Irrésistible Transformation

Il m'attrape par les chevilles, me tire vers lui, mon entre jambes vient frapper contre son bas ventre. A même temps, mes yeux sont attirés par sa queue, il bande, et son gland énorme est à la hauteur de son nombril.

A par mon mari et Marc, je n' ai pas vu d'autres sexe en érection, mais celle là me paraît difforme. Déjà, tout à l'heure, j'avais eu une vision de l'engin, mais maintenant c'est autre chose, il veut me l'enfoncer.

Je veux lui dire non, d'arrêter, mais sur son élan, je sens ma chatte distendue, c'est inouï, mais j'ai pas mal, malgré mon dégoût pour cet homme, suant, bedonnant, je me laisse aller. j' apprécie même cette intrusion, il me remplir comme jamais je ne l'ai été.

Je suis écartelée par ses mains sur mes genoux, et son braquemart me pourfend le ventre, Je ne peux exprimer ce que je ressens. Un mélange de peur et de bonheur, de fierté de leurs montrer que je pouvais le faire, puis quand il bute contre mon utérus, il commence à aller et venir, mais sans se soucier de moi. Il me prend à la hussarde.

Marc c'est attaqué à mes seins, qu'il masse, pétri, puis tire sur les tétons.

Je ne suis qu'une poupée de chiffon entre ces deux hommes.

Mais je commence à avoir des fourmillements partout dans le dos, le ventre, la poitrine. Je m'entends les exhorter:

_ Oh!!! Oui!!! Oui!!!, Oh Non......!

L' orgasme me cisaille les reins, c'est inouï, je tremble de tout mon corps, je crie, j' hurle, je suis en sueur et en trans.

A peine je me calme, Louis me remplit le ventre de son sperme chaud, je ne sais combien je ressens de contractions de sa bite, mais il n'en finit pas.

Quant il se calme, en ressortant, une quantité de foutre sort de ma chatte.

Je respire difficilement, mais Marc me tourne sur le ventre, me soulève par les hanches, me fait mettre à genoux et me plante sa queue dans le cul. J'ai un petit cri, plus de surprise que de douleur.

_ Tu as raison Marc, elle est vraiment bonne, bien étroite, une belle petite salope qui aime la bite!

_ Je t'avais dit que tu passerai un bel après midi. Je suis sûre qu'elle ferait une bonne pute.

Je ne comprends pas, pourquoi les injures ne me vexe pas, j'admets que je suis salope et même pute.

j'en serai presque fière.

Marc me pilonne toujours le cul, Louis me présente sa queue, je la prends en bouche et commence à lui redonner de la vigueur, mais ma mâchoire me fait de plus en plus mal, tellement ma bouche est pleine et mes mâchoires sont distendues.

Nous allons jouir tous plusieurs fois, moi plus souvent, ils se relaient, dans ma chatte et dans ma bouche, jusqu'au moment où Louis veut me sodomiser.

Là je refuse catégoriquement, il est trop gros. mais il insiste, il me dit que je le regretterai plus tard, que je ne sais pas ce que je manque, Marc s'en mêle, tout en me triturant les seins, car il sait que j'adore ça.

Il propose que Louis s'allonge sur le lit et que j'aille m'asseoir sur sa queue, comme cela je pourrais arrêter si j' ai trop mal, et c'est moi qui serai maitre de tous.

Entre leurs arguments, la chaleur qui envahit mes seins, et l'envie de connaître une sensation inconnue, je fini par accepter.

Louis s'allonge, les jambes serrées, il tient sa queue droite, je l'enjambe face à lui, mais Marc me fait faire Demi tour, pour me dit il pouvoir me caresser les seins.

Docilement j'accepte.

Je commence par. mettre sa queue dans ma chatte dégoulinante de sperme, puis je commence à m'asseoir sur sa queue.

Mon cul est ouvert par la sodomie précédente de Marc, mais le gland de Louis butte sur mon œillet.

Voulant réussir, je force un peu, mais je ne peux pas m'ouvrir davantage.

Alors, sans rien dire, Marc lâche mes seins, attrape mes chevilles et les remonte sur ses épaules, Louis m'appuie à même temps sur les épaules, je pousse un hurlement, sa bite est entrée à moitie dans mon intestin.

La brûlure est incroyable, je pense que je suis déchirée. Mon anus est atrocement distendu. Je grimace et souffle. Avec mes mains j'essaie de prendre appui pour me dégager, mais Louis m'attrape sous les bras, plaque ses mains sur ma poitrine et me plaque le dos sur son torse, à même temps il soulève ses fesses ce qui permet à son engin de s'enfoncer un peu plus loin dans mon fondement.

Je n'ai même pas la force de crier. Je suis résignée à subir, ma tête est vide.

Heureusement, plus personne ne bouge et la douleur s'estompe doucement.

Je réalise la posture dans laquelle je suis, assise sur la bite d'un gros porc, qui m'empale tout en me plaquant contre lui par les seins, les cuisses grandes ouvertes les chevilles sur les épaules d'un autre, qui a une vue imprenable sur ma vulve béante

Curieusement je ressens un certain plaisir, à être ainsi exposée. Louis constate que je me détends, doucement il relève son bassin, s'enfonce à fond, puis redescend aussi doucement. comme je ne réagis pas, il accélère, c'est impensable l'effet que cela produit sur moi. La douleur est atténuée, mais présente, mais au lieu de me plaindre, je vais chercher cette sensation, je monte mes fesses quand il descend, ce qui lui permet de sortir un peu de mon orifice, et quand il remonte je me plaque à lui, du fait il entre profondément.

Voyant mon acceptation. Il dit à Marc.

_ Elle est prête cette petite salope, vas y enfiles la à fond,.

Je ne comprends pas ce qu'il veut dire, mais je n' ai pas le temps de réfléchir, Marc lâche mes chevilles qui tombent de chaque côté de son corps, s'avance et enfile sa queue au fond de ma chatte, impensable j'ai deux bites en moi. Je ne pensais pas que ce soit possible.

Je suis remplies des deux côtés, après un peu d'hésitation, ils coordonnent leurs mouvements et leurs bites viennent se cogner dans mon ventre.

Il ne me faut pas longtemps pour partir dans un orgasme terrible, je ne peux même plus parler. Je suis en transe, je tremble de tout mon corps, je ne vois plus rien, je n' ai plus que la sensation de mon ventre et mon cul ne font plus qu'un, Je voudrais que cela ne s'arrête pas.

Je finis par crier, des cris entre plaisir et douleur. Ou bien, c'est cette douleur qui me procure ce plaisir. Je ne sens même pas leurs semences se déverser dans mes entrailles, seulement qu'ils ont arrêtés de me marteler. Leurs queues ramollissent doucement, sortent de mes orifices.

Ils se lèvent et vont boire une bière, je reste un moment allongée, à reprendre mon souffle et mes esprits.

Je finis par me lever, pour me diriger vers la porte, je dois passer devant la table ou ils sont installés. Marc m'attrape par le bras :

_ Tu peux nous dire au-revoir, tu pars demain? Non? J'espère que vous reviendrez l'an prochain, vu comme tu aimes le cul, j' ai pleins d'amis qui seront heureux de te rencontrer!

_ C'est sûr, avec les atouts que tu as, c'est dommage que je ne t'ai pas connu plus tôt, mon chibre est fait pour ton cul, jolie petite salope.

Décidément, je n'aime pas Louis.

_ Je ne sais pas pour l'année prochaine, mon mari ne sera peut-être pas d'accord.

Je me penche, et embrasse Marc, qui me rend mon baiser, tout en me flattant la poitrine, j' ai le cœur serré, je sais que c'est fini, je ne le verrai plus.

Je comprends vite que lui est déjà passé à autre chose, il ne me retient pas.

Je sors de la caravane, me dirige vers les douches. J'ai mal, pas seulement au cœur, mais mon anus me fait un peu souffrir. J'ai le goût du sperme dans la bouche, et il y en a qui suinte de mon cul et ma chatte, le long de mes cuisses.

Je reste un bon moment sous la douche, je regrette de ne pas avoir de baignoire pour me détendre.

Arrivée dans ma toile, je m'étends sur le matelas, et je sombre rapidement dans un profond sommeil.

C'est Yves, mon mari, qui me réveille en entrant. Il est étonné de me trouver au lit. Je lui dis que je suis trop restée au soleil et que je suis fatiguée. Je me lève, et heureusement qu'il me tourne le dos, je remarque que j'ai la chatte rouge et boursouflée. Je passe en vitesse son teeshirt qui est à proximité, comme il est un peu grand pour moi, il me cache tout juste le minou et le cul. Je lui dis que j'ai tellement eu chaud, maintenant, j'ai froid. Il hausse les épaules.

La soirée se passe très bien, avec un pot d'au-revoir avec nos nouveaux amis.

Voilà à peu près une heure que nous roulons. La route droite est monotone, ce matin, nous avons démonté notre tente, rangé nos affaires, aidés par Lisa et Tony, qui après un échange d'adresse, nous ont fait promettre de rester en contact.

Je suis habillée d'une petite robe en coton très courte, tenue par des bretelles nouées derrière le cou, le dos nu. Je ne porte aucun sous-vêtement.

Il commence à faire chaud dans notre 4 L, et je transpire un peu. Yves conduit avec une main sur ma cuisse. Je suis bien détendue, j'écoute la radio, toujours le tube de l'été, Joe Dassin, (L'été indien )

Le petit doigt de mon mari est à la limite de mon pubis. Il agite sensiblement ce dernier, il touche mes grandes lèvres. Je fremis. Mes pensées remontent vers Marc. La manière dont je me suis laissée séduire, la facilité avec laquelle je me suis donnée. Tout à fait le contraire de ce que j'étais en arrivant. Que c'est-il passé? Peut-être, suis-je vraiment une salope. Pourtant, j'aime cet homme à côté de moi, mon mari. Il est attentionné, très gentil, très doux, même en amour......

Peut-être que c'est cela, il est trop doux en amour, inconsciemment, j'ai peut-être besoin d'être un peu plus secoué, plus forcé. Comment lui faire comprendre que j'aime être forcée, être sodomisée. Va-t-il me suffire? Je ne voudrais plus le tromper, il ne le mérite pas, mais mon corps réclame plus.

Si seulement il pouvait prendre conscience de mes nouvelles envies, peut-être me partager avec ses amis, ou bien, je ne sais pas?

Les larmes me viennent aux yeux.

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