La déchéance d'Hélène 02

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Il faut toujours obéir à son propriétaire.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/28/2020
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J'étais maintenant la chose de Vincent, il me conduisait dans son van vers une destination inconnue.

Je reconnaissais vite la destination, marquée par la présence des prostituées sur le bord de la route. C'était donc ça, il voulait me prostituer telle une catin de bas étage...je savais que je ne pourrais pas.

Il me posa sur le trottoir en m'ordonnant : « maintenant Stacy, tu te poses la devant les phares, et tu vends ton gros cul de putain » je repasse vers 4h du mat, t'as intérêt à ne pas rentrer bredouille... »

Il me laissa à peine répondre et remonta dans le van.

Je restai la comme une conne. Je savais que faire la pute était au-delà de mes forces. Je passais la soirée sur le trottoir, mais sans jamais répondre à la moindre sollicitation. Vincent allait hurler, mais tant pis, tout sauf ça.

Il passa me récupérer à l'heure.

« Passe-moi le fric Stacy »

« J'ai pas pu Vincent, s'il vous plait, pas ça... »

« Quoi, t'as rien foutu!! tu te fous de ma gueule? » il hurlait, je pleurais

« Pitié, ne fait pas ça, je vous sucerais si vous voulez, mais pas ça » je posais ma main sur ses cuisses pour tenter de le calmer.

« Tu feras ce que je te dis, un point c'est tout!!, bon, maintenant que je suis-là, je vais quand même te baiser, mais attend toi à une punition qui te fera passer le trottoir pour des vacances au club Med »

En disant cela, il baissa son pantalon sur ses chevilles et m'écarta les cuisses, tout en allongeant le siège passager. Il me pénétra ensuite sans ménagement, et entrepris de me bourrer la chatte.

Ce viol fut presque un moment rassurant pour moi, je m'attendais à servir de vide couille pour Vincent, alors j'étais en terrain connu, habillée comme une pute, en train de me faire sauter sur le siège passager d'une camionnette. Il me tripotait comme une poupée, et ne tarda pas à se vider dans ma chatte en poussant un gémissement de plaisir.

Il me ramena ensuite, sans dire un mot. Il me remonta quasiment de force dans l'appartement, visiblement sa colère froide ne passais pas. Il m'ordonna de me déshabiller, ce que je fis sans oser le défier une nouvelle fois. Il me dit : « ce soir tu dors à même le sol, et je ne veux pas t'entendre »

Il me réveilla tôt, me jeta au visage une jupe plissée à carreau et un bandeau en guise de cache sein, accompagnée de bas blanc avec des petits nœuds.

« Tu connais la musique, maintenant, et met la dose sur le maquillage, je t'emmène en rendez-vous"

Il me jeta à l'arrière du van comme du bétail. Il me sorti de la, nous étions dans une cité glauque de la ville, il me traîna rapidement dans un immeuble, puis nous descendîmes au sous sol. On entra dans un cave, a peine éclairée par une ampoule au mur. Il y avait un matelas par terre, et des bassines.

Il me dit alors : « Ecoute bien petite pute, dans 30 minutes, les mecs de la cité et leurs potes aurons le droit de descendre ici. Ils sont prévenus qu'il y a un jolie vide couille dispo. Pour te punir d'avoir refusé l'honneur de faire la putain sur le trottoir pour moi, tu vas rester 3 jours ici, pour t'apprendre la discipline. T'aura le droit à 4 heures de sommeil. Le reste du temps, ton seul devoir sera de maintenir tes cuisses de pute bien ouverte »

Je ne répondis même pas, résignée...

30 minutes pile plus tard, mon premier violeur rentrait, un black titanesque, mais mal membré par rapport à sa taille. Il m'allongé sans aucune difficulté, et ne fit aucun effort pour me rendre cela agréable. Il me pénétra avec brutalité et commença instantanément son va et vient, et moins de 10 minutes après, se déversa les couilles dans ma chatte. Je me recroquevillais sur moi-même, mais il y avait déjà un autre male, je tentais inconsciemment de resserrer mes cuisses, mais face à la force de l'homme, je ne pouvais lutter longtemps, il profita de ma jeune chatte encore moins longtemps que le précédent, mais m'éjacula sur le visage.

Les hommes enchaînèrent à la queue le leu, pour mon plus grand supplice pendant une vingtaine d'heure. Je ne luttais plus, j'ouvrais ma bouche pour qu'on me baise la bouche, mes cuisses toujours écartées. De temps en temps, un des hommes me retournait pour m'enculer sauvagement.

Du foutre était rependu partout a l'intérieure et sur moi, mais après les 10 première heures de viol, je ne faisais même plus attention.

A 4 heures du mat, Vincent arriva. Je me précipitais, pleine de sperme, dans ses bras :

« Pitié, Vincent, sortez-moi de la, pardonnez-moi, je ferais tout ce que vous voulez, mais plus ça! je serais votre pute, je ferais le trottoir quand vous voulez, je vais mourir si vous me laissez la encore deux jour, pitié..."

Mais non, ne t'inquiète pas. Je suis juste venu là pour te laver et te nourrir, je ne transige jamais sur les châtiments"

"Pitié...."

Ferme la parce que sinon je te fille rien à bouffer »

Je dormais pendant les 3h30 qui me restait. En fait, ce qui me réveillât, c'est une bite se frayant un passage dans ma gorge, je ne luttais pas, et il se vida avec plaisir dans ma bouche.

Les viols recommençaient, sur un rythme soutenu. J'avais longtemps perdu le compte, mais j'étais leur paillasson à bite. Parfois il me semblait reconnaître un homme de la veille, mais ils étaient tellement nombreux que je n'étais jamais vraiment sur. J'étais par ailleurs épuisé, et je m'endormais régulièrement, même pendant qu'un homme me pénétrait. Cela n'avait pas l'air de les gêner plus que cela.

Je ne sentais plus rien, juste mon corps qui vibrait au rythme des coups de reins des males divers et varié qui profitèrent de mes trous.

Quand Vincent revient pour me rincer de ma souillure, je ne dis rien, résignée, et prête, autant que possible à encaisser encore une journée complète de bite.

Ce fut mon anus qui me réveilla, quand un rebeu visiblement bien monté forçait ma rondelle. Cette journée passa plus vite, car je dormais pendant une part non négligeable de ma prestation.

Quand Vincent me récupéra, il me laissa dans mon foutre jusqu'à 8 heures du matin, se contentant d'une pipe rapide (un baisage de bouche serait plus exact).

« Bon tu vois t'as survécu, j'espère que maintenant tu seras une bonne pute bien servile, ou je devrais recommencer ce genre de chose, j'ajouterais juste des chiens la prochaine fois... »

Terrorisée, nous sortîmes pour retourner au van, je fus alors stupéfaite. Une sorte de haie d'honneur nous attendait, probablement les mecs qui m'avait passé dessus pendant ces quelques jours. Ils nous applaudirent à notre passage vers le van, me félicitant, me disant que j'avais été une pute à la hauteur, etc...

Je n'osais pas croiser leur regard, et une fois dans le van, je m'endormais instantanément, sachant déjà que j'accepterais les prochaines soumissions de mon maitre sans discuter à présent...

Je me réveillais dans un lit, chez Vincent. J'étais nue, mais je sentais encore clairement le sperme séché.

Vincent avait posé sur une chaise ma tenue, une courte robe blanche, avec des escarpins noirs. Je ne savais pas combien de temps j'avais dormi, mais j'avais très faim.

Je m'habillais, rapidement, et sortit de la chambre.

Vincent m'attendait, a table, il avait préparé le petit déjeuner.... Une délicate attention tellement j'avais faim.

« Tu peux t'assoir et manger Stacy »

« Merci » répondis-je, en me jetant sur le petit déjeuner. J'avais à peine fini quand il me demanda de venir vers lui. Il me fit assoir sur lui, face à lui.

« Tu sens encore tes exploits , ma petite putain à moi. » dis t-il , tout en malaxant mes gros seins.

« Tu vas aller prendre une douche, et ensuite t'aura le droit à une après-midi tranquille, car ce soir, tu vas te prostituer comme une gentille catin... »

Je séchait une larme, pendant qu'il avait fait glisser le haut de ma robe , découvrant mes seins, encore couvert de sperme séché, je sentais son membre grossir à travers le pantalon.

« Car tu sais que tu es ma pute, n'est-ce pas?, dis le moi »

« Je n'osais pas répondre, alors qu'il commençait a pétrir mes seins

« Alors »?

« Je suis votre pute » répondis-je timidement.

Bien, répond y t'il lourdement, ces mains commençaient à pétrir mon intimité, a peine reposée de l'avalanche de bite que j'avais subis...

Je me laissais faire, lutter ne servait à rien. Il me souleva, j'étais maintenant assise sur la table., il écarta mes cuisses, et se rapprochait, en continuant ses caresses. Il m'embrassa avec douceur ; je n'avais plus l'habitude, ma bouche ayant surtout servi à sucer des hommes en grande quantité ces derniers temps

Il se retira rapidement « Ouch, désolé mais ta bouche sens encore trop la bite pour ça... », il me retourna alors avec grande force, puis souleva ma nuisette, pour avoir accès à mes parties intimes. Il continua de ma caresser longuement, et franchement, j'avais un peu honte de ressentir ce plaisir. Cette honte passa, quand il présenta son gland à l'entrée de ma chatte, et poussa avec douceur.

Il savait y faire, me besognant pendant de longue minute dans cette position. Il alterna ensuite, m'allongé sur le dos, et recommença son travail. Malgré toute mes tentatives pour ne rien montré, je prenais beaucoup de plaisir à chaque coup de rein, Je jouis ensuite d'un orgasme extrêmement intense, et passablement honteux....

Vincent se retira ensuite, il n'avait pas joui, mais je le vis se branler frénétiquement, puis jouir sur un croissant....

Il quitta la salle. Je dévorais mon petit déjeuner tellement j'avais fin ; le croissant au sperme, c'est pas bon, mais se faire baiser comme une vraie femme, ça me changeait tellement de ces viols dans une cave que je n'allais pas faire la difficile.

Je pus ensuite prendre ENFIN une douche, pour me laver de tous ces hommes, puis je refis une sieste, épuisé par ma punition...

J'appréhendais le soir, Vincent aller me forcer à faire le trottoir ; l'idée me dévastait, mais l'idée de mon châtiment était encore pire...

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