Institut PAVO Ep. 11

BÊTA PUBLIQUE

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La doctoresse, hyper excitée, ne put s'empêcher de répéter plusieurs fois « guili guili guili ...» avec une voix très aiguë et un sourire hyper sadique lui remontant jusqu'aux oreilles, fixant hypnotisée et excitée comme une folle les bouts pointus de ses propres longs ongles rouges d'index et de majeur qu'elle faisait galoper délicatement sur la peau fine et douce de la voûte plantaire nue et hyper cambrée exposée face a elle, comme les jambes d'un petit cheval.

Suite a cet effleurement de la pointe des ongles féminins avec ses plantes de pieds nues, Eva fut parcourue par un immense frisson chatouilleux qui lui remonta directement au cerveau, tellement elle était chatouilleuse des pieds. Elle ouvrit de grands yeux paniqués, fixant ses propres longs orteils qu'elle faisait frétiller délicieusement sous l'effet de l'horrible chatouillement. Elle cambrait ses plantes, les bougeaient dans tous les sens afin d'éviter le contact avec les ongles longs diaboliques, mais les longs doigts fins et experts de la doctoresse restaient en permanence en contact chatouilleux avec ses pieds nus.

Elle voulait exploser de rire, mais elle ne pouvait pas lâcher le mors. Elle serra les dents de plus en plus fort autour du bâillon tentant de résister a cette folle envie d' hurler de rire qui lui remontait du plus profond de son ventre sous forme de spasmes qui lui contractaient involontairement et violemment ses abdominaux. Ses lèvres pincées par l'effort devenaient blanches. Elle respirait par le nez et par les espaces entre sa bouche et le mors, et ce de manière de plus en plus accélérée et violente. De la bave était expulsée violemment de sa bouche, puis aspirée par les inspirations buccales puis expulsée de nouveau dans des sifflements impressionnants. Le sang lui montait a la tête, elle était rouge jusqu'aux oreilles, comme quelqu'un qui rougit parce qu'il est pris en train de faire une bêtise. De chaudes larmes de rire et de pleurs coulaient sur ses joues se mêlant a la bave et aux écoulement du nez qui soufflait et inspirait de plus en plus fort et de manière de plus en plus bruyante. Ses yeux grand ouverts sortaient de leurs orbites tout en fixant avec désespoir ses orteils frétillants et ses pieds nus remuants en train de se faire chatouiller sans rien pouvoir y faire. Le supplice des chatouilles des pieds était absolument abominable!

« Oh oui! Je sens que quelqu'un a une folle envie de RIRE n'est-ce pas? ...guili guili guili...guili...guili...guili... ça chatouille sous les pieds hein? guili guili guili... guili guili guili... guili guili ...je sais a quel point mes ongles longs te font d'HORRIBLES CHATOUILLES sous les pieds,... guili guili guili guili guili guili...tu ne vas pas tarder a exploser de rire, je te donne a peine..... »

...quand soudain, Eva, incapable de se retenir plus longtemps, explosa de rire en hurlant:

« WUUUUAAAHAHAHAHAHAAAA!!!! WUUUUHAHAHAHAAAAAHAAAHAAA!!! HAHAHAAAAAAAA!!! ARRETEZ LES CHATOUIIIIIILES HAHAHAHAAAA!!! WUUUUUAHAHAAAAAHAHAAAA!!! PAS SOUS LES PIEEEEEDSS!!! PAS SOUS LES PIEEEEEEDS!!! HAHAHAAAAAAA... WUUUUAAAHAHAHAHAHAAAA!!! CEST ATROOOOCE!!! HAHAHAAAAAAA!!!... ARRETEZ ARRETEZ LES CHATOUILLES!!!!! BWUUUHAHAHAAAAAAA...

ouvrant de ce fait largement la bouche, lâchant ainsi le bâillon qui fit tomber les poids ce qui ouvrit la trappe permettant aux nombreux poissons affamées de pénétrer dans la baignoire...

C'est alors que la doctoresse arrêta de lui chatouiller les pieds. Eva, soulagée, en profita pour souffler.

« uff! Ufff!! uff! Ufff! C'est... ufff...ufff!!! c'est HORRIBLE!!! arrêtez ce supplice je vous en PRIE.!!!! uff!!! uff! Je suis beaucoup trop chatouilleuse des pieds!!... uffff uuuff »

Je vois ca! Les guilis guilis sous les pieds sont insupportables pour toi! bon bon bon! Il ne nous reste plus qu'a attendre un petit peu que nos amis les poissons viennent te rendre une petite visite! » répondit la doctoresse d'un air sadique.

Et sur ce, la doctoresse appuya de nouveau sur un bouton ce qui eut pour effet d'écarter de nouveau au maximum les chevilles exposant ainsi le sexe nu d'Eva béant sous l'eau de la baignoire.

La doctoresse, et les deux gardiennes toujours présentes dans la salle de la « piscine » observaient fixement le visage d'Eva en train de pleurer de peur.

« Je vous en supplie Madame! Libérez-moi, je ne veux pas subir cette torture! Je serai sage, je ne me rebellerais plus je le pr..... »

C'est alors que son visage changea d'expression de paniquée a surprise, ses yeux s'ouvrirent en grand d'un coup fixant droit devant elle au loin. Elle se mit a crier. Puis a crier une fois de plus comme si elle avait frappée par quelque chose.

« Quelque chose ne va pas? Que se passe-t-il? » demanda amusée et faussement surprise la doctoresse

Puis un large sourire s'imprima sur le visage d'Eva dont la tête semblait être comme posée seule sur les portes métalliques. Elle essayait de parler mais ses paroles étaient entrecoupées de manière aléatoire par des rires et des cris soudains et incontrôlables :

« Quelque..wuuhAAAHAAAHA!!! quelque chose est en ...TRAAAAAAIIIIIN.. de me ...hihihihiiii!!! hihihihihiiiii!!! .. au secouuuurs!!!! .... wuuAHAAAAhAhAhAAA!!!! ca chatouille! Ca chatouiiiiiille!!!! hihihihiiii!!!! ils me ... hihihihiii...hihihihiiiii... ca fait des chatouiiiillles de partouut!!!!...hihihihi!! sortez-moi de laaa... hahahaha!!!..hahaaaa!!!! »

hurla-t-elle tout en agitant sa tête dans tous les sens.

« Et ou donc sont-ils en train de te chatouiller dis-moi? » demanda calmement la doctoresse tout en souriant

Eva répondit d'une voix féminine très très aiguë dans un flot rapide et continu de paroles quasi inintelligibles mêlées de rires et de cris :

« hihihihihihi...hihihihihiiii...hihihiiiiihiiii.... iiiils me chatouillent...hihiiihiiiii..le nombriiiil.... hihihiiii... le veeentre...le veeentre... les hanches hihiiiihiii... et hehehehehe... eeeet sous les aisseeeellles ..wuaaaaahahahahhhhahahhhhaaa.....ils me sucottent les creux des aisseeeeellles... hahahahaha...pas sous les aisselles... c'est insupportaaaaable....pitieee ... hahahahahahaaaa... paaaas la pas laaa.. pas sous les braaas..pas sous les bras....hihihiiiihihiiii... non paas le nombril... sortez moi de lAAAAAAAAA.. .... wuuaaaaahahahaha... hihihihiiiii.... »

Parfois sa voix changeait de volume, de tonalité du très aiguë au grave comme si elle muait ; elle babillait, tout en hurlant de rire, avec en permanence un immense sourire bouche ouverte jusqu'aux oreilles. Parfois elle s'étranglait de rire ; ou bien elle fermait les yeux la tête tournée vers le haut en hurlant de rire ; ou bien elle fixait le vide en criant comme une demeurée incapable de résister aux chatouilles procurées par les nombreux poissons qui la suçaient de partout...

Soudain, elle ouvrit ses yeux emplis de larmes en grand car la bouche vorace d'une anguille affamée était en train de lui sucer le clitoris couvert de nourriture pour poissons, et elle poussa un immense cri de dégoût, de peur et de surprise. Pratiquement en même temps, elle se remit a hurler de rire a s'arracher les poumons, la tête rouge presque bleue a force de rire sans pouvoir reprendre sa respiration, car une autre anguille était en train de lui tourner rapidement autour en collant son corps lisse et musclé sur la peau de son ventre nu, lui procurant d'horribles sensations de chatouilles au niveau de la taille, des hanches et bien sur du ventre. Le chatouillement était tel qu'elle ne pouvait plus reprendre sa respiration. Lorsqu'elle eut expulse tout l'air de ses poumons a force de rire, elle se trouva a cours de forces, ses abdominaux contractes par le rire et par les passages répétés de l'anguille sur son ventre nu... sa tête devint bleue car elle n'arrivait plus a inspirer sous l'effet des chatouilles ...

Heureusement, l'anguille s'éloigna de son corps, relâchant son emprise musclée et glissante autour de sa taille chatouilleuse, soulageant ainsi Eva qui remplit de nouveau ses poumons d'un air bienfaiteur!

Mais son esprit fut bientôt concentré sur l'autre anguille qui finit par réussir a faire pénétrer sa tête jusqu'au fond de son vagin. La bouche de l'anguille se mit a aspirer le maximum de gel a poisson, suçant ainsi le sexe en feu d'Eva. Eva n'avait jamais ressenti une telle sensation de toute sa vie ; une sensation indescriptible mêlée de chatouillement extrême du sexe et d' énorme excitation sexuelle ; elle se mit a faire loucher ses yeux vers le haut en refermant légèrement ses paupière supérieures, dans cette expression si caractéristique d'une personne ultra excitée sexuellement prête a exploser d'un orgasme phénoménal, mais en même temps elle hurlait de rire sous l'effet de l'infernal chatouillement sexuel. Elle hésitait entre....

Soudain, une vague orgasmique absolument gigantesque lui remontant du creux des reins l'emporta dans un déluge de plaisir d'une puissance inouïe! Elle cria de plaisir, encore et encore tandis que la tête de l'anguille enfouie jusqu'au cou dans son vagin la suçait et la suçait encore et encore sur les bords intérieurs du sexe jusqu'au fond, enivrée par autant de nourriture, tout en faisant frétiller comme une folle son long corps musclé et visqueux ainsi que sa queue afin de récupérer une quantité maximum de ce nectar délicieux!

Une fois repue, l'anguille ressortit sa tête du sexe d'Eva et s'en alla dans l'autre bassin.

Eva était aux anges suite a son orgasme aux proportions bibliques. Un très large sourire aux lèvres était dessiné sur son visage. Mais son repos fut de courte durée car les autres poissons n'arrêtèrent pas de lui faire des chatouilles de partout, et ce deuxième orgasme l'avait rendue incroyablement chatouilleuse.

Elle fut donc de nouveau emportée dans une crise de fou rire incontrôlable, mêlée de cris et de hurlements stridents lorsqu'un poisson lui suçait le sexe devenu incroyablement chatouilleux, ou bien un autre rentrait et ressortait de son anus chatouillant au passage cette zone si sensible avec ses nageoires dorsales, ventrale ou sa queue, poisson bientôt remplacé par un autre qui faisait de même la faisant de nouveau hurler de rire... Elle ne voyait pas la fin de son supplice.

La doctoresse, décidément très sadique, rapprocha de nouveau les chevilles en appuyant sur un bouton, puis s'approcha des plantes de pieds nues exposées au milieu de la grande plaque de métal, puis elle se remit a les chatouiller mais cette fois-ci violemment faisant courir la pointe de ses 10 ongles longs sur la peau ultra chatouilleuse des plantes de pieds et des orteils en effectuant des mouvements circulaires très rapides, ou bien aléatoires dans tous les sens, ou bien raclant toute la surface des plantes de pieds nues dans un sens puis dans l'autre, ou bien pianotant sous la voûte plantaire, arrachant des cris aigus et des hurlements de rire de la bouche grande ouverte de la suppliciée!!

Ce n'est qu'après deux longues heures de chatouilles insupportables, que la doctoresse décida d'arrêter le supplice, avant de passer a la prochaine expérimentation...

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