Jung-Hyun & John 04 - L'uniforme

BÊTA PUBLIQUE

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--Non s'il vous plaît! Il doit bien y avoir quelque chose que je puisse faire pour vous convaincre...

--Ah oui? Et que proposez-vous?

--Je peux faire quelque chose pour vous, peut-être?

L'étudiante s'avança timidement vers son professeur, gardant la tête baissée vers ses pieds.

--Quelque chose pour moi? C'est-à-dire?

Jung-Hyun ne dit rien, elle se contenta d'attraper le pli de sa jupe de ses deux mains. Puis elle remonta très lentement le tissu vers le haut, dévoilant ses cuisses blanches de jeune vierge.

John fixait la fille avec le visage fermé. Il n'y avait aucune chance que le professeur John résiste à ça, se dit-elle. Déjà pouvait-elle voir que la ligne de sa jupe captait toute son attention.

--Poursuivez.

Elle dévoila ses cuisses jusqu'au deux tiers, puis relâcha le tissu avant que sa limite n'arrive tout à fait en haut.

--La motivation est clé, vous savez? Clairement vous n'en avez pas suffisamment.

--Je peux aussi faire... cela?

Elle glissa les mains le long de son buste jusqu'à sa poitrine. Puis elle défit un bouton de son chemisier, qui libéra un peu plus la raie de ses seins caressés par le foulard.

--Et puis, cela.

Elle se pencha en avant, passa les mains sous sa jupe et tira sa culotte qui tomba au pieds de ses collants bleus. Elle enjamba l'humble culotte de jeune femme, la saisi et la présenta au professeur, tête baissée au sol.

John la saisi, une tache aqueuse décorait la bande étroite qui joignait l'entre-jambe. Il palpa irrespectueusement l'humidité du tissu soyeux devant l'étudiante aux joues rouges de honte.

--Approchez.

Jung-Hyun sentait son cœur s'emballer face à cet homme d'âge mur. Tous les profs n'étaient pas aussi beaux, se dit-elle. Ça valait définitivement le coup d'avoir de si mauvaises notes.

Elle fit un pas vers la chaise de bureau, ses deux mains se rejoignant derrière son dos, jusqu'à ce que la pointe de ses pieds jouxte ceux du canadien qui y était assis.

Il leva sa main vers l'intérieur de ses genoux. Elle le senti frôler la surface de ses collants, provoquant un frisson d'excitation le long de ses jambes.

La large main poursuivi sa lente course vers le haut, dépassant le col de ses collants vers sa peau nue. Plus il remontait et plus le frisson se faisait puissant.

Centimètre par centimètre les pores se sa peau se serraient et ses poils inexistants se dressaient sur toute la surface de ses jambes.

--Regardez-moi, intima l'homme.

Jung-Hyun releva les yeux tremblants, montrant son visage rougi au professeur.

Il la fixait dans le fond des yeux avec son air sévère alors qu'elle le sentait remonter sous sa jupe.

Son visage et ses cuisses tremblotaient au fur et à mesure que les doigts du professeur s'enfonçaient entre la chair de ses deux cuisses.

Une goutte de cyprine qui coulait déjà de son entre-jambe nu humidifia l'index qui remontait inexorablement à la source.

Alors qu'il n'était plus qu'à quelques centimètres d'atteindre sa fente excitée, Jung-Hyun se pinça les lèvres en tentant de retenir le filet d'air qui gémissait hors de sa gorge.

Le sang battait contre son visage. Elle ferma les yeux par reflexe.

Puis elle se souvint de l'ordre du professeur, alors elle les rouvrit pitoyablement pour le regarder.

Enfin la main s'écrasa contre les deux lèvres chaudes sa vulve mouillée. Il tourna la paume vers le ciel, pour mieux enserrer la petite chatte de la fille.

A ce geste sa bouche se délia, laissant une plainte virginale et retenue siffler hors de ses lèvres, tandis que ses deux cuisses s'ouvraient dans des tremblements de plus en plus marqués.

La coupe de sa paume la serra sous sa jupe, écrasant ses sensibles plis de chair.

Une nouvelle plainte échappa à ses cordes vocales.

--Que dites-vous?

Elle sentit la grande main qui la serrait redoubler de force contre sa vulve.

--Je... Ahh...

Il se mit à la malaxer lentement alors qu'elle tentait péniblement de répondre.

--Je dis... que les premières de classe ne savent pas ce qu'elles ratent.

--Tenez-vous droit, insolente.

Bataillant pour garder la même position tout en retenant ses gémissements, sa petite tête de la coréenne se mis à vibrer et ses cheveux noirs se défaire en tombant sur ses épaules.

Elle senti ensuite le majeur du Canadien se dresser entre ses lèvres baveuses. La pointe de son doigt cherchait l'entrée de sa grotte en en caressant l'embouchure, remuant ses terminaisons nerveuses à vif.

L'homme avança la pulpe de son doigt qui atteint l'entrée entre ses cuisses, puis il se glissa en elle en la fixant de ses yeux impassibles.

Son majeur s'étira, pénétrant son étroit tube de vierge. Il s'immobilisa un moment ainsi, puissamment enfoncé droit entre ses cuisses.

Jung-Hyun, les deux mains jointes dans le dos, se sentait comme clouée sur cette grosse main chaude qui massait sa petite fente d'étudiante. Si John avait réellement été professeur dans son université une quinzaine d'années plus tôt, pensa-t-elle, il y aurait eu une file d'attente tous les soirs devant son bureau.

Puis il courba son majeur, entrainant de ses imposantes phalanges les plis de muqueuses de la coréenne. Il pliait le doigt à la manière d'un crochet au fond de sa petite chatte, répétant le mouvement en déplaçant les sensibles parois de son vagin.

Elle pinçait la bouche au point de se faire mal et ses souffles lourds et profonds s'échappaient avec peine de ses narines qui deviendraient bientôt trop étroites pour un tel flux d'air. Tout son corps commençait à vibrer d'une manière de plus en plus incontrôlable et ses deux cuisses ne la soutenaient presque plus.

Elle sentait sa vulve dégouliner de fluide abondant et chaud, ses tissus se dilater autour de ce doigt qui lui caressait l'intérieur du ventre. La chaleur montait rapidement en elle. Sa jupe se changeait en étuve et ses cuisses devenaient brûlantes.

La boule ferme et musculeuse à la base du pouce du professeur écrasait son fragile clitoris dans un pétrissage lancinant. Les mouvements de ce doigt se faisaient insupportables ; la large poigne qui opprimait sa fente allait bientôt la faire jouir.

Elle se raidi, contraignant son corps, car ses jambes voulurent se tordre. Le creux de ses hanches s'apprêtait à libérer sa puissante onde orgasmique. Encore quelques battements du majeur et elle y serait.

Ses douces cuisses se serrèrent autour de la main de brute. Une complainte tremblante sortit d'entre ses lèvres. Son vagin se contracta autour du gros doigt, étreignant la tige jusqu'à en ressentir chaque phalange.

Mais soudain l'homme s'arrêta. La coréenne au bord de l'éjaculation en fut transie de surprise.

--Ahh...! Jo... Professeur! supplia-t-elle dans un pénible raidissement de ses muscles.

--Vous ne croyez tout de même pas que je vais faire tout le travail pour vous?

Il tira son doigt puis sa main en dehors d'elle, forçant contre les cuisses qui tentaient insolemment de le retenir au creux de sa chaleur nuptiale.

Jung-Hyun, écrasée dans sa chemise étroite, nue et dégoulinante sous sa jupe bleu sombre, continuait de trembler désespérément.

Elle resta debout, mains dans le dos, les deux genoux bloqués l'un contre l'autre. L'étudiante se battait contre elle-même pour garder le dos droit, son corps consumait sa terrible frustration.

Au fond de son bassin, l'orgasme avorté pulsait. Il dévorait son vagin de vagues furieuses et brûlantes.

--Asseyez-vous là.

John désigna le lit de jeune fille. Jung-Hyun s'exécuta en écrasant ses plaintes en elle. Ses deux cuisses tressaillaient à chaque pas, à la chaque infime frottement de ses lèvres.

Il saisit son verre de soju et la regarda gigoter inconfortablement sur le bord du lit pendant un moment.

--Je vous ai montré la méthode, à vous de la mettre en pratique.

Que voulait-il dire? Elle le regarda sans comprendre alors que les bouffées de chaleur emportaient sa respiration contrainte dans sa chemise.

--Ce n'est pas clair? reprit-il, caressez-vous.

Se tripoter, seule, sous ses yeux? Sentir le regard et le jugement de son professeur dans ces moments les plus intimes? Elle redevint rouge, baissa les yeux vers ses chaussures.

L'homme attendit quelques instants, observant d'un air détaché le corps de l'asiatique chauffé à blanc. L'étudiante grimaçait, son uniforme sage et entrouvert était traversé de soubresauts. Elle comprenait la consigne, sa chatte la harcelait d'élancements insatisfaits, mais elle ne bougeait pas.

Décontracté, jambes croisées et verre d'alcool à la main, le professeur reprit la liasse de copie de l'autre dans un geste impatient.

--Très bien. Après tout, puisque vous n'êtes pas capable de reproduire quelque chose que je viens de vous montrer, c'est que vous n'êtes véritablement pas faite pour de longues études. Au moins maintenant vous le savez. Enfin, vos parents seront bien déçus.

Puis, se tournant sur sa chaise pivotante, le professeur lui fit volte-face. Il posa la liasse de papier sur le bureau dans un léger claquement.

Il sirotait son verre comme si de rien était. Jung-Hyun tremblait, elle sentait que bientôt la désagréable sensation du déni d'orgasme prendrait racine dans son corps.

Elle recula son bassin sur le lit, plaça ses deux pieds sur la couverture rose et passa lentement sa main sous la chaste jupe de son uniforme.

Sous l'épais tissu, ses doigts explorèrent ses cuisses nues et humides, parcourant sa peau jusqu'à la commissure de son entre-jambe.

Elle passa à travers la délicate forêt noire de son mont de venus, caressant ses chairs endolories par la fraiche rupture de son plaisir.

Puis la pointe de ses doigts fins rencontra le sommet de sa fente. A ce contact elle sentit son antre affamé réveiller sa soif soudaine et brutale. Elle glissa le long de ses lèvres tuméfiées, plongea deux doigts dans ses muqueuses bouillonnantes et appliqua la force délectable d'un massage bien mérité.

Son corps se réveillait, ses nerfs de la pointe de ses pieds au sommet de son crane sortirent de leur torpeur. Sa main pétrissant ses chairs molles et baveuses se mit à décrire des cercles de plus en plus larges.

L'embouchure insatisfaite de sa vulve dilatée, à nouveau dégorgeante de cyprine claire et aqueuse, se mit à produire un son mouillé et régulier à chaque mouvement de ses doigts sous sa jupe.

Le son délicieux et familier attira l'oreille du mâle, toujours attablé à l'autre bout de la petite pièce. Il tourna d'abord la tête sur le côté, puis lentement, se retourna tout entier pour lui faire face.

Jung-Hyun fixait ce grand corps dans son élégant costume. Le visage masculin qui la regardait silencieusement se toucher provoqua soudain de nouvelles bouffées chaudes à travers sa poitrine.

Il desserra le col de sa chemise. Est-ce qu'elle lui donnait chaud? Elle le fixait droit dans les yeux en poursuivant sa masturbation sous son uniforme. Lui, continua de déguster nonchalamment son alcool devant ce licencieux spectacle qu'elle lui offrait.

Une première onde de plaisir se déversa soudain en elle, comme première bourrasque avant la tempête grondante.

Ses tétons se durcirent contre le tissu de sa chemise, si bien que même l'épaisse toile ne parvint plus à masquer la forme de ses auréoles qui se dressaient au sommet de ses mamelles.

Elle défit un nouveau bouton, libérant la contrainte de son décolleté à mi-hauteur de sa poitrine.

Au milieu de cette honteuse exhibition de peau blanche, l'innocent foulard bleu devenait une affriolante décoration lui caressant le buste sans parvenir à le couvrir. Il tombait juste entre ses seins dont la pulpe grasse et débraillée écartait les deux pans de son chemisier.

Le professeur John décroisa les jambes, prenant une autre gorgée de soju.

Les yeux de l'étudiante descendirent son buste imposant jusqu'à la boucle de ceinture dont le métal mat brillait au-dessus de son entre-jambe.

Ses doigts caressant sa vulve redoublèrent de langueur car doucement, elle vit sous ses yeux se construire l'érection du mâle. La forme de son large sexe se laissait deviner, gonflant de sang en soulevant la fine toile de son pantalon de ville qu'il ne couvrait pas.

Une étudiante en uniforme, sa fragile poitrine à moitié défaite, la main plongée sous sa jupe se caressait en le fixant de son regard effronté, et c'est encore tout ce que cela provoquait en lui? se dit Jung-Hyun, presque fâchée.

Elle souleva doucement sa jupe, dévoilant à nouveau ses cuissots nus et ouverts, brulants d'excitation. Elle observait la braguette de l'homme, satisfaite de ce que chaque millimètre de son corps qu'elle lui révélait provoque une nouvelle pulsation du membre du canadien.

Poursuivant la découverte des secrets de son anatomie, elle tira le pli de sa jupe qui dévoila petit à petit son entre-cuisse d'une pâleur virginale.

Lorsqu'enfin la fraicheur de la pièce souffla sur ses délicates chairs aux derniers degrés d'excitation, elle vit le membre de son professeur se tendre à son maximum. Sa main et ses doigts fins, appliqués à leur délectable ouvrage, couvraient encore pudiquement le mystère de sa fente qui la brûlait de plaisir et dont les effluves chauds coulaient le long de ses ongles pales.

L'obscénité scandaleuse de se donner ainsi en spectacle à un homme en élégant costume provoquait à travers elle un inavouable déluge d'excitation.

Il la regardait, chaude, coulante, immorale. Il bandait éhontément face à la débauche d'une étudiante éperdue qui, pour une bonne note, se transportait au bord de l'extase.

Ces pensées sales et coupables submergeaient son esprit. Ses caresses devinrent plus fortes et plus rapides, les bruits de succion plus humides, d'une licence répugnante et irrésistible.

De sa petite bouche d'étudiante sortaient ses souffles profonds et dont les tremblements s'étoffaient peu à peu d'une mélodie innocente et pécheresse.

L'homme en costume n'en pu plus de regarder cette sucrerie en uniforme débraillé qui coulait d'extase sous ses yeux. Il défit sa braguette et sorti l'imposante tige de son pantalon.

Jung-Hyun l'observait, les yeux embrumés, ses petits doigts massant langoureusement son clitoris aux portes de l'orgasme.

Sa queue d'occidental était grasse et longue, son érection dure comme la pierre. N'allait-il pas enfin se jeter sur elle et l'engrosser sauvagement? Il saisissait maintenant son énorme tige, la caressant de bas en haut, décalottant ce gros gland. Sa vulve n'en gardait-elle pas encore le souvenir?

Cette bite s'enfonçant en elle, ses petits doigts malaxant sa vulve au bord du gouffre, ses hanches se cabrant de plaisir ; tout se mélangeait dans son esprit. Une seule chose était bien réelle dans son esprit, il se masturbait face à elle et elle face à lui!

La décharge de l'orgasme la traversa soudain comme un coup de feu. Ses jets de fluides clairs sortirent sans retenu de son urètre, éclaboussant les draps et sa jupe d'uniforme.

Le large sexe se cabrait face à elle, prépuce soulevé et rabattu par la main du mâle. Cette grande queue! Il lui fallait combler son tube vaginal. Elle plongea les doigts en elle, allant décrocher l'orgasme au plus profond de son organe.

Elle jouit face à l'homme, salement, bruyamment, sans plus aucune retenue.

Il la regarda se vider de ses flux, massant lentement sa longue queue de bas en haut. Puis lorsque la petite main de la coréenne ralentit ses caresses, lorsque les pulsations de son bassin qui labourait les draps se turent, le professeur s'arrêta lui aussi.

Elle resta immobile un moment, jambes nues grandes ouvertes, sa jupe de lycéenne mouillée et soulevée face à l'occidental. Elle le laissa paître de son corps défait, se rassasier les yeux de sa débauche.

Puis, sentant la fatigue lui transir les bras, elle se laissa tomber sur la surface du lit. Allongée bras ouverts, sa poitrine uniquement couverte des pans de tissus tendus de sa chemise échancrée, elle reposait son regard.

Des étoiles fluorescentes constellaient le plafond de sa chambre d'enfant. Elle se souvint du jour où elle les avait collées, debout en équilibre sur un escabeau dérobé à la cuisine. Qui aurait imaginé que ces astres seraient un jour témoins d'une telle scène? Ses étoiles auront enfin fini par lui porter chance. Cette pensée la fit vaguement sourire.

John s'approcha du lit silencieusement. Elle releva la tête en tendant le cou. Il était parvenu à ranger son érection toujours bien vivante dans son pantalon de costume.

Il s'accroupi face à la lycéenne, puis il attrapa ses deux frêles chevilles dont ses doigts d'homme faisaient allégrement le tour. Qu'allait-il se passer maintenant? se demanda-elle. Avait-il l'idée d'une nouvelle leçon?

Le canadien ouvrit les deux mollets de fille toujours vêtus de leurs collants bleus. Il la manipulait avec sa force irrépressible de mâle, comme s'il ne s'agissait que d'écarter un rideau.

Cette sensation de fragilité la ravissait. Ces deux mains qui enferraient fermement ses chevilles faisaient d'elle une chose ; la chose du professeur John. Elle se laisserait prendre par lui, pour qu'il la désire et pour qu'il la possède.

Il lui souleva les jambes, les fit plier en rejoignant ses talons à ses cuisses. Alors que cette position soulevait à nouveau sa jupe, elle tenta futilement de serrer les cuisses pour se cacher. Mais la force de John était sans commune mesure avec la sienne ; l'homme lui écarta les jambes dont les muscles ployèrent sans qu'il ne montre le moindre effort.

***

La petite bouille plate de la coréenne se relevait innocemment vers lui. Elle lui résistait sans lui résister, tendait les muscles de ses deux belles cuisses nues sans vraiment vouloir lui échapper.

Son uniforme lui allait encore mieux aujourd'hui qu'il ne pouvait lui aller dix-sept ans plus tôt, se dit John. Sa chemise de lycéenne moulait sa magnifique poitrine dont les tétons durs et sombres se dessinaient sous les fibres blanches. Les boutons presqu'entièrement ouverts de son col semblaient ne retenir le secret de sa gorge que pour mieux souligner la rondeur agaçante de ces deux boules de chair pâles.

Et puis, tombant entre ces seins, ce foulard mince et bleu noué autour du cou fluet de la coréenne lui donnait un air de girl scout dont la candeur du visage était l'exact contre-poids de la licence débraillé qu'elle offrait par son corps. Elle avait un visage d'ange qui venait d'éjaculer sous les yeux d'un homme.

Il pouvait sentir, entre ses mains, la chaleur de l'orgasme encore frais qui rayonnait à travers l'épais tissu des collants de la fille. Il força l'ouverture de ces deux jambonneaux blancs, offrant à ses yeux la vue délicieuse des dessous de son amante.

Ses deux cuisses virginales étaient maculées de ses fluides clairs, trempés par l'orgasme encore battant à travers ses veines.

Il approcha son visage des pieds de la fille, caressant de ses joues ses grâcieuses formes pédestres. Il glissa les lèvres contre la courbe de sa voute, et la coréenne eut un soudain soubresaut. Elle était donc chatouilleuse des pieds? remarqua John sans s'arrêter une seule seconde.

Elle protestait par d'adorables gémissements au contact de son visage. Elle tira brusquement ses jambes vers elle, mais la poigne de John était rigide comme une chaine d'acier. Aucun des efforts qu'elle fit ne parvinrent à la libérer de l'homme qui effleurait ses sensibles surfaces plantaires.

Elle se redressa violemment dans des gloussements incontrôlés, tentant d'atteindre de ses mains l'extrémité de ses jambes. Le professeur releva des yeux sévères vers elle, lui intimant sans un seul mot l'ordre de rester sage. Alors elle s'immobilisa, et dans un long gémissement de défaite rallongea sa tête sur le lit et ses mains le long de son corps.

Elle se soumettait à lui. John ramena le visage à cette délicieuse paire de pieds en reddition et poursuivi les caresses de ses lèvres et de son nez.

Elle ne bougeait plus, mais à chaque mouvement il pouvait sentir ce petit corps se gainer et se tendre. Elle ne se battait plus, mais elle gémissait par de petites plaintes de supplice alors que ses orteils se tordaient au contact du visage de John sur ses nerfs excités.