment bonne pour manier la queue!»

«J'apprécie beaucoup les exercices que Cédric me propose. Ses instructions me stimulent, et je vais parvenir à te battre un de ces jours. Ma récompense sera une sortie à l'académie de billard, accompagnée de Cédric.»

«Quand Valérie te battra, ce qui ne saurais tarder, n'est-ce pas Camille, j'espère que tu te sentiras honoré quand elle m'accompagnera à l'académie de billard. Je souhaite que tu aides Valérie à s'habiller sexy pour ce rendez-vous, tu veux qu'elle soit fière et heureuse, n'est-ce pas, Cédric? Je lui ai déjà inculqué les bases d'une tenue sexy pour cette nuit-là, il faut qu'elle soit irrésistible pour distraire ses adversaires.»

Cédric a donc prit congé en disant à Valérie d'essayer de réaliser ce dont ils avaient parlé. Promis?

«Oui, Cédric, promis, je le ferai» Je me demandais de quoi ils parlaient.

Valérie m'a entraîné directement à l'étage, elle a sauté dans le lit en me disant de la déshabiller, qu'elle avait hâte.

Je l'ai aidé à enlever son top et son soutien-gorge, ses mamelons pleins de vie se balançaient, ses tétons érigés me tentaient, mais elle me pressait, je lui ai enlevé son short, j'ai touché sa chatte à travers sa culotte.