Je Suis Tellement Désolée Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Je vais au bureau pour une réunion rapide, je serai à la maison vers 18h00. Gillian a reçu l'ordre d'y être. Assurez-vous qu'elle ne porte qu'une robe d'été si elle arrive avant moi. Je ne veux pas commencer cette nouvelle relation par une punition. Je sais que je devrais le faire si elle me désobéit ou ne suit pas correctement les ordres.

- D'accord Monsieur! On peut jouer avec elle? Demandent encore les vois à l'unisson.

- Bien sûr? Je dois y aller. Je vous aime, à plus tard!

- Je vous aime, Monsieur! Disent encore les deux voix.

J'arrive à la maison vers 18h30. Je les avais appelées pour leur dire que j'aurais du retard à cause d'un gros client. Elles ont compris. En arrivant je suis accueilli par Sharon avec un long baiser affectueux qui me donne l'envie de l'attraper, de lui arracher ses vêtements et de la baiser dans l'entrée. Mais Sharon s'éloigne quand je commence à saisir le tissu de sa robe.

- S'est-elle présentée à l'heure et correctement habillée? Demandé-je.

- Oui, mais elle est sur les charbons ardents depuis qu'elle est arrivée.

- Où est-elle?

Sharon sourit et du doigt elle me fait signe de la suivre jusqu'à la chambre d'amis. Elle pousse la porte déjà légèrement entre-ouverte et je regarde à l'intérieur. Gillian est nue sur le lit et joue avec le vibromasseur de Mary. Éparpillés autour d'elle il y a d'autres jouets sexuels. Je regarde Sharon avec un air curieux sur le visage.

- On lui a ordonné d'entrer ici et de ne pas en ressortir avant qu'elle ait joui six fois. C'était il y a quinze minutes.

Comme Sharon, je souris. C'est une façon intéressante de calmer sa libido.

- Allons voir Mary! Dis-je.

Une fois dans la cuisine avec les deux femmes, je demande :

- Alors, êtes-vous toutes les deux d'accord avec cet arrangement pour Gillian? Ça rend notre relation encore plus compliquée. Je ne veux pas vous mettre la pression. Je comprends qu'elle a besoin de quelqu'un et que dans son esprit je suis le meilleur candidat. Mais est-ce que ça va marcher? Je ne le ferais pas si l'une de vous deux a le moindre doute.

Sharon prend la parole en premier :

- Nous en avons déjà parlé. Nous voulons le faire. Tante Gillian a besoin de nous maintenant. Nous sommes les seules personnes en qui elle peut avoir confiance. J'avoue aussi que je me sens coupable de ce que je lui ai fait faire. Et Mary se sent coupable que ce soit son ex-mari qui a fait en sorte de tout dévoiler à tes mais et aux voisins. Et puis je suis excitée de l'avoir comme esclave. Nous nous occuperons d'elle, nous l'aimons et je sais que toi aussi. Tu ne la supporteras pas en tant qu'épouse, mais comme esclave sexuelle. Tu pourras avoir une relation qui comblera tes désirs et les siens. Si nous avons des problèmes nous y ferons face, mais je suis sûre que ça ira.

- Et si on faisait venir des hommes à la maison pour elle?

- Tu peux utiliser ton ancienne maison, mais tu vas voir qu'elle n'a pas besoin d'autres hommes, mais plutôt de femmes. L'expérience de l'année dernière fait qu'elle n'a plus confiance qu'en un seul homme et c'est toi.

- Moi?

- Oui toi! Pourquoi elle t'a offert le collier à toi.

A ce moment notre conversation est coupée quand on entend un « Putain Oui! » venant de la chambre d'amis. Mary rigole :

- Je pense qu'elle vient d'arriver à six!

La porte de la chambre s'ouvre et Gillian, le visage tout rouge, en sort avec une robe d'été blanches à fleurs roses. Je peux voir ses tétons pousser le fin tissu et son jus couler le long de ses jambes. Elle semble vraiment détendue et calme.

- Bienvenue chez vous, Maître. J'espère que vous approuvez mon apparence. Me dit-elle.

Puis elle se tourne vers Sharon :

- J'ai fini ma tâche, Maîtresse.

- Va mettre la table pour le souper. Quatre couverts!

- Oui Maîtresse! Répond-elle avant de partir.

Je me dirige alors vers la chambre principale pour me changer. J'ôte mon costume et, sur les recommandations de Sharon, je mets un short sans caleçon et un polo.

Quand je reviens pour manger, je vois que Gillian a presque fini son assiette par rapport aux notres. Je m'assieds et je regarde Mary d'un œil interrogateur. Elle se contente de me sourire.

La nourriture est excellente. J'en suis à la troisième bouchée quand Gillian termine. Elle se lève de table et emmène son assiette à la cuisine. Elle revient nue, avec seulement son collier. Sharon la regarde de haut en bas, tripote ses seins, son cul, comme pour l'évaluer, puis elle lui dit :

- Très bien! Va chercher ton dessert!

Gillian se glisse alors sous la table et commence à défaire mon short, d'abord le bouton, puis la fermeture éclair. Puis elle tire dessus. Je soulève légèrement mes fesses pour lui permettre de le faire descendre le long de mes fesses. Deux mains douces écartent mes jambes et je sens son souffle sur mes cuisses, puis sur ma bite. Ma queue est lente à réaliser la situation, mais elle commence maintenant à comprendre sa chance.

J'ai le souffle coupé quand elle lèche mes couilles la première fois. Je laisse échapper un peu de nourriture de ma bouche qui tombe dans l'assiette. Quand sa langue se déplace le long de ma tige, je fais attention à ce que j'ai en bouche. Ce qui est très bien, car Sharon me menace d'aller chercher un bavoir si je continue à rejeter la nourriture. Mary et Sharon rigolent et se moquent gentiment de ma situation.

Je m'assure de ne plus rien avoir dans ma bouche quand Gillian aspire ma bite dure comme du roc dans sa bouche. Elle fait tournoyer sa langue autour de mon gland. Mon Dieu que c'est agréable! Sa bouche est chaude, humide et m'excite follement.

Ma Gillian, l'épouse aimante, ne pouvait me faire de gorge profonde. A chaque fois, elle étouffait, manquait de vomir et refusait de continuer. Cette Gillian, femme salope, star de porno, esclave sexuelle était parfaitement à l'aise avec une bite logée au fond de la gorge. Pour me le montrer, elle force ma queue dans sa gorge encore et encore tout en produisant de copieuse quantité de salive que je sens s'accumuler dans ses joues, sur son menton, ses mains et mes cuisses. C'est difficile pour moi de me retenir de jouir avec la pression qu'elle met sur mon gland. Je suis dans une extase si profonde que j'étais incapable de réfléchir.

Je ne mange plus. Mes mains s'agrippent maintenant à la table plutôt que de tenir un couteau et une fourchette pour avaler le délicieux repas qu'ont fait les filles. Mary et Sharon continuent de manger comme si de rien n'était. Mais elles sourient en entendant mes gémissements et les bruits de bouche de Gillian.

-Ça sera à votre tour plus tard! Murmuré-je.

A ce moment-là, Gillian sort ma bite de sa bouche et avale une de mes couilles pendant qu'elle me branle rapidement.

- On y compte bien. Pourquoi crois-tu que l'on porte des robes d'été sans culotte. Rigole Mary.

- Oh mon Dieu!

Je gémis à l'idée que Gillian va leur bouffer la chatte après en avoir fini avec moi. C'est trop, mais je tiens bon.

Mais seulement quelques secondes. La bouche de Gillian descend une fois de plus sur ma queue et je ne peux me retenir de gicler mon foutre dans sa gorge. Elle avale tout et nettoie ma bite et mes couilles avant de s'éloigner de moi.

Ensuite, les yeux de Mary s'illuminent. Je comprends qu'elle est la suivante. Je prends mon assiette et celle de Mary pour les ramener à la cuisine. Je jette les restes à la poubelle avant de revenir. Avec une serviette, j'essuie la bave qui s'échappe de la bouche de Mary en demandant :

- Dis-moi, où est-ce que tu ranges les bavoirs?

- Enfoiré! Dit-elle en haletant pendant que Gillian s'amuse avec elle.

Je ris et je regarde la scène. Je me dis que oui cet arrangement pourrait fonctionner.

Plus tard, nous sommes, Mary, Sharon et moi dans la cuisine en train de nettoyer. Je suis le seul à porter un polo. Nous avons envoyé Gillian prendre une douche après qu'elle eut fini de s'occuper de Sharon. Ses cheveux étaient couverts d'un mélange de salive et de jus de chatte et tout son corps brillait. Son entrejambe et ses jambes n'étaient pas en meilleur état, car ils étaient couverts de son propre jus. Ses poils pubiens étaient tout emmêlés.

- Tu vas aller dans son lit ce soir! Me dit Mary.

- Mais... Commencé-je avant que Sharon ne mette son doigt sur mes lèvres.

- Tu vas avoir droit à une gâterie que Sharon et moi ne sommes pas encore prêtes à te donner. Continue Mary alors que Sharon m'a fait me taire.

Je les regarde toutes les deux en me demandant si je peux savoir ce qu'est la gâterie. Les deux femmes sourient en voyant mon air perplexe.

- Demande-lui de se tourner à son retour et je pense que tu auras la solution. Dit Sharon.

Nous nous retirons dans le salon, moi avec une bière, les filles avec un verre de vin chacun. Sharon apporte un verre supplémentaire avec la bouteille.

- Aujourd'hui nous avons réservé nos vols pour la semaine prochaine. Mary sera la-bas avec moi pendant deux semaines puis elle reviendra. Dit Sharon.

Ce n'est pas une nouvelle, mais une confirmation. Mary et moi avons décidé de déménager au Canada pour rejoindre Sharon. Mary l'accompagne pour trouver le quartier dans lequel nous allons vivre ainsi que visiter des maisons. Je pensais être seul pendant leur absence, mais ça ne va pas être le cas.

Sharon allait reprendre ses études avec seulement une semaine de retard. Nous avions pensé qu'elle reste ici, mais elle aurait dû redémarrer son cursus à zéro. Et comme nous voulions refaire notre vie, nous avions convenu qu'il était plus simple de partir et ainsi de plus avoir sur nous les regards des gens qui croyaient tout savoir.

Et le plus intéressant dans tout ça, c'est que ma patronne Heidi, avait décidé qu'elle aimait cette idée. Elle envisageait donc de déménager sa société au Canada en emmenant les meilleurs employés. Les clients avaient aimé l'idée qu'elle devienne une entreprise internationale et certains voyaient d'énormes avantages d'être sur le même fuseau horaire. Les discussions avec le gouvernement canadien se passaient bien et ma patronne s'attendait à ce qu'il favorise notre nouvelle implantation.

- Mais Gillian devra faire une demande pour déménager au Canada?

- C'est déjà fait. En fait, elle et moi faisons partie du groupe qu'Heidi a envoyé au canadien pour l'obtention des autorisations. Me dit Mary.

- Depuis combien de temps, avez-vous planifié tout ça?

- Pas longtemps, mais nous sommes douées pour ça. Dit Sharon avec un sourire en coin.

- Il y a encore quelque chose que nous voulons faire, mais nous ne sommes pas sûres de savoir comment tu vas le prendre. Dit Mary.

- Quoi?

- Nous voulons formaliser nos arrangements. Si tu es d'accord, je deviendrai ta femme. Dit Sharon.

- Et moi je veux porter un collier comme Gillian. Dit mary en sortant une fine boite carrée.

Je réalise alors que Sharon est la seule à donner des ordres à Gillian et qu'elle est la seule à être appelée « Maîtresse » par Gillian.

- Tu es sûre? Demandé-je à Mary.

- Oh Oui. Quand Gillian nous a dit qu'elle voulait devenir ton esclave sexuelle, nous lui avons posé des tas de questions. Ma chatte s'est transformée en chutes du Niagara d'entendre ce qu'elle ressent. Depuis, Sharon et moi avons un peu expérimenté ce genre de relation. Je veux ça.

- D'accord! Dis-je.

En un clin d'œil, la boite est ouverte et un autre collier doré est prêt à être mis en place. Je demande à Sharon de le fixer.

Gillian revient peu après en se déhanchant et plus heureuse que je me rappelle l'avoir vu cette dernière année. Elle est encore plus heureuse quand elle voit le collier sur Mary. Elle crie de joie :

- Il l'a fait!

Mary et Gillian s'enlacent et s'embrassent avant que Gillian se tourne vers Sharon et moi :

- A-t-il fait l'autre chose? Oh, il ne l'a pas fait. Il a dit non?

Je suis perplexe, mais Sharon répond :

- Nous n'en sommes pas encore là. Agenouillez-vous toutes les deux et regardez.

Instantanément les deux femmes se sont mises à genoux et ont posé leurs mains sur leurs cuisses. Je me tourne vers Sharon et je demande :

- Autre chose?

- je veux t'épouser! Je pense que tu ressens la même chose. Si tu le fais, j'aimerais avoir la bague de fiançailles et l'alliance de ma tante.

- Mais ce sont de mauvais souvenirs pour nous.

- Non. Ils représentent de bons souvenirs, et des souvenirs qui nous entraînent vers une transition vers notre nouvelle famille et notre nouvelle vie. Une famille qui grandira au fur et à mesure que nous y ajouterons des enfants.

- Des enfants?

- Oui nous en voulons tous. Moi j'ai le temps, mais nous pensons qu'il est grand temps que Mary et Gillian aient leur premier.

- D'accord, je veux sans réserve t'épouser Sharon. Si tu veux ces anneaux tu les auras. Je veux aussi des enfants. Nous nous en occuperons une fois que nous serons installés à Toronto.

Ensuite nous avons célébré ces décisions. Mary est allée chercher la bague de fiançailles et je l'ai placée au doigt de Sharon. Des baisers et des câlins ont suivi avant que nous nous installions une fois de plus sur le canapé. Enfin pour Sharon et moi, Mary et Gillian ayant repris leur place à genoux sur le sol devant nous.

C'est alors que je repense à la gâterie promise. Je dis :

- Gillian, lève-toi et fais un tour sur toi-même!

Elle sourit alors que les deux autres se mettent à rire. Elle se lève lentement et se retourne. Je comprends ce que va être la gâterie. Entre les fesses de Gillian dépasse un bijou en forme de cœur, un bijou qui doit être en bout d'un plug. Je devine que je vais pouvoir la sodomiser. C'est une chose qu'elle m'avait toujours refusée auparavant, quelque chose qu'elle trouvait sale du moins c'est ce qu'elle disait. Mais elle l'avait fait de nombreuses fois sur les vidéos et sûrement plus de fois encore quand on lui ordonnait.

Sharon me murmure à l'oreille :

- Je veux le faire aussi. Mais je veux que ce soit avec quelqu'un qui aura de l'expérience pour que ce soit parfait dès la première fois, comme quand tu m'as dépucelée.

Je souris et je l'embrasse profondément avec toute la passion dont je peux faire preuve. Les deux autres ont soupiré avant de nous étreindre.

Puis Gillian s'est lentement éloignée de nous en se dirigeant vers la chambre. Son déhanchement était aussi sexy qu'elle le pouvait. A la porte de la chambre, elle se penche un peu et retire le plug de son cul. Puis elle se glisse dans la chambre en criant mon nom et en disant :

- J'ai besoin de toi!

FIN

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 2 mois

Mon cher Trouchard, il est rare que vos publications se terminent aussi . Rien que pour cette raison, je vous en remercie… À quand la prochaine ?

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

C'est un happy end. Alléluia! Les méchants et méchantes ont été punis/es, mais alors Bob il va devoir assurer avec 3 femelles en chaleur à sa disposition, bon l'hiver au Canada, avec 40 cm de neige, tu restes dans ta cabane.

Blais

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Do you think you'll continue the story by developing the relationship between the three?

curious to see a gillian pov.

And happy that she can make her fantasies come true by consenting.

and curious to see his humiliation and degradation

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Voilà un superbe Happy End comme je les aime. On peut dire qu'ils ont été au bout de leur vengeance, et maintenant ils vont pouvoir tourner la page et en ouvrir une nouvelle qu'ils vont vivre à 4.

Un peu surpris par la décision de Mary d'être elle aussi une esclave sexuelle comme Gillian, mais visiblement, c'est une décision longuement mûrie.

OlivX

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