La déchéance de Juliette Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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- Ne t'inquiète pas, prisonnière ! Je ne l'ai apporté que pour te montrer à quoi tes deux « bienfaitrices « noires ont dû faire face ce soir.

Quelle que soit la réaction à laquelle elle s'attendait, ce n'était pas celle de Juliette enroulant ses bras autour de ses jambes et se recroquevillant pour s'éloigner de l'objet. Jeanne se pencha et le reprit en main pour montrer le scintillement à l'ancienne policière. Sa main a du mal a faire le tour de la circonférence. Avec des yeux effrayés comme ceux d'un enfant, contrastant avec ses traits durs, Juliette la regarda dans les yeux et chuchota lentement :

- Pourquoi ?

- Parce que je ne les aime pas ! Parce que je n'aimais pas ce qu'elle faisait dans ma prison ! Et parce que je n'aimais pas ce qu'elle te faisait...

A ce moment, leurs yeux se rencontrèrenet et s'attardèrent plus longtemps qu'ils ne l'auraient dû. Jeanne laissa tomber le gode en plastique sur le sol en pierre et elle tendit la main vers la joue douce et blanche de Juliette, la caressant doucement. Sans réfléchir, elle se pencha et embrassa doucement l'ancienne commissaire sur ses lèvres douces. Elle n'avait jamais fait ça avec une autre prisonnière et elle ne savait pas pourquoi elle le faisait maintenant. C'était peut-être la pitié qui avait été le déclencheur, mais elle voulait juste protéger Juliette de ses ennuis et la rendre saine et sauve.

Juliette réagit au baiser naturel et elle le rendit doucement. Après toutes les horreurs qu'elle avait endurées, un morceau de gentillesse était comme un soulagement pour elle et elle n'allait pas le nier.

Ne pas être forcée de le faire était comme un tonique pour Juliette et elle permit à la gardienne d'explorer son corps avec ses grandes mains, de caresser ses gros seins, de tripoter son cul rond et d'effleurer son monticule pubien. Les deux femmes étaient loin de cet endroit sinistre, de cette cellule dans une prison dure. Elles étaient seules dans les bras l'une de l'autre.

Jeanne retira bientôt son uniforme et permit à Juliette d'explorer son corps musclé avant que les deux femmes ne s'enveloppent dans leurs bras et que leurs langues explorent tous leurs orifices. Elles s'embrassèrent longtemps avant que Juliette ne tombe à genoux et fasse courir sa langue sur les seins et l'estomac de la garde. Puis elles se livrèrent à une séance de sexe oral orgasmique qui fut à la fois gémissant et haletant jusqu'au point culminant. Ensuite, les deux s'effondrèrent pour récupérer, enlacées dans leurs bras tendres. Elle s'endormirent dans un sommeil heureux.

Elles dormaient toujours profondément dans les bras l'une de l'autre, complètement nues lorsqu'un groupe d'hommes dirigé par le directeur entra silencieusement dans la cellule. Ils se tinrent juste hors de portée de Jeanne avec les bras dans le dos en attendant que les deux femmes reprennent conscience. Ce qu'elles ont fait quand l'un des six gardes toussa.

Jeanne se réveilla la première, l'esprit tout d'abord embrumé en essayant de savoir où elle était. Puis, instantanément elle vit et elle s'assit brusquement en essayant désespérément de couvrir ses seins et sa chatte exposée. Le directeur lui fit un sourire triste.

- Ne vous inquiétez pas officier LOYALE, j'ai tout vu maintenant.

Juliette se réveilla elle aussi et à travers ses yeux mi-ouverts, elle se demanda ce que pouvait avoir Jeanne.

- Qu'... Qu'est-ce qui se passe ?

- C'est simple prisonnière PORTIER, nous sommes venus ici pour arrêter la gardienne LOYALE.

- Hein ? L'arrêter pourquoi ?

Juliette posa la question alors que Jeanne se raidit et attendit attentivement la réponse.

- Pour le viol et le meurtre de la prisonnière matricule 546731 nommée Juliette PORTIER, Vous !

Jeanne sauta sur le directeur. Elle ne savait pas que les instigateurs du complot contre Juliette l'avait acheté. Mais l'homme se tenait prêt, et alors que l'imposante gardienne musclée lui sautait dessus, il sortit un pistolet tazer de derrière son dos et il tira dans le sein droit envoyant des volts dans le corps musclé.

Le choc fit tomber Jeanne par terre, et bien qu'elle soit toujours consciente, elle ne pouvait même pas parler alors que les gardes se pressaient autour d'elle. Ils menottèrent aussi Juliette et ils l'emmenèrent. Le directeur se plaça devant son ancien bras droit et il secoua la tête.

- Vous n'auriez pas dû baiser ces putes noires, vous n'auriez vraiment pas dû.

Sur ces mots, il presse de nouveau la gâchette du tazer et lui envoie de l'électricité jusqu'à ce que la femme dangereuse soit inconsciente et aussi impuissante qu'un chaton.

***

Il était temps de mettre un terme à cette histoire. Joseph DUPRE et tous ses collègues de la coalition qui avait été formée pour donner à Juliette PORTIER une bonne leçon de vie s'étaient bien amusés, mais étaient tous fatigués. l'ancienne commissaire devait disparaître et tous les liens qu'elle pouvait avoir devait être sectionnés. Ce fut exactement ce qui se passa les semaines suivantes. Avec le pouvoir réuni de tous ces hommes qui faisaient la justice, ce fut facile.

Jeanne LOYALE, ancienne garde modèle de la prison fut déconcertée par la vitesse de son arrestation, de son jugement et de sa condamnation. Bien sûr, tout le monde fut de mèche : le coroner, les policiers, les juges. Elle ne sut jamais ce qui était vraiment arrivé à Juliette après que le directeur l'ait rendu inconsciente., mais elle savait que les accusations et les descriptions faites lors de son procès étaient fausses. Elle fulmina et se tendit dans les chaînes solides qui la menottaient et la retenaient alors que l'accusation la décrivit comme une sadique brutale qui se réjouissait de tourmenter les nouveaux prisonniers, comment elle avait prêté une attention particulière à l'ancienne commissaire de police Juliette PORTIER. D'autres prisonnières, dont Yasmine et Carla, décrivirent comment Jeanne humiliait et avilissait quotidiennement Juliette, et comment la violence s'intensifiait jusqu'à cette nuit fatidique dans une cellule.

- Cette énorme et puissante gardienne, Mme LOYALE a sorti la victime de sa cellule et l'a conduite dans la cellule où elle l'a tuée. Expliqua solennellement le procureur.

- A partir de là, nous ne pouvons qu'utiliser les preuves médico-légales et les indices trouvés dans la cellule pour reconstituer exactement ce qui s'est passé cette nuit-là. Il existe des preuves physiques clairs que l'officier LOYALE a abusé de sa position et a utilisé sa matraque pour battre la prisonnière PORTIER. Puis, après s'être lassée de la frapper, elle lui a menotté les poignets dans le dos et elle a ensuite utilisé cet instrument (il montre le gros gode qu'elle avait utilisé sur Yasmine et Carla) pour violer sa victime sans défense. La prisonnière menottée et impuissante se tenait alors sur un tabouret avec un nœud coulant autour du coup et attaché au plafond de la cellule. En la violant, l'officier LOYALE a donné des coups de pieds dans le tabouret pour pendre sa victime. Cette gardienne a agi à la fois en tant que juge, jury et bourreau.

L'histoire était bien ficelée et il ne fallut que quelques minutes pour que Jeanne soit reconnue coupable et condamnée à la réclusion à perpétuité. Il ne fut pas surprenant de découvrir qu'elle fut envoyée au milieu des femmes qu'elle avait surveillées dans l'établissement où elle travaillait comme gardienne. Costaude et musclée ou pas, alors qu'elle traverse le désert en direction de son destin, elle sut au fond d'elle-même que ce serait vraiment mauvais pour elle.

A son retour à la prison, cette fois en tant que criminelle, Jeanne fut enchaînée et traînée à travers les couloirs complètement nue. Puis elle arrive dans le gymnase. Là, au centre de la pièce, se trouvait un cheval d'arçon. Sept des gardes masculins qu'elle avait terrorisés auparavant prirent grand plaisir à la monter sur ce cheval et lui attacher les bras et les chevilles aux pieds. De cette façon, sa bouche, son cul et sa chatte furent bien exposés. Puis ils la laissèrent seule après avoir pris le temps de lui décrire en détail ce que chacun d'eux lui fera pendant son séjour en tant que prisonnière.

Alors que Jeanne digérait sa situation et essayait en vain de tirer sur ses liens, le silence dans le gymnase fut rompu par l'arrivée du directeur. Il marcha lentement vers elle et s'accroupit pour la regarder dans les yeux pendant qu'il lui parlait.

- Vous savez que c'est dommage ? Vraiment dommage ! Vous étiez une bonne garde et si vous aviez pu garder votre nez hors de certaines affaires, vous le seriez encore. Mais il faut dire que je me suis toujours demandé ce que ça serait de vous baiser, vous si forte et si puissante, de vous voir comme un simple jouet à ma disposition. Je me suis toujours demandé si vous aviez déjà pris une bite dans le cul !

Sur ces mots, il décida de ne plus se poser la question alors qu'il enfonçait sa longue et fine bite profondément dans le trou du cul de Jeanne. Il saisit les cheveux noirs de la femme dans ses mains et il la besogna violemment.

- Hmmmm, que c'est bon ! j'ai l'impression de briser un étalon sauvage !

Jeanne ne dit rien et serra les dents. Elle avait décidé de ne pas donner à ce vieux salaud le plaisir de l'atteindre. Elle resta impassible. Après tout elle était forte, élevée dans une famille dur et habituée à subir des coups durs. Toutefois, dans un coin de son cerveau, elle savait que c'était un combat perdu d'avance alors que le directeur continuait à l'enculer brutalement.

Couchée sur le cheval, elle leva les yeux autant que lui permettait sa position. Elle vit qu'elle avait été positionnée de façon à être face à la porte du gymnase. Tandis que le directeur continuait à la sodomiser, la porte s'ouvrit et deux gardes entrèrent. Ce qui les suivit fit frissonner Jeanne. Dans une ligne presque parfaite, toute une série de prisonnières, nues à l'exception d'un gode-ceinture attaché à leurs hanches entrèrent dans la salle. Chacune de ces prisonnières prit le temps d'avoir un grand sourire méchant avant de s'aligner contre les murs. Jeanne les reconnut toutes, elles avaient toutes eu l'accueil spécial de sa part. Et bien que Jeanne soit forte, elle trembla en voyant qu'il y avait près de quatre-vingts prisonnières. Mais il y en avait encore deux à venir. Suivies par quatre gardes supplémentaires, Yasmine et Carla entrèrent.

Elles se dirigèrent lentement vers l'ancienne gardienne et elles s'assurèrent d'établir un contact visuel. Jeanne se demanda si leur démarche, jambes arquées, était le résultat de la nuit qu'elle avait passé avec elle ou si c'était juste une moquerie. En tout cas les deux prostituées portaient elle aussi un gode-ceinture, mais ils étaient encore plus énormes que ceux des autres prisonnières. Silencieusement les deux sœurs s'arrêtèrent à quelques centimètres du visage de Jeanne et elle sourirent en voyant sa situation actuelle, le directeur étant sur le point de jouir en elle.

Les deux femmes portaient des tenues de dominatrice en cuir noir assorties et elles avaient deux grands sacs de toile qu'elles vidèrent sur le sol, juste en dessous du visage de l'ancienne garde.

Tout d'abord, il y eu un rouleau de fil de fer barbelé, puis des menottes, un fouet en cuir, une cravache, un bâillon-boule orange, une paire de câble pour batterie, un rasoir électrique, un aiguillon électrique pour le bétail, une paire de pinces, une batte de baseball, du lubrifiant, un stylo modifié pour faire des tatouages en prison, un allume-cigare, et un entonnoir sentant la pisse. Cette collection d'instruments de torture gela le sang de Jeanne. Dans les mains de ces deux sœurs dégénérées, elle n'osa penser à ce qui allait lui arriver. Mais ses réflexions furent interrompues par les grognements et les efforts du directeur alors qu'il éjaculait dans son cul.

Finalement, il remit son pantalon et informa Jeanne que Carla et Yasmine seraient ses compagnes de cellule et qu'elle devrait leur obéir, qu'elle le veuille ou non. Yasmine prit son menton dans la main pour levre son visage et elle cracha :

- C'est ça, salope ! Tu vas être notre petit animal de compagnie. Tu feras ce que nous te dirons, quand nous te le dirons et comment nous le dirons. Et nous avons une grande envie de vengeance. Crois-nous, salope, sous peu tu seras contente de manger la merde qui nous sort du cul si nous te le demandons.

Et le pire, c'était que Jeanne était là, transpirante et frustrée, presque sur le point de sangloter et qu'elle savait qu'elles allaient le faire. Elle savait qu'avec le temps et les ressources à leur disposition, elles la tortureraient lentement, brisant son esprit et faisant d'elle une chienne obéissante. Elle avait vu cela se produire bien des fois en prison, même si ce n'était pas à ce degré. Elle était vraiment baisée.

Les deux sœurs noires passèrent derrière elle. Elle ne fut plus en mesure de voir ce qu'elles faisaient. Leurs lourdes bottes noires claquèrent sur le sol. Jeanne sentit que son cul était palpé grossièrement et elle entendit ces mots effrayants.

- Mais avant que nous commencions, il y a toutes ces autres dames qui ont aussi une revanche à prendre. Elles veulent leur moment de plaisir. Après tout, c'est un juste retour des choses étant donné que tu leur avais donné à chacune une initiation anale à leur arrivée dans l'établissement. Mesdames ! Si vous voulez bien faire la queue ici et utiliser le lubrifiant ! Vous aurez toute votre tour ce soir ! Qui veut être la première ?

****

Juliette PORTIER se réveilla au chant des oiseaux et à la lumière du soleil qui passait à travers la fenêtre de la chambre dans laquelle elle était couchée. Elle sentait le savon et le parfum, ses cheveux étaient lavés et peignés. Elle eut l'impression de sortir d'un long rêve plein de cauchemars. Pendant un bref moment elle oublia ce qui s'était passé ces derniers mois, des horreurs qu'elle avait subies. Elle se sentait propre et revigorée.

Mais alors qu'elle roulait sur le côté et s'asseyait en somnolant sur le bord du lit, profitant des rayons de soleil qui chauffaient à travers la fenêtre à barreaux, sa mémoire revint lentement. Son esprit était embrumé comme si elle avait été droguée. Elle se frotta les yeux pour se réveiller. Elle regarda la pièce où elle se trouvait et elle pensa que ça la changeait agréablement de la cellule grise et terne de la prison. Mais la pensée de sa cellule la focalisa sur les barreaux de la fenêtre et elle commença à se méfier de cet endroit.

Elle glissa du lit et attrapa un peignoir en soie rouge qu'elle enfila et noua étroitement sur son corps avec la ceinture. Puis elle examina la chambre et essaya de tourner la poignée de la porte. Elle fut à moitié surprise quand elle céda facilement et s'ouvrit. Elle se retrouva dans un couloir. Entendant des bruits à sa gauche, elle les suivit pour savoir où elle se trouvait et ce qui se passait.

Son corps et son esprit étaient encore un peu endormis, mais à chaque pas, l'espoir montait en Juliette. Peut-être que finalement elle avait échappé à son sort funeste. Peut-être que tous les salauds qui avaient comploté contre elle s'étaient ravisés. Elle se rappela alors vaguement de la dernière nuit à la prison et de la gardienne costaude quand elle arriva dans la pièce où il y avait des bruits de cuisine.

Elle regarda par la porte et fut immédiatement entraînée par les mains d'un petit homme noir. Il la tira doucement vers la table et il la fit s'asseoir sur un banc en bois. Juliette essaya de parler à l'homme, mais il s'éloigna en débitant des mots dans une langue étrangère. Soudain, elle eut faim et elle remarqua l'assiette de fruits frais placée devant elle.

Quand elle eut fini de manger, elle leva les yeux et elle vit qu'elle était observée par une jeune fille hispanique habillée sexy. Cette jeune fille avait un regard sensuel, des cheveux noirs et bouclés tombant sur ses yeux et ses épaules. Elle mâchait du chewing-gum avec ardeur et elle fixait Juliette.

- Qui êtes-vous ? Où suis-je ? Qu'est-ce que cet endroit ?

La fille sourit, mais d'un sourire bien peu rassurant. Elle se dirigea vers Juliette et saisit sa main. Puis elle la conduisit vers une autre porte. Après l'avoir franchie, elles entrèrent dans une pièce jamais atteinte par le soleil. De la lumière sortaient par des néons et s'enroulaient autour de nombreuses fumées de cigarettes. Tout autour de cette salle, étaient disposés de grands canapés dépareillés et de couleurs criardes. Et sur ces canapés se trouvaient de nombreuses femmes hispanique ou sud-américaines dans divers stades d'habillement. Juliette était assez réveillée pour reconnaître des prostituées. Ces femmes l'étaient sans aucun doute, et dans un bordel à l'étranger.

- Où on est chérie ? Tu es en enfer bébé ! Tu es dans l'enfer des putes !

FIN

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