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Nous nous sommes mis d'accord pour échanger par mail. Je m'en contenterai dans un premier temps. Je ne veux pas la bousculer et je ne dois pas oublier qu'elle est mariée. De plus, je ne veux pas lui causer de problèmes dans sa vie professionnelle, il me faudra donc être prudent. Je sais comment les lycéens peuvent être dangereux et incontrôlables s'ils découvrent quelque chose de croustillant sur un de leur professeur et encore plus si ce professeur est une femme.
Ce matin, après avoir longuement réfléchi pendant la nuit, je rédige un premier mail pour Isabelle.
Je lui demande de m'envoyer son emploi du temps pour que je sache quand elle est disponible. Je veux aussi qu'elle ressente mon emprise.
Ma deuxième exigence peut sembler simple et facile à respecter, mais, en réalité, elle est très contraignante. Je désire que tous les matins, elle m'envoie un message pour me saluer dans lequel elle me décrit sa tenue du jour et son état d'esprit.
Satisfait, j'envoie ce message et j'attends sa réponse.
J'ignore quand elle me répondra, ne sachant pas l'heure à laquelle elle consulte ses messages personnels.
Cependant, je lui donne à nouveau rendez-vous à dix-huit heures à la brasserie.
Quand je la vois arriver, je constate avec satisfaction qu'elle a ouvert le premier bouton de son chemisier. Je reste assis.
-- Bonjour! me dit-elle.
-- Montre-moi si tu respectes les règles données hier!
Je la fixe. Je sens son désarroi puis elle sourit. Bien plus sûre d'elle que la veille, elle retrousse sa jupe.
Elle est toujours en bas, je note ce point positif dans ma mémoire et elle finit par me montrer ce voile de dentelle rouge qui recouvre son intimité.
-- Tourne-toi!
Sans hésiter, elle me montre ses fesses rebondies, avec un peu de cellulite. La ficelle du string disparaît entre les deux globes pâles. Je tends la main pour palper et tester la fermeté de ce cul appétissant.
-- Tu peux t'asseoir!
-- Merci, monsieur! me répond-elle.
Nous discutons comme deux amis. Elle me parle de sa vie, de ses amours qui se limitent presque exclusivement à son mari.
Je lui promets de toujours respecter ses objections à condition qu'elle me les dise clairement.
Lorsque nous nous séparons, nos lèvres se frôlent furtivement.
***
Plusieurs jours se passent ainsi. Toujours le même rituel, elle me montre ce qu'elle porte sous sa jupe, je lui caresse la croupe et nous parlons.
Un soir, juste avant que nous nous quittions, je lui dis :
-- Sur ton emploi du temps, j'ai vu que demain tu commences à onze heures, je veux que demain matin nous retrouvons ici à neuf heures! Tu porteras une jupe longue! Compris?
Elle est troublée, elle ne sait pas comment réagir. Mais, elle finit par dire :
-- Oui Monsieur!
-- Bien! je dois y aller, j'ai un rendez-vous! A demain!
Elle repart songeuse. Une jupe longue? pour quoi faire? Pense-t-elle.
***
Le lendemain matin, ponctuelle comme toujours, elle se présente devant moi. Alors qu'elle commence à remonter sa jupe qui lui arrive aux cheville, je l'arrête.
-- Non! Ce ne serait pas assez discret. Je tiens à conserver ta réputation!
-- Pourquoi vouliez-vous me voir ce matin? me demande-t-elle intriguée.
-- Curieuse! Dois-je justifier mes désirs?
-- Non monsieur! Excusez-moi!
-- Bien! Mais, je vais te le dire!
Je le vois sourire, mais son sourire va-t-il rester après ce que je vais lui demander?
-- Je veux que tu me donnes ton string! Tu le retires ici où aux toilettes, mais je veux le voir sur la table quand tu auras fini ton café.
Je la regarde, elle reste figée et rougit. Elle tremble même un peu puis, sans dire un mot, elle se dirige vers les toilettes. Lorsqu'elle revient, je remarque que son poing droit est fermé, serré. Elle pose quelque chose sur la table, un petit bout de soie noire. C'est son string. Elle a obéi.
Je regarde le vêtement, je le laisse quelques instants à la vue de tous, en fait, la salle est presque vide et nous sommes dans un coin isolé de la salle. Je ne pense pas que quelqu'un se rende compte de ce qu'il y a sur la table.
Enfin! pense-t-elle en me voyant ramasser le string et le glisser dans ma poche.
-- Je te le rendrai ce soir pour que tu rentres chez toi avec!
Elle souffle soulagée.
Comme promis, le soir je le lui rend après lui avoir fait exprimer ses ressenti d'avoir été sans culotte devant ses élèves et collègues
Elle me raconte, confuse et honteuse que toute la journée elle sentait l'air frais lui chatouiller ses lèvres intimes. Elle en avait honte et pourtant elle en fut toute excitée aussi.