Institut PAVO Ep. 11

Informations sur Récit
Chatouilles dans un hopital genre Ratched !
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Partie 11 de la série de 11 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 01/18/2023
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« Amenez-moi la prisonnière AP12 en expérimentation je vous prie! » ordonna la doctoresse Elizabeth depuis son bureau de la partie de l'Institut spécialement dédié a diverse expérimentations.

Bien Madame », répondit une des gardiennes d'une des nombreuses sections réservées aux prisonnières, section dans laquelle se trouvait donc AP12 ou plutôt Eva Bartoni.

Eva Bartoni était une ancienne agitatrice politique qui avait osé défier La Reine en public, et tenté de créer une rébellion afin de renverser le régime dictatorial de la-dite Reine. Fort agacée par cette jeune rebelle, un avis de recherche avait été lancé. Suite a cet avis, Eva avait réussi a se cacher pendant des semaines dans les dédales sous-terrains d'une grotte située derrière la maison d'une de ses complices. Hélas, la complice avait été arrêtée de manière arbitraire, emmenée dans les sous-sols de l'Institut pour y subir un interrogatoire poussé, et après des heures de tortures chatouilleuses abominables, elle avait fini par cracher le morceau et indiquer ou se trouvait la fameuse Eva Bartoni. Celle-ci avait donc été emmenée par les gardes puis enfermée dans une des cellules de l'institut. La, elle avait subi une première punition mémorable a base de chatouilles insupportables pendant des heures et des heures. Suite a son supplice, La Directrice avait décidé, en accord avec la Reine, de garder Eva quelque temps, afin de lui faire subir de temps en temps quelques expérimentations afin de tester de nouvelles méthodes de tortures.

La Doctoresse Elizabeth, une grande brune, la quarantaine, cheveux mi-longs en queue de cheval, yeux noirs, lèvres fines maquillées de rouge vif, traits fins et bien dessinés, a toujours l'air particulièrement sévère. Elle est en charge de toutes les expérimentations de l'Institut. Et elle a toujours plein de nouvelles idées originales! Cette fois-ci elle souhaite tester différentes interactions homme-animal ou disons plutôt femme-animal. Et des animaux, elle en a plein dans son labo et de toutes les tailles!

La prisonnière arrive donc encadrée par 2 gardiennes. Cela fait la troisième fois qu'elle est emmenée ainsi dans cette section. Malgré sa très forte personnalité, ses précédentes séances particulièrement redoutables ont réussi a la rendre plus docile et plus craintive, surtout la dernière au cours de laquelle elle avait failli mourir de rire. La peur pouvait se lire sur son visage. Blonde, les yeux bleus, taille moyenne, cheveux blond roux, visage d'ange, elle cachait bien son jeu d'ancienne rebelle.

« Non! Pas encore de séance! Je vous en prie! Laissez-moi tranquille! »

Tu n'as pas ton mot a dire. Tu es ici pour répondre de tes actes. Et aujourd'hui j'ai plusieurs surprises pour toi, répondit la doctoresse avec un petit sourire carnassier

Vous n'êtes qu'une espèce de perverse. Un jour le monde saura ce que vous faites ici a l'abri des regards sous couvert de La Reine.

Oh! cela m'étonnerait bien. Des garces comme toi on finit toujours par les coincer, et les emmener ici pour les punir. Et crois-moi, après des mois ou des années de redressement, elle ne souhaitent pas recommencer. Elle deviennent douces comme des agneaux et reviennent a la vie civile toute calmes et serviables. Certaines deviennent même nos yeux et nos oreilles pour pincer de nouvelles mauvaises pousses comme toi! Allez, assez de bavardage. Gardes emmenez la dans la piscine!

Qu'est-ce que c'est encore que votre nouveau... ....truc!! »

Eva fut interrompue dans sa phrase a cause des gardiennes qui la ceinturèrent puis l'emmenèrent dans une autre petite pièce, la fameuse « piscine ». La section « Expérimentation » était une des ailes de l'institut, au même titre que l'aile « Pédicurie ». Mais au lieu d'être située au rez-de-chaussée de l'Institut, cette aile était située au premier sous-sol. Comme toutes les autres ailes, celle-ci était constituée d'un long couloir avec de nombreuses portes de chaque cote, chaque porte étant dédiée a une expérimentation. Une des portes était celle du bureau de la doctoresse, et une autre celui des gardiennes de l'aile.

Les gardiennes sortirent donc du bureau de la doctoresse, en maintenant tant bien que mal la prisonnière qui se débâtait comme un diable en vociférant, puis ouvrirent la porte sur laquelle était écrit « Piscine » et y pénétrèrent. Contrairement a ce que l'on pouvait penser, cette salle n'est pas une piscine. Il y a juste un bassin dans lequel nagent des poissons de différentes tailles: anguilles, garra-rufa, pleco (poisson nettoyeur), ancistrus (poisson suceur), loche-clown,...des douches, et une sorte de grande baignoire en carreaux verts fermée par deux portes horizontales en métal.

La doctoresse ne tarda pas a rejoindre les deux gardiennes et la prisonnière. Aussitôt entrée, elle ouvrit les deux battants horizontaux, découvrant ainsi la baignoire en carreaux de couleur verte clair a l'intérieur. A l'une des extrémités de la baignoire se trouvait une espèce d'appuie-tête, et sur les cotes a l'intérieur des accoudoirs assez haut places. Au bout des accoudoirs, se trouvaient des anneaux métalliques ouverts.Mais ce qui attirait l'attention était une barre horizontale métallique qui traversait la baignoire dans le sens de la largeur. Au milieu de cette barre horizontale, se trouvaient deux anneaux métalliques également ouverts et légèrement inclinés, et pouvant coulisser latéralement le long de cette barre.

« Installez-la dans la baignoire, attachez lui les poignets, le cou et les chevilles écartées. »

Les deux gardiennes saisirent donc plus fortement Eva et tentèrent avec force de la faire entrer dans la baignoire. Mais, Eva, en panique totale, se mit a hurler de la laisser tranquille, en se débâtant avec une force incroyable, force décuplée par la peur panique de devoir entrer dans cette baignoire pour y subir elle ne sait encore quel supplice abominable. Eva empêchait les gardiennes de la faire pénétrer dans la baignoire en « freinant » des pieds sur le sol ou bien en appuyant ses poeds sur les bords extérieurs de la baignoire tendant les muscles de ses jambes. Tout en maintenant Eva, une des gardiennes saisit son talkie-walkie et demanda du renfort.

En moins d'une minute, deux autres gardiennes hyper costaud, habillées en noir et en bottes, pénètrent dans la salle. Aussitôt, l'une d'elle ceintura Eva par les épaules et le cou dans une clé impossible a dénouer, l'autre empoigna Eva par la taille par l'avant, et l'une d'elle ordonna que chaque gardienne prenne une cheville. Aussitôt fait, les 4 gardiennes enjambèrent la baignoire pour y pénétrer, tandis que la prisonnière se débattait comme une folle en secouant ses bras, ses jambes et sa tête dans tous les sens tentant de blesser les gardiennes, telle une véritable furie rouge en hurlant a se faire péter les tympans. Mais a quatre contre une Eva n'avait aucune chance.

Elle se retrouva ainsi attachée, fulminante de rage, par les poignets, le cou et les chevilles. Les poignets étaient attachés au bout des accoudoirs, de sorte que ses aisselles ne touchaient pas son corps. Ses fines chevilles étaient attachées dans les anneaux métalliques de la barre transversale. Ses jambes étaient donc inclinées devant elles vers le haut, avec ses chevilles écartées l'une de de l'autre a la même hauteur que sa tête. Enfin son cou fut maintenu fermement attaché a l'appui-tête de la baignoire. Elle ne pouvait pratiquement pas bouger.

« Bien! maintenant déshabillez la complètement! » ordonna la doctoresse.

Vu la façon dont Eva se débattait, il leur aurait été impossible de la déshabiller avant de l'attacher. Heureusement, la tenue des prisonnières est prévue pour être enlevée facilement une fois la prisonnière attachée. Donc en moins d'une minute, la totalité de la tenue fut enlevée et Eva se retrouva donc fermement attachée et intégralement nue de la tête aux pieds.

« Qu'est-ce que vous allez me faire subir encore comme torture espèce de perverse! » cria-t-elle

Oh tu vas très vite le découvrir! Mais avant cela je vais m'occuper de toi.

Et sur ce elle alla chercher dans une armoire une espèce de grosse seringue métallique de la taille et de la forme d'un gros phallus, ainsi qu'un gros flacon en verre contenant une espèce de gel de couleur blanche. Elle ouvrit le flacon et aspira une bonne partie de son contenu dans la seringue. Puis elle revint vers la baignoire dans laquelle était attachée la prisonnière. Elle se pencha au milieu de la baignoire et approcha la seringue du sexe nu d'Eva. Celle-ci commença a paniquer :

« Qu'est-ce que c'est que ça encore?? Laissez-moi tranquille, ne me touchez pas!!! »

Mais la doctoresse très concentrée, commença a masser les lèvres du sexe nu d'Eva avec son majeur tenant la seringue de l'autre main. Eva observait intensément son sexe nu en train de se faire tripoter par les longs doigts de la doctoresse. Cette dernière savait y faire, et après a peine quelques tripatouillages experts, les lèvres s'ouvrirent légèrement. La doctoresse sourit a Eva et se mit a la masturber lentement, très lentement en disant :

« Tu aimes? Mmm? C'est bon n'est-ce pas de se faire masturber ainsi par une doctoresse . Je sais que ca t'excite. Il n y a qu'a voir comment tes lèvres deviennent humides inexorablement.

...mmmm... vous....mmm perverse...sexuelle....mmm » est tout ce qu'Eva trouva a dire

oui, c'est bon, allez laisse toi aller. Çà fait combien de temps que...

...mmmmmm...

... que tu n'as pas joui! Hein? C'est bon de se faire tripoter le sexe comme ça avoues

... mmm oui...mmmm....mmmm

La doctoresse continua ainsi a masturber Eva qui se mit a geindre de plus en plus fort sous ses caresses. La doctoresse passait le bord intérieur de son majeur sur le clitoris en effectuant de délicieux va-et-viens le faisant grossir de plus en plus ; puis, elle pénétra d'un coup son long index dans le sexe humide ; puis elle tripatouilla le fond du sexe en agitant vicieusement le bout de son ongle d'index et remonta en touchant bien le clitoris. Cette pénétration soudaine fit chavirer Eva de plaisir qui bascula sa tête vers l'arrière contre l'appui tête de la baignoire dans la limite de ses liens, tout en fermant ses yeux afin de mieux ressentir les doigts de la doctoresse.

Oh! Ouiii... mmmm.. c'est bon!!

La doctoresse la pénétra de nouveau mais cette fois avec son majeur et son index. Elle effectua un mouvement de va et vient de plus en plus rapide, sortant bientôt les deux doigts lors de chacune de ses remontées. Lorsque ses doigts étaient enfoncés dans le sexe trempé, elle les agitait dans un mouvement alternatif comme pour chatouiller les parois et le fond en feu, ce qui arrachait des gémissements encore plus violents de la bouche d'Eva ouverte en permanence.

Soudain, sans prévenir, elle enfonça la grosse seringue métallique chaude dans le sexe en feu d'Eva qui ouvrit ses yeux dans une immense expression de surprise les sourcils relevés, basculant sa tête vers l'avant et le bas afin de porter son regard sur son propre sexe nu écartelé en train de se faire pénétrer par cet engin de grande taille.

ohhhh! Mais...que... ooooh! » dit-elle alors que la doctoresse commença a la masturber avec le gros phallus métallique

c'est gros n'est-ce pas?

Oooh! Ouii! C'est si grooos! Mais qu'est-ce que ...mmmmm... oooh!

Oui c'est gros et c'est bon...

Elle la masturba de plus en plus vite, de plus en plus fort. Eva chavirait dans un monde de plaisir en basculant de nouveau sa tête vers le haut, fermant les yeux, bandant ses muscles a la recherche du plaisir maximum en pinçant un cote de sa lèvre inférieure entre ses dents. Soudain, la doctoresse, appuya sur la seringue, faisant pénétrer d'un coup l'intégralité du gel blanc et chaud dans son sexe. Cette brusque giclée, la fit jouir instantanément la faisant crier de plaisir, faisant sourire la doctoresse et les 2 gardiennes.

« Alors c'était bon n'est-ce pas? » demanda la doctoresse

uff uff... mmmm... etait la seule reponse d'Eva qui se laissa aller, un large sourire sur ses lèvres.

Sais-tu ce que contient ce gel?

....

Et bien il contient de la nourriture pour poisson! Les anguilles en raffolent!! En plus, l'odeur les attire. Comme tu le sais j'en ai mis tout plein tout plein dans ton sexe, et il en reste sur tes lèvres humides et sur ton anus aussi. Je pense donc que les anguilles vont pouvoir sans problème trouver la direction de ta petite grotte hahahaha!!!

... espèce de perverse sexuelle, vous ... je n'ai pas les mots pour vous décrire...vous êtes complètement folle a lier!!!

Mais la doctoresse, sourde a ces critiques véhémentes, referma les deux battants métalliques, dans un bruit de métal assourdissant, couvrant ainsi la baignoire a l'exception de la tête et des deux pieds nus d'Eva, seules parties qui dépassaient de la surface horizontale en acier ; cela offrait un spectacle choquant pour une personne qui pénétrerait dans la pièce sans être prévenu de ce qu'elle y verrait, et très excitant pour une personne fétichiste des pieds féminins qui admirerait d'un regard envieux et pervers ces plantes de pieds nues ainsi exposées au beau milieu de cette surface plane de métal. Puis la doctoresse appuya sur un bouton ce qui eut pour effet de rapprocher les deux chevilles l'une de l'autre ; bientôt, elles se retrouvèrent cote-a-cote, se touchant par les malléoles internes.

« Premier bain! » lança simplement, la doctoresse excitée et souriante qui ouvrit deux robinets de couleur verte. Aussitôt, la baignoire se remplit d'un liquide chaud de couleur verte un peu visqueux que personne ne pouvait voir car la baignoire était fermée. Eva trouva la température de cette eau particulièrement agréable, surtout après son orgasme. Elle ferma les yeux de plaisir se laissant aller.

Au bout d'un moment, la doctoresse referma les deux robinets lorsqu'elle constata que le niveau avait atteint les épaules de la prisonnière en regardant un niveau en verre.

« Alors? On se sent comment? La température de l'eau est bonne? »

Arrêtez vos moqueries! Je sais très bien que ce confort est éphémère

En effet, sais-tu ce que contient ce liquide?

Vous allez me le dire...

Il a un triple effet : il augmente la sensibilité cutanée, il colle a la peau, et il a une saveur particulière dont raffole les ... poissons nettoyeurs, tu sais ceux qui sucent les vitres des aquariums pour les rendre tout propre!

Quoi?!...

Et donc la tu en as ... partout, partout, partout sur le corps!! Et en plus, tu es nue comme un ver! Nue, sensible et, comme nous le savons déjà par les séances précédentes, et par ton orgasme, très chatouilleuse! Tu vas te faire sucer de partout pas des poissons très vivaces, et je pense que çà va te faire d'horribles chatouilles! Ha ha ha!

Vous, vous ne pouvez pas me faire subir ça, non je...

Mais je te laisse une chance! Tu va mordre dans ce bâillon. Il est relié a deux chaînes qui passent par cette poulie au plafond et qui redescend vers des poids qui sont derrière toi. Si JAMAIS tu lâches le bâillon, alors les poids vont descendre d'un coup, ce qui activera un levier qui ouvrira une trappe qui relie ta baignoire avec le bassin a poissons que tu as vue en entrant. Et le passage entre les deux est très large de sorte que tous les poissons peuvent passer d'un coup. Sache que ces poissons n'ont rien eu a manger pendant deux longs jours et donc qu'ils meurent de faim! Ils seront attirés par cette substance verte, et ils vont se faire un plaisir de te suçoter le ventre, les creux des aisselles que tu ne peux pas approcher de ton corps, de la raie des fesses, des bouts de sein, des hanches, des genoux...et de ton sexe!

Salle perverse! Vous êtes complètement folle!

Pour éviter un tel supplice, il te suffit juste de ne pas lâcher le mors c'est tout!

Ah! J'oubliais un détail! Il y a aussi des anguilles! Imagine les glisser le long de ton corps, de ton ventre si chatouilleux n'est-ce pas? Je n'ai jamais vu une fille aussi chatouilleuse du ventre que toi.

Je vous en prie, sortez moi de la...

Autre détail! tes chevilles sont pour l'instant plaquées l'une contre l'autre, tu vas voir pourquoi. Mais je vais a un moment donné les écarter au maximum jusqu'aux bords de la baignoire. Ton sexe nu sera alors complètement exposé. Et la, tu sais ce qui va se passer n'est-ce pas? Ces longues anguilles se faufileront entre tes jambes pour venir enfoncer leur bouche affamée puis leur tête toute entière dans ton sexe ouvert en se tortillant de tous leurs muscles afin de te sucer le sexe jusqu'au fond et aspirer le maximum de nourriture dont il sont si friands afin de calmer leur faim!

Non...pitié! vous êtes vraiment une perverse!...sob..sob... » pleura la prisonnière, pendant que la doctoresse, saisit le bâillon mors, tira dessus pour soulever les poids et le présenta a la bouche fermée de la prisonnière.

Eva comprit que sa seule chance d'éviter cette torture sadique était de maintenir sa bouche fermée. Mais son espoir fut de courte durée car la doctoresse demanda a une des gardiennes de pincer le nez de la prisonnière. Au bout de quelques dizaines de secondes en apnée, Eva ouvrit la bouche afin de reprendre sa respiration, permettant ainsi a la doctoresse d'y enfoncer le bâillon mors.

Eva referma violemment la bouche sur le bâillon : le maintenir serré entre ses dents était désormais son seul espoir d'éviter un tel supplice. La force qu'elle ressentait dans sa mâchoire du fait des poids était conséquent, mais son énorme motivation lui permettait de la supporter.

C'est alors que la doctoresse, un immense sourire jusqu'aux oreilles d'un rare sadisme, s'approcha lentement du bord de la baignoire ou se situaient les pieds nus exposées qui sortaient des portes de la baignoire tels deux diablotins sortis de leur boite. Le contraste de la peau nue et blanche ou rosée par endroit des plantes de pieds avec le gris froid et métallique des portes horizontales de la baignoire était saisissant. Elle admira ces grande plantes de pieds nues très féminines ainsi mises en valeur, aux formes et proportions absolument divines, si délicieusement cambrées, invitant irrésistiblement aux chatouilles, et ces orteils fins et déliés aux longueurs si différentes. Elle agita dans les airs ses longs doigts féminins aux ongles longs vernis de rouge en souriant de manière sadique a Eva qui les observait d'un air paniqué, ses sourcils en accent circonflexe, tout en respirant bruyamment par le nez, et mordant le bâillon comme une demeurée.

« Est-ce que tu crains les guilis sous la plante des pieds? »

demanda amusée, souriante et follement excitée la doctoresse tout en continuant les agitations aériennes de ses longs doigts fins a proximité immédiate des délicieuses plantes de pieds nues et exposées d'Eva.

« pfffff! mhuuuummm ... pffffff...mmmhhhuumm...nnnnn...ppfffff... »

répondit Eva en respirant bruyamment par le nez tentant de dire quelque chose a travers le bâillon.

La doctoresse fit ainsi durer le suspense pendant plusieurs dizaines de secondes, approchant, éloignant puis approchant de nouveau ses longs ongles pointus des pieds nus d'Eva sans jamais les toucher tout en agitant ses doigts dans tous les sens.

« Alors? Réponds! Tu es chatouilleuse des pieds? Voyons voir...»

demanda-t-elle de nouveau tout en continuant son balai aérien avec ses ongles.

Soudain, ses ongles longs touchèrent les talons, effectuant des petits mouvements circulaires ou de va et vient sur toute leur surface. Même si ses talons étaient la zone la moins chatouilleuse de ses pieds, Eva, vu sa position très inconfortable et très vulnérable, ses plantes de pieds nues ainsi exposées, n'en ressentit pas moins une sensation de chatouilles difficile a supporter. Sa respiration nasale et buccale s'accéléra.

Puis la doctoresse, fit remonter ses ongles d'index et de majeur sur le haut du talon a la naissance du creux de la voûte plantaire ; elle sourit a Eva, puis continua sa petite marche perverse a deux doigts vers la zone ou la peau est si douce et si blanche avec quelques petites rides longitudinales légères qui apparaissent et disparaissent complètement et très rapidement d'un simple geste d'extension ou de contraction du pied, ou lorsque l'on appuie dessus avec les doigts. Eva cambra la voûte plantaire afin de les éloigner au maximum de ces ongles vicieux, faisant ainsi avancer ses longs orteils vers le visage de la doctoresse.

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