Jung-Hyun & John 04 - L'uniforme

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Pouvait-on ne pas adorer ces petits pieds délicats et sensibles? était-il sensé résister à la vue si affriolante de ces chaussettes bleues qui bandaient étroitement ses extrémités?

Lorsqu'il fut rassasié, il glissa la joue le long des mollets de l'asiatique en uniforme. La ligne de ses bas était trempée de ses eaux. Sous sa jupe ouverte, ses belles cuisses pâles étaient couvertes de giclées des éjaculats féminins qui brillaient à la lumière jaune de la pièce.

Suivant la ligne de ses cuisses, le regard arrivant sous son nombril rejoignit le délicat nuage pubien qui recouvrait son mon de vénus clair comme le marbre de ses poils parfaitement noirs et épais. Tout était fait de contraste chez cette femme, pensa-t-il.

Il pencha la tête en avant, glissant les lèvres contre ses genoux, dépassant la limite humide de ses chaussettes. Puis il sentit la peau nue et chaude des cuisses de Jung-Hyun contre la commissure de ses lèvres et sorti la langue pour en lécher la surface.

--Qu'est-ce que tu fais? fit Jung-Hyun d'une voix tremblante.

Le plat de sa langue s'écrasa contre la peau et se mit à parcourir ses cuisses souillées par ses fluides. Elle protestait encore une fois, et encore une fois il poursuivit sans l'entendre.

N'acceptait-elle pas qu'il lèche les effusions dont elle avait arrosé ses deux belles cuisses? Elle prétendit qu'elle était sale. Mais il la tenait toujours aussi fermement par les chevilles, lui interdisant toute échappée.

Sale? se dit-il. Elle n'était pas plus sale que lorsqu'il avait enfoui sa langue en elle quelques jours plus tôt. En quoi était-ce plus sale de lécher les fluides à la surface de ses cuisses que de les boire à la source?

Comme il continuait et comme l'excitation l'emportait, Jung-Hyun signa enfin sa capitulation en s'exclamant d'une voix aussi tremblante que charmante :

--Le professeur John... est un vrai voyou!

Il lécha toute la surface de ses cuisses, sentant sous ses papilles le goût légèrement salé des jus d'extase de la belle asiatique. Elle tortillait son bassin, gémissant encore une fois des pénibles chatouilles dont il hérissait ses terminaisons nerveuses.

Entre ses cuisses, sous son monticule pileux d'un noir absolu, sa fente nue dévoilait par contractions successives son sillon rose et excité. Elle protestait, mais son corps trahissait son envie instinctive.

Alors il s'élança à nouveau, et aplatit sans plus de détours sa grande langue contre la fente de la l'étudiante qui, immédiatement, laissa une complainte de plaisir filer hors de sa gorge.

Il sentit les deux lèvres génitales humides et dilatées glisser sous sa langue, qu'il lécha sur toute leur longueur depuis la limite du trou de son petit cul jusqu'à sa toison pubienne.

La pointe dure et fine, suivant le passage de la large surface chaude de sa langue, remontait son chemin en labourant la fleur de ses délicates muqueuses. Elle s'engouffrait entre ses lèvres, plongeant vers la source humide et maternelle, défaisant chaque plis de chair tendre et brûlante.

Alors que l'appendice remontait le fragile sillon, son extrémité rigide écartait ses petites lèvres baveuses d'étudiante, caressant son urètre et modelant la boule de son clitoris.

Le souffle de la coréenne se coupa. Ses deux cuisses s'immobilisèrent autour de la tête de John qui remontait lentement sa vulve juteuse avec la patience d'un maître.

Puis seulement lorsque la pointe de sa langue s'arracha de son bulbe à vif, l'asiatique en uniforme gémit d'un souffle lourd et chantant.

Un ténu filet de salive et de cyprine reliait à présent l'extrémité de sa langue au clitoris de son amante. John releva les yeux vers elle. Jung-Hyun le fixait de ses deux perles noires changées en braises sous ses paupières épaisses et effilées.

***

Son visage sortait d'entre ses cuisses bouillantes. Son regard de bête fauve dévorait son corps sans défense. Elle avait joui une première fois et cette langue experte la ramenait déjà au bord de l'orgasme.

Son sang palpitait à travers ses chairs érogènes, transportant ses flux de dopamine à travers son cerveau. Pouvait-elle jouir de la seule vue du visage de l'occidental se délectant de sa vulve? Elle se senti se dilater plus encore.

Elle tenta d'articuler quelques mots entre deux frissons de plaisirs. John resta immobile à la regarder combattre ses tremblements pendant un instant, puis il lécha la commissure de ses lèvres d'homme maculées de sa sève dans un mouvement de cette langue qui donna une nouvelle onde de chaleur à la femme.

--Qu'est-ce que t'essayes de me dire?

Ses mots ne sortaient pas, seuls ses souffles irréguliers parvenait à sa gorge.

--Parles, fit-il sévèrement, je ne bouge pas tant que tu n'auras pas dit tout ce que t'as envie que je te fasse.

Dans un nouvel effort, Jung-Hyun soupira :

--Lèche moi.

--C'est tout?

Son vagin palpitait. Non, ce n'était tout.

--Doigte moi.

--J'ai pas entendu.

Les élancements féroces de sa vulve étaient plus forts que les chaines pudiques qui retenaient son esprit.

--Enfonce tes gros doigts en moi et donne-moi un orgasme avec ta langue.

Le visage du mâle s'éclaircit d'un sourire satisfait.

Puis alors qu'il la fixait toujours, elle sentit la main de John remonter sous sa jupe, et glisser de bas en haut le long de sa fente. La rudesse de cette peau de bucheron harcela ses tendres tissus, jusqu'à s'enduire d'une quantité suffisante de cyprine.

Le professeur replongea lentement la tête entre ses deux cuisses chaudes, et embrassa sa fente de sa grande bouche, juste en dessous de sa touffe pubienne.

Elle prit de profondes inspirations car à l'entrée de sa grotte, ce n'était plus seulement un indexe qui titillait doucement ces fines petites lèvres, mais deux énormes doigts d'homme, longs et forts, qui lui ouvriraient les cuisses d'un instant à l'autre.

Ses deux doigts s'avancèrent en elle, doucement, écartant et massant les muqueuses fragiles. Il s'introduisait en elle sans hésitation mais avec précautionneusement, s'enfonçant dans la chaleur de son ventre dans la limite étroite du plaisir et de la douleur.

Elle sentit ses premières phalanges disparaître en elle, écartelant son tube intime. Le plaisir à la limite de la peine s'élançait en elle alors qu'il enfonçait ses gros doigts dans sa sensible fente ouverte. Elle se contracta soudain, sentant que l'étirement de ses chairs devenait trop intense. Il s'immobilisa.

Jung-Hyun était tendue autour de lui. Son vagin trouvait ce corps trop large en elle. Il lui semblait qu'elle reposait en équilibre précaire. Avait-elle été trop ambitieuse?

Soudain John avança la bouche vers ses lèvres génitales grandes ouvertes, et entoura son clitoris d'une sensation chaude et humide. Puis il la suça de toute la force de son buste masculin, tirant par dépression le bulbe hors de son capuchon.

Jung-Hyun retenant son souffle sentit alors la langue de l'occidental enserrer son bouton entièrement déployé et parfaitement à vif. Il l'embrassa, glissant autour de son clitoris dans un tourbillon d'une chaleur tellurique.

Elle en cria presque. La sensation l'emportait.

Sa chatte se desserra enfin. Les gros doigts huilés de ses jus glissèrent en elle sans plus de retenu.

Elle senti la deuxième phalange dépasser ses petites lèvres tendues. L'ouverture souple de son entre-cuisse l'accueillait, s'écartant autour de la masse dure et grosse qui la pénétrait.

Puis la pulpe de ses doigts atteignit le fond de sa grotte dilatée. La rigide barre se déforma : il ondulait langoureusement en elle.

Il la massa de l'intérieur, caressant ses sensibles cuirs érogènes selon la technique parfaite qu'il lui avait déjà fait subir plus tôt. Cette fois-ci cependant, sa bouche était collée sous son pubis. Sa puissante langue était enroulée autour de son clitoris mis à nu.

Son souffle sortait d'elle. Elle criait peut-être, elle ne le savait même plus. Entre ses cuisses, une bête redoutable aux cheveux châtain et à la mâchoire carrée la perçait et la dévorait. Ses joues d'homme caressaient ses cuisses de femme sous sa jupe de lycéenne. Sa langue jouait avec son bourgeon en extase, ses doigts lui défaisait le tube vaginal élargit de plaisir.

L'orgasme arriva avec toute la violence d'une éruption. Elle eût soudain un gémissement involontairement aigu, le cri obscène et angélique d'une lycéenne qui allait jouir.

Elle élança tout à coup ses mains, accrocha solidement ses petits doigts dans la tignasse de l'homme qui la labourait. Puis elle l'écrasa de toutes ses forces contre sa vulve.

Ses jambes soudainement animées d'une conscience propre se soulevèrent d'elles-mêmes. Elles s'enroulèrent derrière le coup de buffle de John, puis les deux collants se serrèrent autour de lui avec une puissance qui aurait broyé le crâne de n'importe quel autre homme.

La petite asiatique en uniforme jouit intensément. Elle ne maîtrisait plus sa force. Elle sentit un craquement des vertèbres qu'elle lui remettait en place entre ses cuisses, et cette sensation soudaine de dominance décupla encore son orgasme.

Son cul se contractait. Ses hanches ondoyaient au rythme des contractions de son vagin saccagé. Elle baisait brutalement le visage de John, disparu entièrement sous sa jupe de lycéenne.

Le terrible grondement de l'orgasme arrachait seconde après seconde toutes les sensations de son corps, de la pointe brulante et dure de ses seins aux profondeurs de sa vulve gavée de force.

Elle s'épuisait jusqu'à la dernière étincelle d'énergie, jusqu'à ce que ses jambes de défassent, que ses doigts se desserrent, que son dos dressé retombe à plat sur la surface du lit. Elle était fourbue, terminée, inerte, fumante de chaleurs et de parfums orgiaques.

Le professeur cessa son ouvrage. La démonstration était faite.

Les lèvres de John quittèrent sa vulve rompue. Il tira lentement les deux gros doigts qu'elle poussait en dehors d'elle, rendant une par une ses phalanges à l'air extérieur, charriant ses afflux de sève visqueuse qui dégoulinaient le long de sa main.

Il resta un instant face à ces cuisses ouvertes, tremblantes encore de l'orgasme qu'il venait de lui infliger. Il regardait sa chatte ravagée, ouverte, dégoulinante, et dont les tissus reprenaient lentement leur place sous ses yeux, chassant les bulles d'air et de cyprine hors de ses petites lèvres rassasiées.

Il adorait cette vue, se dit Jung-Hyun, cela ne faisait aucun doute. Elle resta ouverte malgré la honte manifeste qui s'emparait d'elle. Celle de demeurer nue, ses chairs intimes toutes palpitantes et sales d'orgasme, l'anus même dévoilé aux regards indécents d'un homme encore habillé.

Elle s'appropriait cette honte. Elle ne retenait plus les contractions de sa vulve qui reprenait sa forme habituelle, elle ne retenait plus en elle le filet de jus qui ruisselait de son embouchure féminine.

Il s'essuya la bouche de sa main, se releva et vint s'écraser sur l'étroit lit à ses côtés.

Après quelques minutes enfin, il prit la parole :

--Tu sais quoi, cet uniforme finalement, tu devrais le...

--...le garder. Je vais définitivement le garder.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

vivement la suite !! très belle histoire.

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