Soumise ou Non 01 (Nudisme)

Informations sur Récit
Hugo pervertit Inès, sa femme, en faisant du nudisme sauvage.
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Partie 1 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/08/2023
Créé 06/08/2023
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Soumise ou non 1 (nudisme)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Depuis deux semaines, Hugo et Inès profitent du soleil de juillet sur la côte normande. Aujourd'hui, le couple a opté pour une journée de farniente. Hugo a proposé à sa femme, Inès, d'aller sur une plage naturiste. Ils ont choisi de s'installer en arrière de la plage, assez loin de la mer, à un endroit où de grandes touffes d'herbes envahissent le sable. Ils peuvent ainsi se faire dorer au soleil, dans la plus complète nudité, sans pour autant s'entasser sur une plage spécialisée où la promiscuité enlève tout érotisme à la situation, car Hugo a choisi cet endroit avec une intention peu conforme à la pratique du naturisme.

Ce choix n'est pas innocent car Hugo a envie de pervertir sa femme. Depuis longtemps, il a pris du plaisir solitaire en lisant des récits érotiques sur Internet. Il a été particulièrement excité lorsque ces histoires montraient des femmes offertes à d'autres par leur mari. Dans ses fantasmes, il ne s'agit pas de devenir un cocu soumis face à une femme libérée. Non, ce qui l'excite le plus c'est de guider sa femme vers toutes les perversions qu'il a en tête. Il veut évidemment qu'elle y trouve du plaisir. Il ne fera rien contre son gré, mais il va chercher à la convaincre. C'est à la fois une certaine liberté sexuelle qu'il veut lui donner, mais il lui faut aussi la guider, la conduire, la pousser. Hugo n'est pas loin d'une forme de domination qu'il ne veut pas s'avouer.

Inès s'est allongée sur le dos sur un matelas de plage et s'absorbe dans la lecture d'un livre. Hugo, assis à côté d'elle, profite du paysage mais également de la vue de son épouse, dont il ne se lasse jamais de regarder les courbes harmonieuses, encore mises en valeur par un bronzage intégral. Ce spectacle ne le laisse pas indifférent, comme en témoigne l'érection de son sexe. Hugo lui a demandé d'écarter un peu ses cuisses, ce qu'elle a fait sans excès pour garder un minimum de décence. Cependant, la vue reste intéressante, si l'on se fie aux regards que jettent quelques rares passants.

En fin d'après-midi, le soleil déclinant vide progressivement l'endroit. Les promeneurs se font aussi plus rares. Hugo et Inès préfèrent rester encore pour profiter des dernières heures de la journée. La chaleur de l'été est maintenant tempérée par une brise plus fraîche. La lumière du soir ajoute encore à la beauté de la mer, raison supplémentaire pour le couple de s'y attarder. Pourtant ce n'est pas la seule explication. Tous deux savent que cette heure est celle des voyeurs, qui viennent s'installer ici en fin de journée pour profiter, en toute tranquillité, de certains couples amateurs d'exhibition.

Un homme s'approche alors, une serviette de bain sur l'épaule et s'installe à deux ou trois mètres d'eux. Il a bien choisi sa place, car il vient de s'asseoir juste dans l'axe des cuisses d'Inès. Le voyeur, nu, montre un sexe d'une longueur imposante, qui ne tarde pas à se raidir lorsque son regard se pose sur la nudité féminine qui l'intéresse.

« Regarde », dit tout bas Hugo à son épouse, « le spectacle a l'air de faire de l'effet à notre voisin. »

Pour s'en convaincre, Inès se déplace légèrement, suivie immédiatement par l'homme qui ajuste sa position. Elle décide alors de se redresser un peu et regarde discrètement son voisin. Elle voit bien ce sexe tendu et est vite excitée à l'idée que c'est sa nudité, son intimité affichée, qui en est la cause. Alors, le voyeur, qui a senti sur lui le regard d'Inès, pose sa main sur son membre et commence une lente masturbation, prenant visiblement plaisir à se montrer également, comme en atteste la façon qu'il a de décalotter lentement son gros gland sur lequel il étale du bout d'un doigt la goutte qui perle sur le méat.

Inès reprend sa position allongée, mais, sous le couvert de son chapeau de paille, garde un œil sur l'homme qui se fait à la fois voyeur et exhibitionniste. Hugo est aussi excité qu'elle par le spectacle. Il a un peu l'impression d'offrir sa femme à cet inconnu. Il veut alors pousser l'érotisme de la situation encore plus loin. Il se saisit, dans les herbes voisines, d'une petite branche un peu piquante, avec laquelle il caresse légèrement Inès, effleurant son cou, puis suivant la courbe d'un sein pour venir en énerver la pointe. Sous la caresse un peu appuyée des piquants, le téton s'érige et se tend. Cela n'a pas échappé au voyeur qui se branle maintenant plus rapidement. Assis près de la tête de son épouse, Hugo a senti son sexe durcir, son gland laissant une trace humide dans les cheveux d'Inès. Puis, il fait descendre la brindille sur le ventre, sur les cuisses, pour venir enfin la glisser au creux de l'aine. Les pointes griffent la peau tendre et accrochent un peu les grandes lèvres, accompagnant leur passage d'un léger frisson. Hugo insiste à cet endroit qu'il sait sensible. Il voit que sa femme apprécie et redoute à la fois ces caresses piquantes, qui rendent son sexe plus humide encore. Le voyeur, quant à lui, ne perd rien du spectacle et continue sa masturbation, sans se cacher.

« Peux-tu me mettre un peu de crème à bronzer? », demande Inès à son mari, en se retournant sur le ventre, alors que cela n'a plus d'intérêt sous ce soleil déclinant.

« Bien sûr ! Avec grand plaisir ! », lui répond Hugo.

Il étale alors une noix de crème sur les épaules de son épouse. Il passe doucement sa paume sur le dos, cherchant à couvrir toute la surface. Ses doigts glissent sur le côté, sous l'aisselle, à la limite du sein. Puis, il place un peu de crème au creux des reins, qu'il étale ensuite sur les fesses d'Inès. Il s'y attarde dans un mouvement de massage léger, proche de la caresse. Il passe dans le sillon et y glisse lentement un doigt huilé.

Le voyeur suit des yeux ce mouvement et montre son excitation par une masturbation encore plus accélérée. Il se doute bien que tout ce que fait ce couple devant lui n'a rien à voir avec une protection contre le soleil. C'est uniquement pour lui offrir ce spectacle érotique qui l'excite tant, se dit-il. Alors, profitant de la position d'Inès, qui ne peut le voir, l'homme se lève un instant et rapproche sa serviette pour s'y installer de nouveau. Il est maintenant assis à un mètre à peine des pieds d'Inès.

« Retourne-toi pour que je puisse t'enduire sur l'autre face », demande Hugo à sa femme qui s'exécute.

En se retournant, il a bien semblé à Inès que le voyeur était plus près d'elle, mais elle se dit qu'elle se trompe certainement. Elle se recouche alors sur le dos et pose son chapeau sur son visage, gardant cependant la possibilité de jeter par dessous un regard discret à l'homme qui l'épie. Hugo reprend consciencieusement cette tâche qu'il apprécie et qui lui donne l'occasion, sous un prétexte presque plausible, de caresser sa femme en public, de l'exciter ou plutôt de les exciter, elle et son voyeur. Partant du cou, il étale la crème sur la poitrine d'Inès. Ses doigts atteignent les seins et en suivent les contours avec une lenteur voulue. Ils en évitent volontairement les pointes, tournant autour et s'en rapprochant à chaque fois un peu plus. L'inconnu qui les regarde est sensible au spectacle et ses yeux trahissent son excitation. Son gland est de plus en plus mouillé et Inès entend le léger bruit de la main de l'homme sur ce membre trempé. Elle sait que c'est elle, que c'est son exhibition qui en est à l'origine, et cela l'excite, humidifiant ainsi son sexe.

Hugo enduit maintenant les cuisses de sa femme. Il étale la crème, en remontant vers le ventre, contournant la toison pubienne. Puis, du plat de la main, il force Inès à écarter un peu plus les cuisses. Elle résiste d'abord un peu, gênée de montrer ainsi sa vulve, pour se laisser faire enfin. Alors, Hugo pose une grosse noix de crème au bout de son doigt et vient toucher une petite lèvre, qu'il commence à enduire. Inès ressert tout de suite ses jambes, mais l'homme a eu le temps de voir la caresse et d'atteindre ainsi le sommet de l'excitation. Alertée par un petit cri étouffé, Inès jette un coup d'œil à son voyeur, le temps d'apercevoir une giclée de sperme s'étaler entre ses pieds. Excitée au plus haut point, comme le montrent les tremblements qui la parcourent, elle ne quitte plus des yeux ce membre toujours tendu, que l'homme continue à caresser lentement en y étalant les dernières gouttes blanches.

Inès s'apaise un peu. Hugo reste près d'elle et lui flatte doucement la joue. Ils s'attendent à ce que l'homme s'éloigne, son plaisir pris. En fait, il semble ne pas en avoir l'intention. Il continue de se branler lentement, conservant son sexe en érection malgré l'éjaculation récente. Le couple s'étonne de son endurance et Hugo décide de pousser plus loin le jeu érotique. Alors, sans quitter l'homme des yeux, il pose une main sur le sein de sa femme, le caresse ouvertement, en fait rouler la pointe sous ses doigts, pour venir enfin poser sa bouche sur le téton érigé, qu'il suce longuement. Cette vision semble renforcer encore l'érection du voyeur. Puis, Hugo glisse sa main au creux des cuisses de son épouse, remontant vers la vulve dont il suit les replis du bout d'un doigt.

« Écarte bien tes jambes pour exciter notre voyeur », demande-t-il à sa femme dans un murmure.

« Je n'ose pas », répond-elle, ajoutant cependant: « écarte-les moi, si tu veux ».

Hugo se conforme à sa demande, mais ne réussit pas à ouvrir autant qu'il le souhaiterait le compas des jambes, car Inès résiste un peu, acceptant mal une telle exhibition. Le sexe est toutefois bien visible et le voyeur s'excite encore à la vue du doigt que Hugo fait coulisser maintenant dans le vagin trempé de son épouse. Cependant celle-ci y met fin en se retournant sur le ventre, pour cacher sa gêne.

Lorsque son mari veut poursuivre ses caresses, Inès retient sa main en lui disant:

« Attend un moment, je t'en prie. »

Elle se laisse ensuite aller à une douce torpeur, profitant des derniers rayons du soleil, tout en pensant à cet homme qui la regarde certainement encore en entretenant son excitation d'un mouvement de poignet régulier.

Lorsque, après un long moment, Hugo pose de nouveau sa main sur la cuisse de sa femme. Celle-ci ne résiste pas à la pression qu'il exerce et le laisse lui écarter largement les cuisses, dans une position presque obscène. Il glisse plusieurs doigts entre les lèvres et les fait coulisser profondément dans le vagin. Hugo se rend compte de l'excitation de son épouse aux tremblements qu'il ressent en elle et à la liqueur qui lui inonde la main. Dans sa position, Inès, toute à ses sensations intenses, n'a pu voir que l'homme s'était encore rapproché. Il s'est mis à genoux entre les cuisses d'Inès, les mains posées sur la serviette, juste à côté de ses hanches. Il est penché vers elle, le visage à dix centimètres du sexe qu'il regarde, les yeux exorbités. Alors, pour l'exciter encore, Hugo écarte ses doigts plantés dans le vagin de sa femme, ouvrant largement les lèvres de la vulve, pour montrer l'intérieur trempé et rougeoyant du sexe qu'il offre.

Le voyeur, au bord de l'apoplexie, se branle comme un fou, à une cadence infernale. Il jette un coup d'œil à Hugo et cherche, d'un geste, à lui faire comprendre qu'il voudrait toucher Inès. Celui-ci, craignant une réaction de sa femme, lui fait un signe négatif.

Cependant, trop excité, l'homme, dans une dernière secousse de la main, atteint l'orgasme et éclabousse de son sperme abondant le haut de la cuisse d'Inès, à la limite des fesses. Brusquement, surprise, elle se redresse et se retourne à demi, mais n'a pas le temps de réagir. Déjà Hugo étale de ses doigts le foutre qui la recouvre pour en enduire sa vulve ouverte. Inès frémit sous la caresse, excitée aussi à la pensée de s'être laissée arroser par le sperme d'un inconnu. Elle sent, posée à la pliure du genou, la main apaisante de son mari, bientôt accompagnée par une autre, celle du voyeur, qui lui serre maintenant la cuisse avant de remonter vers son sexe. Alors deux doigts touchent sa vulve. Inès, voyant que son mari à remis sa main sur son pénis qu'il branle en la regardant, sait que c'est le voyeur qui la touche. Les doigts de l'homme écartent les lèvres intimes et poussent à l'intérieur du vagin tout le foutre qui les engluait. Se sentir forcée ainsi, obligée de recevoir en elle la semence d'un inconnu, la conduit à un orgasme intense, qui la laisse épuisée, sans réaction, lorsque l'homme dépose un baiser sur sa nuque avant de s'éloigner.

Le soir, au lit, Hugo prend sa femme avec une fougue inhabituelle, ce qui fait dire à Inès :

« Et bien, j'imagine que c'est ce qui s'est passé en faisant du nudisme qui t'a excité comme ça? »

« Oui. J'ai bien aimé. Pas toi? », lui répond Hugo.

Inès, gênée, hésite un moment avant de répondre :

« C'était très excitant, c'est vrai, mais j'ai un peu honte d'avoir fait ça. »

« Ce n'est pas toi qui l'a fait. C'est moi qui l'ai voulu. Tu n'as pas eu d'autre choix que de subir cet inconnu », tient à préciser Hugo.

« Tu n'es pas jaloux, mon chéri? », s'inquiète-t-elle.

Son mari souhaite clarifier les règles de leur relation dans ce domaine, aussi lui dit-il :

« Je ne suis pas jaloux, puisque c'est moi qui te pousse dans cette voie. Tu es maintenant libre d'avoir toutes les aventures que tu veux, mais il y a des conditions. Tu ne devras rien me cacher et il ne s'agira que de relations sexuelles pour prendre du plaisir. Les sentiments amoureux te seront interdits, car c'est un domaine réservé, et, en contre-partie de ta nouvelle liberté sexuelle, tu devras suivre toutes mes demandes. Toute entorse à une de ces deux règles donnera lieu à une punition. Qu'en dis-tu? »

Sa femme est attirée par cette liberté nouvelle mais craint qu'il ne la pousse trop loin :

« Ne pourrait-on se limiter à la première règle? », ce qui fait réagir Hugo :

« Non ! Ce sont les deux ou rien ! »

« Bon, j'accepte, mais j'espère que tu seras raisonnable. Ce qui s'est passé aujourd'hui était déjà à la limite. Heureusement que je prend la pilule ! », répond-elle.

Hugo, cherchant peut-être à provoquer sa femme, dit alors :

« Ce n'est pas mon envie pour l'instant, mais il est vrai que je pourrais t'interdire toute contraception, n'est-ce pas? »

« Hugo, tu es fou ! », rétorque-t-elle, alors qu'elle sent sa chatte se mouiller instantanément en pensant à ça.

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... à suivre ...

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6 Commentaires
Plaisirs54Plaisirs54il y a 11 mois

Une jolie scène, bien racontée, qui nous évoque d’agréables souvenirs personnels.

TamokinkTamokinkil y a 11 mois

J'ai beaucoup aimé le rythme de cette histoire et le réalisme qui se dégage d'une scène non exagéré, hâte de lire la suite, en espérant tout comme APVapv que Hugo prendra son temps.

APVapvAPVapvil y a 11 mois

C'est très intéressant. En espérant que Hugo n aille pas trop vite...

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Vraiment excellente cette histoire qui rappelle quelques souvenirs anciens...vivement la suite.

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 11 mois

Tres intéressent je suis impatiente de voir la suite

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