La Petite Voleuse

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Une petite voleuse choisit entre petite punition et police.
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Je suis vigile dans un petit supermarché de la banlieue toulousaine. Ça fait bientôt 12 ans que je scrute les écrans de surveillance du PC de sécurité et le métier n'a plus beaucoup de secrets pour moi. Je dirais même qu'il m'arrive parfois de m'ennuyer un peu, surtout le mardi : tout le monde fait ses courses en fin de semaine, les caddies débordent et les caisses sont saturées, ou bien le lundi pour re-remplir les frigos. Et là le moins qu'on puisse dire c'est que l'on ne chôme pas.

D'ailleurs les repos sont interdits dans l'équipe ces jours là. Momo, Sébastien et moi, on alterne à la l'entrée principale, sur la sortie et en arrière caisses. Gérard notre boss se garde la meilleure place, au PC d'où il regarde négligemment les caméras qui défilent toutes les 15 secondes sur nos deux écrans de contrôle. Je dis négligemment mais en faits il a l'œil à tout, c'est impressionnant, et c'est lui qui m'a appris le métier. Il n'a pas son pareil pour discerner l'attitude suspecte de la mamie qui va glisser le flacon d'eau de toilette dans son sac à main ou du groupe de lycéens qui sèchent les cours pour préparer la teuf du week-end « gratuit pas cher ».

Heureusement, il y a aussi les mardis et les jeudis, et là c'est plus cool. Ce que je vais vous raconter maintenant s'est passé mardi dernier, et rien que de prendre la plume je ressens encore des petits picotements au creux de l'estomac et le sang qui me monte au visage.

Comme on a tous fait des heures sans compter pour la fin d'année, c'est comme ça tous les ans, Gérard, qui n'est pas vraiment un grand gestionnaire, a dû nous donner des récups pour essayer de revenir rapidement au respect de la législation sur le temps de travail. C'est pas qu'on est très à cheval là dessus Séb, Momo et moi mais bon, faut pas pousser quand même.

Et donc cette semaine le boss était en congé, Momo en repos mardi et jeudi, Séb et moi on se partageait le reste. Sauf que le premier appel que j'ai pris mardi matin avant l'ouverture, c'était Séb qui avait une voix d'outre tombe pour me dire qu'il ne pourrait pas venir, qu'il avait pris froid (d'après lui...) qu'il attendait le médecin, qu'il faisait le maximum pour reprendre au plus vite, etc... Bref j'avais un léger doute le connaissant, il a un peu tendance à s'écouter, mais en même temps il avait bien choisi son jour, j'aurais une bonne raison de passer le plus clair de mon temps confortablement installé au PC, devant mes écrans. Quand Séb m'aurait rappelé avec la durée de son arrêt, j'appellerais le boss qui ne manquerait pas de rappliquer, en attendant j'avais la paix.

Vers 10h j'aperçois parmi les rares clients qui franchissent l'entrée une jeune fille très brune, à la démarche mi-assurée mi-hésitante ; jolie fille ou je devrais plutôt dire jolie jeune femme. Elle a le visage d'une gamine et pourtant ses formes sont celles d'une femme, comme je ne tarde pas à en juger quand je la retrouve quelques écrans plus loin, de dos cette fois. Mon petit doigt (ou plutôt l'instinct du vigile que le boss m'a patiemment transmis LoL) me dit que je devrais ne plus la quitter des yeux, comme nous l'impose la loi avant d'interpeller un contrevenant. Au mieux tout à l'heure j'appellerai le service caisses pour qu'une caissière principale vienne assister au vidage de son sac à main et de ses poches (Aurélie fait ça très bien, je l'aime bien Aurélie, elle a toujours des tenues sexy sous sa tenue de travail). Au pire j'aurais passé un bon moment à observer ma Vénus callipyge attraper ses achats en se dressant sur la pointe des pieds ou en se penchant gracieusement.

Manège habituel dans ces cas là, elle fait un tour de magasin sans rien acheter mais en scrutant le bout de chaque allée qu'elle longe. Là je me dis «Toi ma cocotte, tu me prépares un coup, tu n'es pas venue chercher la baguette pour le déjeuner ». Effectivement, elle finit par quitter l'alimentaire pour entrer dans les allées textiles et ralentit le rythme de son pas en arrivant dans le rayon femme. Comme elle n'a pas de caddie elle empile t-shirts décolletés, petits hauts coquins et parures de lingeries sur son bras gauche, puis tranquillement se dirige vers la cabine d'essayage, sac à main en bandoulière sur l'épaule droite. Elle a bien observé les habitudes du magasin la bougresse ; elle a tellement de pièces à essayer que Viviane, à l'entrée de la cabine, lui demande d'en laisser plus de la moitié sur le comptoir pendant qu'elle essaie les six premiers articles.

De mon poste d'observation je ne vois malheureusement que le comptoir, mais quand Viviane s'absente quelques minutes pour remettre en rayon les retours qu'elle a triés, j'aperçois ma jolie petite brune qui se faufile jusqu'au comptoir pour soulever la pile qu'elle y a laissée et prélever plusieurs pièces : lingerie, leggings et petit haut à paillettes. Naturellement quand elle ressort et rend les articles essayés, ces trois là n'y sont pas et elle trouve un prétexte pour ne pas terminer l'essayage. Elle se dirige vers la sortie sans achats comme si elle était en retard pour aller chercher son petit frère à l'école et je me dis « Patrick tu n'as plus qu'à la cueillir, vas y fonce! ».

Je lui barre la route juste au moment où elle va s'engager dans la galerie :

- Bonjour mademoiselle, je vous prie de me suivre pour un contrôle s'il vous plait.

Son joli minois hâlé s'empourpre en une seconde et elle bredouille quelques mots d'une toute petite voix mal éclaircie.

- Mais je n'ai rien fait!

Pour un peu on entendrait presque les battements de son cœur tellement elle est tétanisée par l'émotion. D'ailleurs elle met deux secondes avant de m'emboiter le pas, mal assurée. Pendant un court instant j'ai même l'impression qu'elle titube, un peu paniquée. Mais elle obtempère et me suit au PC de sécurité.

- Mademoiselle j'ai observé votre petit manège et il ne fait aucun doute que vous vous êtes mise dans votre tort en volant des articles dans notre magasin. Très habile, mais c'était sans compter avec les caméras de surveillance.

Alors maintenant vous avez deux options, ou vous reconnaissez et j'appelle vos parents pour qu'ils viennent vous chercher, ou vous niez et là...

La perspective des parents alertés semble la mettre dans tous ses états, elle devient blême et parvient à peine à articuler :

- Je n'ai rien fait je vous jure, n'appelez pas mon père je vous en supplie.

- Mademoiselle vous me posez un dilemme, je vous ai vue, de mes yeux, voler dans le magasin et vous me suppliez de ne pas appeler vos parents. Soit dit en passant, c'est pas bien de mentir et de jurer dans la même phrase. Si j'étais votre père je vous ferais passer cette vilaine habitude, je vous le dit mademoiselle! Et j'irais pas par quatre chemins.

Alors j'ai une proposition à vous faire, ce sera à vous de choisir. Ok je n'appelle pas vos parents ; mais je vous laisse le choix entre la police, je n'ai qu'un geste à faire pour qu'ils déboulent ici, ou bien une petite punition que je vous administre moi-même maintenant. Alors réfléchissez bien avant de répondre. Après il sera trop tard.

Bien que son corps tétanisé par le mot « police » se soit un peu détendu à l'énoncé de la seconde option, elle parait encore hésiter pendant deux secondes puis elle me demande d'une petite voix douce et pas très assurée :

- C'est quoi une petite punition?

Là je sens que la partie est gagnée. J'ai changé d'avis, je n'appellerai pas Aurélie pour assister à la fouille cette fois-ci, et personne n'en saura rien.

- Et bien disons qu'une petite fessée bien méritée fera l'affaire, qu'en dite vous? Police ou fessée? Puisqu'on a dit que vos parents restent en dehors de tout ça. En même temps, la police je les connais, ils appellent systématiquement les parents pour qu'ils viennent chercher leur progéniture au commissariat. Alors?

Elle ne répond pas directement à ma question mais je devine que je vais abandonner le PC pendant une demi-heure minimum.

- Et la punition, ce serait où?

- Suivez moi, je connais un endroit tranquille où nous ne serons pas dérangés, ce sera notre petit secret.

Et elle m'emboite le pas, l'air vaincu, mais sans plus hésiter, presque soulagée.

Quand nous arrivons au vestiaire des hommes j'entre le premier pour m'assurer que nous sommes seuls et je ferme la porte à clé derrière elle. Le néon éclaire cette petite pièce quasi-aveugle d'une lumière blanche et froide. Au moins je ne vais pas manquer une seule miette du délicieux spectacle qui se prépare.

- Allez montre moi ce qu'il y a sous ton anorak, si tu as accepté de me suivre, c'est que tu sais pertinemment que tu n'es pas innocente ...

En baissant les yeux et en esquissant une petite grimace, elle descend doucement la fermeture éclair et le petit haut noir à paillette qui dépasse sous le col de son chemisier atteste de son larcin.

- Nous y voila! déboutonne ton chemisier maintenant et rends-moi tout de suite ce cache-cœur, petite voleuse...

Elle devient toute rouge et se mord les lèvres en déboutonnant fébrilement son chemisier. La fine musculature de ses épaules nues apparait, et je me prends déjà à rêver de la suite.

- Allez maintenant tout le reste, c'est-à-dire au moins des leggings et une parure en dentelle.

Encore un peu mal assurée elle passe le petit haut par-dessus sa tête et je vois apparaitre un très mignon soutien-gorge en dentelle bleu foncé qui tranche sur sa peau mate et veloutée. Ce n'est décidemment plus une gamine si j'en juge par la façon dont sa poitrine remplit le petit bout de tissus pigeonnant. De surcroit, le froid relatif qui règne dans la pièce, et sans doute aussi les émotions qui l'envahissent à la perspective de la « petite punition », font pointer à travers la dentelle ses petits seins fermes qui tiendraient tout juste dans chacune de mes mains calleuses.

- Tu es une petite voleuse mais ça ne t'empêche d'avoir du goût. Il te va à ravir ce soutien gorge!

Elle esquisse un sourire flatté, très vite remplacé par un masque austère quand j'assène :

- Allez le jean et les leggings maintenant, ensuite tu fais un tour sur toi-même que je vois si le shorty te va aussi bien que le haut.

Elle descend de ses jolies bottines noires qui lui donnaient facilement cinq centimètres de plus. Et là surprise! Non contente d'avoir passé des leggings sous le jean elle ajouté des bas et un porte-jarretelles à l'ensemble.

- Eh bien petite cochonne, il en a de la chance ton copain! tu comptais lui faire de l'effet ce week-end hein!? Allez approche toi je vais finir moi-même de récupérer ce que tu as volé.

Elle sursaute quand je pose ma main froide sur sa cuisse pour dégrafer la première jarretelle et fait mine de protester pour la forme. Je n'en ai cure et dégrafe la seconde derrière sa cuisse, décidément très douce au toucher du revers de ma main. En faisant glisser le premier bas je découvre la petite salamandre tatouée au dessus de sa cheville.

- Lève ta jambe que je le retire

Elle s'exécute d'un geste involontairement gracieux, et à ce moment mes narines sont taquinées par une fragrance que je connais. Je me relève pour passer le premier bas autour de sa tête comme un bâillon. Le second bas subit le même sort que le premier. Je me dis qu'on n'est jamais trop prudent, et que tout à l'heure elle ne sera plus forcément aussi maitresse des ses émotions. Tant pis pour les bas, ils finiront en démarque casse.

Puis je vérifie que mon odorat ne m'a pas trompé, je passe le bout des doigts doucement au creux de son entre-jambe, là où les culottes sont doublées et recueillent les jus dont suintent ces dames quand elles sont émues. Pas de doute, le tissus est humide et tiède, je porte mes doigts à mon visage, hummm ça promet!!

- Allez ma coquine approche toi du lavabo maintenant et regarde au mur.

Pendant ce temps j'ouvre mon casier et j'y prends trois morceaux de ficelle qui y trainent depuis des lustres. Je ne savais pas à quoi ils serviraient un jour, maintenant je sais.

- Penche-toi et joins tes mains près du robinet.

J'attache ses mains à la jointure du poignet, sans serrer, mais sans lui laisser l'espoir de se détacher en cours de route, puis je noue solidement l'ensemble au robinet.

- Maintenant recule les jambes en t'appuyant des avant- bras sur le lavabo.

Je joins le geste à la parole en passant la main sur son ventre pour l'obliger à reculer et je me colle à son petit cul pour qu'elle sente déjà quel effet elle me fait. Elle relève la tête et d'un geste qui se veut catégorique elle fait onduler ses longs cheveux noirs sur ses épaules. Dans le miroir, je vois passer un dernier regard vengeur dans ses beaux yeux noirs.

- Comment ça « non »? tu veux que j'appelle la police?

Elle baisse la tête et s'exécute péniblement, à petits pas contraints.

Elle me présente maintenant le plus joli petit cul qu'il m'ait jamais été donné de voir : dans le bas d'un dos cambré et musclé, deux belles grosses pommes qui dépassent à moitié du shorty, des hanches de femme et une paire de cuisses de Diane chasseresse, bronzées comme le bon pain. Quel régal pour les yeux... et pour les mains. Je passe mes pouces sur ses hanches et je fais glisser doucement le petit bout de tissus jusqu'à ses pieds, qu'elle lève l'un après l'autre sans qu'aucun mot soit échangé. Elle tente bien une ruade du deuxième pied mais je l'attrape fermement et le plaque à sa fesse en me collant à elle :

- Dis donc petite garce, on a passé un pacte tous les deux, alors maintenant tu te tiens à carreaux parce que sinon c'est plus d'une petite punition qu'il sera question, mais d'une grosse. J'ai quelques collègues qui seraient ravis de me donner un coup de main pour te corriger si tu fais encore mine de te rebeller contre la petite punition que, somme toute, tu as bien méritée. Compris?

Elle me fait de grands signes que « oui » avec la tête, les yeux écarquillés et le rouge aux joues, en marmonnant un vague « humm, humm ».

- Allez, si tu es bien sage, ce ne sera au pire qu'un mauvais moment à passer ; au mieux ça te fera un souvenir à partager plus tard avec ton amoureux quand vous aurez épuisés tous vos fantasmes. Ecarte un peu les jambes.

Je lui montre ce que je veux dire par « un peu » en tapotant de mon pied droit l'intérieur de chacun de ses pieds puis j'attache chaque cheville, l'une à la table où sont posées les chaussures de sécurités de la nouvelle dotation annuelle, et l'autre à l'unique barreau du petit soupirail. Puis j'attache ses chevilles entre elles, de la sorte ses pieds sont complètement immobilisés, au moins pour l'instant.

Allez, passons au soutien gorge maintenant. Je me relève. Elle a la tête penchée en avant et ses cheveux qui pendent masquent à moitié son visage. Elle ressemble comme ça à une jument qu'on va marquer au fer. Je caresse doucement sa nuque, en lui mordillant le lobe de son oreille, j'insinue la pointe de ma langue et je vois les frissons qui la parcourent de la tête aux pieds. S'il n'y avait pas un moteur qui tourne au ralenti dans la cour de réception voisine, je jurerais même que je l'ai entendue gémir doucement.

Et ce parfum entêtant, à la fois épicé et fruité qui monte à mes narines me fait accélérer. Je dégrafe rapidement son soutien-gorge qui va atterrir au bout de ses bras, sur le robinet. Et je passe ma main entre ses fesses en commençant dans sa fente humide et en remontant jusqu'à son petit trou plissé. J'appuie doucement mon pouce pour mesurer la résistance qu'elle offre à cette caresse qui fait tourner la tête à tant de femmes expérimentées. Je ne suis pas sûr qu'elle soit encore vierge de ce côté, on verra ça plus tard.

Je vais commencer par la chauffer un peu. Je passe le revers de mon index le long de sa colonne vertébrale en descendant de sa nuque, offerte maintenant que ses cheveux pendent devant elle ; je longe en l'effleurant la cambrure de ses reins jusqu'à sa fesse droite, que j'empoigne vigoureusement, ce qui a pour effet de décoller ses petites lèvres sans même que je les effleure. Elle trésaille de surprise puis se détend quand je reprends ma caresse sur sa fesse cette fois.

C'est le moment que je choisis pour lui asséner ma première claque sonore qui laisse sur sa peau la marque rougie de ma main.

- Alors petite garce, petite voleuse, tu vas payer maintenant! Tu ne peux plus reculer! Tu peux toujours gigoter ou essayer de crier, personne ne viendra te délivrer. C'est moi qui décide quand la punition est terminée. Tu vas la sentir passer, crois moi.

Après une caresse sur l'autre fesse, une seconde claque tombe, un peu plus forte que la première, la secouant toute entière ; tant bien que mal, dans la position inconfortable où elle se trouve, elle tente de tourner la tête vers moi, les yeux dilatés par l'angoisse de ce qui va suivre autant que par la douleur lancinante qui commence maintenant à irradier ses jolies fesses.

Mais ce n'est qu'un début, je viens enfin de trouver avec quoi je vais la châtier. Encore une rafale de cinq de chaque côté à main nue pour terminer l'apéritif, le plat de résistance n'a pas encore commencé.

Mais j'ai une petite idée avant de poursuivre. J'attrape le flacon de shampoing dans mon casier et j'en tartine le bout de mes deux doigts, que j'approche doucement de son anus qui se contracte dès la première sensation. La voila qui recommence à protester de la tête, révoltée par mon intrusion intime. J'appuie doucement le majeur, de suite rejoint par mon annulaire qui progresse doucement dans ses entrailles. Puis je ressors et je recommence. Aux soubresauts paniqués du début succède une sorte d'ondulation de son bassin, qui vient au devant de mes doigts à chaque poussée. Je m'immobilise, puis je me retire brusquement pour la claquer de plus belle, elle pousse un cri de surprise étouffé par son bâillon.

- Tu vas prendre froid, je vais te le réchauffer, ton petite cul de salope, tu vas voir!

Et je claque de plus belle en comptant à voix haute jusqu'à 20, en variant régulièrement le tempo pour qu'elle ne puisse pas anticiper les claques.

Je la laisse reprendre ses esprits deux minutes, le temps de retrouver la cravache que le maitre chien a oublié au mois de décembre, quand les réserves ressemblaient à la caverne d'Ali Baba. Champagne, foie gras, truffes et autres réjouissances, le directeur a fait appel à une société spécialisée, qui a bien-sûr embauché un intérimaire débutant...

Nous y voila ; je lui caresse les côtes du bout de l'objet, je soulève ses cheveux pour voir où elle en est ... ses larmes on séché, laissant des traces de mascara sur ses joues qui, elles sont toutes rouges. Je glisse mon autre main entre ses cuisses pour vérifier qu'elle n'a pas été insensible.

- Mais dis moi petite cochonne, tu es complètement trempées, on dirait que ça t'a plu. C'était pas ça notre pacte : tu devais prendre une bonne correction pour te passer l'envie de voler dans le magasin.

Je me lèche rapidement les doigts (ça me donne une envie foudroyante, tant pis on verra s'il reste un peu de temps tout à l'heure) et je me recule d'un pas pour bien viser le milieu du renflement de ce beau fessier décidément adorable.

La cravache siffle dans l'air et s'abat en travers de ses deux fesses avec un bruit tout nouveau pour moi... et pour elle. Elle sursaute bien-sûr mais je l'entends aussi ahaner à chaque coup qui laisse une trace. A la première minuscule gouttelette de sang, je m'arrête, sûr qu'elle a eu son compte.

Mais je n'en ai pas encore fini, elle m'a décidément échauffé les sangs la bougresse. Je détache ses chevilles et je la détache du robinet, et dès que j'aperçois ses yeux je devine qu'elle non plus n'est finalement pas arrivée à bon port. Qu'à cela ne tienne, je me colle derrière elle tout en libérant mon gros dard gonflé et tendu à m'en faire mal. Avant de la pénétrer je ne résiste pas au plaisir de me baisser entre ses cuisses et de passer lentement de gros coups de langue dans sa fente pleine de jus odorants. Elle ne dit rien mais à la façon dont elle a rejeté la tête en arrière, je devine que je pourrais poursuivre un long moment sans qu'elle proteste, au contraire.

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