Cheptel Humain Ch. 01

Informations sur Récit
Virginie becomes a cow girl for her uncle.
6.6k mots
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10
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 10/13/2022
Créé 05/25/2008
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dan57
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Un texte récent sur Literotica : The human cow auction de Thirsty73 que je vous recommande m'a remémoré un texte que j'avais écrit il y a longtemps sur un thème voisin. Le voici :

Jean, un important industriel de Sedan, la quarantaine fringante, conduisait son gros 4x4 sur les routes du causse du Larzac depuis plus d'une heure. A ses cotés, sa jeune nièce, Virginie, tout juste dix huit ans depuis quelques jours et dans la beauté extatique des jeunes filles en fleur, était assise à moitié assoupie à coté de lui. Cela faisait deux ans qu'elle insistait pour aller à la foire aux bestiaux de Saint Azul où se rendaient chaque année son oncle et sa tante. Un décès dans la famille avait forcé sa tante à se rendre sur place. Elle avait proposé à sa nièce qui vivait chez eux depuis le décès de ses parents d'accompagner son mari.

Virginie s'était réveillée lorsque Jean s'était arrêté pour ouvrir une barrière en quittant la route goudronnée.

- Tiens, on est déjà arrivés?

- Non. Il y a encore plus de vingt kilomètres. Saint Azul est une ancienne ferme en ruines, loin de tout.

Virginie s'était rendormie tranquillement. Elle avait à peine ouvert les yeux lorsqu'il s'était arrêté à nouveau pour ouvrir d'autres barrières tous les quatre ou cinq kilomètres. Finalement, Jean la réveilla en lui tapotant le genou. Ils étaient en vue de leur destination.

Il y avait peut être cinquante 4x4, pick-up, voire de petits camions bien rangés dans un coin avec une précision quasi militaire. A coté, une grande tente devait abriter les fameux bestiaux dont parlaient souvent Jean et Pierre, le père de Virginie, disparu avec son épouse dans un accident de la route en revenant justement de cette foire.

Plus loin, un tas de tentes individuelles devaient abriter les visiteurs. Il y avait aussi quelques boutiques vendant fromages, lait, yaourts, crèmes et des produits dérivés divers. D'autres échoppes proposaient des accessoires pour animaux : collier en cuir avec clochette, anneaux de nez, chaines et entraves diverses. Virginie remarqua juste que tous ces objets étaient faits pour des animaux de petite taille, pas pour les vaches qu'elle connaissait dans sa région d'origine.

En arrivant, on avait demandé ses papiers à Virginie mais pas à Jean, ce qui lui sembla surprenant une nouvelle fois. Ils déposèrent leurs bagages dans la tente qui leur avait été assignée. Jean alla ranger la voiture au parc de stationnement tandis que Virginie déballait leurs bagages. La jeune fille fut un peu étonnée de ne trouver qu'un seul lit, large certes mais elle devrait se serrer vraiment contre son oncle. Enfin, elle avait tant insisté pour l'accompagner qu'elle n'allait pas se plaindre des conditions un peu spartiates.

Jean revint pour l'aider à finir d'organiser leur bivouac pour deux ou trois jours. Il était presque midi lorsqu'ils sortirent de la tente pour faire visiter la foire à Virginie. Ils allèrent d'abord prendre un verre de lait d'un goût agréable mais différent d'un lait de vache. Son oncle fit goûter à Virginie différents fromages eux aussi inhabituels. Finalement, ils se dirigèrent vers le hall principal. Jean sourit à Virginie en ouvrant la porte. La jeune fille entra et se figea sur place en découvrant le spectacle.

Comme dans toutes les foires agricoles, il y avait des allées plus ou moins propres bordées de stalles au sol couvert de paille avec des abreuvoirs et des mangeoires. Les bestiaux étaient attachés à des poteaux à l'aide de chaines métalliques. Les propriétaires étaient aux petits soins pour leur cheptel, armés de peignes et de ciseaux. Sauf que le cheptel en question n'était pas constitué de vaches, taureaux, chevaux ou juments mais de près de deux cents femmes nues.

Virginie, sidérée, se tourna vers son oncle pour obtenir des explications. Les mots ne voulaient pas sortir de sa bouche. Jean vint à son secours.

- Voilà la foire aux bestiaux de Saint Azul, Cela fait deux ans que tu me serinais pour venir. Tu comprends pourquoi je devais attendre que tu sois majeure!

- Mais toutes ces femmes! Pourquoi sont-elles là? Et pourquoi tous ces harnachements? On dirait des esclaves de l'ancien temps.

- Il y a de cela. En fait, c'est une réunion d'un club très fermé de gens qui jouent aux éleveurs de vaches de concours et de femmes qui acceptent de jouer un rôle de ce genre pendant un an.

- Mais quel est leur intérêt?

- Cela dépend : certaines se découvrent un goût pour cela : cela peut être excitant de passer sa journée dans un pré à l'ombre d'un arbre mais ça doit être lassant. Alors on provoque la production de lait. Après, les filles doivent être traites matin et soir et c'est tellement agréable qu'elles peuvent arriver à jouir même avec une machine à traire. Elles ne peuvent plus s'en passer.

- Je croyais qu'une femme devait avoir un bébé pour donner du lait.

- Détrompe-toi : avec des injections d'hormone directement dans le sein, même une fille vierge va entrer en production. Sa poitrine va grossir et dans les trois mois, elle sera à son niveau de croisière.

- Et ça dure combien de temps?

- Aussi longtemps que la fille est traite régulièrement. On suit la production tous les jours et si elle tend à baisser, on peut refaire une piqure ou l'engrosser, la faire saillir dans notre jargon. L'effet est sensiblement équivalent.

- Mais qu'est ce qui se passe si la fille n'est pas traite comme tu dis?

- Sa poitrine gonfle et devient très douloureuse. Retarder la traite peut même être utilisé en guise de punition. Dans ce cas, les filles ont leurs mains menottées dans le dos. Elles essayent alors souvent de se traire elles-mêmes en appuyant leurs poitrines contre un mur, un piquet ou une barrière. Il faut les surveiller en permanence. Je te montrerai. Il y a parfois des démonstrations pour ceux que cela intéresse.

- Oh, sur que cela me passionnerait! Je suis toute excitée!

La visite commença par un petit enclos occupé par une douzaine de filles de l'âge de Virginie, tout juste sorties de l'adolescence. Elles regardaient les visiteurs d'un air inquiet et pourtant avide d'attirer les regards. Elles avaient un foulard blanc ou rouge noué autour du cou.

Jean s'accouda à la barrière et les filles s'agglutinèrent devant lui, repoussant leurs épaules en arrière pour mettre mieux leurs jeunes seins en valeur.

- Tu vois, Virginie, ce sont des filles de ton âge qui se mettent en vente pour la première fois. On les appelle ici des génisses. Celles qui sont encore vierges ont un foulard blanc et celles qui ne le sont plus en ont un rouge. Elles ont toutes reçu leurs injections d'hormones et elles vont se mettre à produire du lait d'ici un mois. Du lait de femme se vend bien chez nous. On en fait aussi du beurre et du fromage.

- Oh! C'est dégoutant.

- Je dirais plutôt que c'est délicieux. Tu en as mangé ce matin!

- Les filles reçoivent un contrat d'un an. Une vache ne parle pas. On ne va quand même pas leur enlever les cordes vocales comme cela se faisait parfois jadis. De nos jours, on se contente de vaporiser dessus un gel. Il se dissout à peu près en un an, juste à temps pour que la fille puisse dire si elle veut arrêter l'expérience et redevenir une fille comme les autres, seulement plus riche de dix ou quinze mille Euros ou si elle veut continuer, auquel cas elle revient ici et est remise en vente.

- A nouveau pour un an?

- Pas forcément! Apres la première année, elle peut décider si le contrat qu'elle propose est de un, deux ou cinq ans mais elle ne peut pas choisir qui achètera son contrat si la vente est aux enchères. Si elle choisit une vente de gré à gré, c'est différent: elle se propose à quelqu'un et il peut accepter ou non et le prix est beaucoup moins intéressant!

Dans les enclos voisins, il y avait pas mal de femmes plus mûres qui paradaient, menées par des hommes qui semblaient être leurs propriétaires. Un écriteau spécifiait la production journalière de chaque fille et le nombre d'enfants qu'elle avait eus avec la date de naissance. Virginie se tourna à nouveau vers son oncle en lui demandant la raison de cette précision.

- Le contrat d'un an inclut la possibilité de faire saillir la génisse ou la jeune bête. Ce n'est pas une obligation, remarque!

- Mais comment le propriétaire peut-il rentabiliser son investissement?

- Pour une génisse, il peut vendre le lait, saillir lui même la bête et bien sur donner le bébé en adoption moyennant finances. C'est interdit en France, c'est pourquoi les filles vont accoucher - on dit ici vêler - en Angleterre. Cela suffit souvent à rentabiliser l'achat. En plus, en fin de contrat, le propriétaire touche 10% de la plus value s'il a bien entretenu sa bête. Pour du bétail qui n'est plus de première jeunesse, seule la vente de lait peut encore rapporter de l'argent.

- Mais ensuite? Qu'arrive-t-il à une bête trop âgée?

- Elle peut revenir à une vie normale comme à la fin de chaque contrat. C'est ainsi que ta mère a épousé ton père et moi ta tante Brigitte.

- Quoi, Maman et Papa et toi et Brigitte, je n'en reviens pas!

- Et si! Ta mère et Brigitte ont toutes les deux pris un contrat de cinq ans à l'issue duquel elles ont choisi de cesser de vendre leurs corps et elles ont épousé leur dernier propriétaire.

- Ca se fait souvent?

- Non, pas très. Les hommes ne veulent souvent pas s'engager et les femmes voient surtout les défauts de leurs maitres. Mais continuons la visite.

Au fur et à mesure qu'ils avançaient, les femmes devenaient plus âgées. Certaines étaient visiblement enceintes et même parfois prêtes à accoucher.

- C'est une technique de vente, tu vois. Certains acheteurs veulent faire un profit immédiat et sont prêts à payer le prix fort avec la certitude de rentrer rapidement dans la plus grande partie de leurs frais. D'autres femmes plus agées souhaitent montrer qu'elles peuvent encore avoir des bébés. . .

Ils arrivaient maintenant au bout de la salle. Il y avait là un petit enclos vide pour l'instant.

- A la fin de la foire, les filles qui n'auront pas trouvé preneurs seront parquées ici et offertes pour trois fois rien à qui en voudra. La plupart ne pourront plus avoir d'enfants et ne sont plus capables de donner du lait. Elles seront réformées et ne seront plus autorisées à se réinscrire l'an prochain. Tu vois, exactement comme du bétail sauf qu'on leur épargne la fin ignominieuse en animaux de boucherie. . .

Le soir venait déjà. Jean emmena sa nièce au restaurant de la foire. Des filles nues avec leurs foulards blancs et rouge s'occupaient du service. Elles n'étaient pas encore sous contrat et n'avaient pas eu leurs cordes vocales paralysées. Leur but était clairement d'inciter les clients à enchérir sur elles lors de la vente aux enchères du lendemain. Elles s'écartaient en riant lorsque des mains fureteuses essayaient d'explorer leurs charmes, surtout celles qui portaient une écharpe blanche.

Virginie était toute rêveuse lorsqu'ils allèrent se coucher. Jean se déshabilla sans façons devant sa nièce, découvrant son torse puissant. Il ne garda que son slip qui moulait un sexe qui parut gros et long à sa nièce. Elle même était trop timide pour se mettre nue devant lui. Elle alla se changer aux toilettes du camp, enfilant par dessus sa nuisette un petit manteau pour se protéger du petit vent frais. Elle retira son manteau avant de se coucher.

- Tu sais, tu n'avais pas besoin de sortir pour te changer, J'ai tant vu de seins et de culs nus qu'il m'en faut beaucoup plus maintenant pour me faire bander!

- Peut-être mais cela me gêne de me montrer nue devant un homme d'aspect aussi viril! Et depuis deux ans que je vis chez toi, tu fais l'amour presque tous les jours avec Tata.

Quelque part, Jean parut flatté du compliment mais ne put s'empêcher de corriger ses dires.

- Pour ton info, jeune fille, ta tante passe à la casserole au moins trois fois par jour, parfois plus lorsque nous avons des invités: le matin au bord de la piscine ou sur le tas de bois derrière la maison, à midi, un petit vite fait sur la table de cuisine et le soir au lit où tu as pu nous entendre effectivement. Maintenant, dors! Je suis un peu fatigué par la route.

Jean se coucha sur le coté pour laisser plus de place à Virginie. L'exigüité de la place disponible faisait qu'elle avait le choix entre lui tourner le dos et sentir la pointe toute dure de sa bite (Virginie était suffisamment déniaisée pour utiliser ces mots crus) s'enfoncer entre ses fesses ou bien lui faire face et sentir le même engin encombrant frotter contre son nombril tandis qu'elle plongeait ses narines dans ses aisselles. Au bout de quelques minutes, elle s'habitua à l'odeur et finit par la trouver agréable et sensuelle.

Le lendemain, la vente aux enchères commença. On prenait les filles par rang d'âge. La première à passer était une jeune beauté majeure depuis seulement deux jours. Elle portait fièrement autour du cou un foulard rouge. Elle monta sur l'estrade en roulant des hanches et en lançant des oeillades enflammées au cercle de jeunes males qui s'étaient intéressés à elle la veille. La mise à prix était de cinq mille euros mais l'enchère finale atteignit treize mille euros. Jean fit un commentaire narquois :

- Elle est allée à ce vieux vicieux de Maitre Jacques. Il ne s'intéressera qu'à son petit cul et vendra sa bouche et son sexe à tous ceux qui les voudront. Il a toujours besoin d'argent : elle se retrouvera enceinte dans moins d'un mois. Pauvre fille!

La suivante avait un foulard blanc. Sa beauté était moins agressive que la précédente mais elle paraissait plus douce et plus posée. Jean enchérit sur elle jusqu'à huit mille Euros mais elle partit à dix mille. Il en parut peiné et Virginie ressentit quelque chose qui ressemblait à de la jalousie.

- C'est Pierre Dumont qui l'a eue. C'est le meilleur dresseur que je connaisse, après moi, bien sur. Cette fille sera l'une des stars des prochaines années, tu verras!

La vente continua toute la journée. Jean participa à certaines enchères mais sans y croire vraiment. Visiblement la fille au foulard blanc l'avait marqué. Virginie lui demanda pourquoi il la regrettait tellement et comment il aurait fait à la maison, s'il avait emporté l'enchère.

- Je me suis mis d'accord avec ta tante. Elle s'occupera de l'entretien de la fille et de l'exercice à lui donner. C'est elle qui recevra ceux que je choisirai pour la baiser. Mais pas au rythme que Maitre Jacques va imposer à l'autre : il faut éveiller ses sens doucement et surtout ne pas lui donner trop de sexe tout de suite. Si elle en veut plus, elle ne se donnera que mieux au suivant. Il ne faut jamais qu'une fille comme celle-la soit totalement satisfaite.

- Et son pucelage, comment va-elle le perdre?

- Si Dumont est moitié moins intelligent que je le pense, elle va garder son berlingot deux ou trois mois encore. Il se contentera de sa bouche et de ses reins en attendant. Cela va la mettre rapidement en chaleur et elle va le supplier à genoux pour être enfin dépucelée. Moi, j'aurais fait venir à ce moment-là cinq noirs bien costauds et je la leur aurais livrée au cours d'une grande fête. Apres, on aurait pu faire ce qu'on voudrait avec elle.

Les autres femmes, plus expérimentées partirent avec des fortunes diverses. Visiblement, elles faisaient toutes de leur mieux pour trouver preneur. Trois femmes autour de la trentaine, assez expérimentées et assez minces pour être des danseuses furent achetées par le même homme : une blonde, une brune et une rousse. Jean lui souffla :

- C'est le tenancier d'une boite de strip-tease. Les filles vont apprendre la pole dance avant de monter sur la scène. Apres leur spectacle, elles serviront aux plaisirs des clients. Tout le monde y trouvera son compte et elles aussi! Les pourboires sont pour elles, traditionnellement.

- Que deviendront-elles, plus tard?

- Oh, ne t'inquiète pas pour elles : celles-là retombent toujours sur leurs pieds. Elles pourront continuer aux USA ou ailleurs. Une danseuse que cet homme avait engagée tient maintenant une école de danse à Marrakech. Une autre est devenue danseuse orientale au Caire.

- Ah ils passent à des femmes nettement plus âgées.

- Oui, certaines seront réformées ce soir. C'est un moment très délicat, une fin de carrière qui n'est pas souhaitée par l'intéressée. . .

Finalement seules quatre femmes ne trouvèrent pas preneur. La cérémonie de l'enduction des cordes vocales des filles qui venaient d'être vendues se déroulerait le lendemain matin à partir de 9 heures. Les acheteurs se dispersèrent pour prendre un peu de repos avant le diner. Les autres plièrent bagage pour la plupart. Jean avait décidé de rester. Virginie s'était hâtée de regagner leur tente pour se changer pour le repas. Jean lui laissa tout le temps nécessaire. Elle finit par entrouvrir la porte pour voir ce qu'il faisait. Elle lui fit signe d'entrer en rougissant comme une collégienne. Il eut la surprise de sa vie en la découvrant en minirobe rouge vif à grand décolleté qu'il trouva très à son goût. Il lui fit de grands compliments qui la firent rougir encore plus. Il trouva sa timidité charmante.

Le repas fut délicieux, arrosé de lait de femme caillé parfumé à la rose ou de lait frais. Pour deux euros, on pouvait traire soi-même l'une des filles et remplir son verre. Pour cinq euros, on pouvait téter directement le sein qu'on vous offrait. Virginie s'enhardit et leva la main en brandissant une pièce. Par chance, la fille qui se présenta était l'une de celles qui avaient été acquises par le tenancier de cabaret, la rousse. Ses seins étaient gonflés par l'afflux de lait et devaient être très douloureux. Elle grimaçait en tendant son sein gauche au dessus du verre de la jeune fille. Jean eut pitié de la pauvre femme et lui tendit une autre pièce. Il agrippa l'autre sein et entreprit de remplir son verre lui aussi.

Virginie n'était certainement pas aussi expérimentée et elle faisait probablement assez mal à la jeune femme sans le vouloir mais celle-ci semblait beaucoup apprécier d'avoir ses deux outres soulagées en même temps. Elle se mit à haleter puis à geindre désespérément. Lorsque Jean se mit à tirer légèrement sur le mamelon en le flattant de l'index et que Virginie se mit à l'imiter, la femme se mit à crier. Tous les regards convergèrent sur la jeune fille et ne la lâchèrent plus. Lorsque les deux verres furent pleins, les seins étaient encore bien pleins mais n'étaient plus douloureux. La fille les remercia du regard. Les spectateurs applaudirent Jean et Virginie qui rosit encore une fois de confusion.

Lorsqu'ils en arrivèrent au dessert, un clafoutis, bien sur au lait de femme. Jean sourit et brandit un billet de dix Euros. La même fille qui leur avait permis de remplir leurs verres, s'avança vers lui. Il lui donna l'argent et lui glissa quelques mots à l'oreille. La fille opina et se dirigea vers Virginie. Elle lui jeta d'une voix éraillée par une année de silence absolu en tendant sa poitrine vers la jeune fille :

- Ce Monsieur a payé pour que vous puissiez me téter tout votre saoul. Mes deux seins sont à votre disposition.

Virginie jeta un regard ahuri à son oncle. Les gens aux tables voisines la jaugeaient du regard, se demandant si elle aurait le courage de faire ce qu'on lui proposait. Apres quelques minutes d'hésitation, elle se pencha en avant et prit le téton dans sa bouche et se mit à téter comme un bébé. La femme rejeta la tête en arrière, faisant cascader ses longs cheveux dans son dos. Boire directement au sein d'une inconnue était une expérience autrement plus enivrante que boire un simple verre du même lait. Virginie ne s'arrêta que lorsque plus une goutte de lait ne sortit du sein qui avait perdu une bonne part de sa superbe.

Elle sourit à Jean pour le remercier et mangea de bon appétit son clafoutis. Lorsqu'on lui servit son café, elle appela la fille et indiqua du doigt sa tasse de café. La femme comprit immédiatement et approcha son second mamelon à deux ou trois centimètres du liquide brûlant. Virginie qui devenait rapidement plus experte, lacha une giclée en plein centre de la tasse. Elle remercia la fille de la tête et fit tourner sa cuillère dans la tasse. Elle but avec délectation le breuvage. Elle discuta quelques minutes avec Jean et rappela la fille pour finir de la traire avec sa bouche. La rousse se laissa faire de bonne grâce et manifesta son plaisir renouvelé par des grognements fiévreux.

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