Laura Parle Trop

BÊTA PUBLIQUE

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C'est là qu'elle vit, sur le haut de son chemisier, juste au niveau de son sein droit, une tâche de sperme, bien épaisse et gluante, qu'elle avait du laisser échapper de sa bouche alors que Marc n'en finissait plus de la lui remplir....Et merde!

Chapitre 2

La journée de la veille avait été une expérience étrange... alors qu'elle rentrait chez elle, Laura croyait que jamais plus elle ne parviendrait à remettre les pieds dans ce bureau... Au fur et à mesure que les heures passaient, sa perception des choses évoluaient.

A bien y penser, elle n'avait au final fait qu'une mauvaise blague dont elle s'était excusé, et sucé une petite bite sans que personne ne le sache. Elle pourrait facilement trouver une excuse à la tâche sur son chemisier, Marc avait tout intérêt à rester discret, et Thomas pourrait confirmer qu'il ne s'était rien passé.

Elle décidait donc de se préparer, comme chaque matin, embrassant son mari avant de prendre la voiture et de filer vers le travail, un chemisier propre et une bouche bien scellé afin de s'éviter tout nouveau problème.

Alors que les kilomètres défilaient lentement dans le traffic du matin, il lui était encore difficile de tout comprendre, notamment cette culotte trempée dont elle ne s'est aperçu qu'en arrivant chez elle après les faits. Et ce besoin étrange et malsain de se caresser en repensant à ce qui s'était passé, au bureau du directeur, à son humiliation à genoux, au sourire de Thomas fier de sa répartie, à cette autre humiliation de la tâche de sperme... Elle n'avait pu se contenir et avait joui bruyamment dans la maison vide avant de se lancer dans un exercice mentale d'auto-jugement et culpabilisation pour le reste de l'aprés-midi, se haïssant pour ce qu'elle était.

"...vraiment fait, le truc qu'elle avait dit, avec Thomas"

"Non??? dans la cafét' même?"

"Je te jure"

"Je suis sur que..."

Les blagues de Loic et Simon avaient apparement bien fonctionné et les ragots allaient bon train ce matin. Les bouches se taisaient à la vision de Laura et tentant éviter tout scandale, elle fila droit à son bureau et enfila ses écouteurs afin de s'isoler.

Plus de 25 messages dans cette boite mail habituellement si calme... beaucoup de collègues masculins, se proposant de remplacer Thomas au prochain meeting, tous se croyant originaux et les seuls à avoir eu cette même idée, quelques femmes, la jugeant ou souhaitant lui apporter du soutien... et même ses deux copines de bureau, dont elle avait ignoré les whatsapp la veille, qui avaient créé un mail groupé pour demander comment c'était....même elle, ses collégues les plus proches y avait donc cru...

La rumeur avait bien circulé en son absence hier après-midi, le bureau n'était pas grand et les potins rare, alors celui-ci avait vite pris et fait le tour des services. Le chemisier tâché en preuve ultime avec deux témoins...

Laura se dépêcha de contacter Thomas par mail afin qu'il rétablisse la vérité, il lui demanda de passer dans son bureau afin d'en discuter de vive voix, mais elle refusa de peur d'être revue s'enfermant avec lui dans une pièce fermée.

Ils continuérent d'échanger via la messagerie mais Thomas n'était pas trés collaboratif et elle se méfiait beaucoup.

Les échanges s'échauffant de plus en plus au fur et à mesure de la matinée, toujours à demi-mot de part et d'autre, par peur de ce qui était laissé par écrit, jusqu'à ce que, sortant de nul part, un fichier word sur son ordinateur s'ouvre soudainement et qu'apparaisse à l'écran, lettre après lettre: "Au moins plus personne ne crois que je suis puceaux maintenant! Hors de question que je démente! Tous les autres m'envies, tu as beaucoup de succés!"

Le message disparu aussi vite qu'il était apparu. Elle se dépêcha de répondre par des menaces virulentes et les échanges continuèrent sur ce fichier pendant plusieurs minutes, les messages s'effaçant les uns aprés les autres, le ton montant. Jusqu'à ce qu'il écrive:

"Faux-vrai contre vrai-faux, Tout le monde crois que je t'ai baisé alors que non? Si ça se produit pour de vrai, je leur dirait que rien ne s'est passé"

Il était sérieux le puceau? Faux-vrai contre vrai-faux? C'est quoi ça? Un jeu de cours de récré? Jamais elle n'aurait pu imaginé cela de lui, mais jouant le jeu et certaine qu'il se dégonflera sur l'instant, elle lui répondit simplement "OK", en face à face elle saurait le gérer.

"Rendez-vous à 14h15 dans la petite salle de réunion de l'aile gauche, elle sera libre et aucun meeting prévu dans les salles autours, on sera au calme".

Le naïf petit informaticien s'imaginait vraiment qu'il allait toucher une vraie femme, si elle n'était pas si stressée, elle aurait probablement rit de la situation.

Les commentaires continuant jusqu'à la pause repas avaient convaincu Laura qu'il faudrait cesser trés vite, on avait depuis longtemps passé les frontières du harcèlement et cela devenait invivable, elle voulait juste que tout s'arrête.

14h15 précise elle était devant la salle de réunion, quelques secondes plus tard rejoins par Thomas qui l'invita à entrer.

Il ne bluffait pas, et à peine le porte refermé, il commença à déboutonner son pantalon. Laura avait pensé son plan, elle prétendrait se déshabiller en prenant le temps de déboutonner son chemisier, et une fois qu'il aurait le sexe à l'air elle le détruirai, moquant son petit instrument et ruinant toute confiance en lui, il pleurerai s'il le fallait mais elle lui ferait promettre de démentir l'incident de la veille en échange de sa discrétion sur ce qui se passerait dans cette salle.

Thomas était lent, il avait déboutonné son pantalon mais gardé son boxer, il attendait qu'elle se déshabille à son tour. Hors de question qu'elle ne lui montre quoi que ce soit, elle ne lui donnerait pas ce plaisir. Alors, s'approchant de lui elle lui proposa:

"Tu veux que je te suce pour commencer?" D'un hochement de tête il confirma son envie. "Alors enlève ton caleçon".

Appuyant sur son épaule pour la faire descendre, il répondit "Enlève le toi"

Qu'à cela ne tienne, ce n'était pas un caleçon de gamin qui l'empêcherait de mener à bien son plan. Se mettant à genoux devant lui, elle attrapa l'élastique du boxer et le fit descendre jusqu'à ses genoux. Elle ne pouvait attendre sa revanche plus longtemps.

Le sexe de Thomas n'avait rien du petit jouet qu'elle s'attendait à moquer, il était massif, et bien que non à son apogée encore, il semblait déjà beaucoup plus gros que les 16 cm de son mari. Choquée, elle ne pensa même pas à son plan tombé à l'eau, elle resta là, contemplant cet engin qui l'hypnotisait.

Thomas pour sa part, n'était pas venu pour se faire admirer l'entrejambe et ne prêtant pas attention à la réaction de sa collègue, attrapa ses cheveux et présenta son sexe à l'entrée de ses lèvres. La curiosité l'emporta sur le reste et elle fit même pas semblant de résister. Réfléchissant à ce que pourrait être le nouveau plan, Laura entama des va et vient sur ce membre énorme dont elle ne pouvait à peine avaler plus de la moitié, son diamètre étant finalement d'avantage un problème que sa longueur. En quelques secondes sa mâchoire devint douloureuse et se fut un réel soulagement quand Thomas la fit se redresser.

Il ne parlait pas, et elle non plus, ne sachant trop comment agir, n'ayant pas perdu sa volonté de se venger mais ne pouvant nier son attraction pour ce sexe magnétique. Il tenta de la faire pivoter afin qu'elle lui tourne le dos, mais Laura savait ce qui l'attendait. Elle voulait expliquer que non, que ca n'allait pas se passer, qu'il pouvait toujours réver, mais alors qu'elle forçait pour lui faire face, Thomas plongea une main sous sa jupe et pue sentir ses dessous trempées dans un sourire sans équivoque. Une fois de plus son corps la trahissait.

La levant pour l'assoir sur la table, il ne pris même pas la peine de la déshabiller. Relevant simplement sa jupe, il ne tira que sa culotte qu'il laisse négligemment au sol avant de venir présenter la pointe de son sexe entre ses jambes. Il n'était plus possible de nier le désir, tous deux avaient pu voir comme elle était mouillée, prête à recevoir ce cadeau géant.

Elle ne cherchait même plus à protester, écartant les jambes et le laissant entrer, elle sentie des décharges de douleur alors qu'il la pénétrait, il n'était probablement d'une taille hors norme mais ressemblait à ses membres des pornos que l'on ne croise jamais dans la vie réelle, elle n'avait jamais rien connu d'aussi gros et les sensations se mélangeaient entre le plaisir et la douleur, entre le désir et la crainte. Elle le sentait, doucement mais surement, continuer à se frayer un chemin en elle, il lui semblait qu'il n'allait jamais s'arrêter, qu'il n'arriverait jamais au bout...jusqu'à ce qu'il commence à prendre le chemin inverse, finalement, et que le plaisir augmente un peu plus, chaque étape de la pénétration devenant de plus en plus savoureuse, la douleur des premiers instants laissant place à des vagues de plaisir indescriptibles. Elle voyait ce geek immonde au dessus d'elle la ramonant mais dieu qu'elle aimait ce qui se passait entre ses jambes, il était ferme mais doux, tout aussi doué qu'il était moche, elle ne pouvait accepter tout ce plaisir venant de lui, venant de ce gamin,de cet enfoirée... mais ne pouvait non plus nier l'envie de gémir et de jouir à chaque fois qu'il la reprenait un peu plus profond, un peu plus fort.

Elle savait qu'elle ne jouirait pas devant le spectacle de cet ado la culbutant, et qu'elle gâchis ce serait de ne pas savourer un telle monstre jusqu'au climax... Acceptant donc son envie initiale de la faire se tourner de dos, elle laissa lentement son membre sortir avant de se pencher sur la table et de lever sa jupe, donnant ainsi une vue imprenable sur ce petit cul qu'elle avait si longuement travaillé à la salle...

Thomas n'en fit même pas mention et sans un mot se réinséra en elle et repris ses va et vient, lent cette fois. Le plaisir était extréme et elle ne pouvait plus se retenir de gémir sur cette délicieuse queue la satisfaisant un peu plus à chaque mouvement. Elle en voulait plus, elle n'en avait plus rien à faire de qui, de quoi ou de comment, elle voulait maintenant se faire démonter avec force et sentir sa petite chatte s'anéantir sur les attaques de ce colosse. Mais Thomas n'attaquait pas, n'attaquait plus. Lent, presque distrait, elle fût même jusqu'à bouger ses fesses pour mieux le sentir, mais il continuait, doucement, ses aller-retours monotones. Jusqu'à ce qu'elle entende un bruit, "clic" et que les assauts de Thomas se fassent plus fort, que ces gémissement à elle reprenne et qu'elle peine à gérer le plaisir qu'elle recevait, fondant littéralement sur cette bite lui donnant enfin ce qu'elle souhaitait.

Il était endurant et ne s'arrêtait pas, changeant de rythme parfois pour la faire durer elle aussi, elle appréciait chaque seconde de cette baise interminable sans se soucier de ce que lui ressentait, Sans se soucier de rien. Tant qu'elle se faisait prendre de cette façon, c'est tout ce qui comptait à cet instant.

"Putain mais qu'est ce qu'elle mouille cette pute"

Laura n'en revenait pas, celui qu'elle avait toujours traité comme un loser était en train de lui donner le plaisir de sa vie, et comme si sa bite énorme ne suffisait pas, il se permettait en plus de l'insulter et l'humilier, elle ne l'admettrait jamais publiquement mais elle adorait cette sensation, elle se sentait utilisée, sale et ca l'excitait terriblement.

"Je vous jure, la chienne était trempée avant même même que je le baise"

Vous??? Elle ouvrit les yeux dans un mouvement de panique, n'étaient ils pas seuls? Elle tenta se retourner mais la main de Thomas posée sur son épaule la plaquait fermement contre la table de réunion. Sa tête penchée de coté elle pouvait apercevoir une chaussure de ville et le bas d'un pantalon de costard, pas de doute, quelqu'un les avait rejoins.

Il aurait fallu qu'elle se débatte, qu'elle se cache, qu'elle crie, qu'elle hurle, mais qu'allait il se passait? Tout le monde viendrait? Elle serait exposée à la vue de tous, son cul en spectacle? Et ce qu'il se passait en elle était tellement bon.

"Dégage!" Elle cria tout en continuant à gémir de plaisir, suffisamment fort pour être entendu mais pas trop pour que ca ne traverse le couloir.

Plusieurs rires répondirent à son exclamation, sa voix avait clairement laissée transparaitre son plaisir, elle voulait les faire fuire mais sonnait comme une petite chatte ronronnante. Les rires n'était pas ceux d'une personne mais bien d'au moins 2 voir 3 spectateurs qui étaient dans la pièce, elle ne pouvait les apercevoir mais savoir leur présence la terrifiait tout autant que cela l'excitait. Sa jupe remontée sur le bas de son dos, ils devaient avoir une vue imprenable sur la scène, il devait pouvoir tout voir de ses jambes, de ses fesses, même de son anus.

"Sortez!" elle tenta une seconde fois, mais cela n'eut pour seul effet que de sentir les coups de reins de Thomas s'intensifier en elle et de sentir une claque atterrir sur ses fesses. Thomas la maintenait depuis le début, une main sur la hanche et l'autre sur l'épaule opposée, cette fessée ne venait donc pas de lui! Un inconnu, un collègue qu'elle croisait tous les jours venait de la fessé, sans qu'elle ne sache lequel. Et il venait apparement d'ouvrir la porte aux vices des autres puisque ce n'était maintenant plus une mais plusieurs mains qui lui caressait le cul, le pelotait fermement, des doigts effleurants son anus.... Thomas la baisait de plus en plus fort, son sexe toujours aussi gros semblant infatigable, elle n'en pouvait plus, elle imaginait sa chatte endolorie les prochains jours. Il la baisait maintenant tellement à fond qu'elle pouvait sentir ses boules claquait contre ses lèvres, ses hanches battre contre son cul, c'était incroyablement bon, elle se mordait les lèvres et gémissait de plus en plus fort.

Elle n'en pouvait plus, elle aurait voulu tous les detester, les taper, crier au viol, mais ce n'en était clairement pas un et tous ce qui sortait de sa bouche était des couinements de plaisir , de longs soupirs incontrôlables...

elle n'en pouvait plus, tout tentative de contrôle était vaine, elle n'avais plus aucun pouvoir sur elle meme et après un dernier effort de lutte, accepta le fait et s'abandonna au plaisir, à Thomas et à son sexe, jouissant presque instantanément, soumise aux regards de tous et leurs commentaire sur la salope la qu'elle était, sur ses jambes tremblantes et, alors que Thomas se retirait pour décharger de son liquide chaud dans le sillon de ses fesses, sur sa chatte rosée et le trou béant qu'il avait laissé.

Laura n'osa plus bougeait, ni meme se retourner malgré le retrait des mains sur son corps. Elle resta penchée en avant, le sperme coulant de la fente de son cul jusqu'a sa chatte, et ne réagit meme pas lorsque le prétendu gentleman, utilisa le revers de sa robe pour nettoyer le bout de sa queue, la fessa et déposa un baiser sur la marque de ses doigts la remerciant d'un "Bon petit vide couille!" applaudis des autres.

Les secondes qui suivirent furent troubles, reprenant ses esprit elle ne savait si elle était soulagée que tout se finisse ou déçu qu'aucun des spectateurs ne prenne son tour en elle, la salissant un peu plus, l'utilisant comme elle l'était depuis la veille...

Lorsqu'enfin elle se recomposa suffisant pour ce relever, elle rabaissa sa jupe et pris le courage de se retourner...

Plus personne. Ils étaient parti sans un mot, la laissant seul avec ses pensées qui se chamboulaient. Sans vraiment comprendre, elle se mit a pleurer, pas de tristesse non, de joie non plus, juste un trop plein d'émotions qui ne pouvait être contenue.

Elle ramassa sa culotte au sol et l'enfila sans même prendre la peine de chercher à se nettoyer. Gardant le souvenir liquide du moment bien enfoui entre ses jambes encore tremblantes, elle pris le chemin de son bureau, éteins la lumière, et s'apprêta à fermer la porte lorsqu'elle vit une petit point de lumière verte briller dans l'obscurité...

Rallumant la lumière, elle comprit la webcam du système de visioconférence était allumé, bien en direction de la table sur laquelle elle venait de jouir, diffusant le moment...la honte la submergea une fois encore...qui avait bien pu voir?

_________________________________

Merci @moiaunaturel pour le thème de départ!

C'est mon premier texte publié, merci pour vos retours.

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Anonymous
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13 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 8 mois

eh bien vu l érection que ça m a procuré...wouahh tres agreable a lire si pervert si cru si improbable merci pour se plaisir

Plaisirs54Plaisirs54il y a 11 mois

Une situation de départ peut-être un rien improbable (on imagine mal une collaboratrice même très dévergondée prononcer ce type de phrase...) mais l’approche du monde du travail est réaliste et l’ensemble fort agréable à découvrir.

MulierscriptorMulierscriptoril y a 11 mois

On voit que votre connaissance des us et coutumes de nos belles entreprises de la Start-Up Nation n'est pas imaginaire ! :-)

Aucune obligation d'indiquer les chapitres.

Un bon correcteur et ce sera parfait !

En tout cas, vous avez le sens de la narration et votre muse vous a subtilement inspirée !

Caresses et Soumission

Ms

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Merci pour cette histoire, j’espère lire la suite des aventures de Laura

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Merci pour l'histoire très es bon début.

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