La Prisonnière du Cartel Ch. 01

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4
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/23/2023
Créé 04/04/2023
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Je m'appelle Miguel et je suis Colombien. J'ai travaillé pendant de longues années pour le renseignement dans la guerre contres les Narco-trafiquants, qui a ensanglanté mon pays pendant très longtemps. Et notamment, ce qui fut infligé aux femmes.

A l'époque, j'avais infiltré un gang important de Bogota. Mon activité était des plus dangereuse.

J'avais un contact avec un membre de la DEA, un policier Américain chargé lui aussi de la lutte contre les trafiquants. Il s'appelait Owen.

Owen avait comme indic, une jeune prostituée du non de Maria. Celle-ci vendait ses charmes pour des clients fortunés. Elle avait été invité à une fiesta qui réunissait plusieurs grands chefs trafiquants. Ces derniers allaient nouer une alliance, un cartel.

Plusieurs filles dont Maria étaient engagés pour satisfaire les appétits sexuels des participants après leur réunion. Une quinzaine de filles étaient présentes ce soir là, dans la grande salle de l'hôtel de luxe qui avait été réservée.

Les filles étaient superbes. Owen m'avait montré une photo de Maria. Un visage magnifique.

Hélas, Owen n'avait plus de nouvelles depuis 24 heures de la jeune femme, alors qu'elle devait le retrouver après la soirée. Owen lui avait demandé d'obtenir des informations d'un grand trafiquant appelé Juanito, un homme assez méfiant et cruel.

Dans ce genre de réunion, les filles arrivaient toutes ensemble. Elles étaient faiblement habillées. La musique battait fort et l'alcool rendaient les hommes très excités. Les filles se retrouvaient vite la poitrine nue, puis la chatte. Elles étaient doigtées, s'agenouillaient pour sucer, étaient aussi obligés de se gouinner.

Owen : « On sait que Maria et Juanito sont allés dans une chambre, et qu'ils ont baisés!. Mais ensuite, Maria est descendu avec deux hommes. Ils l'on emmenés dans une voiture. Je pense qu'ils l'on enlevé »

Moi : « Tu crois qu'il l'a découvert? »

Owen : « J'ai dit à Maria qu'elle aurait son visa pour les USA. Elle a du prendre trop de risques »

Je réfléchis un moment, puis

Moi : « Je connais quelqu'un qui doit savoir ou elle a été emmené, un soldat de Juanito »

Nous avons mis la main sur l'individu et c'est vrai, nous l'avons forcé à dire ou elle avait été emmené, puis pour protéger ma couverture, il a eu droit à une balle dans la tête. C'était une guerre sans merci, sans lois.

J'arrivais près d'un immeuble dans un quartier pauvre. J'avais demandé à Owen d'intervenir avec des policiers Colombiens mais de me laisser un peu moins d'une heure.

Je connaissais l'homme qui gardait la porte. J'étais considéré comme quelqu'un de connu. Je montais à l'étage et tombait sur cinq hommes attablés à une table. Ils buvaient et jouer aux cartes. L'un deux me reconnut et me sourit, me pris dans ses bras.

Lui : ' Tu viens pour la pute? »

Moi : « Oui, bien sur, ou est elle?

Il ouvrit un paravent de tissu. Au fond d'une pièce mal éclairée, un corps nu. Maria était recroquevillée en chien de fusil sur un matelas.

Lui : « Juanito nous a dit de bien nous amuser avec elle. Ensuite, il m'a demandé de bien l'amoché pour qu'elle nous dise pour qui elle travaille. Il pense que c'est une indic. Elle a posé trop de questions »

Moi : « Bien, tu me la laisses un peu. Que j'en profite!. Elle est bonne? »

Lui : « Carrément! »

Un autre : « On l'a tous bien baissé crois- moi. Au début, on avait tellement envie de se vider les couilles, comme on est cinq! »

Lui : « On a été obligé de s'organiser, un dans sa bouche, un dans dans la chatte, un dans son cul »

Un autre (rigole) : « On a failli se battre. Moi, je me suis vider dans sa gueule de salope »

Lui ; « Elle a bien crié la puta. Pourtant, elle est habituée »

L'autre : « Pas avec cinq mecs. On est tous vidés. »

Lui : ' « Vas y mon ami, profite! »

Moi : « Et après! »

Les hommes rigolent.

Lui me montre un couteau

Lui : « de beaux dessins sur son corps de salope »

Je me mis à sourire et acquiescer.

J'avançais dans la pièce. Les hommes avaient laissé le paravent ouvert.

Lui : « défonce là! »

Je fis un signe avec le pouce levé.

Je m'agenouilla devant Maria. Elle était sur un matelas a même le sol. Elle était consciente. Son visage me regardait.

Maria d' une voix douce « Pitié! »

Je passa ma main dans ses cheveux et m'approcha de ses lèvres et lui dit que j'étais là pour la sauver. Les policiers allaient arriver mais qu'en attendant, je devait donner le change.

Maria avait un corps magnifique. Son fessier, ses cuisses. Je ne voyais qu'un sein pour le moment mais me mis à le peloter.

Maria sanglotait

Je baissa mon pantalon et sorti ma queue, l'approcha de sa bouche. Elle me regarda tristement.

Moi (fort pour qu'on m'entende) : « Suce Salope!!! »

Un des hommes me dit : « Si elle est pas gentille, j'arrive avec mon ceinturon, comme tout a l'heure »

Maria avala ma queue qui bandait déjà fort, surtout quand je passa ma main sur sa hanche, descend vers ses fesses. Une partie était presque bleue.

Moi : « Vous l'avez tapé sur les fesses? »

Lui : « Oh que oui, sur les cuisses aussi. Je lui aussi mordu les nichons. Mais il t'en reste t'inquiètes » (Il rigola)

Maria me suçait d'une manière automatique mais sa bouche était merveilleuse. J'en voulais plus.

Je quitta sa bouche et mis Maria sur le dos. La petite avait mal. Les traces de bleus étaient visibles. Maria était superbe. Ses seins fermes, sa peau cuivrée, et une chatte presque entièrement rasée.

Lui : « Alors? »

Moi : « Quelle bombasse »

Je ne tarda pas a m'allonger sur Maria en introduisant ma queue raide dans sa chatte.

Maria : « Non, s'il te plait! »

A l'oreille, je me laissa aller à lui dire

Moi : « Ils seront bientôt là!. »

Maria : « Fais vite je t'en prie. Ils m'on tous violé! »

Moi : « Je sais ma chérie »

Je donnais de grands coups puis m'enfonçait en elle lentement.

Moi : « Comme tu es excitante. Ils ont du se régaler. Ta bouche, ton cul, ta chatte. Qu'es ce que tu as préféré ma salope?. Tu auras ton visa, mais avant, je veux en profiter aussi puta. »

Maria : « Non arrêtes »

Je me retira, retourna Maria et la mit an levrette, puis repris ma baise. Les hommes m'encourageaient.

Maria cria lorsque je me mis à lui frapper les fesses, lui tirer les seins, puis les cheveux.

Je n'en puis plus puis un grand jet de foutre éclata au fond de sa chatte

Je me mis à grogner, satisfait et souriant vers les hommes qui me rejoignirent.

Maria avait repris sa position recroquevillée et pleurait, devant des hommes hilares.

Lui : « bon, maintenant, je vais la décorer »

Les autres : « On veut tous voir ça «

Moi : « Génial, j'ai un petit jeu avant »

Je sortis alors un pistolet de mon veston, regarda les hommes en souriant.

Moi : ' Mettez là sur le dos, écartez lui les cuisses et tenez là bien! »

Un homme de chaque coté lui tient alors chacun un bras et une jambe. Maria se trouve alors écartelé

Maria : « Noonnn, je vous en prie »

Moi, vers l'homme au couteau « Relève lui la tête, qu'elle assiste au spectacle ».

Je dirigea alors doucement le canon de mon pistolet vers la chatte martyrisée de Maria, devant des hommes excités. Puis je l'enfonça doucement dans la pute.

Lui : « Il est chargé? »

Moi : « Bien sur! »

Maria criait et pleurait.

Un des hommes lui mordillait les seins, imité ensuite par un autre.

Lui : « Quand j'en aurais fini avec elle, tu la butera dans la chatte? »

Moi : « Bonne idée, regardez comme ça rentre bien! »

Lui : « Moi c'est mon couteau qui va rentrez dans sa chatte de salope

Les aller-retour du pistolet dans sa chatte allaient de plus en plus vite. Puis j'entendis a l'extérieur des camions s'arrêter. Je sortis le pistolet du trou d'amour, et tira une balle dans la tête de chacun des cinq hommes, qui s'écroulèrent.

Les policiers débarquaient, arme à la main. Je couvrais Maria d'un drap, puis la portait à l'extérieur.

L'histoire aurait pu s'arrêter là pour Maria, mais....

Maria venait d'être pris en charge dans un Camion ambulance. Une infirmière s'occupait d'elle.

Le Colonel Machito, chef de la police, viens me féliciter alors que je terminais ma cigarette.

Ils monte avec moi dans l'ambulance, qui est prête à partir. Maria est allongée, inconsciente. On lui a donné un sédatif.

Machito : « Comment vas elle? »

L'infirmière : « Elle est très choquée mais physiquement, cela aurait pu être pire »

Moi : « Ils l'ont violé pendant des heures »

Machito tira le drap qui la recouvrait. L'infirmière est choquée mais n'ose pas intervenir.

Machito vers l'infirmière : « Vous l'avez examiner, dites moi! »

L'infirmière : « Son vagin est irrité, son anus aussi. Elle a du subir de nombreuses pénétrations »

Maria était si belle, même avec ses traces de bleus. Machito pris un pied, le souleva et le posa pour qu'elle soit bien écarté.

Machito : « Elle est vraiment très belle »

Machito baisse sa braguette et sort une queue imposante puis se tourne vers l'infirmière.

Machito : « Elle dort mais vous, vous pouvez utiliser votre bouche »
L'infirmière : « Mais.... »

Machito : « Voulez-vous conserver votre place? »

L'infirmière avait les larmes aux yeux. C'était une petite brune, bien moins jolie que Maria, mais on sentait un petit corps bien proportionné.

Elle s'agenouilla, pris le sexe de Machito dans la main.

Machito : « Dans ta bouche, et sans les mains »

L'infirmière sanglotait doucement mais avala le sexe du militaire.

Machito : « Applique toi! »

Pendant qu'il se faisait sucer, il se mit a caresser le corps de Maria.

Machito : « Ce sont de beaux salauds Miguel. Ils n'ont eu que ce qu'ils méritent.... Mais ils ont bien joui avant... »

Moi : ' Oui, mon Colonel....Il ont pris son cul, sa chatte, sa bouche. Des doublettes, et sans doute à trois. Ils l'ont frappé avec un ceinturon. Regardez son fessier! »

Machito : « Vous l'avez baisé Miguel? »

Moi : ' Bien sur mon Colonel. D'abord en missionnaire. J'ai pu lui expliquer qu'elle allait être sauvé. Avant, elle m'avait sucé. Puis en levrette, très violemment »

Machito se retira de la bouche de l'infirmière qui regagna sa place auprès de Maria, les mains sur le visage. Machito tira les jambes de Maria, lui leva les pieds sur ses épaules, et entre sa queue dans la chatte de la puta.

Machito : « Mon Dieu, quel bonheur! »

Maria grognait dans son sommeil.

L'infirmière : « Arrêtez s'il vous plait, vous lui faites mal »

Mais Machito la besognait fort.

Machito : « Quels sont ses traces sur le seins? »

Moi : « Il les ont mordus! »

Machito se pencha sur la suppliciée, lui lécha un sein, puis le mordit.

On entendit maria gémir et après de violents coups dans la chatte de Maria, Machito se mit a jouir.

Machito : « Prends ca, putaaa! »

Puis Machito me fit un large sourit, remit son pantalon. IL dit à l'infirmière.

Machito : « Je compte sur vous pour qu'elle soit bien soignée »

Machito me fit un salut et me laissa seul avec l'infirmière.

Elle remit le drap sur Maria, non sans avoir nettoyé le sperme qui s'écoulait entre ses cuisses.

Moi : « comment t'appelles tu?

Elle : « Hilda... »

Moi : « Combien de de temps pour arriver à l'hôpital? »

L'ambulance démarrait

Hilda : « 30 minutes »

Moi : « C'est largement suffisant....déshabillage toi! »

Hilda : « Oh non s'il vous plait....je suis marié »

Moi : « Je veux te voir nue, dépêches toi....tu vois ce pistolet?...je l'ai enfoncé tout à l'heure dans la chatte de la puta. Tu veux la même chose? »

Hilda : « Non par pitié...je ferais tout ce que vous voulez. »

Hildad déboutonna sa blouse, enleva son pantalon. Elle était petite avec de petits seins, un petit cul. Rien à voir avec Maria. »

Moi : « Ton slip, dépêches toi! »

Apparue alors une petite touffe noire, différente de Maria qui était était rasée.

J'étais assis sur la banquette. Je baissais mon pantalon et lui demandait de me sucer. La petite avait de l'expérience.

Moi : « Tu fais ça bien! »

Je devinais qu'elle voulait en finir vite et pourtant.

Moi : « Relève toi! Et penche toi sur le brancard! »

Je venais d'enlever le drap qui couvrait Maria. Je poussais Hilda et la courbait au dessus du corps de Maria.

Hilda : « Non, c'est pas bien! »

Hilda était penché sur le ventre de Maria. La petite croupe de Hilda n'attendant que ma bite et le tableau était des plus pervers.

Moi : « Je te laisse le choix...la chatte ou ton cul »

Hilda : « Par pitié, pas...les fesses! »

Moi : « Bien, goutons ta chatte »

J'étais tellement dur quand j'entrais facilement. Hilda sanglotait. J'en profitait pour peloter la poitrine de Maria puis, très excité.

Moi : « Tu aimes?... »

Elle ne répondait pas pas

Moi : « c'est mieux qu'avec ton pédé de mari, non?...dis moi que tu aimes! »

Je lui tirais les cheveux.

Hilda se résolu : « Oui, j'aime ça!!!! »

Moi : « Cette pauvre Maria a beaucoup souffert. Que des bites d'hommes...si tu lui faisais une douceur? »

Je pris la tête de Hilda et l'obligea a poser ses lèvres sur la chatte de Maria.

Hilda : « Non, pas ça!!!! »

Moi : « Je peux être très méchant tu sais . Suce sa chatte!!! »

Hilda finit par se pencher sur la chatte de Maria, pendant que je la besognais. Elle ne pouvait faire semblant car mon angle de vue me permettait de voir si sa langue faisait son travail. La scène était des plus excitantes.

Moi : « As tu déjà léché une femme? »

Hilda (dégoûté) : « Non... »

Moi: « Continue!, tu fais ça très bien!. Je suis sur qu'elle doit apprécier dans son sommeil. Une langue dans son minou. Tu es infirmière. Tu dois faire du bien. Enfonce ta langue. Ecarte lui les lèvres... »

On entendit Maria gémir. Je me mis alors a inonder le fond du con d'Hilda, qui de débattait, sans doute par crainte d'être enceinte.

Je finis par me retirer, fourbu.

Hilda se redressa lentement, et pleurait. Elle s'habilla et n'osait pas regarder Maria dont les cuisses étaient écartés.

L'ambulance arriva à l'hôpital. Je fis un sourire à Hilda.

Moi : ' N'oublies pas de la couvrir...et de la câliner! »

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2 Commentaires
Alexandre1965Alexandre1965il y a environ 1 anAuteur

Votre remarque est des plus justes. Je vous remercie.

Dans le deuxième texte, je n'emploierais que le présent de l'indicatif.

Beaucoup plus simple !

trouchardtrouchardil y a environ 1 an

Faut absolument revoir les conjugaisons, surtout le passé simple, c'est une catastrophe. Les accords sont aussi à réviser.

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