Je Suis Tellement Désolée Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Je suis là. Je ne sais pas si j'ai envie de savoir. Je ne pense pas que notre mariage soit récupérable et que je puisse passer du temps dans la même pièce que toi, mais Mary m'a convaincue de te parler.

Gillian sursaute au son de ma voix. Il lui faut quelques instants pour voir que je suis là. Elle regarde Sharon qui baisse la tête et me dit :

- Bon. Je vais commencer par le début, ou du moins pas comment j'en suis arrivée là...

- Laisse-moi commencer tante Gillian. Tout ce que tu as fait c'est à cause de moi. Dit Sharon.

Alors que Gillian hoche la tête, Sharon se tourne vers moi et me demande :

- Tu te souviens de William?

Je hoche la tête. c'était son ancien petit copain que nous avions rencontré quelques fois lors d'évènements familiaux il y a quelques années. Je ne l'aimais pas beaucoup, mais Sharon semblait l'adorer.

***

- Tout a commencé le soir où j'ai découvert que William me trompait. Pendant des mois nous nous sommes vus quotidiennement et puis ça s'est arrêté. Nos rendez-vous sont passés de journaliers à une ou deux fois par semaine. Il mettait ça sur le compte de la pression qu'il avait eue pour la préparation des examens et de nos boulots d'été. Mais je ne l'ai pas cru.

- Je m'apprêtais à franchir le pas avec lui parce qu'il le voulait et que j'estimais que nous étions depuis assez longtemps ensemble. Je l'aimais et je voulais de nouvelles expériences. Mes amies avaient déjà couché et j'étais prête à les suivre dans leur vie d'adulte. J'étais prête à lui donner ma virginité.

Elle rougit sur ce dernier commentaire en baissant les yeux sur le sol.

- Je suis toujours vierge à cause de lui. Depuis, personne n'a pu gagner ma confiance. Personne n'a pu abattre les défenses que j'ai mis en place pour combattre ce qu'il a fait et ce qui est arrivé à tante Gillian cette nuit-là.

Elle passe du rougissement aux sanglots. Gillian l'entoure de ses bras et lui donne un mouchoir.

- Cette nuit-là, j'ai suivi William. Il a été dans un club du centre-ville. Je l'ai vu entouré de deux hommes noirs et de plusieurs femmes. Celles-ci se pâmaient devant lui et les deux autres types.

- J'étais énervée qu'il sorte en ville sans moi, énervée que ces femmes flirtent avec lui, mais fière de ne pas avoir couché avec lui. J'allais partir quand il s'est levé et s'est penché sur l'épaule d'un des hommes noirs. Ils se sont parlés et se sont serrés la main. Et William a fait signe à une femme de le suivre.

- Ils ont quitté le club, le bras autour de la taille de l'autre. Ils ont traversé la rue pour s'engager dans une ruelle bordée de garages de chaque côté.

Elle baisse la tête. Ses mots dégoulinent de douleur. Elle fait une pause pour essuyer ses larmes et prendre un autre mouchoir.

- La femme a ouvert un garage et est entrée. William l'a suivie à l'intérieur en laissant la porte ouverte. De l'endroit où j'étais garée, je pouvais apercevoir le coin d'un lit et un tabouret à côté. Je ne pouvais pas voir mon copain, mais j'ai vu son bras lorsqu'il a déposé ses vêtements sur le tabouret.

- Quand son caleçon est tombé sur le tabouret, la femme est apparue nue à côté de lui. J'ai vu ses mains autour de sa taille alors qu'elle se penchait sur lui. Je suppose qu'elle l'a embrassé avant de l'emmener plus loin dans le garage. Pendant les dix minutes suivantes, j'ai regardé le lit trembler, puis j'ai vu William nu à côté du tabouret en train de s'habiller.

- Puis ils retournent au club pour rejoindre le groupe du début. A ce moment-là, je suis vraiment furieuse, mais j'ai peur de lui parler. Je décide d'attendre qu'il rentre chez lui et qu'il soit seul.

- Une heure plus tard, il recommence avec une autre fille. Alors qu'ils traversent la route pour revenir au club, j'appuie sur l'accélérateur et j'essaie de l'écraser. Le crissement des pneus lorsque la voiture accélère l'avertit pour lui sauver la vie. Il pousse la femme en avant et il recule. Je passe entre eux deux, mais je les frappe. On m'a dit que j'avais cassé les deux jambes de la fille et une de William. Je crois qu'il ne marche pas toujours correctement.

- Bêtement je me suis arrêtée et je suis sortie de la voiture pour voir les dégâts. J'ai traité William de tous les noms et je lui ai dit que je le quittais. C'est alors que les noirs du club se sont précipités vers moi, alors je suis remontée rapidement dans la voiture et j'ai fui.

- Mais ils m'ont suivie. Tandis que je roulais en ville avec eux à mes trousses, j'ai appelé tante Gillian. Pour être honnête, je n'avais pas l'esprit clair et c 'était la première personne dans mes contacts en qui j'avais confiance pour m'aider. Je l'ai eux et elle m'a dit de venir au bureau où elle était toujours. Elle a dit qu'elle me ferait entre et que si les gars essayaient d'entrer, elle appellerait la police.

- Je suis entrée dans le parking souterrain et j'ai rejoint Tante Gillian vers une porte. Je me suis précipitée vers elle et je l'ai serrée dans mes bras. Je n'aurai pas dû faire ça, car j'ai fait tomber de ses mains la carte pour ouvrir la porte d'accès.

- Alors que nous étions en train d'essayer de récupérer la carte, cinq gars nous ont soudain entourées.

- Je vais continuer à partir d'ici, Sharon! Dit Gillian.

La jeune fille hoche la tête pour approuver en séchant ses larmes.

***

- Ils voulaient que Sharon remplace la fille. Elle gagnerait de l'argent pendant que l'autre se remettrait. Ils voulaient la violer sur place. Alors j'ai essayé de leur parler pour qu'ils nous laissent tranquilles. Je les ai suppliés et menacés.

- Finalement, à force de discussion, ils ont dit qu'ils nous baiseraient toutes les deux et que ça irait. Finalement, si je les baisais tous les cinq ils nous laisseraient partir.

Gillian regarde nos visages, enfin surtout celui de Mary et le mien, Sharon ayant la tête baissée et pleurant bruyamment.

- Ils m'ont ordonné de me déshabiller. Et comme j'étais trop lente, car je tremblais de peur, ils m'ont arraché ce qu'il me restait. Ils m'ont forcé à me mettre à genoux pendant qu'ils se déshabillaient eux aussi. Mais l'un d'entre eux était trop impatient alors il s'est contenté de sortir sa bite.

- Il a saisi une poignée de mes cheveux et a enfoncé sa bite dans ma bouche. Il m'a baisé violemment le visage. C'était brutal, je m'étouffais sur sa bite avec l'accumulation de salive dans ma gorge. Il s'en fichait et continuait de me baiser. Mon nez tapait contre ses poils pubiens, ses couilles frappaient mon menton. J'étais maltraitée, humiliée devant ma nièce. Et je n'ai pas compris mon corps qui répondait par de l'excitation et des décharges électriques dans mon bas-ventre.

- Je ne comprenais pas, je voulais que ça s'arrête, je voulais partir de là, mais mon corps en redemandait. La douleur et le plaisir ont été déconnectés de mon cerveau.

- Les autres m'ont entourée alors qu'il jouissait. Il a tenu fermement mon visage contre son entrejambe alors qu'il déversait son foutre dans ma gorge, giclée après giclée. Je me suis étouffée sur son sperme, mon visage me brûlait alors que je luttais pour avoir de l'air. Mais mon corps aimait ça. J'ai eu un gros orgasme et je me suis effondrée sur le sol quand il m'a relâchée.

- Mais je n'ai pas eu de pause. Un autre a attrapé mes cheveux m'a relevé sur mes genoux et a enfoncé sa bite dans ma bouche. Il a baisé mon visage comme son prédécesseur. Un autre a pris ma main pour la poser sur sa bite, voulant que je le branle pendant qu'il attendait son tour.

- Le troisième s'est mis à genoux derrière moi. Il a saisi mes tétons et il les a tirés aussi fort qu'il le pouvait, en les tordant. J'ai tremblé une fois de plus avec un autre orgasme qui a traversé mon corps.

- Il a continué à malmener mes seins, puis il a enfoncé deux doigts d'une de ses mains dans ma chatte. Il m'a baisé avec ses doigts sans se soucier de moi. Il s'est amusé avec mon corps. Mon esprit était consterné, effrayée, mais mon corps brûlait de désir.

- Les deux gars restant tiraient de temps en temps ma tête pour que je change de bite qui baisait mon visage et celle que je branlais avec ma main.

- C'est alors qu'en même temps que la bite explosait dans ma bouche et la remplissait de foutre, j'ai joui et ma chatte a explosé sur les doigts du gars. Ça ne m'était jamais arrivé auparavant. J'ai arrosé les pieds du type devant moi. Il s'est retiré aussitôt et il a continué à me gicler son foutre sur le visage tout en me giflant et en me traitant de pute pour l'avoir arrosé.

- Le chef du groupe s'est moqué de lui, ce qui l'a rendu encore plus furieux. Alors il m'a giflé à nouveau. Et putain, ça m'a plu. J'étais si loin de la réalité que je ne pensais pas revenir à la raison.

- Celui qui était derrière moi m'a tiré en arrière et a empalé mon cul sur sa bite. Sans avertissement, sans lubrifiant, il m'a tiré en arrière et a utilisé mon propre poids pour s'enfoncer profondément en moi. Ça me brûlait, j'avais mal et ça m'a fait jouir. Il a saisi mes hanches et il a commencé à pilonner mon cul avec force.

Puis le premier gars s'est remis à bander. Il s'est arrangé avec son ami pour pouvoir mettre sa bite das ma chatte. Et ils m'ont baisée tous les deux, de plus en plus vite, de plus en plus fort, de plus en plus de douleur et de plaisir pour répondre aux besoins de mon corps.

- Un troisième gars s'est joint à nous en forçant sa bite dans ma bouche. Il n'a pas pu me baiser avec la même force qu'avant, mais il a quand même introduit sa bite dans ma gorge.

- Celui qui était dans mon cul a éjaculé puis m'a poussé. - - Je n'ai eu qu'un bref instant pour souffler avant que celui qui était dans ma bouche se couche sur moi et tire mon cul sur sa bite. Un quatrième mec a alors enfoncé sa queue dans ma bouche.

- Ça s'est répété encore et encore jusqu'à ce que j'aie huit charges de sperme dans ma chatte et mon cul. Ensuite ils m'ont fait nettoyer leur bite avec ma langue puis ils m'ont laissée sur le sol en béton dans une flaque de leur sperme mélangé à mon jus de chatte pendant qu'ils se rhabillaient.

- Sharon, qu'elle soit bénie, est venue me voir en pleurant des excuses. Elle a essayé de m'aider à m'habiller. Mais mon soutien-gorge et ma culotte étaient déchirés, mon chemisier n'avait plus de boutons, juste ma jupe était dans un état correct.

- Elle m'a aidé à enfiler le chemisier et la jupe qui étaient couverts de sperme, mais au moins j'étais à peu près couverte. C'est à ce moment-là que j'ai repris mes esprits et me suis rendu compte de mon comportement. j'étais mortifiée par mes réactions.

- A près tout çà, je me suis dit qu'ils allaient partir et que tout était fini. Mais non. Ils voulaient être dédommagés pour l'argent qu'ils allaient perdre pendant la convalescence de la pute que Sharon avait heurtée. De plus le chef de la bande avait tout enregistré de mon gang-bang sur son téléphone. Il me tenait. J'étais dans une mauvaise situation.

- Je ne sais pas pourquoi, mais je les ai amenés dans les bureaux jusqu'au coffre-fort où j'ai pris vingt mille livres sterling que je leur ai données. Ils semblaient contents et ils sont partis.

- Finalement nous n'étions plus que toutes les deux et nous avons pensé que c'était fini. Nous avons convenu avec Sharon de n'en parler à personne. Pour sa sécurité, Je lui ai demandé de trouver une université aussi loin que possible et de ne pas revenir avant longtemps ou même jamais. Je suppose qu'elle ne m'a pas écouté.

Gillian fait une pause et regarde Sharon pleurer. Elle la prend dans ses bras pour essayer de la réconforter.

- Nous sommes rentrés chez nous et nous avons essayé d'oublier ce qui s'était passé. Je crois que j'ai passé plus d'une heure sous la douche ce soir là pour essayer de me débarrasser de ma honte. Mais ça ne m'a pas aidé.

- le lendemain au travail j'ai été appelée dans le bureau de mon patron, Reggie. Katsuko, la directrice financière est là ainsi que le chef de la bande de la veille qui se prénomme Dwayne. Sur son téléphone, mon patron me montre une vidéo prise par les caméras de surveillance de la société. On me voit voler de l'argent dans le coffre. Il enchaîne avec une vidéo des caméras du parking où on me voit me faire baiser. Puis il finit par une vidéo où on voit Sharon écraser William et la pute. On distingue clairement sa plaque d'immatriculation et on la voit sortit de sa voiture après la collision.

- Ce jour-là, Reggie m'a baisée dans son bureau pendant que Kat filmait. Puis ils ont échangé et il a filmé sa directrice me baiser avec un gode ceinture. Je croyais que c'était tout ce qu'ils voulaient, mais non. C'est là qu'ils m'ont expliqué que Dwayne et Reggie étaient associés dans une affaire de films porno. Ils utilisaient les filles de Dwayne comme actrice. Ils m'ont dit que maintenant je serais la star du studio.

Maintenant Gillian pleure, luttant pour raconter la suite.

- Au début j'ai refusé, et je me suis dit que j'en subirai les conséquences auprès de la justice. Mais Reggie a mis fin à ma résistance en appelant leur troisième associé dans le studio pornographique. C'est ton patron, Bob. Donc, en plus des problèmes de justice pour Sharon et moi, tu allais être viré et ton patron a assuré que tu ne retrouverais plus jamais de travail.

- Je me suis sentie bien piégée et la meilleure façon de m'en sortir était d'accepter de faire ça. Notre accord ne devait durer que jusqu'à ce que j'aie remboursé l'argent volé. Les vidéos devaient être vendues et non diffusées gratuitement. J'espérais que personne ne me reconnaisse, mais tu sais comment ça a fini.

- Je suis devenue l'esclave sexuelle de Reggie et Kat quand ils le voulaient, le jouet de baise de votre patron aussi, ainsi que certains des cadres supérieurs des deux entreprises. Et Charlie dans ta société.

- Charlie? Crié-je.

Charlie partage un bureau avec moi. D'est mon ami le plus proche à mon travail. Du moins je pensais que c'était un ami.

- Apparemment il était furieux que tu aies eu une promotion. Celle que j'ai demandé qu'ils te donnent étant donné ce qu'ils me faisaient faire. Ils te l'ont donné mais le prix pour moi fut que Charlie m'a baisée. Cet enfoiré a déversé sa colère sur moi. Mes seins furent meurtris et mon cul saignait.

- Putain de connard. Je vais tuer cet enfoiré!

- Bob, mon chéri, ce n'est qu'une petite chose dans la totalité de ce que j'ai subi. Ton patron a tout organisé. Non, nos patrons l'ont fait. Dit-elle en essayant de me prendre dans sa bras.

Mais je m'éloigne. Je vois que ça la blesse, mais tout ce que je vois ce sont les vidéos d'elle avec tous ces hommes et ces femmes. Ça me donne la chair de poule.

- Je suis presque sûre que j'ai gagné ma liberté depuis longtemps, mais ils refusent de me laisser partir. Je suis une machine à sous pour eux. Ils se sont rendu compte que des gens achètent des abonnements à cause de mes vidéos. Ils ont toujours les preuves du vol, de l'accident. Et ils menacent même de retrouver Sharon et de lui faire payer à elle aussi.

Mary est choquée et en colère. Je l'entends dans sa voix quand elle prend la parole :

- Putain de merde. Il ne peut pas y avoir plus glauque. Pour commencer, éliminons la menace pour Bob de perdre son emploi. Bob, tu peux travailler pour moi!

- Merci Mary, mais je pense que j'ai besoin d'un nouveau départ aussi loin d'ici que possible. Mais il faut que je me venge avant. J'ai un plan. Laissez-moi vous expliquer! Dis-je en les regardant.

A suivre...

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Toujours aussi fascinantes et perverses vos histoires mon cher Trouchard. Il me tarde de lire la suite et la façon dont va se venger Bob….

Mchris69Mchris69il y a 3 mois

Un début très prometteur.

Hâte d'avoir la suite.

Son épouse vat elle devenir soumise à lui et son amie Mary.......

Et A niece?

APVapvAPVapvil y a 3 mois

Très bon. Quel suspens!

AurailiensAurailiensil y a 4 mois

Excellente histoire qui nous tient en haleine bon choix Trouchard merci à toi

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