Le Mauvais Chemin

Informations sur Récit
Une bourgeoise et sa fille se perdent en route.
5.8k mots
3.61
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8

Partie 1 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2016
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Ce texte est écrit en collaboration avec Juis Karlos, mon co-auteur, j'espère qu'il vous plaira.

Attention, ce texte est violent, il décrit avec une certaine réalité, l'enfer du viol et des tournantes subit par certaine femmes, dans notre pays ou ailleurs. Le premier chapitre est assez calme, ne servant qu'à mettre en place l'histoire et les divers personnages. La suite sera plus difficile à lire. Si vous n'aimez pas ce genre de récit, ne le lisez pas, sinon ce sera à vos risques et périls. Il n'est nul question ici de faire l'apologie du viol. Nous condamnons, mon quo-auteur et moi même le viol, ainsi que toutes violences faites aux femmes. Nous condamnons également la misogynie, ainsi que toutes formes de racismes sur quelques formes que ce soit. Ce récit est purement imaginaire, et, aucunement, n'est une apologie ou glorification de quoique ce soit. Il vise plutôt à avertir les consciences, sur certaines violence atroce qui visent certaine femmes dans notre pays. Il n'accuse personne, ne fais pas preuve de xénophobie. Nous avons tenté de faire ressembler notre récit, à la réalité, tout en incluant des passages purement exagérer, afin de bien montrer qu'il n'est qu'imaginaire.

Je le répète, si vous n'aimez pas les histoires violentes, basée sur le viol, ne lisez pas ce qui suit, sinon, nous espérons qu'il vous comblera. N'oubliez toutes formes de violences sexuelles est passible de lourdes peines de prisons, bien que à notre goût, ces peines soit trop légère. N'oubliez pas, non plus, qu'en France, un pays développé, 240 femmes sont violée chaque jours, ce qui est un chiffre abominable. Une seule serait déjà une de trop. De plus les propos xénophobes prônait par les deux héroïnes sont eux aussi vraiment condamnable. Il est écœurant, que de nos jours de telles pensées puisse encore exister. Cette fois encore, ces propos dégueulasse ne sont inclus que pour le bien de l'histoire. Nous ne faisons pas l'apologie de tel personnes. Nous la condamnons même avec la plus extrême fermeté. Bien entendu, tout ceci est imaginaire, et toute ressemblance avec des personnes ou des événement ayant existé, serait purement fortuite. Bonne lecture.

Valérie est une jolie petite brune, d'un mètre soixante pour cinquante kilos. Elle est mince, des cheveux mi-longs coupé au carré, de petit seins en forme de cône. Elle à un super petit cul bien bombé, aux fesses fermes. La femme à des yeux en amandes, la peau mat, dû à ses origines espagnoles. C'est une très belle femme de quarante-neuf ans. En ce moment, elle est allongée sur son lit, dans son appartement situé dans les quartiers chaud de cette immense métropole du sud du pays. La femme est nue, elle est couchée à plat ventre. Les mains jointes, les bras repliés, sa tête, tournée de coté repose sur ses paluches. Valérie pleure en silence, grimaçant de douleurs. Sur elle, Sala, un grand black de deux mètres, avec un engin énorme, est en train de la sodomiser. Quinze ans qu'ils sont ensemble. Valérie à toujours eut le sodomie en horreur, d'ailleurs à chaque fois, elle contracte son conduit à fond. Ce qui fait que son compagnon à l'impression, à chaque pénétration, d'enculer une vierge de l'anus. C'est douloureux, horrible pour elle, mais c'est son concubin, elle ne peut rien lui refuser. C'est lui d'ailleurs qui lui a dépucelé le cul. C'est chaque jour la même chose, le matin, il la prend par devant, à dix-sept heures, juste avant qu'elle ne parte bosser, il l'encule. D'ailleurs Valérie se met à gémir de plus en plus fort. Il est en train de la prendre à grands coups de reins, signe annonciateur de sa jouissance prochaine. Il se vide torrentiellement et longuement dans ses entrailles. Une fois finis il reste immobile en elle. Il lui caresse les cheveux.

- Putain ton cul est toujours aussi serré, aussi bon.

Sala se retire alors d'un coup, arrachant un ultime gémissement de douleur à Valérie. Cette dernière sent immédiatement un flot de sperme lui inonder le cul, avant de ruisseler dans le sillon de ses fesses, pour finir le long de ses cuisses. Rapidement la femme s'agenouille et gobe le membre devenu mou. Pour le nettoyer de toutes souillures. Bien qu'elle soit consciente que son cul est propre, chaque jour, avant de se faire sodomiser, elle se fait un lavement. Valérie sent le sexe de son compagnon durcir de nouveau dans sa bouche. Elle ira au bout de sa fellation, avalant toute la liqueur qui lui inonde la bouche. Un filet de sperme au coin des lèvres, elle se lève, nue. Le sexe parfaitement rasé, le sperme faisant une tache sur son entre-cuisse. La femelle regarde son concubin :

- Je vais me laver et me préparer, va falloir que j'aille bosser ensuite.

- Pas de souci, je vais dormir, comme d'hab, réveille-moi quand tu rentres.

Valérie se dirigea alors vers la salle d'eau, où elle prit une douche avant de s'habiller.

Une heure plus tard, à dix-huit heures cinquante, elle sortit de chez elle. La femme portait une mini-jupe en cuir rouge. Tellement courte, que l'on voyait le bas de ses fesses, son mini-string rouge, ainsi que ses portes-jarretelles, rouge eux aussi, tout comme ses bas. Elle avait un chemisier rouge, transparent, laissant voir ses petits seins fermes. Bien entendu, ses chaussures à long talons, étaient elles aussi rouge. Elle ne s'était pas maquillée beaucoup, se mettant juste sur les lèvres, un rouge à lèvre très vif. La fille prit l'ascenseur, et descendit au rez-de-chaussée. En sortant, elle croisa deux jeunes.

- Alors le chaperon rouge, on va bosser?

- Oui.

- Super, on se voit ce soir alors.

- Pas de souci.

Valérie lui fit son plus beau sourire. Elle continua à traverser la grande cours d'un pas vif. Elle contourna deux bâtiments, avant de s'engouffrer dans le troisième. Le hall était délabré, trois jeunes qui squattaient devant, la sifflèrent quand elle passa. La femme alla directement à l'ascenseur, pour une fois il marchait. Elle entra dedans, appuyant sur le bouton. Le vieil ascenseur ne mit que trois minutes pour arriver à destination.

Quand la porte s'ouvrit, la femme resta pantoise. Il y avait au moins cinquante personnes qui faisait la queue, le pire étant que son boulot ne commençait que dans trente minutes. La jeune femme avança, le long de la file des hommes. Des commentaires graveleux retentirent. On la siffla, des mains baladeuses lui touchèrent les fesses, les seins, la chatte. Elle progressa lentement, avant d'arriver devant la porte de son taf. Il y avait deux blacks, surveillant l'entrée. Deux armoires à glace, portant chacun une kalachnikov. Ils ouvrirent la porte, elle pénétra dans une grande pièce, parfaitement éclairée, bien aménagée. A l'intérieur il y avait déjà trois hommes. Son patron, et ses deux gardes du corps. C'était rare que le boss vienne la voir. Il sourit en la regardant

- Valérie, toujours aussi canon.

- Merci boss.

- Bon, aujourd'hui, tu vas commencer un peu plus tôt. Allez, au boulot.

Valérie, comme tout les soirs, se déshabilla complètement. Elle s'allongea sur le vieux matelas posé sur le sol. Jambes grandes écartées, son boss ayant une vue plongeante sur son vagin.

- Je vois que ta chatte est parfaitement épilée, c'est parfait.

Son boss ne se déshabilla pas, se contentant de sortir seulement son pénis. Il se coucha immédiatement sur elle, la pénétrant d'un seul coup. Valérie gémit de douleur sous la pénétration. Comme tout les soirs, son travail commence. Un sacré boulot que celui de putain des cités. Pute au rabais, à 5 euros la passe.

Tandis que son boss la travaille brutalement, Valérie s'échappe par la pensée. Comme elle le faisait si souvent, quand le gars qui la violait, le lui permettait. Quand elle n'avait pas trop mal, ou n'était pas prise trop durement. La femme se remémora comment elle était arrivée ici. C'était il y a trente ans de ça. Elle était une jeune étudiante en première année de médecine. Les cours étaient très difficile, épuisant, surtout qu'elle devait travailler à côté pour payer ses études. Comme beaucoup d'autres, elle avait du céder au sirènes de la drogue pour tenir le coup. Cocaïne, amphétamine, MDMA, et autres saloperie. Rapidement elle n'avait pas eut assez d'argent, mais c'était trop tard, Valérie était devenue accro. Alors elle avait fait un deal avec l'ancien caïd de la cité. Il lui fournissait sa came gratuitement, mais elle ne le rembourserait qu'une fois ses études finis. En échange, en paiement des intérêts, a partir de la troisième année, elle soignerait gratuitement tout les voyous qui en auraient besoin. Même en cas de blessure par balles ou par armes blanches. Même une fois ses diplômes obtenus. D'ailleurs, Valérie n'était pas la seule dans ce cas. Un autre étudiant avait fait le même deal. D'ailleurs lui travaillait encore pour le caïd, en tant que médecin. Hélas, la jeune étudiante ne savait pas se contrôler. Il lui fallu de plus en plus de drogues pour tenir le coup. Néanmoins, Valérie réussit haut la main les examens du premier semestre, en finissant cinquante-deuxième sur plus de sept mille cinq cent candidats. Par contre il lui fallait encore plus de drogues, prenant des quantités dangereuses pour n'importe qui. Ce qui devait arriver, arriva, ce qui fit, que la veille de ses examens de fin d'année, la jeune femme s'évanouit en pleine rue. Elle fut conduite à l'hôpital, on la garda plusieurs semaines pour la désintoxiquer. Cela marcha, mais elle ne put refaire son année, à cause du trop plein de drogues. Le gars avec qui elle avait passé son marché, réclama son dû. Valérie n'eut pas le choix, il la prostitua dans les caves. Toutes les nuits, toute l'année. Il la brisa, en fit son jouet et celui de tas d'autre hommes. Quand le malfrat à qui elle devait l'argent, passa la main, pour devenir un des pontes de la mafia de la ville, Valérie devint propriété du nouveau caïd de la cité. C'est lui, l'homme qui la prenait en ce moment, qui l'offrit à Sala, son compagnon actuel. Ils étaient même mariés, ayant eut trois enfants ensemble, mais malgré tout ça, la femme tournait toujours et encore dans les caves. Bien sûr, il lui arrivait d'avoir des orgasme, à son corps défendant. La plupart du temps, les queues qui se succédaient en elle, la laissaient indifférentes physiquement, mais pas moralement.

Les coups de reins de son boss la tirèrent de sa rêverie. Il venait de jouir en elle. Il était le seul à la prendre à cru, sans capote. Le seul avec Sala bien sûr. Elle était une bonne gagneuse comme il disait, alors son propriétaire ne voulait pas qu'elle chope des maladies. Seule les fellations étaient autorisé sans préservatif. Après lui, les deux gardes du corps la prirent aussi. Ensemble. Le premier lui baisant la chatte, tandis que le second s'occupait de sa bouche. Quand ils eurent finis, on fit rentrer les clients, sous l'œil goguenard du caïd de la cité. Les cinq premiers la prirent par devant, tandis qu'elle était allongée sur le dos. Le sixième la fit se retourné sur le ventre, la sodomisant. Elle ne vit pas les cinq suivant, qui la sodomisèrent à plat ventre. Rentrant, se couchant sur elle, et repartant aussitôt leurs plaisirs prit. Elle aperçu brièvement celui d'après, quand il la fit mettre à quatre pattes, pour lui prendre le minou en levrette. Valérie les subissaient le regard vide et blasé. Ne ressentant rien. La femme bougeait néanmoins pour accélérer leurs éjaculations. Plus vite il la prenait, plus vite elle viderait la file, plus vite ce serait finit. Tandis qu'un gars venait de la sodomiser, elle entendit le téléphone de son boss et propriétaire sonner. L'homme la prit si fort, qu'elle ne comprit pas la conversation. Seul les mots « Mini et deux femmes » arrivèrent jusque à son cerveau. Pendant la conversation, Valérie subit trois nouveau clients. Deux dans le cul, et un dans la chatte. Tandis qu'un autre lui prenait une nouvelle fois les reins, la travaillant doucement pour faire durer le plaisir, son boss s'accroupit prés d'elle, il lui caressa les cheveux, tandis que son client imperturbable, continuait sa sodomie.

- Je vais y aller. Par contre il y a beaucoup de monde, on est samedi soir.

Valérie tourna la tête vers lui, le regard résigné.

- Donc pour que tous puissent passer, ils vont passer par trois. Moi je dois y aller, le devoir m'appelle. Bonne soirée à toi.

Les larmes de la femme se mirent à couler. Elle détestait ça, malgré son habitude, c'était douloureux d'en subir trois à la fois. Valérie savait que pour le reste de la nuit, sa chatte, son cul et sa bouche seraient pris en même temps. Son boss, accompagnait de ses gardes, sortit de la pièce en rigolant.

Un peu plus tôt, non loin de là.

En ce bel après midi de juillet, Nathalie se rendait avec sa fille Stéphanie a un meeting organisé par un parti d'extrême droite.

Elles auraient pu s'y rendre en car, puisque des bus avaient été prévus par le bureau directeur du parti, mais le trajet à supporter pendant plus d'e cinq heures, avec des militants, des ouvriers, des gens qui n'étaient pas de leur milieu social, avait fait que les deux femmes avaient préféré s'y rendre en voiture, par leur propres moyens personnels. Elles auraient put y aller, accompagnées par le chauffeur de la famille, avec leur belle Mercedes, mais Nathalie préférait la discrétion, ne pas faire savoir que l'une des femmes les plus riches du monde, soutenait, au fond d'elle, même auprès de ses proches, un parti aussi sulfureux.

Enfin c'était surtout la mère, Nathalie qui avait décidé de cela. Stéphanie elle s'en foutait, peu importe le moyen de transport, tant qu'elle assiste au meeting...

De plus, elles avaient décidée de s'arrêter au retour afin de faire des emplettes dans les boutiques de grand luxe de la grande ville.

Elles avaient donc pris une des voitures de maman, la plus discrète, la plus passe-partout, une petite Mini à la mode, voiture de bourge et la mère et la fille étaient parties, direction la grande ville.

Nathalie avait 50 ans ce même jour.

Comme sa fille lui avait demandée ce qu'elle pouvait lui faire pour entrée dans la cinquantaine, Nathalie lui avait répondu que son plus beau cadeau serait qu'elle l'accompagne au grand meeting politique de ce parti que Nathalie affectionnait particulièrement.

Stéphanie avait trouvé l'idée un peu étrange, pour un cadeau d'anniversaire, mais comme c'était une fille docile elle ne pouvait rien refuser à sa mère, surtout que elle aussi avait fort envie d'y aller.

D'ailleurs, Nathalie étant une femme extrêmement autoritaire, il n'était pas très bon de lui tenir tête.

Stéphanie avait donc tout naturellement acceptée, bien que cela ne l'enthousiasme pas particulièrement de faire ce long trajet dans cette petite voiture, sans le confort des grandes berlines dont elle avait l'habitude.

Stéphanie était autant xénophobe que sa mère... sinon plus. Elle trouvait juste ce parti un peu trop gentil à son goût. Il n'allait pas assez loin avec ce qu'elle surnommait « les étrangers ».

De surcroît Stéphanie vouait une véritable admiration pour sa mère, Nathalie était comme une déesse pour elle, un exemple à suivre.

Nathalie avait rajoutée qu'elles fêterait son anniversaire en s'arrêtant dans un restaurant renommé et triple étoilé, le soir en rentrant après le meeting politique.

Nathalie était une belle bourgeoise, oisive, aisée, très hautaine, très méprisante avec les autres.

Elle avait un poste a très haute responsabilité dans le secteur bancaire. Enfin, plus un emploi de façade, qu'un véritable travail, son mari étant le propriétaire de la dîtes banque. Enfin, officiellement, car en fait c'était à elle que la banque appartenait. Son mari était PDG d'une énorme multinationale, il était fréquemment absent en déplacement à l'étranger. Bien qu'en fait cette grande multinationale soit l'héritage de Nathalie, c'était son mari que la dirigeait. Avec succès, car sous ses ordre, la société avait prit une grande ampleur, multipliant son chiffre d'affaire par mille. Passant de grande société régionale, à une des dix plus rentables au monde. Ça faisait longtemps qu'entre Nathalie et son mari tout amour avait disparu, ainsi que tout acte sexuel. Ils restaient mariés par profit commun. Lui parce que si il divorçait, il perdait tout, adieu la direction de la multinationale, adieu le train de vie, tout appartenait à Nathalie. Sa femme restait mariée car elle savait que sans son mari, sa société pouvait s'écrouler. Bien qu'incroyablement prospère, la société avait des emprunts colossaux, nécessaire à son expansion. Avec la gestion actuelle, tout allait bien, mais le moindre grain de sable pouvait tout enrayé. Nathalie, bien que peu douée en affaire savait une seule chose, si l'homme qui avait fait la splendeur de sa multinationale partait, tout les investisseurs pouvait quitter le navire, les actions pouvaient s'écrouler. Alors tout le monde restait sur ce statut-quo, bénéfique au portefeuille de chacun des deux époux. La seule concession qu'ils se faisaient étaient encore de dormir ensemble. Plus par habitude que par envie. Nathalie avait encore beaucoup de respect et de tendresse pour son mari, le considérant plus comme un ami, que comme un conjoint. Elle savait au fond d'elle même qu'il en était pareil pour lui, du moins le croyait-elle.

Nathalie était de taille moyenne, elle avait les cheveux mi-longs, châtains très clairs, pratiquement blonds. Elle avait un corps bien conservé pour son âge, car elle s'entretenait dans des salles de fitness.

La quinquagénaire possède une très belle poitrine, un bon 95 D, encore bien ferme, vu son âge, des seins dont elle était très fière.

Stéphanie elle avait 20 ans, blonde, les cheveux très longs, coiffé en queue de cheval.

Nathalie qui avait des ambitions politiques avait l'intention de rencontrer à ce meeting des personnalités régionales mais aussi nationales afin de faire un deal avec une personnalité très en vue de ce fameux parti. Un financement caché, mais énorme pour la présidentielle. Avec pour elle, un poste de ministre si cette fameuse personnalité gagne les élections. Nathalie se verrait bien ministre des finances. Mais en attendant que son parti adoré soit au pouvoir, il fallait rester discrète. Ne pas mettre les actifs de la société en péril. Garder tout ça secret, jusque à la victoire finale.

Pour la circonstance, Nathalie avait mis un petit tailleur qu'elle affectionnait particulièrement. Petit tailleur d'été, en tissus léger, veste croisée, jupe droite au dessus du genou, et escarpins à talons hauts.

Comme nous étions en été, qu'il faisait chaud, mais aussi parce qu'elle aimait bien ça, elle portait la veste de son tailleur à même la peau, avec juste un soutien gorge sous la veste du tailleur.

Soutien gorge en dentelle noire à balconnets qui faisait ressortir sa belle et opulente poitrine dont elle était si fière, dont la fine dentelle contrastait érotiquement avec la blancheur de sa peau.... Elle avait aussi mis un joli collier en perles sur trois rangs. Un collier qu'elle ne portait que très rarement, à son grand regret.

Sous la petite jupe légère au dessus du genou elle avait juste une culotte de forme brésilienne en dentelle noire elle aussi.

Stéphanie elle était habillée d'une petite robe d'été noire à très fines bretelles ... C'était une très belle fille, d'une beauté rare. Des cheveux d'un blond éblouissant, des yeux verts magnifique, un petit nez mutin et une bouche fine la faisait ressemblé à un elfe. Petite, elle ne mesurait qu'un mètre soixante, très mince, elle ne pesé que quarante-quatre kilos, lui donnait un aspect d'une fragilité extrême. La jeune fille avait la peau diaphane et douce des vierges. Très croyante elle comptait rester vierge jusque au mariage. Elle avait une poitrine moyenne, un 90C, aux seins bien rond et ferme. Son cul était magnifique, un des plus beau du pays. Petit, mais bien rond et bombé, il était superbement mis en valeur par une chute de rein sublime. Ce jour-là, elle n'avait pas mis de soutien-gorge, ça n'aurait pas fait beau avec sa petite robe laissant le dos nu. Par contre elle avait mis un mini-string noir, car Stéphanie adorait les dessous sexy, même si pour l'instant elle était la seule à les voir.

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