La Petite Voleuse

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

De toute façon je n'ai plus beaucoup de temps, ça fait une bonne demi-heure que j'ai quitté le PC, il faut terminer. Je me relève, je détache ses poignets, je la force à s'appuyer sur la table, le cul offert, et je l'enfile d'une seule poussée qui lui arrache un long gémissement rauque. Je fais quelques vas et viens dans son petit fourreau serré de jeune fille et je ressors, un peu à contre cœur, pour présenter mon bélier à la porte de son petit trou plissé. Elle proteste pour la forme mais mets j'y mets du mien, poussant doucement et m'arrêtant dès que le gland a passé l'entrée pour la laisser s'habituer à l'intrus.

Je reprends mes vas et viens, très courts au débuts, puis plus profonds à mesure que je la sens se détendre et m'ouvrir son petit boyau. Juste avant de vider dans ses entrailles ma crème épaissie par deux semaines d'abstinence forcée, je dénoue son bâillon et, de ma main gauche empaumant sa joue, je tourne doucement son visage vers moi pour l'embrasser à pleine bouche. Sa bouche est aussi veloutée que sa peau, elle a le goût subtil et frais des fruits défendus.

Au moment où je jouis en elle, je la sens traversée par un déferlement de tremblements incontrôlés, qui lui font abandonner ma bouche et se recroqueviller, enserrant ses deux mains entre ses cuisses serrées, le visage tourné vers le sol, laissant échapper une sorte de tremblement vocal qui ne me trompe pas.

Moi aussi je suis vidé, comme elle j'ai le corps couvert d'un fin voile de transpiration. L'odeur qu'elle dégage elle, maintenant, est indescriptible, mélange de tiédeur, d'animalité fruitée et de féminité abandonnée. Qu'il est doux à mes narines ce parfum.

- Allez dépêche-toi, rhabille-toi.

Je lui tends la fin du paquet de lingettes que j'ai sorti pour elle de mon placard, que je referme en l'observant passer une lingette entre ses fesses, puis une autre en grimaçant sur ses orbes charnues, tuméfiées par la « petite punition ».

Elle s'habille ensuite tellement vite que j'ai juste le temps de passer devant elle et de lui faire signe que la voie est libre.

Quand elle passe à ma hauteur je chuchote :

- Que je ne t'y reprenne pas!

Sa seule réponse est un regard mi-frondeur, mi enjôleur.

Je ne l'ai jamais revue.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Malmenée Dans La Dépanneuse Voiture en panne en pleine campagne.
La Sophie Qui perd gagne.
Clémence, une jeune Aristo (01) Une prof est invitée à l’anniversaire d’une de ses élève.
Problèmes de Discipline 1/3 La mère de Tom va devoir régler les problèmes de son fils...
Réveil préhistorique Un homme préhistorique intact est retrouvé en Sibérie.
Plus d'histoires