Irrésistible Transformation

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La lente transformation d'une épouse normal.
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Olympe87
Olympe87
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Tout a commencé en ce mois de juillet 1975.

Nous avons chargé la voiture, tout le matériel de camping, prêté par mes beaux parents. Voilà 2 ans que nous sommes, Yves et moi, mariés.

Yves, mon mari, a 22 ans, assez grand, 1 m78, 70 kg, yeux bleus, sportif. Il pratique la gymnastique en club, d'où sa musculature assez développée. Moi, 20 ans depuis 2 mois, blonde, cheveux mi-longs, style France Gall. Les yeux également bleus, 1m60, 58 kg, jolie, mais sans plus, mon seul atout, ma poitrine. Des seins en forme de poire, très fermes, les aréoles roses surmontées de petits mamelons qui pointent toujours vers le haut : ils font le bonheur de mon mari.

On s'est rencontrés dans un bal, fréquenté pendant 1 an et demi. Puis le mariage, j'étais vierge. Je n'ai pas cédé à ces avance avant le mariage. Il me caressait, mais moi, malgré ses demandes incessantes, je ne le touchais pas.

Après notre nuit de noce, où il a été très doux, je me suis un peu débridée, mais je sens bien qu'il voudrait un peu plus, Je ne l'ai jamais pris dans ma bouche, alors, que lui, me mange le minou, et j'adore ça.

Nous prenons la route, puis un arrêt avant Bordeaux pour le déjeuner, très calme. Comme nous sommes dans un pré au bord de la route, un couple avec deux enfants se sont installés à une dizaine de mètres. On prend notre temps, une petite sieste, puis reprise du voyage. Avec la carte routière, on décide d'aller vers Hossegor. Quand on arrive, il est 17 h. On part à la recherche d'un terrain de camping, malheureusement, les 3 campings sont complets. On est sur un parking à regarder la carte. Un jeune homme s'approche. On lui explique notre problème, il nous dit qu'il y a un autre camping à 6 km sur le bord de mer, direction Mimizan. On le remercie, et nous voilà partis.

Arrivés à destination, une entrée de camping discrète s'offre à nous. Il y a une pancarte FFN, Fédération française de Naturisme. Puis dessous, une plus petite : ( Places disponibles)

Yves va voir, il revient au bout d'un instant:

Il n'y a pas de problème, on peut entrer, mais comme on n'est pas affilié à la FFN, le tarif est un peu plus cher, mais pas plus que dans un camping ordinaire. -- Mais, Chéri, je ne veux pas me promener à Poil devant tout le monde! _ Je lui ai dit que l'on n'était pas naturiste, mais la nudité n est pas obligatoire, chacun fait comme il veut. De toute façon, on passe la nuit et demain, on ira voir ailleurs. _Ok, pour ce soir, mais demain, on déménage!

On entre, la femme de la réception est très gentille, elle nous donne un plan du site, nous indique notre emplacement, les sanitaires, ainsi qu'une fiche polycopiée indiquant le règlement intérieur. En avançant dans les allées, je n'ose pas regarder les gens, tout le monde est nu, même les enfants. Mais personne ne fait attention à nous. On arrive à notre place, entre deux grands pins.

Yves sort la toile de tente, et commence la galère. C'est la première fois que l'on monte cette toile. L'armature est faite de plusieurs tubes, sur lesquels il faut mettre la chambre d'un côté, puis la toile principale. Son père lui a bien expliqué, mais sûr de lui, il n'a pas écouté. Mortalité, cela fait bien une demi heure que l'on se bat avec tous les éléments. Un homme s'adresse à mon mari.

__ Si je peux me permettre, il faut laisser les tubes à moitié pour poser la toile. Il s'approche, et commence à nous aider, Un autre couple se joint à nous. C'est assez irréel, trois personnes nues, nous aides, elles se connaissent et tout en travaillant, elles discutent.

Je suis très gênée. Surtout, que le premier homme, a l'âge d'être mon père, il a plus de 40 ans. Même s'il est très bien bâti. Des épaules larges, des pectoraux saillants, un ventre plat. De plus, il est entièrement bronzé, pas une trace de maillot, rien. Je n'ose baiser les yeux, son sexe de belle taille, ballotte entre ses jambes, les poils sont visiblement taillés. Le couple de jeunes me trouble moins, ils sont à peine plus âgés que nous.

De temps à autre, je sens le regard de l'homme, j'ai l'impression qu'il me déshabille du regard. La sueur me collant la mini robe contre mon corps. De plus, quand je lève les mains pour tenir une barre, je suis sur la pointe des pieds et je me demande si l'on ne voit pas ma culotte.

Heureusement, la toile est montée. On installe la table, un petit meuble pliant sur lequel repose le réchaud. Nos aides prennent congé, en nous souhaitant bon soir. Yves les remercie. Enfin seul. On gonfle notre matelas pneumatique, je pose les duvets, Yves va chercher de l'eau. On mange, tout en discutant. Je demande à mon mari ce qu'il pense de tout cela : Il me souri, puis me répond que cela ne le dérange pas, qu'il trouve les gens très sympathiques. Je lui rappelle que demain, nous irons chercher un autre camping. Nous allons faire la vaisselle ensemble. Aux sanitaires, tout le monde est nu, certains comme nous font la vaisselle, d'autres leur toilette. Il y a un bloc avec des lavabos et des cabines de douche. Je note que les douches sont équipées de portes, on peut donc faire sa toilette tranquillement.

De retour à notre tente, je vais dans la chambre, et me mets en maillot de bain. Je prends ma trousse de toilette et je dis à Yves que je vais à la douche. Il me dit, qu'au moins je pourrai poser le haut du maillot, que de toutes façons, je lui avais promis de bronzer topless. J'hausse les épaules et je part sans répondre.

Arrivée aux sanitaires, l'homme qui nous a aidé sort d'une cabine, il y a une petite fille d'attente. Il vient vers moi. Dans un grand sourire, il se présente : Je m'appel Marc, soyez les bien venus.

Au matin, quand j'ouvre les yeux, Yves n'est plus là. Il est 9 h, je me lève, le café est prêt. Je déjeune tranquillement, sans même faire attention que je suis toujours en nuisette transparente. Assise sous l'auvent de la toile, je n'y prête pas attention. Mon mari, arrive en maillot de bain, ses affaires de toilette à la main. Il vient m'embrasser. _ Tu as l'intention de passer ta journée vêtue comme cela? Je réalise que je suis pratiquement nue, et que toutes les personnes qui passent ou sont passées, ont pu me voir. Aussitôt je plonge dans la chambre, et. ressors en bikini. _ Avant d'aller voir un autre camp, je vais a la plage, tu viens? _ Non!..... Je vais prendre une douche, et ranger un peu, comme ça, on pourra partir plus vite. Il s'éloigne, la serviette autour du cou.

Je prends ma vaisselle, mes affaires de toilette et je me dirige vers les sanitaires. Je suis un peu déçue, il n'y a personne et je ne comprends pas mes sentiments. Une fois tout terminé, je retourne à mon emplacement.

Je suis assise dos à ma toile, et je trouve qu'il y a plus personne. Il est 10 h 30, et tout est calme. Je suis perdue dans mes pensées. _Alors, on dort? Tu ne m'offrirais pas un peut de café! Mon cœur se met à battre. Cette voix, Marc, il m'a tutoyé. Je ne sais si je suis en colère ou heureuse. _ Yves n'est pas là? _ Heu!!!!!!! Il est a la plage, vous voulez un café? Avant même que j'ai répondu, il est assis à côté de moi. A la place de mon mari Je me lève, réchauffe le reste de café, le verse dans 2 gobelets, prends le sucre et reprends ma place. Il boit son café lentement, il ne me quitte pas des yeux, moi, je fuis son regard. je suis très mal à l'aise, seule avec cet homme nu. Il ne dit rien. Je ne sais pourquoi, mais son regard me transpercent. Mes mamelons gonflent, soulevant les deux petits triangles de tissu. Le silence est pesant. Il me semble que ma respiration est irrégulière. j'ai avalé mon café, il sirote toujours le sien. Il pose sa tasse, ses yeux sont sur ma poitrine. _ C'est dommage de cacher un si joli trésor. Il se lève, toujours en me fixant, passe derrière moi. _ Tu permets! Tout en parlant, il dénoue le lien derrière mon cou. Je n' ai pas le temps de répondre, qu'il a retiré le lien du dos. Je suis seins nus, le haut du maillot sur les genoux.

Il pose ses mains sur mon estomac, remonte doucement, une douce caresse sous mes seins, continue son mouvement, les paumes effleurent le dessous de ma poitrine. Il arrive sur les mamelons. J'ai chaud. Je respire par saccades. Je. ne me défends pas, en ai-je bien envie? Le sang cogne dans mes tempes. Il fait rouler les mamelons entre ses doigts. Involontairement je pousse ma poitrine vers ses mains. _ Tu as la peau très douce, très ferme, de plus, tu es très sensible. C'est vraiment dommage de cacher çà. Il me dépose une bise sur la joue _ A plus tard! Jolie jeune fille!

Il me laisse là, la poitrine au vent, gonflée à bloc, et ma foufoune humide. Je ne sais pas si je suis en colère, pour ce qu'il m'a fait, ou pour ce qu'il n'a pas fait.

Je ne sais pas combien de temps c'est écoulé, mais j'aperçois mon mari qui revient. Il tient sa serviette à la main, et il est entièrement nu. _ Ou est ton maillot? _ Dans ma serviette, j'étais le seul à en porter, je me sentais ridicule. Et je te jure que c'est incroyable le plaisir de se baigner nu, il faut que tu essayes. Mais je vois que tu a posé le haut, c'est bien, tu me fais vraiment plaisir. Reprenant mes esprits : _ Allez dépêche toi, on va chercher un autre camping, je t'en prie, on ne peut pas rester ici. Tout en parlant, j'ai attrapé ma petite robe que j'enfile sur ma culotte de bain.

On va passer des heures en voiture, entre la circulation, la chaleur, on est à bout. On s'arrête à Capbreton, on achète les sandwichs et on pique-nique dans la pinède. Tous les campings sont complets. Heureusement que l'on n'a pas démonté notre tente. Yves me fait comprendre que la solution est de passer nos quinze jours au camping naturiste. J' essaie de l'en dissuader, mais pas pour la raison que je lui donne, à savoir qu'il n'est pas question de me mettre nue, je garderais le bas du maillot. Je redoute ce qui peut se passer avec Marc. Rien que de penser à lui, j' ai des papillons dans le bas ventre et dans les seins. J' ai beau me dire qu'il a l'âge de mon père, à même temps, il est sûr de lui. Son corps bronzé, sa poitrine musclée, et son sexe, que je n' ai vu qu'au repos me fascine.

Quant on arrive au camp, il est 17h. J'ai tellement eu chaud que j'enlève aussitôt ma robe. Mes seins sont caressés par un léger vent que je trouve très agréable. Mon mari, ressort de la chambre nu comme un ver. Il a adopté le style de vie. _ On va à la plage? me demande t-il. Je fais la moue, mais il me dit que si nous sommes venus au bord de la mer, c'est pour en profiter. Je me dis. qu'il a raison, on prend nos serviettes et direction la plage. On passe une dune, et la plage est immense. On se met en bordure du monde, les serviettes posées, directement à l'eau.

Je suis surprise du bien-être de sentir l'eau glisser sur mes seins sans rien pour les tenir. Ils se balancent en apesanteur, et je me surprends à me caresser discrètement. Au bout d'un bon moment, je sors de l'eau, Yves me dit qu'il va me rejoindre. Je m'allonge sur ma serviette sur le dos. J'apprécie le soleil sur ma peau, et je sombre dans un demi sommeil. Le vent, le bruit du ressac, je suis bien. _ Vous êtes restés parmi nous? J'ouvre les yeux, et le couple qui nous a aidé est. debout devant moi. C'est la jeune femme qui m'a parlé.

Vue ma position, je les vois des pieds vers la tête, l'entre jambe de madame et les choses de monsieur. Ils n'ont aucune gêne, et me demande si ils peuvent s'installer à côté de nous. Ils me disent s'appeler Lisa et Tony. je leur donne nos prénoms, Yves et Christiane. Justement, Yves arrive, je fais les présentations. La discussion est amicale, ils nous expliquent que cela fait 3 ans qu'ils viennent ici, ils sont arrivés comme nous par hasard, puis se sont convertis au naturisme, ils font même partie d'un club à Rennes où ils habitent.

Ils ont tous les deux 27 ans, et s'ont mariés depuis 4 ans. Je les trouve de plus en plus sympathique. J'oublie leurs nudités et la mienne partielle. Nous conversons de choses et d'autres. On bavarde un moment, puis ensemble nous revenons au camp.

La soirée se passe tranquillement ; la fraîcheur du soir fait que certains mettent des tee-shirts ou de petites robes, mais curieusement, pas de slips ou de culottes. Après avoir pris l'air, puis fait notre toilette, nous allons nous coucher.

Mon sommeil est agité. Yves a voulu faire l'amour, je lui ai donné mon corps, mais mon esprit était ailleurs. Il m'a prise comme souvent, couché sur moi, juste quelques caresses pour m'humidifier, Quand il s'est vidé en moi, il s'est aussitôt endormi. Je suis restée dans le noir à penser aux mains de cet homme sur mes seins.

La journée est bien commencée quand je me réveille. Yves a préparé le café. Il est heureux, il a déjà été prendre sa douche et lit un livre assis sur sa chaise tout nu. J'enfile mon bas de maillot, et prends mon café. Je fais un peu de rangement, prends mes affaires de toilettes et part vers les sanitaires. Au moment de refermer la porte de la cabine de douche, je sens une poussée. Je résiste quand j'entends. _ Allez, laisse moi entrer, tu en meure d'envie!!! Mon cœur tape dans ma poitrine, cette voix, C'est Marc. Sans réfléchir, j'ouvre, il s'engouffre dans la cabine. Je ferme la clef. Il m'enlace, cherche mes lèvres. Son baiser est chaud, sa langue s'enroule autour de la mienne. Ma poitrine frotte contre la sienne, j'ai très chaud. Ma main passe entre nos ventre, je saisie son sexe également brûlant. D'une main, il défait le lien qui tient ma culotte. Elle tombe au sol. Il s'écarte, m'admire. Je n'ai aucune honte, je ne pense plus. Il me pousse dans le coin, me fait asseoir sur la petite banquette en bois. Mon visage est à hauteur de sa queue. Sans hésiter ni réfléchir, j'ouvre la bouche. Je fais à cet homme ce que je n'ai jamais fait à mon mari.

Son sexe prend peu à peu du volume. C'est doux et chaud, le frottement sur mon palais et ma langue me donne un étrange plaisir. Je veux faire plaisir à cet homme. Mais je ne dois pas bien y faire, il attrape ma tête et enfonce son membre plus profond. Je suffoque, j'ai des hauts le cœur. Brusquement, il s'arrête. _ Tu n'as pas l'habitude? Je dis Non de la tête. _ On verra plus tard. Je suis subjuguée par son sexe, il est très long, pas très gros, mais long. De plus, le gland est bien dégagé, il n'a pas de petite peau qui le recouvre. Il attrape mes mains, me fait lever, les monte au-dessus de ma tête, me tient comme ça d'une main. Son autre main descend sur mes seins qu'il palpe, puis il me retourne face au mur. Avec un pied, il écarte les miens. Je sais ce qu'il va faire, je n'ai aucun signe de défense, au contraire, j'ai envie d'être prise. Il le sait, il est l'homme, visiblement, il a l'habitude. Je sens sa queue qui frotte entre mes fesses, j'ai peur, je n'ai jamais été prise par là. Mais il glisse entre les lèvres de ma chatte, il fait plusieurs va et vient. Puis ma chatte s'ouvre, je sens la pénétration lente, il marque un temps d'arrêt, je souffle. Il passe ses mains sur mes seins entre le carrelage et ma peau. Je me recule pour faire passer ses mains. Il tiraille les mamelons. j'adore ça. Je sens ma jouissance venir, alors qu'il ne me pénètre pas entièrement.

Je gémis, il ouvre la douche derrière nous, pour couvrir mes gémissements. Il me laisse jouir, je sens ma chatte qui suinte. Petit à petit, je reprends mes esprits, mon souffle se calme. À cet instant, il s'enfonce d'un seul coup au fond de ma chatte, je le sens taper contre mon utérus, je pousse un cri, aussitôt arrêté par sa main sur ma bouche. Il me pilonne avec force. Mes pieds décollent du sol, lui qui était très doux, se transforme en brute. Il a une main sur ma bouche, l'autre sous mes seins qui me plaque contre lui. J'ai toujours les mains contre le mur au-dessus de ma tête. Il donne de grands coups de reins, me décollant du sol. J'ai la sensation qu'il va me perforer le ventre. Je suis entre douleur et plaisir, je ne sais plus. Je me laisse aller, c'est nouveau pour moi, le plaisir et la brutalité. Il va de plus en plus vite, cognant son ventre contre mon cul. A chaque fois qu'il s'enfonce il fait des ( han!!! han!!!!) aux quels je réponds par de petits cris

Je sens mon ventre qui se crispe, mon cœur va exploser, je ne sens plus mes jambes, ma tête gronde, inconstamment, je serre les cuisses. Puis un voile devant les yeux, j'entends une femme crier, je crois que c'est moi. Il se crispe derrière moi, projette son ventre en avant, me tient sur sa bite, mes pieds dans le vide, et son sperme chaud m'inonde le ventre. De longues giclées qui n'en finissent pas. Je tremble de tout mon corps. Ce vertige n'en finit pas.

J'oublie tout, plus rien ne compte. Il me faut un moment pour revenir à la réalité. Il me repose sur le sol. Se dégage et me retourne face à lui. J'ai beaucoup de mal à respirer. Il posse ses mains sur mes épaules, je suis en sueur, il arrange une mèche de cheveux. Ses mains viennent se poser sous mes seins qu'il palpe délicatement. _ J'aime tes petits seins, tu es très belle.

Je suis heureuse et fière. Fière qu'un homme comme lui s'intéresse à moi.

Il me pousse délicatement sous la douche, ouvre mon Vanity, prend ma savonnette et commence à me laver. Il est doux, d'abord les épaules, puis le dos, il passe ensuite à ma poitrine, ou il s'attarde un peu, c'est très agréable. Vient ensuite mon ventre. Il savonne mes cuisses l'une après l'autre, puis mes jambes et les pieds que je lève un par un. Il se relève et m'embrasse, un long baiser. Il savonne sa main, et entreprend de laver ma chatte. Jamais personne ne m'a jamais lavée comme cela. Il fouille, agite les doigts, fait sortir le sperme et mes sécrétions. Il appui sur mon bouton, j'ai un orgasme ravageur. Les jambes me lâchent, je m'assois dans le bac à douche. Il me relève, m'embrasse à nouveau, sort de la douche, prend ma serviette, s'essuie grossièrement, sans un mot, il quitte la cabine.

Je ne sais que faire, je me rince, m'essuie, ramasse mes affaires et sors à mon tour. Je le cherche du regard, mais il a disparu. Une femme m'interpelle. _ Madame, vous avez laissé ça dans la douche Elle me tends mon slip de bain. Je dois être rouge de confusion, je bredouille un merci. Je baisse mon regard, je réalise que je suis sortie nue. Personne ne prête attention à moi, mais je ne peux remettre ma culotte au beau milieu du chemin, alors qu'ils sont tous à poils. Je retourne à notre tente, le vent léger me caresse le minou, et je trouve que c'est agréable. Seulement étant blonde, et peu poilue, les lèvres de ma chatte sont assez visible. J'envie ces brunes, à la toison bien garnie.

Mon mari est toujours en train de lire, c'est a peine s'il lève la tête. Je fuis son regard, je pense qu'il va comprendre ce que je viens de faire. Je pose mes affaires de toilette. _ Tu t'es décidée à enlever ta culotte, tu es magnifique, je vais faire des envieux! J'étais sur le point de la remettre, mais en entendant ses paroles, je me contente de la mettre avec ma serviette. Yves se lève, me prend par la main, m'attire et m'embrasse. _ Je suis fière de toi, je sais que pour toi ce doit être dure, mais dis toi que c'est le destin qui nous a mis dans cette aventure, et le moins que l'on puisse faire, c'est de s'adapter. Je suis sûr que plus tard on n'en rira, essaie de profiter au maximum. Je me colle contre lui, et à mon tour je l'embrasse.

La journée se passe entre la plage et les jeux de boules. Je ne pense plus à ma nudité. Lisa et Tony, n'ont fait aucune remarque et je suis bien en leurs compagnie. En soirée, on va tous les quatre boire un verre, à la réception du camp. L'ambiance est bonne enfant, un jukebox diffuse les tubes de l'été, il y a des table pour jouer soit au cartes ou à des jeux de sociétés. Des ados dansent, et flirtent, comme dans n'importe quel camping. Yves vois une affiche, demain tournoi de volley. Tony veut participer, du coup, Yves et lui s'inscrivent.

A un moment, Tony demande à mon mari s'il peut me faire danser, Yves lui dit oui. Je me retrouve dans les bras d'un homme en tee-shirt, moi de même, les fesses à l'air. Heureusement, j'ai pris un vêtement de mon mari, il m'est donc un peu grand. Yves dance avec Lisa. Curieusement, tous se passe bien, ils sont très correct, pas de main baladeuse. Si ce n'est qu'à peine arrivé à notre tente, Yves me pousse dans la chambre, ferme la fermeture éclaire de la porte, et m'enlève mon tee-shirt. Je n'ai pas le cœur de le repousser, mais je pense à Marc et à la manière dont il m'a prise.

Olympe87
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