La Prisonnière du Cartel Ch. 03

Informations sur Récit
Suite du Chapitre 2.
4.7k mots
4.14
6.5k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/23/2023
Créé 04/04/2023
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Dans le chapitre 2, après avoir profité une dernière fois de la bouche de Maria, hospitalisée après son viol, j'avais été convoqué au palais du Gouverneur. La fille de ce dernier, Camilla, avait été enlevée la veille par un Cartel. Une cassette vidéo envoyée par les ravisseurs, a la fois érotique et révoltante, promettait un viol sauvage réalisé par plusieurs hommes, si le Gouverneur ne laissait pas partir des tonnes de Cocaïne vers les USA. Alors que le Gouverneur et le Colonel Machito s'entretiennent en privé de la stratégie a venir, la femme du Gouverneur et mère de Camilla, se confie à moi.

Térésa : « J'ai connu cet enfer que certains hommes font subir aux femmes. Je ne veux pas que la même chose arrive à Camilla.... »

Moi : « Vous avez été.... »

Camilla (gênée) : « Oui... »

Miguel : « Vous pouvez vous confier à moi »

Camilla : « Vous m'inspirez confiance....vous savez, je suis issue d'un milieu modeste Je viens de la ville de Siénola dans la province de Courasca....c'est là que l'on a remarqué ....ma beauté. J'ai fait mes premiers défilés a 16 ans. J'ai été élevé par ma mère, très croyante. A 18 ans, je me suis inscrite au concours régional des Miss. Si je le gagnais, je pouvais concourir a celui du National. C'était mon rêve.

Tous les Mercredis, j'allais a la capitale de la province, à Barichara,.. C'est une femme, Catalina, qui nous instruisait sur comment marcher, bouger sur une estrade, comment nous habiller. C'était une ancienne reine de beauté. Elle avait environ 40 ans. Elle était un peu sévère mais je pensais qu'elle nous aimait aussi. On était une vingtaine de filles a concourir. Tout le monde me disait que j'avais une vraie chance. Quelques jours avant le concours, on m'a fait venir sous prétexte d'une répétition générale. Je fus surprise a mon arrivée, car dans la sale, il n'y avait que moi et Catalina qui était assise au milieu de deux hommes, de plus de 5O ans. Ils ressemblaient à de bons bourgeois. Catalina m'expliqua qu'ils étaient des notables de la ville : un médecin, et un notaire. Ils feraient parti du jury et avaient entendu parler de moi. J'étais la grande favorite mais ils voulaient vérifier si j'étais prête pour le défilé. J'étais tellement naïve que je les ai cru et était fière de cet intérêt.

Catalina me fit défiler sur l'estrade. Je me souviens de ma jolie robe d'été que m'avait cousu ma mère, si fière de moi.

Térésa boit une gorgé d'alcool, puis souffle

Térésa : « Après tout s'est....

Miguel ( délicat) : « Que s'est-il passé? »

Térésa : « Catalina m'a demandé de me déshabiller et de me mettre nue...c'était important qu'ils voient comment je pouvais marcher sans rien si ce n'est mes chaussures à talons. J'ai protesté, en disant que je pouvais mettre la maillot de bain que j'avais apporté, qui servirait pour le défilé. Mais Catalina me répondit par la négative. Je me souviens encore de ces paroles « Obéis a partir de maintenant, sinon tu seras éliminée de ce concours et fini tes rêves....par contre, si tu es très gentille, tu gagneras ». Ma mère était mon premier soutien. Tout le monde croyait en moi dans ma petite ville. Je ne voulais décevoir personne. Je rêvais de devenir un jour Miss Colombie...j'ai obéi..et à partir de ce moment là, j'ai été traité comme un objet... »

Miguel : « Vous étiez vierge? »

Térésa : « Non, un de mes cousins m'avait dépucelé. C'était le seul qui m'avait touché et qui m'avait vu nue, avec ma mère...je n'avais fait l'amour qu'une seule fois »

Miguel : « Que s'est-il passé ensuite? »

Térésa : « Les deux hommes ne disaient rien mais ont sourit quand ils m'ont vue nue. J'ai voulu cacher mes seins et mon sexe mais Catalina m'en a empêché...j'ai du marcher sur l'estrade, faire des allers-retours comme si je défilais. Je sentais leur regard posé sur mes seins et mes fesses. Je me sentais humilié. Ils félicitaient Catalina. Je me souviens encore de leurs commentaires dégradants « regardez ces fessiers qui se balancent, ces seins magnifiques...la touffe noire de sa chatte qui doit bien garder un trésor » puis...(souffle), j'ai du descendre de l'estrade et prendre des poses honteuses.....

Miguel : « Quelles poses? »

Térésa : « Comme me mettre a quatre pattes et me cambrer, ouvrir mes jambes... Catalina dirigeait toujours et demandait aux hommes leur avis puis elle m'a pris par la main et ma amené vers les deux hommes aux regards excités. « Elle est a vous Messieurs, du premier choix! ». L'un des hommes ; « Merci Catalina, nous sommes très satisfaits de cet achat!'. Je compris alors que j'avais été vendu a ces hommes...et par une femme.... »

Moi: « Et ensuite? »

Térésa : « Ils m'ont violé...avec l'aide de cette sorcière... »

Moi : « Je sais que c'est difficile mais pouvez-vous m'en dire plus?, vous vous êtes débattue? »

Térésa : « Non...j'avais peur...je ne voulais pas causer d'ennuis. J'ai un tempérament plutôt doux. Je faisais confiance....ils m'ont entouré et poser les mains sur mon corps. Ils me pelotaient partout, comme si ils n'avaient jamais touchés une femme. J'étais pétrifié...puis ils m'ont allongé sur la grande table du jury. Catalina me tirait les mains en arrière. Les deux homme ont retirés leur pantalon et leur slips. Ils se masturbaient devant moi et l'un d'entre eux est venu poser son sexe devant ma bouche....je n'avais jamais fait cela...Catalina me donnait des ordres ainsi que l'homme. Il a tordu un de mes seins pourvue je lui obéisse. Catalina l'encourageait. J'ai fini par céder....l'autre homme a enfoncé des doigts dans mon sexe. Puis, ils mont violés...

Moi : « Cela a durer longtemps? »

Térésa : « J'avais perdu la notion du temps...mais a la fin...ils m'ont plaqué sur le ventre et l'un de mes agresseurs....m'a...sodomisé....j'ai eu si mal. L'autre homme et Catalina l'encourageaient a aller plus loin, plus profond ».

Moi : « Quelle terrible épreuve! »

Au récit de Térésa, ma queue était terriblement bandée et me faisait mal.

Térésa ; « Quand je suis rentrée, j'avais mal. Ma mère pensait que j'étais fatiguée et malade. Je ne voulais plus concourir mais tout le monde m'en parlait, m'encourageait....et je l'ai gagné; Ce qui m'ouvrit la porte du concours national, et vous connaissez la suite! »

Moi : « Vous avez revu vos violeurs? »

Térésa : « Oui, ils faisaient parti du jury. Après mon élection l'un d'entre eux m'a dit : « Tu vois, on a respecté notre marché! »....J'avais honte »

Moi : « Vous n'aviez pas le choix...vous avez bien agi »

Térésa : « Je ne sais pas....ma dauphine, qui était peut être plus jolie que moi, celle qui était arrivée deuxième, est venue me voir pour me dire qu'elle avait refuser de coucher pour avoir le titre. Elle me regardait avec suspicion et un certain mépris....je l'ai admirée puis j'ai appris quelques jours plus tard...qu'elle avait été retrouvée chez elle inconsciente, attachée a un lit. Elle avait subi de nombreux viols....voilà mon histoire »

Moi : « Votre époux la connait 'il? »

Térésa : « Oui, quand j'ai rencontré Aldo, il était beaucoup plus âgé que moi. Je venais d'être élue Miss Colombie et lui un politicien connu. Il a été merveilleux avec moi et il a surtout accepté....

Moi : « Quoi?

Teresa : « Camilla est l'enfant de ce viol.... Aldo l'a accepté comme sa fille. »

Moi : « Vous avez pu ...faire l'amour avec votre époux »

Térésa (hésite) : « Un peu puis normalement ensuite...mon mari n'est pas porté sur le sexe... surtout maintenant, il est âgé..... »

Moi : « Vous sentez-vous frustrée? »

Térésa : « Non, je suis très croyante comme l'était ma mère. Le sexe était plutôt une obligation. Je suis devenue chaste »

Moi : « Vous savez cet échange avec votre fille est peut-être de l'orde du possible, mais vous prenez un grand risque... »

Térésa : « J'ai déjà été violée...j'ai survécu »

Moi : « Ce ne seront pas deux hommes âgés qui vous brutaliseront mais une dizaine d'homme jeunes, avec de fortes érections, aidées par des pilules...et puis, vous êtes d'une grande beauté... »

Térésa : « Je n'ai plus 20 ans. J'ai pris du poids. Peut-être qu'ils auront moins envie »

Moi : « Détrompez-vous Térésa, tout au contraire, et puis La Chiquita est d'une grande perversité! »

Térésa : « Je suis prêt à prendre le risque Miguel...aidez-moi à convaincre mon mari et le Colonel Machito, je vous en prie. »

Je réfléchis puis finit par acquiescer.

Avant de retrouver le Gouverneur et Machito et Térésa, je prétexte le besoin d'aller aux toilettes, pour me masturber frénétiquement. Mon érection est incontrôlable. Je revois la petite Camilla, les seins nus, le suisses écartés, repense au viol qu'a subit Térésa et la sodomie encouragée par cette catalina. A peine ai-je fait quelques va et viens sur ma part que mon foutre se met à gicler sur la mosaïque précieuse des WC.

Pendant ce temps, l'infirmière Hilda (voir le chapitre 1), rend visite a Maria. Celle-ci, en chemise, est assise sur son lit et lui sourit.

Hilda : « Comment allez-vous Maria? »

Maria : « Bien, de mieux en mieux...je vous quitte demain...merci pour vos soins et votre attention »

Hilda viens s'asseoir a coté d'elle.

Hilda : « Et psychologiquement? »

Maria (hésite, puis) : « Je n'ai pas le choix....je dois avancer...J'attends beaucoup de ma nouvelle vie en Amérique. Ce rêve me maintient debout... »

Hilda : « Je suis sur que tout ce cauchemar sera un jour derrière vous et que vous allez vivre une nouvelle vie, avec de belles rencontres »

Maria : « Merci Hilda....(délicate)...et vous? »

Hilda ne comprends pas

Maria hésite puis

Maria : « J'étais inconsciente dans l'ambulance mais le viol de ce colonel m'a plus ou moins réveillé. Je sentais son sexe en moi faire des va et viens mais je ne pouvais me révolter. Je n'avais même plus mal, c'était comme mécanique...puis après, j'ai vu ce Miguel vous violer...vous l'avez...sucé et il vous a prise par derrière... »

Hilda, (gênée) : « Il m'avais laissé le choix...mon sexe ou mon anus...je n'ai jamais été sodomisée. Il a m'a pris par devant... »

Maria : «...Puis j'ai senti votre langue sur mon sexe.... »

Hilda se décompose

Hilda (les larmes aux yeux) : « Je...je.. »

Maria lui prend la main

Maria ; ' Ce n'est rien....je ne vous en veux absolument pas...il vous forçait...et puis, votre langue était douce par rapport a tout ce que j'avais subi, elle était très agréable, tendre... »

Hilda : « Jamais, je ne l'avais fait...je suis désolée »

Maria : « Ne soyez pas désolé...je sens tellement de bonté et d'amour en vous...les hommes peuvent être des monstres...il va falloir que vous aussi, vous oubliez ce viol »

Hilda : « Oui...(hésite)...mais il ne fut pas le premier... »

Maria regarde Hilda avec intensité.

Maria : « Racontez-moi... »

Hilda : « Je n'ai pas envie... »

Maria : « Hilda, je sens que tu as besoin de parler, n'es ce pas?, je suis la seule qui puisse te comprendre »

Hilda baisse la tête puis

Hilda : « Je suis mariée avec un homme merveilleux, et que j'aime. Je ne l'ai jamais trompé. Nous avons une fille, qui a 16 ans désormais et qui est un ange. Je suis heureuse. J'aime mon métier... »

Maria : « Que s'est il passé?... »

Hilda soupire, puis : « C'était il y a 16 ans. Nous étions mariés depuis une année avec Emilio. Nous revenions en voiture ,avec notre bébé, d'une visite chez mes beaux parents dans la province d'Antoquia.. Nous étions heureux et chantions. C'était la nuit, et la route était déserte, quand une fourgonnette de la police militaire nous dépassa et nous demanda de nous arrêter. Trois hommes descendirent. J'ai vite remarqué qu'ils étaient ivres. Ils demandèrent les papiers du véhicule et l'un des policiers braqua sa torche sur le sein que ma fille tétait. C'était terriblement gênant. Mais avec Emilio, nous étions des plus coopératifs.

Les trois hommes finirent par se regrouper. L'un d'entre-eux pris la fourgonnette et la plaça devant notre voiture, a quelques mètres et feux allumés. Dans la voiture, nous étions comme aveuglés. »

Hilda s'interrompt

Hilda : « Je me souviens de tous les détails »

Maria prend les deux mains d'Hilda dans les siennes pour l'encourager

Hilda : « Ils m'ont dit de sortir de la voiture. Je ne comprenais pas pourquoi. J'ai donné ma fille à Emilio qui protestait. Quand je suis sorti, un des hommes m'a violemment poussé devant la voiture, a appuyé sur mes épaules pour que je me retrouve a genoux.....le cauchemar a alors commencé... »

Maria : « Que s'est il passé...? »

Hilda : « Un des hommes m'a tiré les bras en arrière et a posé son genou sur mon dos pour me faire cabrer. Celui de devant a déchiré ma robe et mon soutien-gorge. Ils rigolaient et mes seins les excitaient. Ils sont pourtant petits mais ils se sont amusés a les tirer. Celui-ci de devant m'a présenté son sexe et m'a obligé a le sucer...J'entendais et je voyais le visage d' Emilio éclairé par les phares. Il tenait notre fille dans ses bras. Le troisième policier était à coté de lui et était prêt à le frapper. Ça les excitait de voir mon mari impuissant.....j'ai du les sucer tous les trois...Ils aimaient s'enfoncer dans ma gorge, me donnaient des consignes... »

Maria : « Avec ta langue?... »

Hilda : « Oui... »

Maria : « Ma pauvre... »

Hilda : « Mais ils n'avaient pas joui....ils m'ont trainés alors sur le capot de la voiture qui était éclairé. Ils m'ont plaqué sur le ventre. Mes seins étaient écrasés. Les deux hommes me tenaient les bras de chaque coté. Le troisième a terminé de descendre ma robe et a arraché ma culotte. J'étais nue. Il fallait que j'écarte les pieds .Ils m'ont appuyés sur la nuque pour m'obliger à voir Emilio, qui pleurait et baissait la tête.. Ils m'ont prise chacun leur tour. J'ai beaucoup crié car leur va et viens étaient brutaux. Ils se moquaient de moi car la lumière des phares faisait que mes fesses étaient celles d'une blanche. Ils m'ont donné de fortes claques sur mes fesses. J'avais très peur qu'ils s'en prennent à Emilio.

Ils le menaçait de....

Maria (doucement) « Quoi? »

Hilda : « de le violer avec...une matraque...L'un d'entre eux a fini par jouir dans mon sexe. L'autre m'a mise sur le dos et relever les jambes, pendant que le dernier a exigé que je le suce en même temps et que j'avale son sperme, sinon ils allaient battre mon mari... et le sodomiser. Quand ils eurent fini, ils me laissèrent tomber du capot, en rigolant et partirent....j'entends encore leurs voix « Qu'elle était trop bonne! » »

Maria : « Mon Dieu.... Comment as tu pu vivre après ce traumatisme...'

Hilda : « Avec mon mari, on a décidé de ne plus en parler.... »

Maria : ' Et sexuellement?.. »

Hilda : « Il a fallu très longtemps pour qu'avec Emilio, il se passe quelque chose....j'ai d'abord utilisé ma main, puis finalement, plus tard ma bouche...pour qu'il ne soit pas frustré »

Hilda : « Tu es douée Hilda...j'ai senti tout ton talent avec tes mains quand tu m'as mis ces pommades cicatrisantes. Et tu sais, j'ai pas mal d'expérience avec des femmes. Jamais, je n'ai ressenti une langue aussi douce que la tienne... »

Hilda, gênée, finit par sourire timidement.

Maria :Tu as retrouvé du plaisir.?. »

Hilda: « Oui, grâce à mon mari...même dans la pénétration... »

Maria : « Tu as mouillé de nouveau? »

Hilda : « Oui....

Maria : « Et joui? »

Hilda : « Oui, mais depuis l'autre soir, dans l'ambulance, tout est revenu et je ne veux rien dire à mon mari »

Maria prend les mains de Hilda et les porte à sa poitrine.

Maria : « Je suis sure que nous allons devenir des amies, n'es ce pas? »

Hilda : « Oui, nous devons nous soutenir »
Maria vient poser doucement ses lèvres au bord de celles de Hilda qui gérée, finit par lui sourire.

Camilla est allongée sur un lit dans une petite chambre sobrement meublée. Des barreaux sont aux fenêtres. Elle regarde la télévision posée sur un meuble mais son esprit semble ailleurs. Elle sursaute et se redresse lorsque la porte s'ouvre. Une femme d'environ 35 ans apparait. Elle porte un tee-shirt blanc avec un pantalon militaire. Elle est petite avec une forte poitrine. Mais c'est son visage que l'on remarque d'abord. Il est de type Indien, avec une petite cicatrice sur la joue gauche. Sa peau est métisse et son regard est dur avec néanmoins un beau visage.

La Chiquita : « Je t'ai fait peur? »

Camilla ne réponds pas.

La Chiquita : « Es ce que tu as mangé? »

Camilla : « Oui... »

La Chiquita observe Camilla puis vient s'asseoir sur le lit auprès d'elle.

La Chiquita : « Cette chambre ne ressemble pas a ton palais, n'es ce pas? »

Camilla : « Ne me faites pas de mal, je vous en prie »

La Chiquita : « Cela va dépendre de ton père...mais cette vidéo était très réussie. Je pense qu'il a compris »

Camilla baisse la tête.

La Chiquita (sourit) : « Tu as besoin de te détendre...si tu prenais une douche? »

Camilla : « Je l'ai prise ce matin »

La Chiquita : « Prends en une autre, cela va te détendre »

Camilla : « Je n'ai pas envie »

La Chiquita prend un air dur puis « Prends une douche! »

Camilla acquiesce et attend.

La Chiquita : « Qu'attends-tu? »

Camilla : « Que vous.... »

La Chiquita (sourit) : « Je reste là....enlève ta chemise.. »

Camilla hésite puis enlève sa chemise. Sa poitrine est à l'air et est ravissante, avec deux globes équilibrés et d jolis tétons roses. Elle porte justement la petite culotte rose vue sur la vidéo. Elle l'enlève rapidement puis, par réflexe, porte les mains sur son sexe.

La Chiquita : « Quand tu es à poil, tu as l'habitude de cacher ta chatte?...mains derrière le dos »

Camilla s'exécute, gênée. Elle a une petite touffe a l'apparence soyeuse.

La Chiquita : « Pas mal...tu te rases souvent? »

Camilla : « heu... »

La Chiquita : « Réponds...

Camilla : « Chaque semaine... »

La Chiquita : « Bien...vas y maintenant...et pas la peine de fermer le verrou, il n'y en a pas »

Camilla rejoint la petite salle de bain. Il y a une simple douche, sans vitre. Camilla commence a faire couler l'eau chaude.

Pendant ce temps, la Chiquita tire de son pantalon une petite nuisette rouge vif, très courte et la pose sur le lit puis elle rejoint la salle de bain. Elle s'appuie contre le mur et observe Camilla nue sous la douche. Celle-ci s'arrête.

La Chiquita : « Continue...mets du savon...passe les mains sur ton corps....entre tes cuisses...tes seins, ton ventre »

Au bout de cinq minutes.

La Chiquita : « C'est bon...rince toi et sort »

Camilla sort de la douche trempée. La Chiquita s'approche d'elle avec une serviette.

La Chiquita : « Je vais te sécher ... »

Camilla, inquiète, se laisse faire.

La Chiquita : « Ecarte tes cuisses... »

La serviette n'oublie aucun des recoins de Camilla.

La Chiquita : « C'est bon, va t'habiller »

Camilla est surprise en voyant ce bout de tissu rouge posé sur le lit.

Camilla : « Je crois qu'il n'est pas à ma taille... »

La Chiquita : « Oh si... »

Camilla enfile la nuisette mais elle est si courte qu'elle se termine a la limite de ses cuisses et de son triangle d'amour. Elle comprime aussi légèrement les seins de jeune femme. Camilla est très excitante!!!.

La Chiquita est satisfaite.

La Chiquita : « Va sur le lit, met toi au bout, assis toi, plie les jambes et écarte... »

Camilla : « Mais.... »

La Chiquita : « Ecartes!!! »

Camille obéit et n'est pas rassurée. La Chiquita se déshabille. Elle enlève son tee-shirt. Apparait alors une poitrine importante légèrement tombée mais appétissante. Elle enlève son pantalon, puis un string noir. On découvre une chatte totalement rasée. La Chiquita est très musclée. Elle a deux tatouages, un au dessus du sein gauche ou est écrit « la chiquita ». L'autre, représente un crocodile entre sa chatte et son bas ventre.

Puis la Chiquita s'approche du lit et vient s'allonger auprès de Camilla, les cuisses toujours écartées. La Chiquita sourit et vient poser doucement une main sur son minou rasé. Elle se caresse lentement.

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