Institut PAVO Ep. 10

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Interrogatoire a base de chatouilles et une lotion.
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Partie 10 de la série de 11 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 01/18/2023
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La doctoresse Olivia, hyper concentrée dans l'application du supplice des chatouilles n'avait pas entendu l'infirmière entrer dans son cabinet, ni même entendu ce qu'elle lui disait.

L'infirmière, très gênée, haussa le ton de sa voix, pratiquement obligée de crier afin de couvrir les hurlements de rires hystériques de la patiente en train de se faire chatouiller les pieds par la doctoresse.

« C'est la Directrice qui vous demande!! » hurla-t-elle

Surprise, la doctoresse tourna la tête vers l'infirmière, mais continua malgré tout a faire courir ses longs ongles rouges sous la plante des pieds nus de sa patiente ; la pauvre patiente se tordait de rire en s'agitant violemment dans tous les sens dans le fauteuil, essayant vainement d'arracher ses délicates chevilles des anneaux de métal qui les maintenaient fermement attachées, l'obligeant a exposer ses grandes plantes de pieds nues et ses longs orteils sans défense face aux ongles sadiques de la Doctoresse.

"Oui? C'est a quel sujet?, répondit la doctoresse en hurlant pour couvrir les rires hystériques

La Directrice voudrait que vous veniez d'urgence en bas, hurla l'infirmière

Bien j'arrive de suite! Occupez vous de cette patiente! Emmenez-la en chambre!"

Ainsi, la doctoresse cessa ses abominables chatouilles, permettant ainsi a la patiente de souffler, enfin. L'infirmière regarda la patiente rouge, essoufflée, les yeux rougis par les rires, les cheveux en bataille, complètement débraillée, de la bave coulant de sa bouche, les larmes coulant sur ses joues mêlées a du mascara noir.

La doctoresse quitta son cabinet puis se dirigea vers les sous-sols. Quelques minutes plus tard, la doctoresse se présenta donc au deuxième sous-sol, la Directrice l'y attendait dans le bureau principal des gardiennes.

"Vous voila enfin!" dit la Directrice

- Désolée, Madame, j'étais occupée avec un test prometteur. Que puis-je faire pour vous?

-Nous avons reçu ordre d'interroger une espionne. Mais nos méthodes n'ont pas fonctionné. Je pense que vous pourriez nous aider.

-Vous voulez dire qu'elle n'est pas chatouilleuse?

-Non, pas du tout. Et La Reine compte sur nous. C'est une espionne dangereuse et sur-entraînée. Elle a été arrêtée par les services de la Reine qui nous l'ont amenée aussitôt. C'est apparemment une affaire très urgente qui concernerait la sécurité du Royaume. Vous serez accompagnée par l'interrogatrice de nos services et ceux des services secrets de la Reine,

-Ouh! Quelle pression. Mais je pense avoir ce qu'il vous faut, répondit la doctoresse avec un sourire sadique.

En effet, la doctoresse se dit en elle-même qu'il s'agissait d'une belle opportunité pour tester enfin la lotion "C". Elle n'avait encore jamais réussi a la tester car les patientes ne résistaient pas a la lotion « B ». Elle ordonna a 2 gardiennes présentes dans la salle :

"Immobilisez la dans le carcan du rire!" demanda la doctoresse

-Bien Madame, ce sera fait répondit une des 2 gardiennes qui aussitôt quittèrent le bureau des gardiennes

Le carcan du rire est un équipement de bondage particulièrement contraignant. Il s'agit d'une succession de rails horizontaux en bois, parallèles entre eux, et placés côte a côte selon une courbe en demi arc de cercle. C'est donc comme une espèce de table très arquée vers le haut en son centre. La victime y est allongée sur le dos, sa tête à une extrémité est donc orientée vers le bas, le sang lui « montant » à la tête, ses pieds à l'autre extrémité sont également orientés vers le bas, et son ventre, situé au point le plus haut du demi-arc est horizontal. Par ailleurs, à environ un mètre du haut de l'arc, du côte des pieds, se trouve un pilori médiéval en bois fixé au sol par deux solides poteaux situés de part-et-d'autre de ce chevalet arqué. Il est utilisé pour y maintenir attachées les chevilles, laissant ainsi exposées les plantes de pieds nues.

Les deux gardiennes pénétrèrent dans la salle d'interrogatoire ou se trouvait déjà l'espionne, attachée sur un classique chevalet de torture médiéval en bois horizontal, chevalet sur-lequel elle avait subi sans succès le supplice des chatouilles de la part de la doctoresse podologue Diana.

L'espionne était déjà pieds nus, en slip et en soutien-gorge. Il s'agissait d'une belle blonde, cheveux mi-longs, la peau claire, le visage anguleux, les yeux bleus et le regard d'acier, militaire. Lorsque les 2 gardiennes la détachent du chevalet, elle n'essaya même pas de se débattre, mais leur dit d'un air moqueur :

« Vous perdez votre temps! Vos espèces de torture à base de guili-guili ne me font même pas rire. Je suis entraînée a subir bien pire que ça, je ne suis même pas chatouilleuse. J'ai d'ailleurs été choisie pour ça, car mes patronnes connaissent votre penchant pour ce supplice. »

Mais les gardiennes, disciplinées, ne lui répondirent même pas, concentrées dans leur action : elle l'emmenèrent donc vers la fameux carcan du rire, et lui ordonnèrent de s'y allonger sur le dos. L'espionne s'exécuta et se retrouva bientôt ainsi tête vers le bas, son dos épousant la grande courbe de ce chevalet arqué, poussant ainsi son ventre nu vers le plafond. Ses jambes pendaient vers le bas de l'autre côté de l'arc. Puis les deux gardiennes empoignirent chacune une cheville, les levèrent, puis les posèrent sur les deux demi-trous centraux du pilori ouvert, de sorte que les jambes de la prisonnière se retrouvèrent non plus le long de l'arc mais horizontales dans le prolongement de son ventre. Puis les gardiennes refermèrent le pilori en présentant les autres demi-trous face a leurs « sœurs » puis fixèrent fermement les deux demi-parties en les vissant entre elles. Les jambes ne reposaient donc sur rien: seules ses chevilles emprisonnées dans le carcan les empêchaient de "tomber". Ses bras furent croises derrière sa nuque laissant ses aisselles exposées. Les bras fortement repliés au niveau des coudes entouraient sa tête telles deux grandes oreilles de lapin.

La victime fut ensuite attachée fermement au niveau du cou, sous les seins, le haut des cuisses. Il n'était pas nécessaire d'attacher les bras qui étaient déjà tellement entravés derrière la nuque qu'elle était incapable de les bouger afin de protéger ses aisselles. On lui ajouta un gag dans la bouche l'obligeant ainsi à ne respirer que par le nez.

Ce carcan était situé dans une des nombreuses salles d'interrogatoire des cachots du 2ieme sous-sol. La salle, très sombre, était seulement éclairée par quelques torches ajoutant un style de salle de torture médiévale.

L'interrogatrice du centre se rapprocha de l'espionne, et lui dit d'un ton glaçant:

« Alors? Tu ne veux toujours pas parler? Il est encore temps pour toi de cracher le morceau sans souffrance. Sinon, la doctoresse ici présente te fera un plaisir de t'arracher des aveux sous la torture. Et crois-moi elle sait y faire! C'est une véritable experte dans l'art des chatouilles. Ses chatouilles sont absolument IN-SU-PPOR-TABLES!! Même pour des personnes pas ou peu chatouilleuse comme toi. Tu ne peux même pas imaginer les hurlements de rire qu'elle va t'arracher de ta gorge, de ton ventre, de tout ton être. Tu ne pourras plus reprendre ton souffle tellement ses chatouilles vont te faire rire. Oh oui tu vas rire! Et tu riras, tu riras et tu riras encore et encore sous les chatouilles! Mais tes rires seront étouffés par ton bâillon. Tu inspireras et tu souffleras avec force par le nez. Tu voudras qu'elle arrête de te chatouiller, mais elle n'arrêtera pas, elle n'a aucune pitié! Si tu veux parler et ne pas subir cette abominable torture, il te suffit de hocher maintenant la tête avec un oui »

Mais l'espionne, brave, se sachant non chatouilleuse, ne fit aucun mouvement. C'est alors que La Directrice fit un hochement de tête a la Doctoresse toute excitée. La doctoresse s'approcha des pieds nus de la prisonnière exposés sans défense de l'autre côte du carcan en bois. Elle admira la grandeur des pieds, un bon 41, avec une belle cambrure et des orteils longs et bien proportionnés, en escalier. Puis elle mit des gants en latex, et devissa le couvercle d'un pot en verre sur lequel était inscrit en lettres rouges "LOTION C : A UTILISER AVEC PRECAUTION". Cette lotion de couleur rouge ressemble à une sorte de gel visqueux très épais. Elle récupéra une bonne dose de cette lotion avec son majeur et son index dans un mouvement circulaire, puis elle passa cette lotion sous les plantes de pieds nues, sous les orteils et entre les orteils. Ensuite elle se déplaça au niveau du ventre nu exposé et hyper tendu vers le haut. Elle passa une bonne quantité de lotion sur l'intégralité de l'immense surface blanche du ventre nu de la prisonnière. Enfin, elle s'approcha et s'accroupit au niveau de la tête de la prisonnière afin de pouvoir passer une bonne quantité de lotion à l'intérieur des deux aisselles nues exposées.

Enfin, la doctoresse se releva, et expliqua d'un ton professoral penchant sa tête vers le bas afin de s'adresser à la prisonnière, mais parlant suffisamment fort pour que les autres personnes dans la salle de torture puisse l'entendre.

« La lotion que je viens de passer sous la plante des pieds, le ventre et dans les creux des aisselles, est tout bonnement diabolique. Elle a un triple effet : le premier effet augmente grandement la sensibilité locale de la peau aux chatouilles ; le deuxième effet génère une sensation de léchouille ; c'est comme si la lotion était un être vivant qui lèche, suce, glisse, se déplace sur la peau nue et s'immisce dans les moindre recoins, plis et sous-plis du corps surtout entre les orteils, et dans le creux du nombril. Enfin, le troisième effet est provoqué par une toxine qui pénètre profondément sous la peau jusqu'à atteindre les nerfs périphériques puis tous les nerfs jusqu'au cerveau. Cette toxine met du temps à atteindre tout le système nerveux, mais lorsqu'elle y arrive les sensations de chatouilles sont tout bonnement INSUPPORTABLES : c'est comme si on était mille fois plus chatouilleux que la plus chatouilleuse des personnes. Là, on entre dans un véritable enfer de chatouilles qui fait hurler de rire comme jamais de toute votre vie. Vous découvrez alors dans toute son horreur la véritable signification de l'expression « SUPPLICE DES CHATOUILLES »! Maintenant il est trop tard pour revenir en arrière. J'ai mis une double dose aux endroits les plus communément... »

La doctoresse fut soudainement interrompue dans son discours, parce que la prisonnière fut secouée par un brusque mouvement réflexe, qui parcourut son corps, contracta ses abdominaux, et l'obligea à crisper les orteils vers l'intérieur, plissant la peau de la plante des pieds.

« ...Ah! On dirait que ça commence à faire de l'effet mmm? C'est... »

Mais elle fut de nouveau interrompue, car la victime fut secouée par un deuxième mouvement réflexe, qui cette fois-ci lui fit déplier ses longs orteils en éventail et cambrer énormément ses plantes de pieds nues tout en les faisant tourner ver le haut comme pour éviter la sensation de chatouilles qui commençait à la démanger.

« Oh! continua La Doctoresse, « Et le mieux dans tout ça c'est que je n'ai presque rien à faire! La lotion fonctionne toute seule! Là, je parie qu'elle est en train de lécher et de sucer de partout hein? Ça démange hein? Ça commence à chatouiller? Oui? Ça fait des chatouilles! Et ça ne fait que commencer... »

En effet, la victime fut secouée de nouveaux mouvements réflexes de plus en plus violents et de plus en plus fréquents. Maintenant, elle faisait frétiller ses longs orteils. Elle effectuait des mouvements de rotation, d'extension, de contraction de ses plantes de pieds nues telle une gymnaste ou une danseuse à l'entraînement. Ses plantes se cambraient, ou bien se plissaient vers l'intérieur. Ses orteils se depliaient vers l'arrière, puis se repliaient vers l'avant. Elle essayait de faire glisser son dos sur le carcan de gauche et de droite pensant ainsi réduire l'effet du chatouillement du ventre, ou des pieds nus mais elle était absolument incapable de bouger. La puissance du chatouillement augmentait de manière irrésistible. Ses abdominaux se contractaient à la fois sous l'effet des chatouilles du ventre par les léchouilles de plus en plus insupportables de la lotion, mais également à cause d'un rire qu'elle tentait vainement de contrôler et d'empêcher, mais qui arrivait à se frayer un chemin depuis les profondeurs de son ventre devenu chatouilleux, jusqu'à ses lèvres qu'elle pinçait autour du bâillon boule. Jamais elle n'avait ressenti de telles sensations : elle devenait, malgré elle, chatouilleuse des pieds, du ventre et des aisselles.

Puis elle se mit à sourire, puis à rire! Pour la première fois de sa vie, elle riait à cause des chatouilles. C'était une sorte de révélation. Son rire sortait de son nez, et de chaque côté du bâillon boule par l'espace entre ses joues et le bâillon crée par son sourire forcé jusqu'aux oreilles. Elle reniflait. Elle soufflait. Elle bavait abondamment. Son nez coulait. Tous ces fluides se mélangeaient dans une espèce de soupe claire baveuse, faite de bulles qui éclataient à cause des rires ; cette bave mêlée de larmes lui couvrait bientôt le visage et ses yeux. Sa tête devenait rouge sang à cause de la position, et des rires. Les sensations de chatouilles des pieds, du ventre et des aisselles augmentaient de plus en plus. Elle secouait sa tête de gauche et de droite. Ses abdominaux se contractaient de plus en plus.

La doctoresse regarda sa montre et dit :

« On devrait très bientôt être dans la phase ultime : la toxine devrait faire son effet dans quelques instant! Je vais l'aider un petit peu... »

Et sur ce la doctoresse, agita de manière répétitive les longs ongles si féminins de son index et de son majeur effleurant à peine la surface des deux grandes plantes de pieds nues exposées qui passaient par les deux trous du pilori, chatouillant ainsi du talon jusqu'aux bouts des orteils en passant par la cambrure élégante de la voûte plantaire, dans ce geste si caractéristique des guili-guilis sous les pieds.

Sous l'effet combiné de ces chatouilles des pieds et de la toxine qui venait d'atteindre l'intégralité de son système nerveux, la victime vit son monde basculer en enfer! Les sensations de chatouilles qu'elle ressentit sous la plante des pieds par les effleurements incessants de ces longs ongles féminins combinés aux léchouilles des pieds, du ventre et des aisselles par la crème « vivante » dépassait largement son imagination.

Elle voulait hurler de rire sous les atroces chatouilles, mais les sensations étaient tellement fortes qu'elle cessa d'abord de respirer, le souffle coupé par les sensations insupportables. Elle ouvrit ses yeux en très grand, regardant le mur derrière elle d'un regard fixe. Ses yeux injectés de sang sortaient quasiment de leurs orbites comme un zombie qui revient à la vie. Sa tête devenait rouge comme une tomate!

Puis le souffle lui revint! C'est alors que sa bouche pourtant quasiment fermée par le bâillon-boule se mit à expulser de la bave en jets avec une force incroyable et à un rythme de plus en plus rapide, accompagné par ses narines qui se contractaient et se dilataient de plus en plus violemment.

On ne l'entendait pas beaucoup, pourtant elle était en train de rire! Si elle n'avait pas été bâillonnée, on entendrait ses hurlements de rire probablement dans l'ensemble de l'immense institut jusqu'aux étages supérieurs. Incapable de rire, elle se tortillait désespérément comme un diable dans ses liens, en secouant violemment sa tête de gauche a droite ; le rire forcé qui passait difficilement par sa bouche et par son nez contractait violemment ses abdominaux. Ses pieds nus se cambraient, se recroquevillaient et se cambraient de nouveau, se tendaient, crispant, décrispant et faisant frétiller les longs orteils dans un balai harmonieux et violent à la fois sous les horribles chatouilles procurées par les ongles longs et experts de la doctoresse. Elle tentait désespérément d'arracher ses chevilles du pilori médiéval dans de violents mouvements de recul des jambes, créant ainsi une marque rouge circulaire au niveau des chevilles, marque qui bientôt saigna sous l'effet de ses violentes ruades: elle ne supporterait plus une seconde de plus toutes ces chatouilles abominables.

Elle voulut crier d'arrêter l'horrible supplice des chatouilles mais son bâillon et ses rires l'en empêchaient. Elle voulait que ça s'arrête! Que çà s'arrête immédiatement! Pas dans une minute! Mais MAINTENANT! « Par pitié arrêtez le supplice des chatouilles! Arrêtez le supplice! Je vais mourir de rire! Je vais parler! Je vais parler! Mais ARRETEZ les chatouilles! Je crains abominablement les chatouilles! » tenta-t-elle de crier à travers son bâillon, la tête rouge, les yeux révulsés hors de leurs orbites, la bave dégoulinant sur son visage

La doctoresse ne pouvait pas vour son état. C'est l'interrogatrice qui demanda à la doctoresse d'arrêter la torture.

« C'est bon! Arrêtez! Arrêtez! Je crois qu'elle essaie de nous dire quelque chose! » dit-elle. Puis s'adressant aux gardiennes

« Enlevez lui son bâillon »

Une des 2 gardiennes s'exécuta et enleva le bâillon-boule de la bouche pleine de bave de la suppliciée, la libérant ainsi de sa grande difficulté à respirer correctement et surtout à rire. En effet, dès que le bâillon fut enlevé, un gigantesque rire féminin fut expulsé par la bouche, maintenant largement ouverte, car, même si la doctoresse avait cessé ses chatouilles des pieds avec ses ongles, la crème continuait de sucer et lécher les pieds, le ventre, l'intérieur du nombril et les creux des aisselles.

La suppliciée tentait désespérément de supplier d'arrêter le supplice des chatouilles au milieu du concert de rires débridés, mais ses paroles étaient inintelligibles. On aurait dit qu'elle devenait folle :

« WUAAAAHAAHHAA!!!! HAHAHAAAAAAAAAAAAA!! HAHAAAAHAAA!!! ARRETEEEEZ!! AAHAHAHAHAHAAA!! ARRETEEEZ LES CHATOUILLES!!!!!!! HIHIHIHIHIHIHIIIIIIIII!!!! HIHIHIHIIIIIII!!!! CAAAAAA!!.....CA CHATOUILLE!!! CA CHATOUILLLE!!!! PITIEEEEEHEHEHEHE!!!! ARRETEZ LE SUPPLIIIIIIIICE!!! WUAAHAHAAAHAAAA! WUUUAAAAHAAAAA!!! ARRETEZ LE SUPPLIIIIICE!!!...

JE VAIS...!!!! HAHAHAHAHAAAA!!!! JE VAIS PARLER!!!!! HAHAHAAAAAAA!!!!...

CA CHATOUILLE DE PARTOUT!!!! HAHAHAAAA!!!!!...ARRETEZ!!... »

-Tu es prête à tout nous dire?!

-OUIIIII!!!! OUIIII!!!! JE VAIS PARLER!! MAIS ARRETEZ CETTE TORTUUUREE!!! AAAHAHAHAHAAAAA!!!! ARRETEEEEZ!!

-Bien alors qui t'envoies?

-C'EST!!! HIHIHIIIII!!!! C'EST LE CARTEL ....HAHAHAHAHA!!! WUUAAAAAAAHAAAAAHAAAA....LE CARTEEEEEELL...HHIHIHIIIIII....

-Le Cartel de quoi?

-HIHIIII!!!! LE CARTEL DES ...HAHAHAHA.. DE LAAAA... LAA BARONNE VAN DER FUSS!!!... HIHIHIIIIII!!!! ARRETEZ!!! ARRETEZ le SUPPLICE!!!

-Et que cherche la Baronne exactement?

-..ELLE... HIHIIIIHIIIIHIII.. NOON NOOON PAS SOUS LES PIEDS!!! ELLE!!! HIHIIIHIIII!!! ELLE VEUT FAIRE UN COUP d'ETAT HAHAAAA!HAHAAAA ARRETEZ DE ME CHATOUILLER LES PIEEEEEDSSS!!!! ...

hurla-t-elle, car la doctoresse ne pouvait pas s'empêcher de lui chatouiller les plantes de pieds nues si féminines exposées dans le pilori très délicatement avec la pointe des ongles.

« Continues, continues » demanda l'interrogatrice

« Qu'est-ce qui devait se passer?

-BWUUUUAAAAHAAAAHHH!! WUUAAAAHAAAAA! QUELQU'UN ... HIHIHIIIII DE CHEZ NOUS...HAHAHA...DOIT METTRE UNE BOOOOOOMBE DANS LE PALAIS DE LA REIIIINE!!!! WUUAAAAAHAHAHAAAHAAAHA!!

- QUAND?

- DEMAIN! HIHIHIIIIIHIII! HAHAAAAHAAA

- QUI?

- MA CO...OHOHHHH ...COEQUIPERE HIHIHIIIII!! Non pas le VENTRE!! PAS LES ONGLES SUR LE VENTRE!!! HIHIHIIIIIIHIIIII!!!

- OU EST-ELLE?

- ELLE A UNE COUVERTUUUUUURE!! HAHAHAAA!! COIFFEUSE

- SALON?

- CHEZ EGLANTIIIIIIIIINE EN VILLE!!! HIHIHIIIIHIIIII!!!! NON PAS LES PIEDS PAS LES PIEDS!!!! JE SUIS CHATOUILLEUSE SOUS LA PLANTE DES PIEEEEEEEDS!!!! HAHAHAAAAAAAAAAAAAAAA...!!!! WUUAAAAAHAHAHAAAAAA...

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