Insectes

BÊTA PUBLIQUE

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«Vous avez un très beau soutien gorge! Montrez moi davantage s'il vous plait.»

Un troisième bouton s'est défait puis un quatrième et je suis dépoitraillée jusqu'à la taille. Le vieux me guète d'un air satisfait, il est appuyé à la table de l'arrière boutique et il suit mon déshabillage de façon intéressée.

Je viens de défaire le dernier bouton de ma robe et les deux pans se sont écartés livrant mon corps aux yeux brillant du vieux. Il s'avance vers moi, il saisit lui-même les pans et il fait glisser la robe de mes épaules. La robe tombe sur le carrelage de la boutique. Le vieux se penche et la ramasse pour la poser sur une chaise.

«Je présume que vous êtes revenue pour les criquets? Et tandis que j'opine en silence, il poursuit: j'ai autre chose à vous proposer aujourd'hui.»

Devant mon regard interrogateur il sourit, les bras croisés sur sa poitrine creuse.

«Vous devez être déjà un peu mouillée non?» Il s'avance jusqu'à moi, décroise les bras et je vois sa main descendre jusqu'à la fourche de mes cuisses. Sans attendre de réponses de ma part il me caresse le mont de vénus. Aussitôt le frisson que je ressens me parcourt toute l'échine. Ses doigts forcent un peu entre mes cuisses et il palpe le fin tissu imprégné déjà de cyprine.

«Je vois dit il, vous avez très envie de jouir. Savez-vous qu'il existe une race de fourmis africaines très attirée par la cyprine féminine?»

Comme je secoue la tête, je vois à son air complice qu'il me réserve de nouvelles sensations et j'en suis si curieuse.

«Allongez vous sur la table» Me commande t il tout en y étalant un plaid qu'il a tiré d'une armoire. Je me hisse sur la table et je m'y allonge frémissante de découvrir de nouvelles sensations.

«D'abord je vais vous remettre nos chers criquets sur vos nichons mais rassurez vous je n'en mettrais pas autant que la fois dernière, juste un criquet par nichon.»

Et joignant le geste à la parole, il glisse ses mains sous mon soutien gorge et il sort mes seins de leur écrin. J'ai été surprise par ce geste plein d'autorité que je n'attendais pas de sa part. J'ai sursauté de sentir ses mains chaudes se glisser avec facilité dans les bonnets et les repousser pour faire jaillir mes tétons. Dans la foulée j'ai vu qu'il déposait un grillon sur chacun de mes globes et le frémissement que j'éprouve en ce moment est déjà un frémissement de jouissance. Je sens les pattes qui griffent légèrement ma chair, leurs bouches qui mordillent et la sensation est assez forte pour me tirer un gémissement. Le vieux me regarde, satisfait, ses insectes besognent la peau tendre de mes seins que je sens se soulever. Cependant je ne peux m'empêcher de lui demander si mes seins vont enfler autant que la première fois.

«Rassurez vous, j'ai juste mis deux criquets cette fois, vous recevrez moins de salive et donc vos nichons ne vont pas enfler autant que la fois dernière.»

Je sens néanmoins que ma chair devient plus ferme et qu'elle enfle sensiblement. Le vieux suit toujours avec intérêt mes transformations. Quand il juge que mon excitation est suffisante, il va à l'un de es aquariums, il y plonge une main et revient le poing fermé vers la table où je suis allongée. Il me sourit, sa main libre me caresse l'entre jambe, il semble satisfait.

«Vous allez voir me murmure t il, ça va être divin!» Et il ouvre son poing au dessus de mes cuisses. Aussitôt, je sens des chatouilles sur mon collant et je tressaille en poussant un petit cri. Les chatouilles se déplacent rapidement le long de mes cuisses en remontant. Bien vite elles arrivent à la fourche de mes jambes et semblent se fixer à cet endroit. La sensation est fabuleuse, je suis envahie par mille petites chatouilles et je me mets à gémir sans retenue. Mes cuisses s'ouvrent malgré moi et tout au long de mon sexe d'innombrables vibrations me font frémir. Je commence à me tordre sur la table je suis excitée à la fois par mes seins et par ma fente envahie de chatouilles. Je sens que je me mets à mouiller davantage, je deviens fontaine et le vieux qui s'en en aperçoit, rajoute une poignée d'insectes qui se dirigent aussitôt vers mon entrecuisses pour y boire le suc en me chatouillant de plus belle.

Je geins sur la table, je me trémousse, excitée par toutes ces chatouilles que je subis. Cette sensation est si inédite! Aucun hommes ne peut offrir en même temps de tels moments de frissons à une femme. Un puissant aphrodisiaque transforme mon corps en un réceptacle à vibrations. Je ne peux m'empêcher de gémir, de crier ou de feuler sous les attaques des insectes qui picorent mon entre cuisses, transformant mon sexe en une fontaine de cyprine. J'ai l'impression d'avoir à la fois mille vibromasseurs autour de mon vagin, et même sans pénétration la sensation est fabuleuse.

Je me laisse aller sans retenue, je crie mon bonheur dans cette arrière boutique sombre, je me mords les lèvres en me tortillant sous des chatouilles qui sont bien plus que ça en fait. Des sensations si intimes répétées à l'infini à chaque seconde que la jouissance n'est pas évitable, et je me laisse aller à jouir, le corps délicieusement torturé par les insectes qui me mangent le sexe et les seins. Une jouissance qui semble infinie, qui en fin de compte pourrait l'être si le vieux bonhomme ne décidait que décidément, cela suffisait pour aujourd'hui.

Je sens sa main qui part à la recherche de ses fourmis, il me touche le sexe, ramenant les fourmis à lui et il les redépose dans l'aquarium. Il répète plusieurs fois l'exercice, ne se privant pas au passage de me caresser les lèvres intimes, mais je m'en fiche tant ma jouissance a été grande, et tant mon sexe sensibilisé réclame des caresses. Il remet aussi les deux grillons dans leur aquarium et il revient vers moi. Je le vois sourire au dessus de moi qui halète sur la table, toujours allongée, pantelante et épuisée. Mes seins ont enflé, le soutien gorge est un peu petit maintenant pour les contenir et il semble qu'à chaque instant ils vont se libérer de leur écrin de dentelle. Le vieux me fait lever, puis il me demande de me mettre à genoux. Sans réfléchir je tombe devant lui, d'un geste preste, il défait sa braguette et sort son sexe. J'ai sous les yeux un sexe d'homme âgé, un peu noueux mais rigide apparemment.

«Suce!»

Il avance pour être au plus prêt de moi, il me tend sa bite à sucer. Je suis encore sous le choc d'une telle sensation, que je ne réfléchis pas et je le prend en bouche. Je lui suce le sexe sans complexe, le caressant de mes lèvres et l'agaçant de ma langue. Je sens sa main qui vient se positionner sur l'arrière de ma tête et qui me maintient sa bite en bouche. C'est lui qui imprime le mouvement que je suis sans trop le contrarié. Son souffle devient rauque, saccadé, sa bite tressaille de plus en plus. Sa main me maintient plus fermement et il part dans une éjaculation longue où je reçois ses jets de sperme sans pouvoir les refuser, ma tête étant maintenue fermement. Je suis surprise par le nombre de ses spasmes qui me remplissent la bouche d'un sperme chaud et salé. Je respire difficilement, j'étouffe, je sens le sperme qui se fourvoie et se mêle à l'air de mes poumons, j'ai un spasme à mon tour et dans un hoquet, je recrache le tout par le nez tout en me dégageant de ses mains pour retrouver de l'air. Il lâche ma tête enfin et l'air afflue dans mes poumons tandis que je tousse et recrache le sperme sur le carrelage de l'arrière boutique.

Le vieux court à son armoire et en revient avec une serviette qu'il me tend. Je me débarbouille sous son regard curieux mais que je devine assez satisfait.

J'ai remis ma robe et je suis partie, je sens bien que mes seins sont toujours à l'étroit dans mon soutien gorge, j'aurais tout à l'heure à trouver une explication plausible pour Eric, mais en voudra-t-il?

Pour l'heure, le vieux qui s'est rebraguetté, veut visiblement me retenir encore pour me faire visiter l'arrière boutique.

Je m'aperçois que l'endroit est plus vaste que je l'aurais imaginé car attenantes à la grande salle aux aquariums, il y a deux portes qui donnent sur des alcôves en retrait et que l'on ne devine pas au premier coup d'œil. Il m'explique alors qu'il reçoit dans ces alcôves des personnes qui veulent tranquillement profiter des insectes en toute intimité, et ajoute t il, elles aiment parfois aller plus loin avec des serpents par exemple. Je frémis, mais cette fois ce n'est pas de plaisir mais plutôt d'effroi. J'ai horreur de ces animaux. A voir ma tête, le vieux comprend mon dégout et il détourne la conversation.

«Voyez vous, me dit il certaines femmes en raffolent, mais je n'impose jamais rien à personne. Je vois à votre air que ce n'est pas votre tasse de thé. Rassurez vous, si deviez revenir n'ayez aucune crainte je ne vais jamais à l'encontre des désirs de mes clientes.»

«Des clientes? Demandais je, vous avez donc d'autres clientes?»

«Vous n'imaginez pas comment les femmes assouvissent leurs désirs les plus secrets.»

Devant mon regard interrogateur le vieux se lance dans un récit salace des exploits de ces clientes.

«Certaines ne jurent que par les serpents, d'autres comme vous en restent aux sauterelles et aux fourmis. J'en reçois de tous âges, des femmes âgées, souvent veuves et qui assouvissent ainsi leurs envies de baise. Plutôt que de se masturber tristement, elles viennent ici et s'enferment dans mes alcôves avec les insectes, les serpents etc. c'est intime, c'est original et surtout la discrétion des lieux les attirent. Quand à moi, je reste très discret et personne ne me soupçonne de quoi que ce soit. Parfois je me fais payer, comme avec vous tout à l'heure. Quand la cliente me plait, je la fais s'agenouiller en fin de séance et elle me suce, jamais sans réticence tant elles sont satisfaite. J'ai ainsi mes habituées à la pipe, et je vous l'avoue, si deviez revenir, j'aimerais que vous soyez de celles la car vous sucez divinement.

Il y d'autres femmes qui viennent aussi, des femmes plus jeunes, des bourgeoises en recherche de plaisirs plus forts, de bonnes épouses qui aiment à passer l'après midi dans ma cave, le bouche à oreille marche fort bien et je dois leur faire prendre des rendez vous pour qu'elles ne tombent pas sur un os, ou pour préserver leur anonymat.

Savez-vous que certaines aussi viennent accompagnées, parfois un mari, parfois un amant qu'elles ont mis dans la confidence et qui se montre curieux de voir ainsi sa maitresse jouir avec des insectes. Pour les maris, c'est un peu différent, souvent ces messieurs sont âgés, leurs femmes sont plus jeunes et ils n'arrivent plus à les satisfaire suffisamment et les couples retrouvent ici une vraie complicité amoureuse.»

Le vieux soudain me prend le bras et se rapproche de mon oreille pour me confier une confidence.

«Savez-vous qu'une femme ou deux viennent aussi accompagnées de leur fille?»

Mon étonnement doit se voir sur mon visage, incitant le vieux à poursuivre.

«Tous les vices voyez vous sont dans la nature, et certaines femmes veulent initier leurs filles, souvent très jeunes! Ma plus jeune cliente doit avoir à peine treize ans, à peine pubère et déjà accro à mes fourmis. Sa mère m'a dit l'avoir surprise à se masturber dans sa chambre. La gamine d'ailleurs se masturbait depuis pas mal de temps, sa mère la voyait dépérir tant la fille se fouillait la fente. Comme la mère est une cliente assidue, elle a décidé un jour de me présenter sa fille en me priant de m'en occuper. Cela montre au passage la confiance qui était la sienne.

Je me suis donc occupé de la jeune personne tandis que sa mère s'enfermait dans une de mes alcôves. Je l'ai interrogé sur ses pratiques, elle a été surprise de mes questions, elle a rougi et finalement elle a convenu de son addiction à la masturbation qu'elle avait apprise avec un vieil oncle chez qui elle passait l'été. Comme je lui demandais si elle mouillait bien, elle voulut me montrer comment sa culotte était trempée sous son collant. En y passant la main, j'ai pu constater à quel point elle était chaude. En un tournemain, je la stimulais un peu en la faisait s'allonger la table où vous étiez tout à l'heure et lui faisait connaitre le plaisir des fourmis. J'ai rarement vu une femme se tordre en gémissant ainsi sur la table, le spectacle était si fort que je suis resté à la regarder écarter ses cuisses tandis que les fourmis prenaient d'assaut son mont de vénus. Elle criait son plaisir de se sentir sucer la fente par mes insectes. Elle rougissait jusqu'à l'apoplexie, à un moment je me suis demandé si je ne devais pas mettre fin à la séance tant elle se tordait en criant son plaisir. Je crois qu'elle a du jouir trois fois de suite avant que je ne mette fin à la séance. Sa mère, en entendant ses cris est venue aux nouvelles, et quand elle a vu sa fille avec une grappe de fourmis accrochée à son sexe, elle a joui comme ça, sans aucun autre stimuli.

Ces deux la sont devenues des régulières, j'ai fait quelques expérience avec la fille, ainsi j'ai utilisé les sauterelles dès la seconde séance. Elle n'avait pas de seins encore mais j'ai largué deux criquets sur sa poitrine plate et j'ai attendu. Après une demie heure j'ai vu sa poitrine se soulever et deux petits monts apparaitre. Je n'ai pas trop insisté, j'ai retiré les sauterelles, mais j'ai pu constaté de mes mains que je l'avais suffisamment excitée pour que des seins lui poussent, deux globes fermes et sensibles, une nouvelle occasion de jouir pour elle, et j'avoue l'y avoir aidée.

Sa mère a bien vu cette transformation chez sa fille, elle n'en fut pas fâchée, me demandant seulement d'agir avec circonspection en l'excitant modérément, ce que je fis et en fin de compte, aujourd'hui la fille a une belle paire de nichons!»

Je l'écoutais, rêveuse, imaginant une jeune personne aussi réceptive aux plaisirs des insectes.

Mais vous qui me lisez, pensez vous qu'on puisse imaginer une suite? Pour ma part je préfère en rester la, tout en sachant que dans le domaine de l'érotisme l'imagination est sans bornes... N'est-ce pas?

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans

Quelle imagination!! Fidèle à lui même!! Merci Jipai

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