La Pimbêche -- 03

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Aline et sa maman échapperont-elles à une tournante ?
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2

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/17/2022
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Résumé :

Caroline Houiller est arrivée à la fête pour récupérer sa fille. Mais suite à une manigance de la rusée Béatrice elle se retrouve ligotée après avoir accepter de participer à un gang bang. Sa fille est à la cave, après avoir été humiliée toute la soirée, on lui a proposé d'intégrer son petit copain à l'équipe de foot, mais à une condition qu'elle serve de salope à l'équipe.

Chapitre 7) De dindon de la farce à dindon farci.

Au sous-sol Aline cogitait, inquiète à des histoires de tournante et de viol se passant dans les caves. Elle craignait le pire, heureusement quand Julien rouvrit, il était seul et il demanda immédiatement :

« Alors tu as choisi?

— C'est toujours non ! Hors de question que je serve pour un gangbang. Je ne suis pas une salope!

— Pourtant ne dit-on pas telle mère, telle fille?

— Et alors? Ma mère n'est certainement pas une traînée. »

Julien se retint de rire en sachant qu'au même moment la maman d'Aline se prenait bite sur bite.

« Comme tu veux, c'est dommage pour Maxime...

— Ça suffit! J'aime Maxime, mais c'est pas une raison. »

En remontant au rez-de-chaussée, elle était en colère. Elle en avait assez d'être humiliée, ne trouvant pas Maxime, elle téléphona à sa mère espérant qu'elle accepte de venir la chercher. Mais bizarrement, personne ne répondit...

Après avoir raccroché, elle remarqua qu'il manquait beaucoup des garçons, elle demanda à une des filles qui passait par là : « les membres de l'équipe de foot, ils sont où?

— Ils sont à l'étage, c'est la fête là-haut, tu peux y aller si tu veux. »

Aline avait un souvenir assez ambivalent de « là-haut », celui de s'être fait dépuceler par un noir qu'elle ne connaissait pas. Elle n'était pas très chaude pour monter. Elle attendit, espérant trouver Maxime et lui expliquer la situation. Mais au même moment Maxime n'était pas en train de la chercher, mais à l'étage, dans la chambre où se trouvait Madame Houiller. Lui aussi avait reçut la vidéo de Madame Houiller invitant tous les mecs de la soirée à venir se servir de leur queue pour lui offrir une distraction coquine.

« Bonjour Madame... Vous allez bien?

— Hum! Hum! »

C'était tout ce que Caroline parvenait à dire à travers son bâillon. Autrement elle aurait expliquer que sa situation ici était dû à une erreur. Que si elle avait accepter son rôle de déversoir à foutre, c'était dans le but de sauver sa fille.

« Si vous vouliez prendre du bon temps, vous auriez pu me le dire plus tôt vous savez. Je me serais fait un plaisir de vous donner un bon petit coup de queue quand je venais rendre visite à votre fille. »

Il avait baiser son pantalon, et commençait à se frotter la queue tout en la positionnant à l'entrée de la chatte de la proviseur adjointe.

« Je suis sûr que vous devez vous éclatez ce soir. J'ai toujours pensé que vous étiez une mal baisée, que votre mari devait avoir une petite bite. »

Pour une fois Caroline ne dit rien sous son bâillon. Elle ne pouvait pas lui donner tord, son mari la négligeait, et quand il se mettait à l'ouvrage en lui offrant une partie de jambe en l'air, cela durait peu de temps et était d'une monotonie affligeante. C'est pourquoi elle portait des bas et des dessous attrayant, depuis deux semaines elle espérait qu'en s'habillant de façon plus provocante et sexy, son mari se montre plus entreprenant et sauvage. Elle ne s'attendait pas à ce que ses habits déchirées soit pour le bénéfice d'une horde de jeunes adultes à l'appétit sexuel insatiable.

« Vous savez... Han! Je trouve que vous êtes limite plus belle que votre fille... Han! Mais je sais ce que vous pensez, c'est mal de ma part de la tromper... Han! Mais je la trompe pas vraiment, vu qu'on a jamais couché ensemble... Han! Et puis vous êtes mal placé pour me juger, hein, grosse salope... Han! Je suis sûr que votre mari, Gautier, n'est pas au courant que vous adorez les gangbang... Han! »

Caroline n'adorait pas les gangbang. Dans sa carrière elle avait déjà du gérer une affaire de cette sorte qui s'était déroulé dans le lycée. La fille en question, n'avait pas porté plainte, bien que Caroline l'est assurée de toute son aide. Mais non, celle-ci avait expliqué avoir participé volontaire à une baise à quatre. Bien sûr, Madame Houiller ne l'avait pas cru, comment était-il possible de vouloir participer de son plein gré à un ébat aussi bestial. Elle avait renvoyé les garçons, bien qu'ils protestassent de leur innocence. Elle n'avait tenu nul compte de leurs suppliques, satisfaite d'avoir rétablit l'ordre morale dans le lycée. Et elle avait aussi fait fuiter le nom de la fille qui avait été prise en gang bang, celle-ci se retrouva avec une réputation de salope durant tout le reste de sa scolarité. Elle espérait que ça lui servirait de leçon à elle et à toutes celles qui voudraient l'imiter en organiser des parties de jambes en l'air dans l'enceinte de l'établissement.

Maxime lui se concentrait sur sa tâche, baiser la mère de sa petite-amie et en la bourrant jusqu'à s'exploser les couilles. Il avait souvent fantasmer sur cette bourgeoise hautaine ; il aimait la voir se hérisser le poil quand il posait la main sur sa fille chérie. Il n'avait jamais pensé qu'il pourrait la baiser. Et pourtant le voilà en train de fourrer sa queue en elle. Il se rémémorait toutes les fois où il avait du supporter les monologues moralisateurs sur l'importance de bien se comporter, de se montrer sérieux et prudent.

Comme il était agréable qu'elle ferme enfin sa gueule, quand à ce qui était de se montrer prudent, il avait l'intention d'être tout le contraire, d'ailleurs voilà qu'il ne pouvait plus se retenir, même s'il aurait aimé continué à faire montre de sa domination sur la hautaine proviseur adjointe, il devait maintenant lui offrir son dû : il déversa sa crème blanche en elle. Son chibre pulsant en envoyant son sperme dans le délicieux gouffre. Après le dernier jet, il remit son slip et quitta la pièce, sur un méprisant :

« A plus, salope. »

Madame Houiller n'eut cependant pas longtemps à attendre avant qu'on lui tienne à nouveau compagnie. Le suivant à prendre place était Moussa. Caroline écarquilla les yeux, elle n'avait bien évidemment jamais été saillit par un noir ou arabe. Et en repassant dans sa tête les invités de la soirée, elle remarqua qu'il y en avait facilement quatre ou cinq de chaque races. Elle frémit. Et elle avala sa salive quand le pantalon du grand noir tomba révélant l'énorme dard turgescent.

Quand la bite entra en elle, elle ressentit un choc électrique. Ce n'était que le troisième jeune homme à lui passer dessus, mais c'était déjà la plus longue baise de sa vie.

***

En bas Aline commençait à s'inquiéter. Elle avait appelée trois fois sa mère, et trois fois elle était tombé sur la boite vocale. Maxime était toujours absent, et sa tenue était toujours aussi trouée. Elle se dit d'ailleurs qu'elle ne pouvait pas rentrer à la maison habillé ainsi, elle devait retrouver Béatrice. Elle devait se faire une raison, et se rendre à l'étage. Alors qu'elle montait l'escalier, elle croisa Maxime qui sifflotait.

« Maxime! Je veux rentrer.

— Euh... plus tard, là je vais prendre un verre.

— Et... je n'ai pas réussi à t'intégrer à l'équipe. J'ai tout tenté, mais si tu savais ce qu'ils m'ont demandée!

— Pas grave. »

Aline en resta comme deux ronds de flan. Après toutes les humiliations qu'elle avait subit pour obtenir gain de cause, voilà qu'il semblait s'en fiche. Qu'est-ce qui lui prenait?

« Mais... Tu m'as dis qu'il fallait que je réussisse ou bien

— Ou bien je te laisse tomber. Ouais, je te laisse tomber d'ailleurs.

— Mais qu'est-ce qui te prend?!

— Pour rentrer faudra que tu trouves quelqu'un d'autre. Mais je suis sûr que t'auras qu'à te comporter comme une salope pour trouver quelqu'un, t'as déjà les habits pour après tout.

— Que... »

Maxime n'écouta pas la réponse et descendit les escaliers. Aline était sous le choc, elle n'arrivait pas à croire qu'elle se faisait larguer... après tout ce qu'elle avait fait pour lui! C'était injuste, c'était parce qu'il l'avait invité à cette soirée qu'elle se retrouvait à porter une jupe de pute si courte et un tee-shirt troué au niveau des seins.

Elle arriva à l'étage les larmes au yeux. Et tomba sur Béatrice. Celle-ci sembla aussitôt pleine de compassion.

« ça va pas?

— Maxime m'a laissée tomber!

— Le salaud... Mais si tu veux mon avis il te méritait pas.

— Merci.

— Allez sèche tes larmes, tu vas retrouver quelqu'un j'en suis sûr.

— Oui... mais qu'est-ce qui se passe ici? Pourquoi il y a une file d'attente devant la porte?

— Oh, c'est... Je vais te dire la vérité. Il y a une salope dedans et elle a envie de se taper tous les mecs de la fête.

— C'est vrai? Qui ça? »

Aline se rappelait avoir vu toutes les filles du début de la soirée encore présente en bas.

« Je peux pas te le dire.

— Allez!

— Bon... c'est quelqu'un que tu connais bien. Et c'est tout ce que je peux dire.... De toute façon, sois patiente tu finiras bientôt pas le savoir. »

Aline retrouva de l'énergie, et ses sentit bien plus légère, comme si un poids avait été ôté de ses épaules. Elle avait conscience que c'était un peu malsain, mais de savoir qu'il y avait une vraie pute dans cette chambre prise en tournante par tous ces mecs... cela relativisait les humiliations qu'elle avait subit depuis le début de la soirée ; il y avait maintenant de pire qu'elle à cette fête.

« Écoute Aline, tu veux bien me rendre un service? demanda Béatrice.

— Euh... Peut-être.

— Je dois m'absenter un peu. Mais j'ai besoin de quelqu'un de sûr pour que personne ne triche dans la file. Alors c'est simple, dès qu'un mec sort, tu en fait entrer un autre. Tu peux faire ça?

— Oui! »

Même si Aline était encore en colère contre Béatrice pour toutes les sales tours qu'elle lui avait jouer, l'idée de pouvoir se rendre utile et de gendarmer une file d'attente lui plaisait beaucoup. Elle adorait quand un professeur lui demandait de surveiller la classe pendant qu'il s'absentait, et pouvoir exercer son autorité.

« Une dernière chose, j'aimerais que lorsque un des mecs entre, tu lui souhaite bonne chance et de pas hésiter à bien baiser la salope. Je tiens à ce que cette fête soit mémorable pour les garçons. Et quand ils sortent, demande leur ceux ce qu'il ont pensé de la salope, et de pas hésiter à revenir quand ils auront à nouveau la trique.

— D'accord! Pas de soucis.

— Et interdiction pour toi de regarder dans la chambre. C'est juste pour les mecs.

— Jurée, et tu sais bien que je déteste mentir. »

— Autre chose, c'est pas non plus gratuit. Tu prendras 10 euros par personnes.

— Euh... d'accord... mais c'est pas du proxénétisme?

— Pas du tout, c'est pour rembourser les frais de la soirée. Et je vais de dire, pour ton aide, tu peux prendre un euros pour chaque personne qui passe. Qu'est-ce que t'en dis?

Aline accepta sans se rendre compte qu'elle allait tout simplement prostitué sa maman.

Elle s'avança et se planta fièrement devant la porte. Elle entendit des bruits venant de derrière, mais était incapable de comprendre les paroles. Lorsque sortit un des mecs sortit, celui paru complètement ébahi de se retrouver devant Aline Houiller, la fille de la salope qu'il venait de baiser. Et lorsque celle-ci lui demanda :

« Alors qu'est-ce que tu as pensé de cette salope? »

Il passa trente secondes à bafouiller avant de répondre :

« C'est euh... ouais bah tu dois le savoir. J'aurais jamais pensée qu'elle accepte ce genre de délire, une vraie pute, hein? T'es pas d'accord?

— Si! Si! »

En effet, pour Aline il était impensable de servir de plat principal dans un gangbang sans être la pire des salopes et digne d'un mépris profond et viscéral. Après tout quand Julien lui avait proposer d'être le centre d'une tournante, elle avait refusé! Elle était digne, tandis que la fille derrière la porte devait être la dernière des catins... C'est pourquoi quand elle ouvrit la porte pour laisser passer le suivant elle précisa :

« Bonne baise, surtout n'hésite pas à bien la tringler, et à la fourrer, je veux que tu prennes ton pied et que cette pute en ait pour son compte. »

C'est le genre de conseil qu'elle prodigua à tous les mecs qui s'avancèrent dans le couloir, leur expliquant à quel point sa maman était la pire des salopes, ne méritait aucun respect et devait recevoir des coups de queues brutal et sans répit. Que s'il n'y pensait pas, ils avaient complétement le droit de l'enculer, car c'était sans doute une sacrée trou du cul. Quand deux mecs voulurent entrer en même temps pour profiter de sa chère maman, elle accepta sans problème, leur expliquant qu'une double pénétration était le rêve absolut de la petite catin qui se cachait dans la chambre.

En sortant les garçons se régalaient en racontant comment ils avaient baisé sa maman. Comment ils avaient rempli de foutre son utérus. Comment leur queue vigoureuse avait bêcher la chatte de la salope. Aline s'en cachait, mais elle raffolait de leur fanfaronnade, elle en mouillait presque sa culotte. Elle avait toujours eu un petit complexe de supériorité, et entendre parler de la dépravation d'une autre fille lui donnait de l'importance.

Dans la chambre Caroline avait perdu tout espoir d'arriver à faire comprendre le quiproquo qui l'avait laisser ligoter et les trous ouverts. Elle avait accepter qu'elle servirait de garage à bite pour le reste de la soirée. Cependant à chaque fois qu'un des jeunes entre dans la chambre, elle se sentait humilier de reconnaître un des élèves du lycée. Et cette honte atteignait son paroxysme quand elle voyait sur le visage du jeune homme qu'elle était reconnu. Bien sûr il avait vu la vidéo, mais c'était trop gros pour être vrai, peut-être un trucage... il y avait toujours une réaction de surprise quand ils comprenaient que la pute à libre disposition était vraiment la très sévère et très stricte directrice adjointe du Lycée.

Après la surprise, c'est toujours le sourire satisfait qui apparaîssait sur leur tronche. Car les amies de Béatrice étaient presque tous des élèves turbulent ayant dû passé dans le bureau de la directrice adjointe. Ils avaient reçut des leçons de morale, et avait dû s'excuser de leur mauvaise comportement avant d'être puni par des heures de colle.

L'idée que cette bourgeoise puritaine et imbuvable leur soit offert littéralement pieds et mains liée était comme un rêve devenu réalité. Ils s'approchaient d'elle, commençaient à tâter, pour s'assurer de la réalité de la chatte offerte. Aucun ne résistait à la narguer et elle devait subir des phrases telles que :

« Alors madame la directrice, on aime se taper ses élèves? »

« Cochonne, j'ai toujours su que t'étais une grosse pute. »

Et bien vite, les mecs passaient à l'action. Enfonçaient leur dard dans le Graal coulant de mouille.

Est-ce qu'ils pensaient que culbuter une bourgeoise de la haute société exigeait de la délicatesse?

Non, ils lui défonçait la chatte comme si c'était une prostitué qu'ils auraient payé dix euros.

Est-ce qu'il pensaient que se tape la directrice-adjointe de leur lycée requérait un respect?

Non, ils n'hésitaient pas à lui cracher dessus, à lui gifler la figure quand ils estimaient qu'elle les regardaient avec un peu trop de mépris.

Est-ce qu'ils se montraient respectueux car il s'agissait tout simplement d'une femme?

Non, ils prenaient un malin plaisir à tirer sur ses seins. Et s'ils ne pouvaient pas entendre ses cris derrière son bâillon, les larmes qui coulaient de ses yeux étaient une réponse suffisante pour qu'un bon nombre décharge leur jus avec une joie sadique.

Chapitre 8) Ma maman, métier : vide-couille.

Après plus d'une heure, Béatrice revint voir Aline. Elle avait apporté une coupe de champagne pour trinquer avec elle. Celle-ci accepta :

« À cette grosse salope! » rigolèrent-elles en cognant leur verre.

« T'as bien travaillé, et je crois que tout le monde est passé au moins une fois, » dit-elle alors qu'un mec sortait de la chambre. « Il est temps pour toi aussi de profiter du spectacle. »

Il y avait encore beaucoup de monde dans la file d'attente, il faut dire que la plupart des mecs désiraient avoir un rab de chatte de leur proviseur adjointe. Béatrice ouvrit la porte et Aline entra. Elle était excitée à l'idée de découvrir quelle fille pouvait être aussi salope. Baiser tous ces mecs sans s'arrêter, ce devait vraiment être la pire des souillons. Elle regarda la forme vautrée sur divan, ce qui attira d'abord son regard fut la chatte écartée et pleine de sperme. Quelle honte! Elle leva les yeux, et c'était curieux, mais si elle avait déjà vu ces vêtements, elle n'arrivait plus à mettre le doigt sur la fille qui les portait. Puis, elle s'attarda sur le visage, la femme était beaucoup plus âgée que ce à quoi elle s'attendait, elle avait plus de trente ans et elle ne se rappelait pas avoir vu cette femme à la soirée, et pourtant, oui elle la connaissait, c'était...

C'ÉTAIT SA MAMAN!!!!!

Elle regarda autour d'elle, sans comprendre, c'était une blague non? On la faisait marcher, c'était un sosie? Ou une poupée réaliste?

Mais plus elle l'observait moins elle avait de doute, c'était bien sa mère, la proviseur adjointe du lycée, Madame Caroline Houiller... Il y avait cependant une grosse différence par rapport à la maman qu'elle avait l'habitude de voir. Généralement Caroline se maquillait précisément, prenait soin de sa peau, et avait toujours les cheveux propres. La femme en face d'elle n'était rien de tout ça, sur son visage le maquillage avait coulé et s'était mélangé à une couche de sperme, le torchon dans sa bouche était baveux, et une grosse quantité de salive s'était accumulée entre ses seins. Ses cheveux étaient gluants d'une quantité de foutre abondante et ses vêtements étaient encore plus découpés que les siens. Mais le plus dégoûtant était la quantité faramineuse de crème blanche qui s'était accumulée dans ses trous. Elle débordait littéralement de semence, à tel point qu'une flaque de sperme s'était formée sur le parquet.

Qu'est-ce qu'elle faisait là? Pourquoi? Comment?

Béatrice jouissait de regarder sa pire ennemie prendre conscience de toutes les bites qui avaient défouraillé sa mère. Que c'était elle qui avait fait entrer les garçons pour que sa maman soit embrochée par plusieurs dizaines de grosses saucisses juteuses.

« Béatrice, qu'est ce que ça veut dire?

— Tu vois bien, ta maman s'est invitée à notre fête, et on a su la recevoir... Quand elle a vu tous les beaux mecs de la soirée, elle s'est dit que c'était une occasion à ne pas manquer. C'est peut-être la dernière fois qu'elle aura droit à autant de queues dans ces trous.

— Mais elle est mariée! Avec papa.

— Eh bien, avec tout le sperme qu'elle a dans la chatte elle pourra bientôt lui annoncer un heureux événement.

— Non!

— Y a bien une méthode pour empêcher ça...

— Une pilule, vite!

— Non, j'ai pas ça ici. Contrairement à toi et ta mère, je suis pas du genre à coucher avec le premier venu... Mais si tu te dépêches d'aspirer tout le sperme qui a été déposé dans sa chatte, tu pourras éviter que ta mère soit mise en cloque.

— Quoi? »

Béatrice poussa Aline vers sa maman.

« Tu as compris? Si tu veux éviter de te retrouver avec un petit frère dans neuf mois, je te conseille de tout gober rapidement. »

Aline était paniquée, Béatrice la poussait.

« C'est impossible, c'est de l'inceste! Je t'en prie, trouve autre chose... »

Malgré ses protestations, Béatrice venait de voir quelque chose de rare dans les mots d'Aline : de l'humilité. Pour une fois dans sa vie, elle prenait conscience de ne pas être le centre du monde. Et au contraire d'être à la botte de Béatrice.

« Aline, tu te rends compte que tu t'es comportée comme une salope tout au long de la soirée?

— Oui... »

Face à la vision de sa mère complètement gangbangée et fourrée, Aline se rendit compte que ce qui s'était passé cette nuit n'était pas un simple accident. La soumission à la lycéenne avait été progressive, mais elle ne pouvait contester que son asservissement était maintenant total. Cela avait démarré quand elle avait léché les pieds de Yasmina et avait ainsi perdu la bataille morale. Puis, elle s'était conduite comme une pute, et compromise de toutes les manières, elle avait conscience que Béatrice s'était montrée supérieure à elle en tout, l'avait menée par le bout du nez. Quatre heures plus tôt, elle aurait réagi en l'agressant, mais maintenant elle n'y pensait même plus. Tout ce qu'elle pouvait demander était sa pitié, qu'elle lui fasse une faveur.