Irrésistible Transformation

J'ai honte de penser à lui. Mon mari est couché sur le dos et m'invite à me coucher. Il bande très fort. Son sexe n'est pas très long, mais il est très épais, plus gros que celui de Marc. Je me mets à genoux, le prends dans ma main. Je dépose un petit baiser sur son gland tout rouge. Est-ce pour me faire pénitence d'avoir rompue mes vœux de mariage, où est-ce par désir, j'avale littéralement sa bite, qui vient cogner contre mon palais. _ Que fais-tu Chérie? Pour réponse, je commence des mouvements de va-et-vient. Je m'aperçois que j'aime cette chaleur, la texture, la douceur de son membre. Je m'applique du mieux possible, je vais lentement et de plus en plus profond, jusqu'à avoir des renvois. Il râle. Il attrapé mes fesses, me tire vers lui, me fait mettre à genoux le cul vers lui. Je n'ai pas lâché son sexe, quand je le sens mettre ses mains entre mes cuisses, les écarter et sa langue vient fouiller ma chatte. Jamais nous n'avons fait une telle chose.

Je suis toute excitée, et je l'enfourne avec force. Lui a trouvé mon clitoris et me donne des petits coups de langue, ou me l'aspire. C'est divin, je sens ma cyprine couler entre mes cuisses. D'un coup, Sa queue fait des soubresauts, il monte son bassin, sa bite vient se planter tout au fond de ma gorge. J'ai le nez dans ses poils contre sont ventre. Ma gorge est envahie par son sperme chaud, je voudrais me dégager, mais je ne le fais pas, je veux faire plaisir à mon mari. Alors j'avale tout. Tout compte fait cela n'a pas mauvais goût, je suis surprise croyant que c'était affreux.

Il retombe sur ses fesses, sa queue sort de ma bouche, je me retourne pour voir son visage, il m'attire à lui. _ Je t'aime, Chérie!!! Si cet endroit qui te rends aussi amoureuse, on reviendra. Je me blottie dans ses bras, Je joue avec son sexe mou. Il m'embrasse, me caresse les seins qui sont très dures, les aréoles gonflées et les mamelons raides. Une fois sa queue redevenue bien raide, il me prend, il ne me fait pas l'amour, il me baise, avec énergie, me fait jouir plusieurs fois.

J'aime cette façon de faire, je découvre un nouveau mari. La matinée se passe très amoureusement entre nous.

Bien que quand je suis allée faire ma toilette, inconsciemment je cherchais Marc des yeux, mais à même temps, je ne veux plus faire de mal à mon homme. Je suis mariée et je ne peux pas lui faire Ça. Après le repas, vers 14 H, Tony vient nous chercher pour le tournoi de volley. Il me dit que si je veux, Liza et déjà à la plage. Je prends ma serviette, et entourée des deux hommes, nous voilà partis pour la plage. Je me dis, que de chemin parcouru en si peu de temps, je suis nue, la serviette sur l'épaule entre deux hommes nus également.

Arrivée à la plage, j'aperçois un groupe de personnes, une main se lève et me fait signe. C'est Liza. Je souhaite bonne chance aux hommes et me dirige vers le groupe. Mon cœur se met à battre. Sur le sable, 6 personnes allongées, 4 femmes, 2 hommes. L'un d'eux est Marc. Je m'installe à côté de Liza. Environ 10 mn sont passées, que Marc décide de se baigner, suivi de 2 autres femmes. Ils ne nagent pas très longtemps. Quant ils reviennent, Marc vient se mettre juste à côté de moi. Rien que sa présence, me met dans un état d'excitation incroyable, je n'arrive pas à me contrôler. Soudain, sa main vient frôler ma cuisse, je frissonne. Il tourne la tête vers moi. Je l'entends murmurer: _ Dans 10 minutes je t'attends dans les dunes! Il se lève et s'éloigne tranquillement.

Je regarde ma montre, je sais que je vais le rejoindre, mais comment m'éloigner sans que cela ne paraisse suspect? Mon esprit vagabonde. Pourtant, sans vraiment réfléchir, les 10 minutes à peine écoulées, je me lève prends ma serviette et sans rien dire, je monte vers le camping, après avoir passé la première dune, je regarde derrière moi, je ne vois plus la plage. j'oblique vers la direction où est parti Marc Je l'aperçois, aussitôt je me mets à courir, comme une gamine. Il me tend les bras, je me jette à son cou, s'ensuit un long baiser. Je noue mes jambes derrière ses reins. Il m'entraîne à l'abri des regards, dans un grand trou naturel dans le sable où il a entendu sa serviette.

Il me dépose lentement, me caresse les seins, qui sont déjà tous gonflés. Avec ses genoux, il écarte mes jambes, se met à genoux entre, avec les mains, il prend mes genoux, les remonte, et les écarte au maximum, presque à me faire mal. Il plonge sa tête entre mes cuisses, sa langue vient me laper la chatte. Aussitôt mon ventre fourmille, je me pince les nichons et je jouis bruyamment. Il est surpris. _ Tu es bien sensible, tu n'as pas l'habitude? As-tu eu Des amants? Quel âge a tu? Je me sens rougir. -Je viens d'avoir 22 ans........ je...Tu es le premier!!! _ Merde, je te croyais plus âgée.! _ Pourquoi, quel âge a tu? _ J'ai une fille qui a presque ton âge, 20 ans, j'en ai 46, moi! _ Je...,.. je suis désolée, mais j'ai pas l'habitude, quand je t'ai vu, je ne sais pas ce qui c'est passé, tu ne vas pas me repousser, je suis là pour 2 semaines, et il ne m'en reste plus qu'une. Il me prend dans ses bras, m'embrasse, je colle ma poitrine contre son torse. Il me masse les seins d'une main, je saisis de queue, elle est dure, il s'allonge sur moi, je dirige sa queue dans ma chatte. Je suis tellement mouillée, qu'il s'enfonce sans résistance. Il me prend lentement, me tiraille les mamelons. Je jouis plusieurs fois d'affilées, je n'ai plus aucune retenue, seul mon plaisir compte, Cet homme peut me demander ce qu'il veut, je suis à lui. Quant enfin il se libère, m'inondant de son sperme épais, je suis sans souffle, tellement j'ai jouis.

_ Tu sais! Si tu veux me revoir, il va falloir que tu acceptes de te donner entièrement, comment vas-tu faire avec ton mari? _ je sais pas, je vais me débrouiller. _ Ok, ce soir viens aux douches à 10 h. Il m'embrasse, me pince un téton et s'en va.

Je reste un moment assise seule.

Pourquoi j'ai tant le désir de cet homme, il est plus âgé que mon père et même mon beau père. Il n'est pas très beau, mais il a du charme, et quand ses yeux se posent sur moi, je suis comme une petite fille, il m'envoûte. Pourtant, en revenant vers la plage, je me persuade que je ne veux pas aller le retrouver ce soir.

Après le souper, Yves veut aller faire un tour, avec ses nouveaux copains de volley. il y a une petite fête foraine au village. Je prétexte un mal de tête, je suis restée trop au soleil. Il a fallut que j'insiste pour le voir partir, lui disant que j'allais me coucher, mais qu'il pouvait très bien sortir avec ses amis d'autant que certains sont en couple.

Les voilà partis, il est 9 h 30. Mes pensées se bousculent, j'y vais, non j'y vais pas. Qu'a t il voulut dire en disant que je me donne entièrement?. 9 h 55, Je prends mes affaires de toilette et le cœur battant, direction les sanitaires. Je suis à peine arrivée, un bras puissant m'attrape par la taille, me pousse dans une douche, heureusement il n'y a presque personne, et je pense que personne ne nous a vu. Il me colle le dos contre le carrelage froid. Il ferme la porte à clef. _ C'est bien, ma belle, tu es venue, tu aimes la bite? -Je vais te faire connaître des choses et tu ne m'oubliera pas. Je tremble, autant de peur que de désir, j'ai envie qu'il joue avec mon corps, et je redoute ce qu'il peut vouloir. Il pose ses mains sur le carrelage de chaque côté de ma tête, m'embrasse avidement, puis me malaxe les seins. Mes tempes bourdonnent, mon cœur s'emballe, ma chatte s' humidifie. _ A genoux, et suce moi! Je m'exécute, j'ouvre la bouche, il ne bouge pas. Alors je m'avance et l'introduit entre mes lèvres. Croyant bien faire, je prends ses couilles dans ma main. - Laisse tes mains dans ton dos! Sers toi uniquement de ta langue et de tes lèvres.

Je suis perdue. je lâche son sexe et commence à lui lécher les boules. puis je fais glisser ma langue tout le long de son membre pour le reprendre en bouche. A ses soupirs, je comprends qu'il apprécie. Heureuse de lui plaire, je l'applique de mon mieux, et le prends de plus en plus profond dans ma gorge. Par moment, je suffoque, les larmes me viennent aux yeux. Soudain, je ressens les contractions de sa bitte, elle gonfle, tressaille, je m'enfonce sa queue en entier dans la gorge, mon nez sur son ventre, j'agrippe ses fesses et l'attire contre moi. Dans un râle, il décharge de longs et abondants jets de sperme. J'ai du mal à tout avaler, je trouve un goût plus âcre que celui de mon mari, légèrement salé.

Quant il sort de ma bouche, j'ai du sperme qui coule à la commissure de mes lèvres. Je le regarde droit dans les yeux et avec mon doigt je repousse tout dans ma bouche. _ Tu apprends vite, c'est bien. On se verra demain dans les dunes. Il m'embrasse à nouveau, puis sort.

Je suis déçue, il ne m'a pas prise. Je me fais donc venir sous la douche, puis je vais me coucher.

Tout les jours, je vais trouver des astuces pour m'éclipser et rejoindre mon amant. je le rejoins dans les dunes, le soir pour la douche, même Yves me dira que jamais je n'avais pris autant de douches, en riant, je lui réponds que quand on vit à Poil le sable s'insinue partout. Toujours est-il que jamais je n'avais autant fait l'amour, jusqu'à 3 fois par jour, 2 fois avec Marc et le soir pour me donner bonne conscience je m'offre à mon mari, qui est tout heureux.

Toute la semaine se passe bien, le dimanche après midi, nous sommes partis, Yves et moi, avec nos maillots de bain, sur la plage textile, faire quelques photos pour montrer aux amis et famille.

Nous rentrons Au camping, vers 18 h. Tout juste arrivés, les copains viennent chercher Yves pour une pétanque.

J'en profite pour aller vers la plage. J'aperçois Marc, il m'a vu, et se dirige vers la dune. Comme un automate, je le suis à distance. Il m'attend à notre endroit habituel. Je ne lui demande rien, soumise je m'allonge sur ma serviette. Il s'allonge à mon côté, m'embrasse, me caresse la poitrine. J'adore ses mains sur mes seins.

Il descend une main sur ma chatte, cherche mon petit bouton. Il le triture, je mouille abondamment tout en me tortillant sous cette caresse. Il me fait mettre à genoux, me fait pencher en avant, la tête sur les avants bras. _ Je vais te prendre en levrette! Je ne sais pas ce que c'est, j'ai un peu peur. Mais quand il introduit son membre dans ma chatte, je ressens une formidable envie d être avilie. Je me sens femme dominée, chienne. J'ai un terrible orgasme, il est obligé de me soutenir, pour me chevaucher, _ On dirait que tu aimes, a tu déjà été enculée. _ NON!!!! _ Veux tu essayer? Pourquoi je réponds Oui, alors que j'ai toujours refusée à mon mari, lui disant que c'est sale, et qu'une femme bien ne fait pas ça. Peut-être ne suis je pas une femme bien. Toujours est il, que tout en baisant ma chatte, je sens son pousse pénétrer mon petit œillet. Il se sert de ma cyprine pour enduire mon cul, il a réussi à mettre 3 doigts qu'il fait aller et venir. Puis il sort sa queue de ma chatte, la présente à l'entrée de mon cul. Il pousse, mais ça résiste. J'ai très peur, pourquoi lui avoir dit oui. D' un seul coup, il me frappe du plat de sa main, une grande claque sur la fesse. Sous la surprise, je me relâche, il en profite pour me pénétrer, enfonçant presque la moitié de sa queue, j' hurle de douleur, j'ai l'impression d'être déchirée, une brûlure intense, et l'envie de rejeter cet intrus.

Je suis tombée à plat ventre.

Il ne bouge plus, me dit de me calmer. Il a passé ses mains sous mon ventre et me remet à genoux. Je suis tétanisée. Je lui demande de se retirer, je pleure, Il me répond, que je le voulais, d'attendre un peu Il met une main sur la chatte et me masturbe lentement. Malgré la douleur, je ne suis pas insensible à la caresse. D'ailleurs, je commence à accepter sa queue. Il ressort un peu, puis revient. Au bout de 5 ou 6 aller retours, je n'ai presque plus mal. Il va de plus en plus profond, je ne trouve pas cela bien agréable. Pourtant, il finit par être tout au fond, ses boules touchent mes fesses. Après un nouvel arrêt, il recommence les va et viens. Très lentement, puis il accélère. C'est étrange, la douleur s'estompe, et à la place je ressens une drôle de sensation. Maintenant, j' ai envie qu'il aille plus vite. Il a lâché ma chatte, et m'a attrapé par les seins et me tire violemment vers lui m'empalant à chaque fois, faisant claquer ses couilles sur mon périnée. Je suffoque, je ne sais même plus ce qui m'arrive. Je transpire, la sueur coule entre mes seins et le long de mes flancs. Brusquement, il me relève, toujours par les seins, colle mon dos contre sa poitrine, et inonde mes entrailles d'un liquide chaud. Il n'en finit pas de se déverser dans mon intestin. Je jouis également, libérant une assez grande quantité de cyprine.

Il me maintient ainsi un moment, jusqu'au moment où il sort doucement de mon petit cul, sa bitte ramollissant. Il me retourne, me caresse la joue, m'embrasse. _ Tu vois, ce n'est pas si terrible, je suis certain que ton mari appréciera. Quant repartez vous? _ Le 14, lundi 14 au matin _ Il nous reste une semaine, il serait bien que l'on puisse se dire au-revoir dimanche prochain.

Il m'embrasse à nouveau, je me pends à son cou, profite au maximum de son baiser. Il me quitte, je me douche et retourne à ma tente. Yves n'est pas encore arrivé, je prépare le souper en songeant que déjà une semaine c'est écoulée.

On est déjà jeudi, on est étendues sur la plage, nos hommes font un énième volley. Une excuse bidon, et je rejoins Marc dans les dunes.

Maintenant, c'est selon son plaisir, il me prend comme il veut, je ne lui refuse rien, ma bouche, ma chatte, mon cul et même entre mes seins.

Comme à l'accoutumée, je regagne la plage, les 3 femmes dont Lisa Papotent. Je m'allonge à côté d'elle. Elle me sourit, m'attrape par la main _ Aller! Viens te baigner. Je la suis en riant, main dans la main. On plonge dans les vagues, on chahute, je suis troublée quand ses mains frôlent mes seins ou ma chatte. Brusquement, elle prend mes deux mains, s'écarte un peu _ Tu es très belle, j'aimerais avoir ta poitrine, je comprends que Marc ait jeté son dévolu sur toi.. Je rougis. Je me sens très mal. _ Que.... veux tu dire? _ J'ai remarqué ton manège, tes absences, et comme par hasard vos rencontres aux sanitaires. _ Quoi?......Que veux tu dire. Je t'en prie, ne parle pas à Yves. Je suis folle, jamais il ne me pardonnera. _ Ne t'en fais pas, Marc est un homme à femmes, tu n'es pas la première, Il y a 3 ans, la première fois que nous sommes venus, c'est avec moi qu'il a attendu sa femme et ses deux enfants, en principe il vat les chercher à la gare le 14, alors profite, je serai une tombe.

Elle dépose un petit baiser sur mes lèvres, me tient par la main et nous regagnons nos serviettes en silence.

La semaine se termine, toujours avec mes rencontres sauvages avec Marc, et mes soirées avec Yves. Une sorte de vague à l'âme c'est emparée de moi. Joe Dassin chante ( un été Indien ) Le tube de l'été, cela me rend nostalgique, j'aimerais poursuivre mon été.

Le samedi soir, on est au bar, tous ensembles, quand le responsable du camping pose une affiche.

Une sortie de pêche en mer a lieu demain dimanche, rendez-vous à l'embarcadère à 9 h, à Hossegor, le matériel est prévu dans le prix du billet. Aussitôt, les hommes décident de participer, certaines femmes également. Yves est tout de suite intéressé, il insiste pour que je l'accompagne. Je prétexte le mal de mer, pour décliner l'offre, mais bien sûr je l'encourage à y aller. Le pauvre, il ne faut pas beaucoup le pousser. Je remarque le sourire de Lisa, qui va accompagner Tony.

Dimanche matin, je me lève, prépare le petit déjeuner. Yves est très excité, il enfile son maillot de bain, un short et un t-shirt, une casquette et le voilà parti en voiture avec les autres, ils n'ont pris que 3 voitures. Je range un peu, prépare la valise pour le départ demain. L'avantage de vivre nu, on a pas beaucoup défait nos affaires.

Je monte faire ma toilette. Je m'attarde un peu, je cherche Marc. Comme il y a du monde, il me dit bonjour, juste une bise. Tout bas je lui dis que mon homme est à la pêche pour la journée. Il me dit de le rejoindre à sa caravane, et m'indiquer le numéro d'emplacement. Je cours presque poser mes affaires de toilettes, je regarde sur le plan ou est son emplacement. Une fois repéré, ma serviette de bain à la main, je pars le rejoindre. Arrivée devant la caravane, mon cœur cogne dans ma poitrine. Je sais que c'est la dernière fois que l'on va se voir. J'ai les seins qui pointent, et le sexe humide. Une vraie femme en chaleur. Je cogne à la porte qui est ouverte. il vient m'accueillir. Il a vraiment l'air heureux de me voir Il me fait entrer, et directement, il m'entraîne au fond de la caravane, dans une petite chambre avec un grand lit, Il y a juste un drap sur le lit.

Je m'assois au bord, il me pousse les épaules. Je suis sur le dos, les jambes pendantes. Il se met à genoux, écarte mes cuisses et se met à me dévorer la chatte. Je ne tarde pas à venir. Il va me baiser toute la matinée,.de toutes les manières possibles. Dès qu'il donne des signe de faiblesse, je le prends en bouche et lui redonne vigueur. A midi trente, il me dit de l'attendre, Il va chercher à manger au petit snack de l'entrée du camp. Il n'a pas mis longtemps, mais je commence à somnoler. Le repas est frugal, mais suffisant. On retourne sur le lit, mais épuisés tout les deux, on s'endort.

On frappe à la porte, je sursaute. Marc est déjà debout, il ouvre la porte, Je me sens mal. j'ai du sperme sec sur les cuisses, sur mes fesses et même dans les cheveux. Mais ce que j'entends me mets encore plus mal alaise. _ Alors, elle est là, ta merveille? _ Oui, entre! Elle est dans la chambre.

Je me lève d'un bond. Mai je ne peux pas passer, Marc est devant moi, et j'aperçois derrière lui un homme, bien sûr nu. Il est à peu près du même âge que Marc, mais il est bedonnant, un gros ventre, sous le quel pend un sexe en demi érection.

Je veux passer devant Marc pour aller vers la porte. Il s'écarte, je passe devant lui, mais l'autre homme est devant moi. Comme je m'apprête à le pousser, Marc me saisit par les coudes, me les ramène dans le dos, me force à me cambrer exposants ma poitrine. _ Regarde Louis, je ne t'ai pas menti, comment trouve tu ça? L'homme posse ses doigts boudinés sur mes seins. _ Tu as raison, ils sont fermes et délicats, de plus, elle bande la salope, regarde comment ils pointent. _ Arrêtez, Marc laisse moi partir! _ Toi, arrête de faire ta mijaurée, tu aimes être baisée, et tu vas être servie, Louis est un maître. Louis est toujours entrain de jouer avec mes seins, les soupèse, joue avec mes mamelons. Le résultat est qu'ils sont gonflés à bloc, l'aréole est bombée en cône, et le mamelon érigé est dur. Mes yeux se posent sur sa bite, elle est énorme, longue et énorme. le gland presque violet, une grosse veine monte le long de la hampe, comme un serpent sur une branche. Je frémi. Louis me lâche un sein et sa main descend à ma chatte, qu'il investit sans plus de préambule. Son doigt s'enfonce lentement et remonte vers le clitoris. Je ne peux m'empêcher de fléchir les genoux tout en les écartant. _ Tu remarqueras, Marc, qu'elle est mure, Elle mouille comme une fontaine. Il se baisse, m'attrape par les chevilles, me soulève. Marc qui est toujours derrière moi, me prend sous les épaules, et tout les deux se dirige vers la chambre et me jette sur le lit.

Je devrais crier, mais je n' en ai pas vraiment envie. Je pressens ce qui risque de se passer, et je dois bien reconnaître que je suis particulièrement excitée.

Louis se met à genoux à côté de moi, je ne bouge pas quand sa main, viens reprendre possession de ma chatte. Il transpire abondamment.

Marc vient s'assoir sur ma poitrine, et me présente sa queue. Instinctivement je le prends en bouche. j'ai compris que j'ai donnée le feu vert pour la suite des évènements. Louis se met à me lécher la chatte, sa langue remonte dans mon intimité. Elle se bloque sur mon bouton, elle s'enroule autour, puis elle m'aspire. Je perds tous mes moyens, je m'entends crier, mais Marc m'empêche de crier en s'enfonçant plus profondément dans ma gorge. Mon premier orgasme de l'après midi. Je suis encore essoufflée, Marc se redresse : Tu vois, je t'avais bien dit que ce serait facile! Elle est très réceptive, ce sera une bonne pute. je prends peur, que veut dire Marc. _ J' en suis sûr, avec ton accord, je vais la baiser. Depuis que tu m'as parlé d'elle, j' en ai très envie.