La Pimbêche -- 02

BÊTA PUBLIQUE

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-- Je vais pas accepter de faire la pute... juste pour ça !

-- Tu réagis à chaud... Mais reste un peu dans la cave, ça te rafraîchira. Je reviendrai lorsque tu auras pesé le pour et le contre.

-- Mais c'est tout pesé ! »

Julien referma la porte du sous-sol derrière lui, et Aline entendit la clef tourner dans la serrure.

***

Si Béatrice avait éloigné Aline en l'envoyant rejoindre les garçons ce n'était pas par hasard ; elle avait vu des phares de voiture s'approcher de la maison et elle devinait que la conductrice n'était nul autre que la mère de l'ex-pucelle. Elle avait déjà intégré cette nouvelle variable à l'équation, mais pour que le plan se déroule sans accroc, elle devait à tout prix éviter que la mère et la fille ne se croisent. C'est pourquoi elle avait demandé à Julien de se charger de la sale petite pimbêche le temps qu'elle s'occupe de la mère.

Quand elle entendit sonner, elle vérifia qu'Aline avait quitté le séjour pour ouvrir.

Dans le jardin, la maman sonnait à la porte et elle n'eut pas longtemps à attendre avant que Béatrice ne s'empresse de lui ouvrir. Celle-ci avait déjà répété son texte et déclara d'une voix assurée :

« Caroline, je ne vous attendais pas de si bonne heure. Mais c'est toujours un plaisir de vous voir... »

Caroline ne souriait pas le moins du monde. Elle connaissait Béatrice pour l'avoir reçue en conseil de discipline et elle ne lui inspirait rien de bon.

« Je suis Madame Houiller, Béatrice, pas Caroline. Ce n'est pas parce que nous ne sommes plus au lycée que tu dois me manquer de respect. Et je viens chercher ma fille, elle rentre à la maison.

-- Oh... Mais j'ai bien peur qu'elle ne soit occupée pour le moment. Ce serait mieux que vous reveniez dans une... non, disons deux bonnes heures.

-- Elle est occupée ? à quoi ?

-- Ce serait compliqué à expliquer. »

La maman poussa Béatrice hors du cadre de la porte et entra. Elle regarda dans les diverses pièces et avertit Béatrice : « Il y a beaucoup d'alcool ici, beaucoup plus qu'il est normal. Et... »

Elle vit deux lycéens en train de fumer un joint.

« Béatrice, je n'ai jamais placé beaucoup d'espoir en toi, mais tu réussis quand même à me décevoir. Tu as été exclu pour fumer de la marijuana, et je vois qu'on en consomme chez toi. Sache que dès demain tes parents seront mis courant et lundi tu passeras au bureau du directeur. Visiblement une exclusion de deux semaines n'était pas suffisante pour que tu saisisses la gravité de consommer de la drogue. Je demanderais à ce que tu accomplisses des mesures de responsabilisation, les vingt heures maximales. Ce mois-ci tu passeras tes soirées à nettoyer le lycée. Moins de fêtes et plus de travail, voilà ce qu'il te faut. »

Béatrice ne répondit pas. Mais il était facile de constater qu'elle bouillonnait de colère. Elle n'avait jamais aimé la proviseur adjointe et sa rage s'accroissait contre elle. Cette salope venait dans sa maison pour l'insulter et lui faire la morale... Mais bientôt cette rombière arrêterait de la sermonner et de la menacer. Bientôt ce serait elle qui devrait écouter et recevrait quelques leçons de vie.

Caroline continua à circuler dans la maison en criant « Aline ! », mais celle-ci, au sous-sol et avec la musique du séjour qui dépassait les 100 décibels, elle n'avait aucune chance de l'entendre.

Au bout de cinq minutes, la maman, inquiète de ne pas voir sa fille, apostropha Béatrice : « Dis-moi où elle est, tout de suite !

-- Je ne pense pas que vous voulez la voir en ce moment, mais elle est à l'étage.

-- Mais si je veux la voir ! »

Caroline se précipita dans les escaliers criant le nom de sa fille. Un groupe de garçon s'agglutinait devant une porte fermée, elle demanda à l'un d'eux :

« Aline, elle est où ?

-- Ben... c'est pas elle dans la chambre ? »

De derrière la porte, elle entendait des bruits de jouissance très fort. Comme si les personnes dedans copulaient et ne craignaient pas qu'on les entende.

« Comment ça, dans la chambre ? Qu'est-ce qu'elle fait ?

-- Je crois que vous l'entendez, non ?

-- Il faut les arrêter !

-- Ben non, au contraire, on attend notre tour.

-- LAISSEZ-MOI PASSER ! »

La mère d'Aline tenta de forcer le passage vers la porte, mais sans succès ; les joueurs de foot qui gardaient l'entrée étaient infiniment plus musclés et puissants que la mère de famille, elle fut repoussée sans difficulté. Cependant, dans l'agitation, un des garçons donna un coup de coude à la porte qui s'entrouvrit. Madame Houiller vit alors son pire cauchemar devenir réalité. Sa fille était baisée.

Aline était prise en levrette par un grand type. Elle ne pouvait voir le visage de sa fille qui poussait des cris de jouissance, mais elle reconnaissait les vêtements qu'elle portait en quittant la maison.

« Aline ta maman est là ! Arrête ! »

Mais pour toute réponse, elle obtint des hurlements de jouissance des « Ho ! » et des « Ha ! » qui redoublèrent d'intensité. L'extase de sa fille était si fort que sa voix en semblait déformée. Alors que Caroline luttait contre les garçons, Béatrice arriva à l'étage.

« Qu'est-ce que c'est que tout ce tapage !

-- Il faut arrêter ça immédiatement !

-- J'ai l'impression que vous n'aimez pas trop ce qu'on lui fait à cette fille.

-- Vous n'avez pas le droit de lui faire ça.

-- Le droit ? Mais c'est elle qui réclame, toujours plus. Une assoiffée de queue...

-- Qu'est-ce que vous lui avez fait ? Vous l'avez drogué, c'est ça !?

-- Elle est bien active pour une droguée... Allez, ne faites pas comme si vous ignorez que c'est une salope. »

Caroline ne put se retenir. Elle cracha à la gueule de Béatrice. Celle-ci grimaça. Elle en avait vraiment marre que les membres de la famille Houiller la prennent de haut, et maintenant lui crachent dessus.

« Très bien, je comptais être sympa. Mais c'est décidé, je vais demander à tous les mecs de la soirée de lui passer dessus. Et dans tous les trous.

-- Non !!!

-- Et si vous ne me croyez pas quand je dis que votre fille est une salope, regardez ça... »

Elle sortit son téléphone pour montrer le clip vidéo ou Aline portait le chapeau "salope de la soirée" écartait les jambes pour montrer qu'elle ne portait pas de culotte et avait la chatte bien rasée.

« Vous voyez, comment votre fille se comporte quand vous n'êtes pas là ?

-- J'arrive pas à y croire.

-- En tout cas, vous pouvez repartir, je vous téléphonerai demain matin si vous voulez récupérer ce sac à foutre.

-- Non ! Pitié ! Tu veux de l'argent, c'est ça ?

-- Non, sinon j'aurais fait payer l'entrée à la chambre... Et là, cette salope est gratuite à baiser.

-- Mais...

-- Je tiens au standing de mes soirées, et avoir une grosse pute à faire baiser ça ajoute de l'attrait.

-- Mais pourquoi Aline ? Pourquoi elle? C'est pour te venger c'est ça ! Espèce de conasse !

-- Tu délires la vioque. Aline veut simplement intégrer mon groupe de copine et se faire une réputation au lycée.

-- Arrête ça !

-- C'est impossible. Ou alors il me faudrait une autre salope... C'est plus dur à trouver qu'il n'y paraît...

-- Mais... Je peux chercher une pute dehors, ou une autre de vos amies peut se dévouer, non ?

-- Genre vous sous-entendez que mes amies c'est des putes, super... Je retiens... Cela dit je vois bien quelqu'un qui pourrait la remplacer facilement.

-- Qui ?!!

-- Vous, Madame Houiller, vous n'êtes plus de toute première fraîcheur. Mais je suis sûr que les mecs seraient ravis de farcir la chatte de la proviseur adjointe du lycée.

-- Quoi ! C'est impossible !

-- Je disais ça comme ça. Mais si vous préférez que la jeune fille dans cette chambre serve de paillasse à foutre, je le comprends parfaitement. Et pour être honnête, elle le mérite...

-- Non, attendez ! si j'accepte, ma fille...

-- Elle ne sera plus du tout baisée. On ne touchera plus à un seul de ces cheveux... Enfin, façon de parler... n'espérez pas la récupérer vierge non plus...

-- Alors oui.

-- Oui, quoi ?

-- Oui, je veux bien prendre la place de ma fille.

-- Félicitation, ce dévouement vous honore... même si entre nous... c'est surtout que ça vous branche de vous faire farcir par de grosses bites de dix-huit ans.

-- Je suis mariée !

-- C'est bien ce que je dis... Vous devez en avoir marre du train-train. Alors un bon petit gang-bang par mes amis, ça va vous rajeunir.

-- Relâchez ma fille immédiatement !

-- Du calme, elle pas du tout prisonnière. Vous par contre...

-- Moi ?

-- Oui, sans vouloir vous manquer de respect, Madame Houiller, rien ne dit que vous respecterez votre parole. Alors si vous le voulez bien, je vais vous menotter. »

Caroline présenta ses poignets alors que Béatrice avait du mal à cacher sa joie. Elle ligota les poignets de Caroline, puis ouvrit la porte. Elle tira la femme dans la chambre, alors que Caroline voyait sa fille se faire besogner. Béatrice avec l'aide de deux garçons allongèrent la proviseur adjointe sur le divan. La diabolique lycéenne avait déjà prévu des cadenas et des cordes pour entraver la mère de famille ; en moins de cinq minutes Madame Houiller ne pouvait plus bouger. Son corps était allongé le long du divan, ses chevilles bien écartées et garrottées aux pieds du divan, ses mains menottées furent attachées derrière le dossier.

Caroline ne prêtait que peu d'attention aux liens qui la ligotaient, s'occupant de crier à sa fille des exhortations telles que :

« Ça va aller Aline ! C'est bientôt fini ! »

« Ne t'en fais pas pour moi ! Et rentre à la maison tout de suite ! »

« Arrête immédiatement, t'as plus besoin de faire ça ! »

Lorsqu'elle fut bien attachée, Béatrice se présenta devant sa senior en allumant l'enregistrement de son smartphone :

« Madame Houiller, j'aurais une dernière demande à vous faire. J'ai peur que les garçons risquent de ne pas vouloir croire que vous les attendez pour vous faire baiser... et je ne veux pas qu'ils se sentent gênés. Alors j'apprécierais que vous les préveniez d'à quel point vous avez envie de passer une bonne soirée... Il ne faudrait pas qu'ils pensent qu'ils vous violent alors que c'est vous qui réclamez leurs queues... Alors pouvez-vous enregistrer un message montrant que vous acceptez d'être baisée ?

-- Très bien. Je suis d'accord pour baiser. C'est bon ?

-- Je voudrais quelque chose de plus convaincant... Mais prenez votre temps pour réfléchir à une meilleure formulation, d'ailleurs je crois que le type sur le lit est en train de la baiser depuis un peu trop longtemps, je vais le remplacer par un mec un plus frais. Peut-être Moussa, vous le connaissez ? C'est un grand noir, et il paraît qu'il a une queue énorme. Elle va sentir son cul se faire écarteler... »

Caroline regarda avec horreur Béatrice s'approcher de la porte, et avant qu'elle ne demande à ce que sa fille soit baisée par ce fameux Moussa, Caroline cria :

« C'est bon, je sais quoi dire. »

Béatrice se rapprocha. Et commença à enregistrer la vidéo.

« Bonjour, je suis Madame Houiller, et j'ai très envie de me faire baiser par tous les mecs de la soirée ! Venez en haut me niquer ! Je suis tellement excité, vous ne regretterez pas d'être venu tirer votre coup!»

Elle était parvenue à garder le sourire pour paraître convaincante malgré la terrible humiliation qu'elle ressentait et la crainte des conséquences désastreuses que pourrait avoir cette vidéo si elle était diffusée. En tout cas Béatrice avait l'œil pétillant de plaisir:

« Je crois que vous n'aurez plus rien d'intéressant à dire de la soirée, bâillonnez-là. »

Un des garçons enfonça une culotte rouge dans sa bouche. Béatrice précisa : « Si vous voulez savoir, c'est la culotte de votre fille, » puis un torchon bien serré s'assura qu'elle reste muselée.

Béatrice s'approcha alors des deux fornicateurs sur le lit :

« Vous deux, vous pouvez arrêter votre cinéma.

-- Du cinéma, Béatrice ? On baisait pour de vrai... C'est mon copain après tout. »

Caroline ouvrit de grands yeux. La fille se leva du lit... si elle portait bien les vêtements d'Aline et était blonde, son visage n'avait rien à voir. C'était une jeune femme aux traits grossiers et parlant avec des intonations vulgaires. Béatrice se tourna vers la mère de famille.

« Madame Houiller je vous présente Nolwen et Paul. Vous avez l'air surprise... Vous vous demandez peut-être pourquoi Nolwen porte les habits de votre fille ? C'est tout simple, Aline s'est fait renverser un coca dessus, alors j'ai voulu mettre ses vêtements à nettoyer. Mais Nolwen en était tellement fan qu'elle a voulu les essayer pour voir si ça lui allait... »

Béatrice pouvait voir que Madame Houiller tentait de crier sous son bâillon, la perverse jeune fille se régalait de l'impuissance de la femme qui lui avait craché dessus et avait contribué à son expulsion.

« J'espère que ça ne vous a pas induit en erreur... Mais je n'ai jamais dit que la fille couchant avec Paul était Aline. Ce serait vraiment bête de votre part de vous être engagée avant d'avoir vérifié, non ? En tout cas de mon côté, c'est un marché honnête... »

Caroline se démenait pour s'exprimer et s'extraire de ces liens, mais tout était trop verrouillé pour lui laisser une chance.

« Maintenant que Nolwen ne se fait plus baiser, c'est à vous de prendre la place d'honneur, ou plutôt, de déshonneur... D'ailleurs Nolwen, je suis sûre que tu voudras bien que Paul se tape Madame la salope, ce n'est pas tromper quand c'est avec une vieille peau comme elle. »

Béatrice exagérait, Madame Houiller avait à peine 40 ans et son physique était on ne peut plus attrayant. Si Aline avait de gros seins, c'était des tailles réduites par rapport à sa mère. Son visage était charmant, avec des traits de bourgeoise authentique qui donnaient envie aux pauvres de s'enrichir pour pouvoir se taper des nanas aussi canon. Et c'était sans compter tout l'attirail, les boucles d'oreilles élégantes et en vrai or, les lunettes lui donnant un air sévère, la coiffure à la Audrey Hepburn et un collier valant son poids de carats.

Elle portait également des habits valant une blinde, et c'était fort dommage, car Béatrice s'en approchait avec des ciseaux. Elle coupa sans ménagement dans le tissu. Quand elle eut fini de massacrer les vêtements, la jupe Dior avait été coupée en deux, ainsi que la culotte en soie. Le petit triangle de poils surmontant sa fente était très affriolant tout comme ses nylons noirs. En haut, les boutons du chemisier furent coupés, offrant une vue sur une magnifique poitrine à peine dissimulée par un soutien-gorge en dentelle rouge décorée de motifs végétaux.

« Madame aime bien s'habiller sexy, » apprécia Béatrice. « S'il n'y avait pas déjà une quantité d'impatients derrière la porte, je suçoterais bien ces délicieux tétons... comme quoi je ne suis pas rancunière, non?»

Béatrice sortit de la contemplation du splendide corps de la jeune mère et s'approcha de la porte.

« Marc, tu veux passer en premier ? »

Il s'engouffra dans la chambre, les yeux en feu. Il défit son pantalon avec précipitation et en quinze secondes, il avait déjà enfoncé sa queue dans la chatte bien entretenue de la proviseur adjointe. Béatrice regardait. Elle ne pouvait s'empêcher de se caresser, passant lentement sa main entre ses jambes.

« Vous savez madame Houiller, ça faisait longtemps que j'avais envie de vous envoyer vous faire foutre. Et vous savez quoi? C'est encore plus jouissif que je l'imaginais. Vous deviez voir votre tête... »

En effet, Caroline avait le visage pâle, elle comprenait qu'elle allait passer à la casserole un long moment à cause de cette garce de Béatrice, qu'elle était entrée dans son jeu comme une idiote. Elle aurait dû se méfier, elle savait que Béatrice était perverse, elle la soupçonnait même d'être lesbienne... Mais ses regrets d'avoir été floués n'étaient pas aussi sincères qu'elle le prétendait. Alors que Marc la baisait avec entrain, qu'une bite chaude et gonflée d'envie la pénétrait avec vigueur, elle se rappelait qu'elle n'avait pas fait l'amour avec son mari depuis presque un mois. C'est pourquoi, malgré la situation désastreuse où elle se trouvait, sa plus grande crainte n'était pas d'être renvoyée du lycée, mais que l'on devine qu'elle était en état de manque de sexe aggravé.

« Vous aimez Marc ? J'ai été gentille, ce n'est pas lui qui a la plus longue queue, certains garçons en ont de beaucoup plus grosses. Du moins c'est ce qu'on m'a dit... Mais comme ça vous démarrez votre carrière de sac à foutre en douceur. Maintenant Marc, c'est la première fois que je t'invite ici, alors ne me déçois pas, baise-moi cette salope à fond, fourre sa niche bien salement !

-- T'inquiète pas, je lui enfonce ma bite bien profond, elle la sent passer. Je vais lui chauffer la chatte jusqu'à la faire fumer.

-- C'est ça, Marc, nique-là comme une chienne. »

Les paroles de Marc n'étaient pas de la simple fanfaronnade. Il baisait comme une machine et Caroline avait du mal à rester stoïque. Le sexe avec son mari était mou et lent. Elle n'avait jamais imaginé qu'une bite d'un jeune de dix-huit ans pouvait se révéler si dure et si puissante.

« Le plus beau, c'est que grâce à vous, Madame Houiller, les gars vont me supplier pour être invités à mes soirées. D'ailleurs ce soir, certains puceaux vont se régaler. Oui, vous aurez le plaisir d'en déniaiser quelques-uns. C'est un honneur pour vous, dans quelques années ils ne se souviendront pas de vous comme de la proviseur adjointe méga chiante de leur lycée-prison, mais comme de la grosse pétasse en libre service. Et puis l'avantage pour vous, c'est qu'ils déchargeront vite. Ah au fait, j'espère que vous prenez la pilule ? À votre regard on dirait que non, parce qu'ils ne vont pas se priver pour larguer leur sperme dans votre chatte. Je me demande si Aline sera heureuse d'avoir un petit frère ou une petite sœur... Et ne m'accusez pas d'en être responsable. Moi, si j'avais pu, je leur en aurais fourni des capotes ; mais comme vous êtes opposée à ce qu'on installe des distributeurs de préservatif dans le lycée, j'ai pas pu en acheter. J'espère que vous ne regrettez pas vos décisions d'intégriste catho... Sans doute pas, je suis sûr que vous préférez être baisée au naturel...

Même si Caroline n'avait pas été bâillonnée, elle aurait fermé sa bouche. Les paroles de Béatrice la cinglaient comme un fouet. Elle s'était dévouée corps et âme pour que le lycée Jacques Necker soit considéré comme un exemple de rigueur et de morale, et voilà que son corps allait servir de terrain d'entraînement pour les puceaux. Alors que le chibre de Marc accélérait pour finir par déverser sa semence, Béatrice cria : « C'est ça ! décharge tout! vide-toi dans cette poubelle à foutre ! »

Une décharge de sperme inonda la chatte de Madame Houiller. En un instant Caroline prit conscience que son statut professionnel venait de passer de proviseur adjointe à vide-couille pour élèves. Sa seule consolation était que sa fille ne puisse pas constater son avilissement. Elle se demanda d'ailleurs pourquoi elle ne l'avait pas croisée dans la maison ; et elle espéra de tout cœur qu'elle s'était déjà enfuie de cet enfer et était sur le chemin de retour...

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5 Commentaires
VictorlepieuxVictorlepieuxil y a presque 2 ansAuteur

Non, mais t'as raison sur tous les points. C'est vrai que je développe pas trop la psychologie des personnages, disons que je trouve que ça risque d'être une perte de temps. Je pense pas être capable d'écrire des perso suffisamment intéressants pour que j'ennuie les lecteurs en m’appesantissant trop longtemps sur leurs états d'âme. Je préfère des péripéties plus rapides. Cela dit, j'ai peut-être été trop paresseux ces derniers temps. Je tâcherais d'y faire plus attention sur les prochains textes.

Un autre souci, c'est que j'étais parti au départ sur un récit faisant la part belle au chantage et au forçage, et puis entre temps, j'ai lu des textes de soumission qui m'ont beaucoup plus et qui ont m'ont sans doute un peu trop influencé, d'où des personnages qui ont probablement l'air de changer d'avis trop facilement.

Pour la fin de cette histoire, l'épilogue est en effet un pur bonus, pour éviter de finir trop brutalement. Mais je ne le trouve pas très intéressant non plus. Et puis comme tu le soulignes, mes personnages n'étaient pas assez développés pour allonger plus longtemps la sauce. Par ailleurs, c'était aussi un fantasme que j'avais en tête et que je voulais retranscrire. Une fois arrivé au bout, j'avais plus trop d'intérêt à poursuivre.

Merci beaucoup pour ton avis en tout cas.

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

J'aime bien l'histoire (j'ai déjà lu les 7 chapitres). Petite critique rapide de l'ensemble, vu que j'ai tout lu, mais surtout ne le prend surtout pas mal et continue à écrire. Comme pour la plupart des auteurs que j'ai lu (FR et EN) la psychologie et les réactions des personnages est souvent peu développée, manque de réalisme et de logique. Bon je sais bien que ce n'est peut être pas le plus important et qu'en général je suppose que ce que veulent les auteurs et lecteurs, c'est plutôt les mises en scène des personnages. Personnellement ça ne gâche pas mon plaisir de te lire (sache que tu es le seul auteur FR de lit que j'ai lu récemment) . Pour cette histoire en particulier, je vais ajouter que l'histoire se finit trop vite au 7e chapitre (c'est dommage mais peut être en avais tu assez de l'écrire). L'épilogue m'a semblé bâclé et trop convenu.

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Tout simplement excellent.

Rudy

AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Toujours aussi bon ! L'humiliation devrait réunir la mère et la fille et... Béatrice !

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