Intrusion Surprise

BÊTA PUBLIQUE

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Ça ne faisait plus trop mal, ma respiration s'est calmée, c'était juste une sensation désagréable, comme si j'avais envie d'aller aux toilettes. Alors, Sofiane a commencé à accélérer, sentant que mon cul était maintenant dilaté et habitué à cet intrus en moi. Et tout à coup, mes gémissements ont changé de tonalité. Une fois de plus, mon corps réagissait sans tenir compte de ce que mon cerveau demandait. Ignorant la douleur qui était devenue plaisir, je me cambrais, poussant mon cul au-devant de cette bite qui me travaillait profondément.

Sofiane se déchaînait, me baisant de plus en plus fort, et je perdais le contrôle, m'offrant comme une fille perdue aux assauts du mâle dominant. Un inconnu, une racaille de banlieue, m'enculait sur la table de la cuisine. Il m'avait prise de force, sans mon consentement, et je tordais mon cul vers lui, le suppliant de me baiser encore plus fort. Je me détestais, je me sentais sale, mais j'adorais ce qu'il me faisait. Et mon attitude encourageait Sofiane à plus de violence. Les doigts crochés dans la chair tendre de mes hanches, son ventre claquait contre mes fesses à chaque pénétration.

Je hurlais des mots vides de sens, l'encourageant à plus de violence, tandis que sa bite cruelle défonçait mes tripes. Il martelait mon cul plus vite et plus fort, sa queue allait plus profondément en moi, fouillant mes entrailles. J'avais l'impression qu'il voulait m'ouvrir en deux. Puis il a attrapé ma tignasse, me tordant en arrière en rugissant, pendant que son sperme giclait en moi, me poussant dans un délire sexuel en provoquant mon propre orgasme au plus profond de moi.

Nous sommes restés soudés ensemble, nous pressant l'un contre l'autre à travers nos orgasmes, avant que nos secousses ne commencent à se calmer. Pour la première fois, Sofiane m'a prise la bouche, et m'a embrassée passionnément. Puis, il a retiré sa bite de mon cul, et cela m'a provoqué un long frisson. Cette sensation de vide en moi, mélangée à cette brûlure lancinante, et cette faiblesse dans mes jambes. Je suis restée vautrée sur la table, pendant que Sofiane essuyait sa bite sur moi, comme Mehdi l'avait fait avant lui.

Sofiane parlait avec Mehdi, ils riaient et se moquaient de moi en m'insultant. Ma tête tournait, le sperme dégoulinait hors de moi, ils semblaient se désintéresser de moi, alors j'ai pris le risque de me traîner jusqu'à la salle de bains. Je me suis regardée dans le miroir, et j'ai failli pousser un cri d'effroi. Le visage défait, les yeux battus, et toutes ces marques de doigts sur mon corps. Sur mes seins et sur mes hanches, qui allaient devenir des bleus. J'ai pris un linge que j'ai trempé dans l'eau fraîche pour me débarbouiller, puis pour éponger tout ce sperme qui coulait hors de moi.

Je suis restée de longues minutes à me regarder dans le miroir en me demandant comment j'avais pu être à ce point docile, avant de me rappeler qu'ils avaient l'intention de me violer de toute façon. Clairement, ils s'étaient préparés pour cela, Sofiane avait du lubrifiant sur lui. Si j'avais essayé de leur résister, j'aurais pu être blessée, peut-être gravement. Tout en réfléchissant, j'entendais des rires et des éclats de voix en provenance de la cuisine. Plus de voix que tout à l'heure?

J'ai enfilé un peignoir en éponge et j'ai ouvert la porte pour les rejoindre. Je suis entrée dans la cuisine et j'ai été accueillie par quatre gaillards souriants. Deux gars à la peau tout aussi mate que Mehdi et Sofiane, et tout aussi bien bâtis. Sofiane m'a présenté ses amis, Malone et Ousmane. Il souriait en m'expliquant qu'ils étaient venus les chercher pour que je n'ai pas besoin de les ramener chez eux.

J'ai poussé un soupir de soulagement en pensant que mon calvaire était enfin terminé. Puis Sofiane a ajouté qu'ils allaient tous me baiser à nouveau. Mon cœur a raté un battement et mes entrailles se sont nouées. Je voulais protester, mais j'ai réalisé que c'était inutile. J'ai regardé Sofiane avec le regard d'une suppliciée. Il m'a souri, et m'a dit : « Allez, fais pas ta coquette, on sait que tu aimes ça! » Que pouvais-je faire ou dire?

Je n'ai pas eu le temps de réfléchir à tout ça, quatre paires de mains se sont emparées de moi, ôtant mon peignoir en éponge, et pelotant mes formes pleines. « Oh mon Dieu! Oui! Baisez-moi! » J'ai doucement gémi, et ils l'ont fait! Les quatre mecs m'ont bel et bien baisée dans tous les trous pendant les trois heures suivantes, me recouvrant et me remplissant de sperme chaud avant de partir.

Donc, me voilà maintenant allongée dans mon bain, à analyser ce qui vient de se passer. Réfléchir à mon comportement. Étudier mes sensations. Que faire maintenant? Signaler ces jeunes gens à la police? Mes blessures sont surtout morales. Bien sûr, un médecin confirmera que j'ai eu des rapports sexuels. Mais comment prouver le viol? Et puis, j'ai apprécié la majeure partie de leurs actes! Tout raconter à mon mari? Comprendra-t-il mon désir de ne pas porter plainte? Cela pourrait le contrarier.

J'ai fermé les yeux un moment pour réfléchir plus intensément. Quand je les ai rouvert, j'ai regardé le bout de papier sur lequel Sofiane avait griffonné son numéro de téléphone. Mon mari accepterait-il que je revoie ces jeunes gens si bien membrés? J'ai décidé de garder cela secret, seulement pour ne pas contrarier mon cher époux. Je déteste contrarier mon cher époux, je préfère attendre qu'il s'absente.

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2 Commentaires
CyrfranCyrfranil y a environ 1 an

Finalement, c'est un début original, même si ensuite l’histoire est classique.

lecocqlecocqil y a plus d’un an

il y aura-t-il une suite

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