Insectes

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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«Bonsoir maman!» Eric s'est précipité pour m'embrasser. Mais tout de suite il s'est heurté à mes obus en pointe, venant lui vriller la poitrine.

Après m'avoir embrassé les deux joues, son regard s'est porté sur mes seins et j'ai vu ses yeux s'écarquiller de surprise.

«Maman, t'as vu tes seins?! Qu'est-ce qu'il t'est arrivé?»

«Heu... j'ai été passé un examen mais je crois que le médecin s'est trompé dans la piqure qu'il m'a faite pour la radio.»

«La radio? Quelle radio?»

«Mais une mammographie! Voila!»

«T'as fait une mammographie et le médecin t'a fait une piqure pour ça?!»

Je l'ai foudroyé du regard, qu'était il sensé savoir d'une mammographie? Eric a compris le message et il s'est tu. Mais je voyais bien que son regard ne quittait pas le niveau de ma poitrine.

«Je suis fatiguée, lui ai-je dit, je vais prendre une douche.»

J'espérais me détendre et pouvoir me laver en profondeur dans l'espoir de retrouver au plus vite une physionomie normale. Je m'enfermais donc dans la salle de bains et m'empressais de me mettre nue pour me regarder dans la glace. J'en fus horrifiée quand je vis ma poitrine hyper dilatée, mes seins ayant doublé de volume. Je les touchais, les trouvant réactifs, mes tétons étaient d'une sensibilité qui me faisait gémir rien qu'en les frôlant. Paniquée, je me demandais tout à coup s'ils retrouveraient un jour leur volume normal et une sensation normale, moins érogène.

Sous la douche me frottait de la tête aux pieds, faisant en sorte d'insister sur mes deux nichons, les couvrant de savon et frottant en serrant les dents pour ne pas crier. Puis je les rinçais à l'eau froide, claquant des dents mais voulant à tout prix les réduire.

Vite, je suis sortie frissonnante de froid de la cabine de douche, me précipitant sur la serviette pour me frotter le corps tout entier. Je sentais mes seins encore tendus et si réceptifs aux caresses. En me regardant dans la glace, j'ai vu qu'ils avaient à peine fléchi et le retour à la normale n'était pas flagrante. J'ai passé un peignoir en renonçant et enfiler un soutien gorge pour me rendre à la cuisine et préparer le diner d'Eric.

Pendant tout le repas, j'ai bien vu qu'il fixait mes seins mais il n'osait pas me poser de questions. En face de lui, je faisais de mon mieux pour paraitre détachée, picorant dans mon assiette, préoccupée par ces transformations intempestives, me demandant quand tout cela rentrerait dans l'ordre. J'avais encore sur ma peau la sensation des criquets, tenant en éveil mes sens.

Après le repas, alors que je lavais nos couverts dans l'évier, Eric est venu derrière moi et ses mains m'ont empoigné les seins tandis qu'il se collait à moi. J'ai sursauté et j'ai lâché l'assiette qui est retombée dans le bac.

«Maman, tu ne veux pas me dire ce qu'il t'est arrivé?»

«Mais...mais rien mon chéri! lâche moi je dois finir...»

Mais Eric ne m'a pas lâchée et ses mains chaudes caressant mes seins n'ont pas eues de mal à me faire gémir.

«J'ai envie maman!»

«Attends! Pas maintenant» ai-je répondu d'une voix faible qui trahissait mon propre trouble. Eric s'en est rendu compte et il ne m'a pas lâchée, continuant à peloter mes nichons irrités. J'en ai gémi et Eric n'a eu aucun mal à m'entrainer vers ma chambre, tout en défaisant la ceinture de mon peignoir que je perdis en route.

Arrivé dans ma chambre il me força à lui faire face et je vis ses yeux s'écarquiller et sa bouche s'arrondir alors qu'il fixait mes seins.

«Maman! Mais... t'as vu tes nichons? Mais comment...Est-ce possible?»

J'essayais de cacher ma poitrine derrière mes mains, gênée d'être ainsi vue par mon propre fils. Prestement il me prit les mains pour les éloigner et il se précipita sur mes tétons pour les prendre en bouche. Je ne pus m'empêcher de libérer un long râle annonçant le désir qui revenait à grands pas. Eric n'en fut pas dupe et il usa de tout son savoir pour exciter mes pointes en les suçant avec application pendant que je me tortillais devant lui en gémissant. Quand il jugea qu'il m'avait suffisamment excité, il me glissa une main entre les cuisses pour s'assurer de l'humidité de mon sexe et il me poussa sur le lit.

Je ne résistais pas, la tête me tournait trop pour avoir une quelconque défense et à cet instant, Eric pouvait faire de moi ce qu'il voulait.

Ce soir la, Eric me téta les seins avec une ardeur que je ne lui avais plus connu depuis longtemps. Dès que ses lèvres se posèrent sur mon téton si sensible, je ne pus retenir un gémissement ce qui l'encouragea et dès lors, il me prit le sein en bouche, aspirant ma chair de sa bouche qui faisait ventouse autour de mon aréole et de sa langue qui agaçait le pointe érigée de mon téton.

Je me tordais déjà sous les chatouilles de sa langue, sentant mon nichon devenir dur à nouveau, saillant et dardant vers le ciel.

Eric s'était défait de son pyjamas et il vint couvrir mon corps du sien pour limiter mes tressaillements et les mouvements intempestifs qui tordaient tout mon être. Je sentais sa bite dure sur mon ventre tandis que sa bouche se régalait de mes globes dilatés. Je criais sous lui, ne pouvant retenir mes plaintes tandis que sa langue jouait avec mes tétons simultanément, les faisant saillir et durcir par ses lapements.

Depuis déjà un moment mes cuisses s'étaient disjointes et j'ai senti Eric glisser entre elles, son sexe caressant mon mont de vénus à travers les poils drus de mon pubis. Sa bite s'est positionnée sur ma fente et j'ai pensé à cet instant qu'il allait me prendre encore alors que je ne voulais pas qu'il prenne cette habitude...

Aaaaah! J'ai poussé un cri quand son gland a forcé mes lèvres intimes et qu'il a ouvert ma grotte trempée de cyprine. Eric s'est enfoncé en moi de toute la longueur de son membre et le bout de sa queue est venu refouler mon utérus. Il est resté la, étirant mes chairs, je le sentais si bien! Tous les nerfs de ma chatte s'électrisaient à le savoir en moi et mes muscles vaginaux se rétractaient instinctivement autour de la colonne de chair qui écartait les parois de ma fente.

Je n'y tenais plus et Eric non plus, il s'est mis à me besogner de coups de reins puissants qui propulsait sa bite au plus profond de mon ventre. Il haletait au dessus me moi, ses bras passés sous les miens il me tenait fermement tout en me pistonnant le vagin. Sa bite palpitait tout en coulissant dans mon ventre et la sensation était si délicieuse! Je me suis donnée à lui, lui abandonnant mon corps, trop excitée trop avide de jouissance. Mes cuisses se sont encore plus ouvertes, livrant le passage à sa queue pour entrer encore plus loin dans mon ventre.

Après cinq minutes d'un délire qui m'avait emmené vers des paradis inconnus, j'ai senti mon fils se crisper et ses coups de boutoirs sont devenus plus violant tandis que son sexe palpitait plus forts me communiquant des frissons nouveaux qui me faisaient hurler mon désir. Dans un dernier coup de reins puissant, donné avec une force que je ne lui connaissais pas, il m'a immobilisée sous lui et il a été pris de spasmes et de frissons tandis que j'ai senti sa bite dégorger au fond de mon ventre sa liqueur brulante.

Le sperme a inondé mon vagin, noyant mon utérus, débordant et coulant entre mes fesses. Eric me tenant toujours fermement, j'étais prisonnière de lui pendant qu'il se soulageait en grognant.

Sa bite est restée dure longtemps, plantée en moi et cinq minutes plus tard il reprenait ses coups de reins, son sexe coulissant dans nos fluides mêlés.

Cette nuit il a fallu qu'il me prenne quatre fois avant qu'il ne se calme et ce n'est que fort tard que nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre.

20 mars .....

Comment vous expliquer mon état d'âme après la nuit que j'ai passée avec Eric?

Honteuse? Oui surement, mais ce n'est pas seul sentiment qui me traverse, vous me savez assez salope pour ne pas avoir trop de remords. Après tout j'ai habitué mon fils à cela, en le laissant me téter bien au delà d'un âge raisonnable. toujours le plaisir, ce plaisir qui m'entraine aux pires excès et que je ne peux réprimer. Oui j'en éprouve toujours du plaisir à me laisser sucer les seins par mon fils, même s'il a passé largement l'âge pour cela. J'ai d'autant plus de plaisir qu'il sait maintenant ajouter les ingrédients qu'il faut pour faire monter sa maman au septième ciel. Croyez vous qu'il soit facile de rester indifférente quand sa langue se promène sur mes tétons? Et quand il sent mes pointes s'ériger sous sa langue il sait alors qu'il doit me les mordiller s'il veut m'entendre gémir, et bien sur qu'il le veut, qu'il le recherche même! J'ai moi même trop de plaisir pour résister à cela, Eric est mon fils mais je sais que lui seul peut me procurer cette drogue, cette envie de sentir mes seins enfler et se donner à sa bouche tout en sentant mon corps parcouru de la tête aux pieds par ces vagues de frissons si douces et si vénéneuses.

Mais peu importe, j'aime trop cela pour m'en priver, et Eric est en parfaite connivence avec moi. Nous avons mis au point nos petits jeux pervers, quand il rentre de l'école et qu'il me met la main aux fesses. J'ai eu toute l'après midi pour me préparer à ce geste déplacé mais que j'appelle de mes vœux. Je fais semblant de m'activer au dessus du lavabo et je le sens qui s'approche, comment vous décrire ce que je ressens à ce moment la? Il va frôler mon cul de sa main brulante, elle n'a rien à voir avec les mains rudes que je ressens parfois dans le métro, rien non plus avec la main chaude de mon patron, celle du médecin du travail. Non sa main est particulière, elle me procure des frissons plus forts encore quand elle vient se poser sur le bas de ma fesse, tout en haut de ma cuisse et qu'elle remonte pour me flatter tout le globe avant de redescendre sur l'autre moitié et revenir forcer le tissu entre mes deux hémisphère pour me sonder l'entre cuisses. Je ne lui résiste pas, comment pourrais je? J'ai trop eu d'orgasmes avec lui, je l'ai laissé aller trop loin avec moi et je suis devenue sa complice. C'est lui qui me dicte mes tenues quand je l'attends à la maison, des robes légères, décolletées, des jupes fines, des corsages qui ne cachent pas grand chose de mon soutien gorge. Parfois je trouve sur mon lit le soutien gorge qu'il veut me voir porter, avec la culotte assortie. Parfois le collant, ou encore des bas dim up qu'il adore me voir mettre car il sait qu'il pourra me prendre sans les ôter.

Il s'est emparé depuis longtemps de mes vieux collants et même de mes vieilles culottes ou mes vieux soutiens gorge, il s'en sert pour ses masturbations, il éjacule dedans avant de s'en séparer. Il vient même parfois prendre ma culotte portée en journée et je sais que le soir venu, dans sa chambre, il la reniflera longtemps avant de se l'enrouler sur le sexe pour éjaculer au fond. Je l'entends revenir à la salle de bains pour remettre ma culotte dans le panier à linge sale.

J'ai laissé faire tout ça et je sais que ce n'est pas bien, mais nous avons aussi développé des jeux plus subtils ou pervers. Je fais venir le médecin parfois à domicile et Eric a exigé d'assister à ces consultations en se cachant dans le placard de ma chambre, au milieu de mes robes et autres odeurs. Le médecin n'en sait rien bien sur, le vieux médecin maghrébin bien content de quitter son cabinet sordide pour venir un peu gouter aux demeures bourgeoises. Il ne se le fait pas dire deux fois, il accourt, et quand il sonne, Eric court se cacher dans la penderie. Bien sur il laisse la porte un peu entr'ouverte de façon a se dégager une vue imprenable sur la pièce où le vieux toubib va m'examiner. Je sais aussi qu'il prend la précaution d'aller se cacher en emportant une culotte pour se branler. Le vieux me fait toujours me mettre sous vêtements, pour l'examen et bien sur je les choisis, autant pour le médecin que pour Eric. Je sais que la transparence de la dentelle a des effets immédiats et après une osculation en règle je sais à son souffle court que le toubib bande.

Quand il me dit de m'allonger sur le lit, il a la voix qui tremble et quand il se met à genoux entre mes cuisses pour un examen plus précis, je sens ses mains fébriles tirer ma culotte vers le bas. Je sais qu'il a toujours un spéculum quand il vient me voir, je vais y avoir droit à l'examen minutieux de mon vagin, à la palpation de mon utérus, à ses réflexions satisfaites tandis qu'il s'attarde à mater le fond de mon ventre avec son engin et sa lampe frontale. Il lui ait arrivé de me flatter le clitoris tout en m'examinant, un frôlement que j'ai cru anodin mais qui s'est voulu insistant, et c'est ainsi que je me suis faite branler par le toubib, allongée sur mon lit et mon fils enfermé dans le placard mais dont je sentais les yeux qui embrassaient la scène. Je pouvais percevoir des bruits suspects provenant du placard, des froissements rapides, des frottements, et je savais que mon fils se branlais en voyant sa mère se faire examiner par un médecin un peu vicieux.

Je peux vous dire que lorsque le toubib tournait les talons, nous tombions Eric et moi dans le stupre le plus débridé ou nous crions tour à tour à chaque jouissances que nous éprouvions.

Avril ....

Je suis retourné Quai de la Mégisserie ou plus exactement dans cette petit rue derrière et dont j'ai oublié le nom. Le vieux vendeur m'a accueilli avec intérêt, me demandant comment j'avais supporté les sauterelles. Quand je lui ai dit que mes seins étaient restés enflés pendant une semaine, il a hoché la tête en me disant que cette réaction était normale mais qu'elle finissait par s'estomper. Nous avons sympathisé et il m'a raconté qu'en Afrique, les femmes s'en servaient pour séduire les hommes. Envoutante Afrique, et si insolite aussi. Il avait vécu la bas avec sa femme assez longtemps pour pénétrer la mentalité africaine ainsi que leurs coutumes si curieuses pour nous.

Il m'a dit que parfois la femme africaine prenait un amant et que pour le séduire elle avait recours à ce stratagème des criquets qui les excitaient et faisait enfler leurs seins qu'elles promenaient sous le nez de l'homme qu'elles voulaient séduire. C'est vrai qu'en Afrique, les hommes portent plus d'intérêt aux fesses des dames, ils aiment les beautés callipyges, mais la femme elle, a cet instinct maternel des mamelles nourricières et donc elles font valoir leurs atouts. Il m'a aussi raconté comment une veuve sur le retour avait tenté de le séduire en faisant dresser sa poitrine sous l'action des sauterelles. Sa femme elle-même avait recouru au truc des africaines: la première fois juste par curiosité et elle s'en était trouvée si excitée que son bonhomme avait eu du mal à la satisfaire. La réaction s'était prolongée une semaine durant, exactement comme pour moi, et le pauvre en était sorti épuisé. J'avais à ce moment la une pensée attendrie pour Eric qui lui a assumé le dérangement de sa mère pendant la fameuse semaine sans défaillir.

Le bonhomme m'a raconté le mal qu'il avait eu à retenir son épouse de se précipiter dans les bras du premier male qui passait. Malheureusement, il ne pouvait la surveiller tout le temps. Après cette première expérience, elle a voulu reproduire l'épisode et elle en est devenue accro en peu de temps. Ce que les africains cachent soigneusement aux blancs, c'est l'addiction qui peut survenir à ce genre de traitement. La bave de criquet n'est pas sans danger et celle qui se prête à ce genre de jeu peut ne plus revenir en arrière. Je frissonnais en pensant à ce danger, mais le vieux continuait son récit, me racontant que sa femme quittait la maison la nuit, se faufilant avec la complicité d'hommes qu'elle avait fini par connaitre, dans les ruelles sombres pour rejoindre le marchand de criquets. Il s'en suivait des orgies nocturnes où les hommes se succédaient pour la satisfaire sans jamais la mener à la satiété. Parfois il arrivait que qu'une vingtaine de «nègres» comme il les appelait, passent sur le ventre de son épouse. Elle rentrait au matin, hagarde, chancelante, marchant d'une drôle de démarche, se tenant les cuisses écartées tant sa chatte la faisait souffrir. Mais cette douleur ne la rebutait pas et malgré les suppliques de son homme, elle revenait sans cesse à ce qui était devenu son vice. Elle réussit à entrainer avec elle deux autres femmes de la bourgeoisie coloniale, une femme d'officier et une autre de diplomate et toutes les trois elles se livraient à des orgies sans fin, se laissant besogner par des hommes ruisselants de sueur, aux sexes tendus, gonflés de sang, qui leur passaient sur le corps à la chaine. Du plus jeune au plus âgé, elles acceptaient cet hommage frelaté de la part d'hommes trop longtemps frustrés de leur sort par ces blancs sans scrupules et trop heureux de se venger ainsi de la dureté de vie qui leur était faite.

«Croyez moi, me dit le vieux les yeux dans le vague, ces hommes la étaient comme des bêtes, se bousculant pour prendre à la chaine ces trois blanches qui se livraient à eux.»

La chose s'était rependue dans la ville comme une trainée de poudre et s'étaient plusieurs dizaines d'hommes qui se présentaient les soirs où ces dames avaient été aux criquets. Les femmes africaines se firent elles même complices de leurs maris, trop heureuses de se débarrasser un instant de ces hommes toujours à tourner autour de leurs chattes, mais aussi, heureuses de se venger de ces femmes si arrogantes qui les traitaient en esclaves chez elles. Ces femmes la, se souvenaient aussi comment les maris pouvaient être odieux, toujours à les frôler, leur mettre la main aux fesses sans qu'elles ne puissent se plaindre, et même parfois leur imposant une relation, enfin, un rut rapide dans l'arrière cuisine pendant que madame était dans piscine.

Tant de provocations engendrant tant de haine en fin de compte. Les femmes blanches étaient donc traitées comme des putains tout juste bonne à faire décharger des bites noires qui les prenaient par tous les trous disponibles, quoique les noirs avaient une préférence pour leur vagin. Mais c'étaient elles qui réclamaient une bite en bouche, une autre dans le cul etc....Ces méthodes choquaient les hommes noirs qui n'en éprouvaient que plus de mépris pour ces femmes sans honneur.

Le vieux soupira, il y eut un silence et je voyais dans ses yeux qu'il revivait ces moments africains.

«J'ai fini par perdre ma femme, me dit il»

«Comment ça? Demandais je»

«Un jour un type sans scrupule lui a fait miroité je ne sais quoi, elle l'a suivi. C'était un maquereau, je l'ai su plus tard. Il s'est servi de ma femme pour se faire de l'argent. Elle, elle est morte d'épuisement et aussi de mauvais traitements.

Les deux autres ont été rapatriées en urgence quand il est devenu clair que toutes deux étaient tombées enceintes à force de jouer à ces jeux dangereux. Moi je suis parti aussi et voila, j'ai pris ce commerce qui me rappelle un peu l'Afrique.»

Je regarde le vieux type, il est plus humain tout à coup, mais ça ne l'empêche pas de me proposer encore les sauterelles. J'hésite, après ce que je viens d'entendre, mon enthousiasme est tombé.

Mais saurais je résister?

Résister n'est pas mon fort vous le savez bien, d'autant plus que j'étais venue ici à dessein, habillez de choses légères, sans culotte sous mon collant fin, avec un soutien gorge aussi léger que me le permet mon 95 bonnets D. Le vieux type a levé ses yeux sur moi et dans mon regard brillant il a du lire mes désirs.

«Vous voulez revivre des sensations n'est-ce pas?» Comment lui cacher davantage mes envies de frissons?

«Une robe telle que vous portez se déboutonne si facilement, j'imagine que dessous vous n'avez pas grand-chose! Montrez moi ça.»

Son ton est un peu sans réplique et mes doigts tremblent quand ils s'aventurent sur le premier bouton de ma robe. Le vieux suit mes gestes d'un air satisfait, je vois briller ses yeux et je m'enhardis à le voir ainsi. Le second bouton saute, et je sais qu'il aperçoit mon soutien gorge, je rougis.

Jipai
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