La Voie d'Isabelle : Ch. 03

Informations sur Récit
Isabelle se rend chez Monsieur.
1.9k mots
4.28
5.4k
3

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 04/24/2024
Créé 01/14/2023
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Premier Rendez-vous

Quelques jours plus tard, après qu'Isabelle eut passé avec succès les différentes épreuves que je lui ai imposées, je décide de passer à l'étape suivante de mon contrôle.

Ainsi à la fin d'une de nos rencontres quotidiennes, je lui dis :

— Samedi, je veux que tu viennes chez moi à quinze heures ! Prévois de rester jusqu'à dix-neuf heures !

Elle est étonnée et hésitante. Mais au bout de quelques secondes elle donne son accord.

— Pour que ton mari ne se doute de rien, tu n'auras qu'à lui dire que tu vas faire du shopping avec une amie ! Ou, toute autre excuse qui te semblerait appropriée !

***

Le samedi à quinze heures, Isabelle sonne au portail. Je l'ouvre à distance et le referme quand sa voiture est entrée. Avec les hautes haies denses et le portail en bois massif, personne ne peut voir qu'il y a un autre véhicule que le mien dans l'allée gravillonnée qui mène à ma maison.

Une vieille maison de pierre sur deux niveaux, elle est assez grande pour qu'une famille avec cinq enfants puisse y vivre, mais je l'occupe seul depuis quelques années.

J'accueille Isabelle, à la porte de la maison, en pantalon de toile et polo beige. Elle est radieuse, vêtue d'une jupe droite noire bien plus courte que celle qu'elle porte au quotidien, d'un chemisier blanc dont la transparence laisse voir un soutien-gorge de dentelle noire, à armature sûrement, vu la manière dont sa généreuse poitrine est projetée en avant dans le décolleté.

Je remarque aussi ses talons un peu plus hauts que d'habitude. Elle s'est apprêtée pour me plaire et j'apprécie ce geste.

Du fait de la hauteur de ses talons, nos yeux sont à la même hauteur. Son regard plonge dans mes yeux vert-gris. Elle se rapproche de moi, je sens son ventre contre le mien, depuis que j'ai arrêté le sport, j'ai pris un peu d'embonpoint, mais je suis encore loin du stade de certains hommes de mon âge dont le ventre ressemble à celui d'une femme enceinte.

— Entre !

Je la guide au salon ou j'ai préparé une bouteille de Ruinart dans un seau à glace et deux coupes. Je la vois qui regarde autour d'elle. Serait-elle inquiète, troublée, émue, excitée?

La décoration intérieure est simple, les meubles ne sont pas tous assortis et j'imagine que cela doit la changer de sa maison. Je me souviens des descriptions qu'elle m'avait faites de la sienne.

Alors qu'elle se prépare à s'asseoir, j'émets un petit raclement de gorge. Elle sursaute.

— N'as-tu pas oublié quelque chose?

Elle baisse les yeux et comme à la brasserie, elle remonte sa jupe. Elle a, là aussi, sorti le grand jeu. Elle me dévoile des bas, retenus par un porte jarretelle et un string de dentelle noire. Sans que je ne lui demande rien, elle se tourne et me montre ses fesses.

— Très bien ! lui dis-je. Tu es parfaite comme cela. Tu vas garder ta jupe retroussée ainsi, en t'asseyant.

Isabelle s'assied sur le canapé en cuir. A son frémissement, je pense qu'elle n'a pas l'habitude de poser ses fesses nues directement sur une chaise ou un fauteuil.

— Une nouvelle règle, quand tu seras en ma présence, tu devras toujours t'arranger pour que tes fesses soient directement en contact avec le siège.

— Oui monsieur, j'essaierai de ne pas oublier cet ordre.

Je sers nos deux coupes afin que nous puissions trinquer.

— A cet après-midi ! Qui n'est que la première d'une longue série?

Je guette sa réaction, mais son sourire prouve qu'elle est d'accord avec moi. Quand elle repose son verre, je la fixe. Je la sens troublée. S'attendait-elle à ce type d'accueil? Je ne veux pas qu'elle se pose trop de questions. Je lui demande alors :

— Sais-tu ce que j'attends de toi?

— Non monsieur !

Je la devine inquiète, mais sûrement excitée. La preuve, ce sont ses petits poils que je vois qui se hérissent sur ses avant-bras.

— J'attends que tu viennes entre mes cuisses et que tu me montres ce que tu sais faire avec ta bouche !

Elle se lève, se met à genoux devant moi et caresse mon entre-jambe. Elle doit sentir ma bosse car je bande. Elle ouvre ma braguette, fouille et sort mon sexe. Elle a un moment d'étonnement, elle le regarde. Elle découvre un sexe épais, d'une taille toute à fait honorable. Puis, elle le prend en main et le décalotte. Elle se penche et, avec sa langue, elle titille mon gland, qui commence à prendre du volume sous ses lèvres. Puis sans un mot, elle remet mon sexe dans mon slip, referme ma braguette et se relève.

Je ne dis rien, je ne veux pas la brusquer trop vite. Je lui souris, je lui propose alors de finir son verre et de visiter la maison. Sa jupe est toujours retroussée sur ses hanches. Je la fais passer devant moi dans l'escalier, ce qui me permet d'admirer son postérieur.

Je lui montre les chambres autrefois occupées par les enfants, désormais libres. Elle découvre celle que j'ai transformée en bureau où lors de mes moment d'inspiration, je viens écrire mes nouvelles, mon matériel photographique. Je la vois prendre le temps de lire les tranches des livres rangés dans ma bibliothèque, une bibliothèque éclectique ou la République de Platon côtoie un vieil San Antonio, sans compter les nombreuses bandes dessinées et romans de science-fiction.

Je lui indique où se trouvent les toilettes et la salle de bain. Je lui impose une nouvelle règle.

— Ici, quand tu fréquenteras ces lieux, je t'interdis de fermer la porte !

— Mais c'est indécent, je ne pourrai pas m'exposer ainsi mais je vais essayer si tel est votre désir.

Je finis la visite de l'étage par ma chambre. Je pense qu'elle est surprise en découvrant une chambre rangée dont le lit est fait, rien à voir avec le cliché de la chambre de célibataire ou vêtement sales et linge propre se mélangent dans un joyeux bordel. Au cours de la visite, je n'hésite pas à venir caresser ses fesses nues avec les mains, guettant ses réactions A chaque fois, elle frémit. Elle émet des petits gloussements et je sens la chair de poule sur ses fesses rebondies.

Nous redescendons et nous prenons le temps de visiter l'étage ou je vis, la cuisine, le salon, la salle à manger.

— Qu'y a-t-il derrière cette porte? me demande t elle

— La cave ! Je ne pense pas que cela t'intéresse ! Même si elle a son charme ! Une vieille cave voûtée avec sol en terre battue ! Idéale pour conserver le vin ou la nourriture ou... pour y enfermer quelqu'un ! dis-je en souriant.

Isabelle me félicite pour la maison qu'elle trouve belle, accueillante et très bien rangée. Elle me dit qu'elle s'y sent à l'aise. Je souris intérieurement car j'espère que cela lui donnera envie de revenir souvent.

Nous retournons au salon et nous reprenons une coupe. Isabelle est détendue, en confiance.

— Et si nous passions aux choses sérieuses ! dis-je souriant.

Je vois à son sourire qu'elle comprend de quelles choses je parle.

— Monte dans la chambre et prépare-toi ! Je mets le champagne au frais et je monte.

Je la regarde quitter la pièce et remuer sa croupe en montant les escaliers. Comme si elle me disait, elle est à toi, elle t'attend.

Je monte et je la vois debout au milieu de la chambre. Elle n'a gardé que ses sous-vêtements de dentelle et ses bas. Debout face à elle, je pose mes mains sur ses hanches, je sens sa peau douce, tiède. Ses bras entourent mes épaules. Je me penche pour l'embrasser. Nos lèvres se soudent, nos langues se tournent autour, nos salives se mélangent.

Doucement, mes mains glissent sur ses fesses fermes, totalement découvertes malgré le string. Je les masse, je la serre contre moi. Sa poitrine s'écrase contre mon torse.

Ses doigts agiles viennent déboutonner ma chemise dont elle écarte les pans. Elle caresse ma poitrine velue puis la couvre de baisers. Pendant que je finis de retirer ma chemise, ses mains s'activent sur ma ceinture et mon pantalon. Elle le fait glisser sur mes cuisses libérant mon sexe.

Sans hésiter, Isabelle me prend dans sa bouche, décidée à faire retrouver sa vigueur à ce membre qu'elle a salué avant la visite de la maison. Je la laisse faire quelque instant puis la relève pour l'allonger sur le lit.

Je me penche sur elle. Ma bouche se pose doucement sur sa poitrine que je viens de sortir de sa prison de dentelle. Pour la première fois, je vois ses seins nus, des seins denses, gonflés par le plaisir. J'aspire ses tétons épais qui commencent à pointer, puis je descends vers son ventre. J'embrasse son nombril et glissant encore plus bas, je plonge mon visage entre ses cuisses.

J'écarte la dentelle qui protège ton intimité toute lisse, afin de pouvoir glisser ma langue dans cette vallée déjà humide. Je respire son parfum et je parcours cette fente qui s'ouvre à moi. J'explore tous ses recoins secrets pour trouver le bouton d'amour que je tête et aspire. Il est petit mais dur. Je déguste ce jus qui inonde cette grotte chaude et humide.

Je l'entends gémir au-dessus de ma tête. Je me relève alors pour retirer le petit bout de tissu qui ne protège plus rien. Elle me facilite la tâche en soulevant ses fesses puis ses jambes.

Je reviens pour glisser mon sexe dans sa chatte affamée. J'entre profondément avant de commencer à aller et venir, en restant à l'écoute de ses gémissements. Mes mains remontent pour caresser ses seins et mes doigts jouent avec ses tétons. Elle a les bras en arrière comme pour m'offrir tout son corps. Mes lèvres embrassent sa peau partout où elle peut accéder. Je ressens ses frissons, j'entends ses petits cris.

Je me retire et je lui demande de se mettre sur le ventre sous lequel je glisse un oreiller. Ses fesses rondes sont très rebondies dans cette position. J'admire cette croupe offerte et je me demande quelle entrée je vais prendre.

Vais-je profiter de l'entrée des artistes ou prendre la porte principale? Je ne veux pas la brusquer ignorant si elle est une adepte de la sodomie. De toute manière, cela viendra un jour.

Je m'approche et je lui propose de me guider comme elle le désire.

Elle se met sur ses genoux, tends un bras en arrière, prend mon sexe et le positionne devant les lèvres de son vagin. J'ai compris. J'entre en elle, je m'agrippe à ses hanches. Je ne lui fais pas l'amour, je la baise. Je la bourre, je la pilonne. J'entre et sort de sa chatte très accueillante. Ses gémissements se transforment en cris de plus en plus fréquents, de plus en plus forts jusqu'à la jouissance. Elle crie son plaisir.

— Remplis moi ! Je veux ! Je veux !

Je finis par jouir et je remplis sa moule de sperme. Je me retire lentement. Je peux voir mon jus dégouliner de sa fente encore béante.

Nous prenons quelques minutes pour récupérer, en silence, enlacés. Elle a posé sa tête sur ma poitrine, ses doigts jouant avec mes poils pendant que je lui caresse le dos et les fesses tendrement. Je me lève et je la prends par la main pour l'accompagner sous la douche où je la savonne avant de la rincer.

Je lui demande de rester nue pour redescendre dans le salon où nous finissons la bouteille de champagne en mangeant quelques mignardises.

Je la raccompagne à sa voiture et regarde le portail se refermer derrière elle. Avant de nous séparer, nous avons échangé nos numéros de téléphone.

Ce fut rapide, bestial, même, mais il est clair qu'elle n'attendait que cela et moi, j'ai bien apprécié. Cela me change de mes amantes romantiques. Pourrais-je revenir à une relation classique?

Verdu
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Anonymous
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2 Commentaires
lecocqlecocqil y a environ 1 an

vivement la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Douce montée en puissance

Bravo

Rudy

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