La Prisonnière du Cartel Ch. 02

Informations sur Récit
Suite du chapitre 1
2.4k mots
4.33
8.3k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/23/2023
Créé 04/04/2023
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Je m'appelle Miguel et je suis Colombien. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté mon rôle dans la libération de Maria, qui avait été enlevé par les hommes d'un cartel et avait été sauvagement violée par ces derniers. Je vais maintenant vous confier un autre évènement particulièrement marquant de cette époque troublée, ou je naviguais entre le renseignement et mes contacts avec les criminels. J'étais considéré alors comme une sorte de médiateur.

Avec l'agent Owen, nous nous rendons à l'hôpital central de Bogota, ou se repose Maria. Elle est allongé dans sa chambre mais consciente, et sourit à Owen.

Owen : « Maria...comment vas tu? »

Maria : ' Je vais mieux, je reprends des forces. Ils sont gentils avec moi »

Maria me regarde avec méfiance.

Owen « Miguel m'a tout raconté. C'est lui qui t'a sauvé »

Maria, hésite, puis : « Oui...mais il m'a violé aussi.... »

Owen : « Je sais...mais il le fallait, pour donner le change a tes ravisseurs... »

Maria ( soupire) : « T'a t'il dit qu'il avait.... »

Owen : « Oui, le canon de son pistolet dans ta chatte... »

Moi : « Je devais me montrer le plus cruel possible et c'est avec ce pistolet, que je les ai tué »

Owen : « J'ai de nouveaux papiers pour toi. Tu vas changer d'identité et quitter la Colombie dès demain. Destination Texas.. »

Maria (heureuse) : « Merci Owen, tu as été si bon pour moi...je veux refaire ma vie, ne plus avoir besoin de coucher avec des hommes pour survivre, avoir un travail, et peut-être retrouver enfin l'amour... »

Owen : « Bien sur Maria...tu es si belle... »

Owen s'approche du visage de Maria et lui fait un baiser sur la bouche, puis se recule légèrement, se débraguette, et sort une queue a demi bandée qu'il approche des lèvres de Maria.

Maria, les larmes aux yeux : « Je n'ai pas envie, je ne veux plus tout cela, ça me dégoute.... »

Owen : « Allons, une dernière fois, ma puta chérie... »

A contre-coeur, Maria prend la verge de Owen dans sa bouche et le suce lentement.

Je me dirige vers la porte de la chambre et regarde a travers le hublot, afin que l'on soit tranquille.

Owen sourit d'aise et descend sa main vers la poitrine de Maria qui grimace.

Moi : « Ils lui ont travaillé les seins...vas -y mollo »

Owen acquiesce puis agrippe la tête de Maria. Il jouit dans sa bouche. Maria recrache et reprend son souffle.

A travers le hublot, j'aperçois l'infirmière Hilda, qui avait sucé le Colonel Machito dans l'ambulance et que j'avais violé. Baiser une mère de famille mariée et fidèle, a quelque chose de terriblement excitant.

Owen vient me rejoindre et me sourit.

Owen : « A ton tour, tu sais combien elle est bonne... »

Maria : « Non, pas encore, Owen!!! »

Owen : « Il t'a sauvé Maria... il a le droit lui aussi à un cadeau d'adieu... »

Je bande déjà fort et Maria, dégoutée, ouvre doucement la bouche. Je m'introduis.

Moi : « Allez, ma petite puta! »

Maria agit comme une automate. Je lui parle a voix douce pour que Owen ne m'entende pas.

Moi : « Je suis heureux de t'avoir sauvé des griffes de ces salauds. Mais comme tu étais excitante, allongée sur ce vieux matelas, recroquevillée sur toi même. Ton cul en était que plus excitant. Je suis sur que tu me suces en pensant a toutes celles que tu as du avaler....roule ta langue sur mon gland, voilà...j'ai adoré te baiser par derrière, et voir les bleus sur tes fesses, tes nichons étaient si sensibles...je suis désolé pour le pistolet dans ta chatte....en fait, c'est dans ton cul que j'aurais du faire une dizaine d'allers-retours »

Maria grimace davantage. Je me raidis, sort ma queue et inonde son visage de foutre.

Moi : « Adieu, jolie puta! »

Quand nous sortons de l'hôpital, les rues de Bogota sont bondées de monde. Il fait très chaud. Me faire sucer par cette superbe pute m'a détendu et mis de très bonne humeur. Je m'apprête a aller boire une téquila avec Owen, quand mon téléphone sonne et au bout du fil, le Colonel Machito me demande de venir d'urgence dans la résidence du gouverneur.

Celle-ci ressemble à un palais. Des hommes en arme me font passer les portiques. Le Colonel Machito m'attends sur le perron.

Machito (ennuyé) : « La fille du Gouverneur Salama a été enlevé il y a 24 heures. Le gouverneur vient de recevoir une cassette vidéo. Je lui ai demandé de nous attendre pour la visionner »

Je suis Machito dans de longs couloirs ou veillent des agents de sécurité.

J'arrive dans un vaste salon luxueux ou figure un large bureau et le drapeau de la Colombie.

Le Gouverneur Salama vient vers Machito. Ce dernier s'incline et j'en fait de même.

Machito : « Monsieur le Gouverneur, voici Miguel Ostente, notre spécialiste de la lutte contre les cartels »

Salama est un homme d'une soixante d'années et a l'air sévère même si ces traits sont fatigués. Il me serre la main.

Salama : « C'est la première fois que vous me parlez de cet homme, Colonel? »

Machito : « Oui, son existence est des plus secrètes, car il a des entrées partout et est le meilleur conseiller que nous pourrions avoir »

Salama acquiesce de la tête en soupirant.

Près du bureau se tient debout et anxieuse la femme du Gouverneur, Térésa, une femme d'une quarantaine d'années.

Salama : « Mon épouse Térésa »

Elle me fait un discret sourire. Cette femme est très belle et grande. Vêtue d'une robe d'été de couleur sable, et de longs cheveux noirs, un visage d'une grande beauté et maquillé avec discrétion. Térésa avait été Miss Colombie et avait épousé très jeune le gouverneur malgré la différence d'âge.

Un officier militaire se trouvait également la. Il salua d'un air martial Machito.

Salama : « Antonio, le fiancé de Camilla...ils doivent prochainement se marier »

Les journaux et les médias parlaient régulièrement de ce mariage entre la fille de Salama et un brillant officier. Une belle jeune fille cette Camilla, respirant le désir de vivre. Plus petite que sa mère, mais très bien proportionnée.

Machito (vers moi) : « Camilla a été enlevé hier matin a la sortie d'une galerie marchande. Elle a été forcée d'embarquer dans un fourgon noir. Ses deux gardes du corps n'on rien pu faire... »

Salama : (désolé) : « Elle ne voulait pas de gardes supplémentaires. Comme, je le regrette »

Térésa (reproche): « Tu lui as cédé... »

Salama : « Oui.. »

Le colonel Machito se dirige vers le magnétoscope et met la K7, sous les regards anxieux de Salama, Térésa et Antonio. Le bureau de Salama possède un écran géant.

On découvre le jeune visage de Camilla. Ses cheveux sont longs et noirs comme sa mère mais son visage présente un aspect juvénile, innocent avec une bouche charnue comma sa mère. Elle est ravissante.

Camilla ( peur) « Papa, maman, je vous aime, Antonio ,je t'aime...je dois vous lire un texte...(lit d'un ton inquiet)... Gouverneur Salama, nous avons enlevé votre fille car vous êtes en train de nuire à nos affaires, en voulant stopper nos livraisons de cocaïne vers les USA. Un transport très important partira demain soir de l'aéroport de Bogota, avec une cargaison jamais réalisée. Nous savons que vous avez été renseignés et que vous comptez intervenir. Mais vous n'en ferez rien si vous voulez récupérez votre fille en bonne santé....

La caméra s'élargit lentement et Camilla apparait progressivement. Elle est assise, les mains sont visiblement attachés derrière la chaise. Elle porte un soutien-gorge de couleur rose. Le cadre s'élargit encore. Les genoux et les cuisses nues de Camilla se tiennent écartés. Elle porte une petite culotte, rose également. Cette posture est profondément révoltante mais terriblement érotique aussi.. Sa taille est fine. Ses cuisses sont pleines. Salama, Thérésa et Antonio sont choqués.

Puis, un dos en treillis militaire apparait et un bras avec un couteau. Il tranche lentement le milieu du soutien-gorge qui tombe alors.

Thérésa : « Oh non!!!... »

On découvre deux seins juvéniles mais d'une belle forme et dressés. La poitrine de la jeune femme est très belle. Ses deux globes sont droits. Le cadre représente désormais Camilla, les seins offerts, les pieds sur les cotés attachés a une barre, obligeant l'écart des cuisses. Il ne reste que cette petite culotte, si dérisoire.

Le bout d'une longue baguette très fine vient se poser autour d'un sein de la jeune femme et tourne autour du téton. Camilla jette un regarde de coté puis continue...

Camilla : « Vous laisserez cette cargaison partir avec ses trois avions porteurs...sinon... (les larmes coulent sur les joues de la jeune femme) une dizaine d'hommes me violeront....ma bouche, ma chatte et mon petit trou du cul vierge... »

Le bout de la baguette descend sur la culotte et tourne sur le tissu.

Camilla : « Je serais prise dans toutes les positions et je serais fouettée. (la baguette remonte vers un nichon et tapote doucement près d'un téton)...mes seins subiront un traitement sévère, le foutre inondera ma bouche, ma chatte, mon cul. Je serais défoncée pendant plusieurs heures... Mon viol sera filmé. La K7 sera diffusé partout dans le monde... »

La K7 s'arrêta et un numéro de téléphone apparait sur l'écran.

Salama, Antonio, Térésa sont effondrés. Antonio serre les poings. Thérésa pleure. Salama essaye de se contenir.

De mon coté, je remarque une bosse chez Machito au niveau du sexe. Il me jette un coup d'oeil et observe la même chose chez moi.

Salama se tourna vers Machito et celui-ci vers-moi.

Moi : « Puis-je revoir un extrait, je suis désolé. Un détail m'a interpellé »

Je retourne au moment ou le soutien gorge de la petite est coupé et fait un arrêt sur image.

Moi : « C'est que je pensais;.. »

Machito : « Quoi donc? »

Moi : « Regardez ce dos et juste là, c'est le début d'une poitrine. C'est une femme qui tenait le couteau.

Térésa : « Comment une femme peut faire cela à une autre femme? »

Moi : « Ce n'est pas une femme comme les autres Madame la Gouverneur...il s'agit de La Chiquita... »

Machito souffla.

Salama : « Qui est ce? »

Machito : « Une dangereuse criminelle se vendant au plus offrant. »

Moi : « Une spécialiste de la torture...surtout sexuelle. Elle aime former des prostituées...je ne peux pas vous en dire davantage sans vous choquer plus que cela..; »

Antonio : « Ces menaces sont elles réelles? »

Moi : « Oui... »

Antonio (hésitant) « Vont-ils la..... »

Moi (délicat) : « Non, elle sera vivante... mais après le viol qu'elle aura subi....par ailleurs, le chantage à l'image leur donne aussi un avantage »

Salama : « Quels monstres... pouvons-nous les tracer avec le numéro qu'ils nous ont donnés »

Machito : « Non, car c'est surement, un téléphone jetable »

Salama : « Colonel et Antonio, nous devons discuter....( se tournant vers moi)....merci de vos conseils. Pouvez-vous nous attendre dans le salon pour les hôtes. Ma femme va vous accompagner. »

Moi : « Bien sur Monsieur le Gouverneur! »

Térésa serre les mains de son époux et le regarde avec un regard suppliant, puis elle m'accompagne.

Nous nous retrouvons dans un salon cossu et Térésa me propose de boire un verre. Elle se sert aussi. Nous nous asseyons chacun au bout d'un confortable canapé.

Thérésa : « Je suis terriblement angoissé...(elle boit une gorgée)... »

Moi : ' Je sais Madame La Gouverneur et je vous comprends »

Thérésa : « Appelez-moi Thérésa, je vous en prie....rassurez-moi! »

Moi : « Je suis sur que votre mari prendra les bonnes décisions «

Thérésa : « Il faut tout faire pour que ce terrible viol n'ai pas lieu. Camilla est si délicate. Antonio est son premier homme...Comment des individus peuvent ils faire une chose pareille!!. Et cette femme la Chiquita? »

Moi : « Ces hommes couchent le plus souvent avec des prostitués ou violent des paysannes. Votre fille est comme ...pardonnez moi, une chair fraiche. La Chiquita est une rabatteuse. Elle force les filles a accepter de nombreux rapports »

Thérésa : « Mon Dieu, vous savez que je m'occupe d'un lieu d'accueil des femmes victimes de violence »

Moi : « Oui, je sais, et le peuple vous en est reconnaissant. Ce que vous faites est formidable »

Thérésa: « Je ne suis pas naïve. Si mon époux exécute ce qu'ils demandent, qu'est ce qui nous prouve qu'ils ne vont pas la violer tout de même?. Ces gens n'ont pas de parole! »

Moi : « Même avec un cartel, un accord est un accord....même si je dois vous dire que votre fille a un attrait physique qui fera hésiter ces hommes et la Chiquita »

Térésa : (se serre un deuxième verre) « Pourquoi ont-ils dit que ses seins auraient un traitement sévère?

Moi : « Et bien... »

Térésa : « Je vous en prie...ne me cachez rien »

Moi : « La Chiquita est appelé la Reine des trois régions : le vagin, l'anus et les seins. Elle aime utiliser des objets pour pénétrer vagin et anus. Elle le fait généralement avant ou après ou en même temps que le viol des sexes masculins. Concernant les seins, elle aime poser des pinces de toute sorte, les étirer, les fouetter, utiliser des aiguilles... »

Térésa : « C'est horrible. Cette femme est un monstre....

je suis prête a tout pour sauver ma fille.... Qu'ils me prennent moi! »

Moi : ' Pardon! »

Thérésa : « Oui, qu'ils échangent ma fille contre moi.... »

Je regarde Thérésa. Elle est resté une très belle femme. Sa peau est bronzée, son corps toujours ferme d'après les apparences. On dit qu'elle est devenue très pieuse et religieuse.

Térésa : « Pensez-vous qu'ils accepteraient? »

Moi : « Je ne sais pas et cela me surprend même si je comprends votre suggestion »

Térésa : « J'accepte de prendre ce risque...Je suis une femme (elle baisse la tête)...j'ai déjà vécu des choses terribles par le passé... »

Je la regarde avec interrogation.

Térésa : « J'ai le sentiment que je peux me confier à vous...c'est un secret que seul mon mari connait »

La suite au chapitre 3......

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12 Commentaires
Alexandre1965Alexandre1965il y a 12 moisAuteur

En fait, j'aime mettre ces descriptions entre parenthèses. Evidemment, ce n'est pas très littéraire mais , selon moi, plus direct.

Pour autant, je n'exclus pas de suivre tes recommandations pour d'autres textes.

Merci de ce retour !

trouchardtrouchardil y a 12 mois

Je vais me permettre d'insister. Le nom du personnage devant le texte est réservé aux pièces de théâtre et accompagné de didascalies c'est à dire une indication de jeu ou de scène, ce que tu ne fais pas.

Tu penses y gagner de la clarté, mais en fin de compte tu oublies les principales descriptions du dialogues. Comment peut-on savoir que ton texte est dit sur un ton furieux ou étonné ? Que le ton est coléreux ou enjoué ? Qu'il s'agit d'un murmure ou d'un cri ? Tu perds l'occasion de faire vivre ton dialogue avec des verbes et adjectifs faits pour cela et c'est dommage.

Ton texte serait refusé sur beaucoup de sites pour cette simple mise en page.

Alexandre1965Alexandre1965il y a 12 moisAuteur

Merci Trouchard pour ta remarque intéressante mais je préfère rappeler le prénom a chaque ligne de dialogue comme dans l'écriture de scénario. Je trouve cela d'une plus grande clarté.

AnonymousAnonymeil y a 12 mois

Bonne introduction que ces deux premiers chapitres ; ça donne envie de connaître la suite !

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