Je Suis Tellement Désolée Ch. 04

Traduction d'un texte de FullyLoadedUK.

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Alors que je conduis pour aller à l'adresse indiquée, je reçois un autre SMS qui vient du téléphone de Gillian. Il est marqué : « Viens me chercher Bob! »

Qu'est-ce que ça veut dire? Pourquoi ses kidnappeurs la laisseraient-ils utiliser son téléphone? Ou peut-être est-ce eux? Ce message me retourne l'estomac et je me rappelle les vidéos que j'ai vues pour la première fois il y a un peu plus de vingt-quatre heures, Des vidéos qui m'ont été indiquées par un SMS anonyme qui venait en fait de Mary, notre voisine et amie.

Mon téléphone sonne.

- Inspecteur?

- Appelez-moi Mark! Bob, j'ai une voiture dans la rue devant le bâtiment. Dwayne a deux gardes à la porte. Ils ne laissent entrer personne qui ne vit pas dans l'immeuble. Donc nous ne pouvons pas envoyer quelqu'un à l'intérieur pour voir l'endroit et confirmer que votre femme est bien là.

Mais nous connaissons cet endroit. Dwayne est le propriétaire et il y loge certaines de ses « employées ». Mais il ne leur permet pas d'y travailler. D'après ce que nous savons il y a seize appartements mais seulement la moitié sont occupés par ses filles. Les autres sont habités par de vrais locataires, selon nous. La rumeur dit que le grand appartement-terrasse est sa résidence privée lorsqu'il est loin de sa femme.

Afin de pouvoir vous aider, étant donné que nous n'avons pas pu installer des micros, nous vous demandons d'utiliser votre téléphone comme micro. Vous m'appelez et vous restez connecté. Essayez de dire où ils vous emmènent. Je suppose que ce sera au grand appartement-terrasse, mais si c'est ailleurs, essayez de nous le faire savoir. Et puis même si c'est l'appartement-terrasse, une confirmation serait bien.

- D'accord. Et si je crie « Keystone », envoyez la cavalerie!

Il rigole et me répond :

- Je vais raccrocher. Rappelez-moi quand vous y serez. Je ne serais pas loin avec du renfort.

Je raccroche et pense à ces dernières heures. Je me rappelle que j'ai presque fait l'amour avec la nièce de ma femme, puis j'ai regardé les pompiers se battre pour sauver ma maison et la voiture de Gillian. Puis nous avons découvert que celle-ci avait disparu, puis qu'elle avait été kidnappée. Enfin j'ai reçu un message pour que j'aille à l'adresse où je vais maintenant. Et il y a eu les deux baisers avant que je monte dans ma voiture pour partir. Celui de Sharon n'était pas vraiment une surprise, mais il était brûlant. Celui de Mary était tout aussi torride et plein de promesses. Mon Dieu, j'espère pouvoir revenir pour en découvrir plus sur leurs significations.

En tournant dans la rue, je vois le bâtiment devant moi. C'est un bel immeuble. Je sens monter la colère en moi, alimentée par la pensée que mon épouse et d'autres femmes ont financé l'achat de cet immeuble. C'est un vieil immeuble en briques qui a été rénové à grands frais et qui se trouve dans un quartier agréable. Ça ne me dérangerait pas de vivre ici, je pourrais m'éloigner de mes voisins qui savent pour ma femme. Mais je ne suis pas sûr qu'un nouveau départ soit la meilleure option pour moi.

Je me gare sur la seule place libre que je peux trouver dans la rue. Elle est juste à deux portes de l'immeuble où se trouve ma femme. Je peux voir les deux hommes dont m'a parlé Mark. Je me rappelle même en avoir vu un dans les vidéos.

Je me demande combien de personnes je vais voir qui jouent dans ces vidéos. J'en verrai sûrement deux d'entre eux lundi. L'une est une victime et l'autre quelqu'un que je tuerai volontiers si j'en avais l'occasion et si je pensais pouvoir m'en tirer. Je repense à mon ancien ami et colocataire de bureau, Charlie. Il a baisé ma femme pour se venger quand j'ai obtenu une promotion à sa place.

Je balaie la zone du regard pour voir si je peux repérer Mark et ses collègues. Je veux m'assurer visuellement qu'ils sont dans les parages et qu'ils seront là pour m'aider en cas de besoin. Juste après le bâtiment d'en face, je vois Mark dans une voiture avec deux autres hommes. Il est facile à repérer, car l'un des hommes das la voiture parle à un homme dans la rue avec un chien. Je souris un peu en me disant que ce quartier doit avoir une bonne politique de surveillance. C'est juste dommage qu'ils ne puissent pas s'occuper de la racaille dans l'immeuble.

Je continue à regarder, mais je ne repère pas d'autre véhicules. Mais je fais confiance à l'inspecteur.

Je fais son numéro et je mets mon téléphone dans la poche de poitrine de ma veste sans dire un mot. Puis je commence à marcher vers l'entrée. Les gardes m'ont vu dès que ma voiture a émis un « bip » pour montrer qu'elle était verrouillée.

Le gars que j'avais vu en vidéo a sorti son téléphone et a passé un appel en gardant les yeux sur moi tout le temps. Après que son collègue m'ait fouillé, il me fait entrer et nous avons commencé à monter les escaliers. Je suis impressionné par la cage d'escalier ornée et les rampes en laiton propres et brillantes.

Je fais comme si j'avais un point de côté lorsque nous arrivons au troisième étage et j'essaie de faire en sorte que mon guide donne des informations aux policiers.Je me penche sur la rampe en aspirant de l'air et je demande :

- On va loin? Je ne suis pas habitué à ça!

Le gars se moque de moi.

- Nous allons tout au sommet. Pour te motiver, dis-toi bien que plus vite on y arrive, moins de mecs baisent ta femme. Mais ça ne me dérange pas que tu ailles lentement, J'aime les femmes déjà baisées.

Bon ben voilà, je sais ce qui se passe maintenant et où ils sont. Le dernier étage est le lieu de la fête et apparemment ma femme est le clou de la soirée. Je suis en colère. Ce gars vient de confirmer qu'on baisait ma femme là-haut et qu'il se joindrait à eux. C'est un manque de compassion pour moi. Il voit juste qu'il va s'amuser un peu avant que ce qu'ils ont prévu n'arrive pour elle et moi. Ma colère est teintée d'empathie pour le sort de Gillian, forcée une fois de plus de baiser avec des gens alors qu'elle pensait que tout était fini.

Je me redresse et nous continuons l'ascension. Une partie de moi voudrait fuir, regarder les vidéos était déjà assez dur. La pensée d voir ma femme baisée en réel me retourne l'estomac.

Nous arrivons enfin en haut et l'homme frappe à la porte. Un homme, très costaud, ouvre la porte, mettant fin instantanément au silence de la cage d'escalier où le bruit le plus fort était le claquement de nos pieds sur les marches.

La chaleur me frappe au visage lorsque nous entrons. L'odeur de sexe assaille mes narines et les gémissements de ma femme mélangés à de la musique transpercent mon cœur via mes oreilles.

Je regarde la porte qui se referme lentement, emportant avec elle ma dernière chance de fuir ce qui m'attend. Mes jambes refusent d'avancer. Et, une fois la porte fermée, je me retourne et je suis mon guide dans le salon en passant deux portes de chaque côté du couloir dans lequel nous sommes.

Le salon est immense, il doit occuper facilement plus de la moitié de l'étage. Une série de fenêtre allant du sol au plafond du côté de la rue donne sur les toits des bâtiments de l'autre côté.

Au centre de la pièce se trouve une table à manger en pin massif sur laquelle Gillian est allongée. Sa tête pend au bout d'un côté. Ses mains ont été tirées tout droit le long du bord de la table et elles sont attachées aux pieds. Ses jambes sont écartées et attachées par les chevilles aux autres pieds de la table. Mais ses pieds à elle sont plantés sur les bords. On aurait presque dit qu'elle était montée sur une table d'examen gynécologique trop petite.

Quand j'entre dans le salon, le gars qui la baisait se retire. Je vois une quantité massive de fluides s'échapper comme si elle se pissait dessus. Son corps se tord et se tend dans les liens tandis qu'elle gémit, appréciant manifestement à un niveau primaire ce qu'il vient de lui faire. Sur le sol, je peux voir une flaque de ce qui ressemble à du sperme. La fête a commencé depuis un moment déjà.

Je commence à me demander pourquoi j'ai accepté de venir ici. Voir ma femme ainsi me répugne et me retourne l'estomac. Je ressens aussi beaucoup d'autres sentiments : La douleur de voir ma femme ligotée comme ça en sachant qu'elle ne peut pas arrêter ce qui se passe même si elle le voulait, la tristesse de l'avoir perdue, elle et mon mariage, la peur que la douleur dans mon cœur signifie qu'il y a encore de l'amour pour elle.

Le type gifle sa chatte. Elle gémit bruyamment et essaie de se soulever quand le gars l'engueule :

- Salope, tu m'as trempé!

Il s'en va en saisissant son pantalon posé sur la table à côté de ma femme. Je le suis du regard jusqu'à ce qu'il s'asseye sur un canapé. Ensuite je regarde le reste de la pièce.

Il y a une série de quatre canapés en forme de L autour de la table, chacun ayant au moins quatre personnes. Puis il y a cinq chaises longues, chacune ayant un ou deux occupants.

Au centre du mur du fond se trouve un bar avec un barman et cinq tabourets. Trois sont occupés, un par l'homme que je suppose être Dwayne, un autre par Kat et le troisième par un homme noir que je ne connais pas.

En regardant tout autour de moi, je compte un total de trente personnes sans compter Gillian et moi-même. Quatre d'entre elles sont des femmes : Kat au bar, et trois femmes avec des hommes sur les chaises longues. Ces trois-là sont toutes engagées dans des actes sexuels : Une fellation pour l'une, une baisée normalement et la troisième enculée.

- Bob, viens t'asseoir avec moi! Carl, vas-y et amuse-toi!

C'est Dwayne qui m'appelle de l'autre côté de la pièce avec un ton amical qui ne correspond pas à la situation. Il tapote le tabouret du bar à côté de lui pour m'indiquer où je dois le rejoindre, juste entre lui et Kat.

Carl se dirige vers la table au centre de la pièce. Il se dirige du côté où la tête de ma femme pend. En marchant il déboucle sa ceinture puis il laisse tomber son pantalon et son caleçon une fois qu'il se trouve près de la tête de Gillian. Il attrape les deux côtés de sa tête et il pousse sa bite molle dans sa bouche en ordonnant :

- Suce, salope!

J'essaie d'ignorer les activités au centre de la pièce. J'avance et je m'assois à côté de Dwayne. Je regarde alors un autre homme rejoindre Carl à la table. Il enfonce profondément sa bite dans la chatte ou le cul de ma femme, c'est difficile à dire d'où je suis. Gillian semble apprécier, car elle gémit bruyamment autour du membre maintenant raide et gonflé de Carl qui entre et sort de sa bouche avec ses couilles qui tapent dans ses yeux.

- Qu'est-ce que tu veux Dwayne? Demandé-je en me forçant à le regarder dans les yeux et en essayant d'éviter d'entendre et de voir ce qui se passe au milieu de la pièce.

- Vous savez donc qui je suis. Peu importe. Vous êtes ii pour la voir punie d'avoir appelé la police. Elle était à moi, elle n'avait pas le droit de m'attirer des ennuis. Tu es ici parce que tu l'as poussée à le faire. Je veux que tu regardes et je veux que tu comprennes que je fais ce que je veux et que personne ne me contrarie. Donc tu vas regarder à moins que tu me dises ce que les flics savent.

Je rigole :

- Tu en as déjà tellement fait avec elle que j'en ai rien à foutre de ce que tu lui fais maintenant. Elle aurait dû te le dire avant que vous commenciez.

Je lui mens, je me soucie encore de ma femme même si je ne devrais pas. Je pourrais essayer d'arrêter tout ça, mais à trente contre un, je suis foutu. Alors je prends mon temps et j'espère que Mark et ses collègues auront assez de preuves pour les arrêter.

- D'accord! Donc je vais la punir pour toi aussi. Tu vois les quatre gars sur le canapé blanc?

Je les regarde. Ils ont tous l'air un peu maigre et leurs vêtements pendent sur eux au lieu de leur aller correctement. Aucun d'eux n'a l'air d'être à sa place ici.

- Ouais! Des clients ou des amis?

Dwayne rit.

- Non, je ne les voudrais pas comme client. Ils sont tous séropositifs et à différents degrés sur le chemin du Sida. En échange d'un gros chèque qui va leur permettre d'obtenir les médicaments qu'ils ne peuvent pas se payer, ils baiseront ta femme. En gros, elle va jouer à une version sexuelle de la roulette ruse. Mais d'abord, le reste de la salle va profiter d'elle.

Putain de merde, même si je l'avais détesté et que je voudrais sa mort, je n'aurais pas voulu ça pour elle. Avec un peu de chance la police est en chemin. J'ai l'occasion de les prévenir du nombre de personnes qu'ils devront affronter.

- Donc, quand vous et les vingt-cinq autres auront fini de baiser ma femme, vous laisserez ces quatre pauvres gars avoir leur tour?

Je ne suis pas loin de vomir mais je me retiens. Dwayne se contente de sourire.

- Oui. Et ils ont accepté de la baiser au moins deux fois : une fois dans la chatte et une fois dans le cul chacun. Et je crois que l'un d'entre eux veut plus, il en a marre de baiser avec des capotes alors il veut profiter de cette chance. En fait, je crois même que ça a commencé.

Je le vis prendre une seringue vide posée dans un cendrier sur le bar. Il la fait rouler entre ses doigts pour bien me la montrer. Mon estomac fait encore des siennes.

- Les toilettes? Demandé-je en devenant vert à l'idée qu'il avait déjà prononcé une sentence de mort pour elle.

Il se moque de moi et me désigne une porte à gauche dans le couloir. Je me précipite à l'intérieur et je vomis. Il y a des éclaboussures tout autour de la cuvette. Je sors alors mon téléphone et je dis :

- J'espère que vous avez entendu qu'il pourrait déjà l'avoir tuée. Vous avez au moins trente hommes à gérer ici. Mais quatre n'ont pas l'air de pouvoir se battre, mais il ne faut pas verser leur sang. Vous devez intervenir maintenant.

Je remets le téléphone dans ma poche et je retourne dans le salon. Kat est en train d'abaisser sa chatte sur le visage de Gillian. Son corps est au-dessus de celui de ma femme trempé de sueur et de sperme. Elle est aux premières loges pour un homme obèse se défouler dans le cul de Gillian pendant que Kt enfonce une bouteille de bière dans sa chatte.

En regardant les seins de l'homme obèse rebondir sauvagement alors qu'il encule violemment ma femme et Kat qui tient le goulot d'une bouteille de bière et qui la remue de haut en bas, je suis sur le point de me retourner et d'aller vomir une deuxième fois dans les toilettes.

Gillian, de son côté, semble s'amuser comme une folle. Elle s'efforce de lécher Kat tout en gémissant sous les assauts dans sa chatte et son cul.

Cette pornographie contraste violemment avec la scène de tout à l'heure, quand Sharon s'est déshabillée pour moi et a grimpé dans mon lit. Je souhaite ardemment être de retour dans cette chambre, que Mary n'ait pas crié, que Dwayne n'ait pas envoyé de messages. Qu'ai lieu de ça, Gillian ait divorcé et continué à faire ces trucs sans que je le sache. A ce moment je souhaiterai pouvoir voyager dans le passé et arrêter Sharon avant l'accident.

Soudainement la porte de l'appartement s'ouvre et sept inspecteurs entrent suivis de huit autres policiers en uniforme. Dwayne se retourne pour essayer de s'échapper, mais je lui bloque le passage. Je lui balance un coup de poing au visage aussi fort que je le peux. Ça me fait du bien de le voir s'effondrer sur le sol comme une serpillière.

Personne ne veut se battre et la police prend rapidement le contrôle de l'appartement. De nouveaux policiers arrivent et tout le monde est emmené menotté. Mark me dit que qu'il passera sûrement des accords avec certains pour s'assurer d'avoir Dwayne et ses amis, mais que la plupart seront accusé de tentative de meurtre, 'enlèvement et d'un tas d'autres crimes. Ils ont enregistré toute notre conversation. Mark pense que cette affaire est sans appel et que Dwayne ne sortira jamais de prison.

Pendant que nous discutons, nous voyons des policières détacher Gillian de la table et aider les ambulanciers à la mettre sur une civière. Elle semble complètement hors d'elle. Je la vois même essayer de saisir la bite d'un des ambulanciers à un moment donné, si bien qu'ils sont obligés de l'attacher à la civière.

Mark et moi allons voir le médecin pour lui expliquer qu'ils ont sûrement utilisé une aiguille sale pour injecter à Gillian quelque chose qui la rendrait aussi docile qu'ils le voulaient. Le médecin veut emporter la seringue, mais Mark refuse, car il en a besoin comme preuve. Nous recherchons alors les vêtements de ma femme, mais nous ne les trouvons pas.

Mark et moi discutons beaucoup pendant que d'autres policiers s'affairent à recueillir des preuves. Finalement il me dit qu'il pense que je suis suffisamment calmé pour rentrer chez moi et il me suggère de le faire.

Je regarde autour de moi et je ne vois qu'il ne reste que nous deux et quelques policiers. Je regarde mon téléphone et je vois qu'il est trois heures du matin. Alors je dis bonne nuit à Mark et je vais à ma voiture. Je passe devant un policier qui garde la porte de l'appartement puis deux autres qui gardent celle de l'immeuble.

Je suis à la maison vers 3h30, Mary et Sharon sont encore debout quand j'arrive. Après leur avoir raconté les évènements de la nuit, nous sommes allés nous coucher tous les trois dans le grand lit de Mary. Personne ne voulait être seul.

Durant cette nuit, je rêve de faire l'amour à Sharon. Je l'entends gémir quand j'approche et dire :

- Jouis pour moi, Oncle Bob!

A suivre...