Hypnose Mécanique 11

BÊTA PUBLIQUE

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Mario dégluti, il répond dans un réflexe.

- Quoi?

- Vous avez bien compris. Moi je vous conseillerais de m'enculer, je me suis faites dépuceler de cet orifice que ce matin. Mon cul n'a connu qu'une bite qui à jouit deux fois en lui. Si vous avez encore la forme, vous pourrez goûtez à ma chatte ou a ma bouche. La capote n'est pas obligatoire, et j'avale tout.

Mario à l'impression d'être dans un rêve. Il avale avec difficulté.

- Je... C'est... Comme...

- Écoutez, je vais juste faire pipi. Je ne ferme pas la porte, réfléchissez et rejoignez moi. A la condition que je puisse utiliser vos toilettes.

Mario crois qu'il est mort et qu'il est au paradis. Il prend la clé des WC et la pose devant la fille.

- C'est au fond à gauche.

Il n'arrive pas à bouger. Il regarde la fille se diriger vers les toilettes. Arriver devant la porte, elle remonte sa robe, dévoilant le plus beau cul qu'il n'ai vu de sa vie. La robe toujours relevée, elle se retourne, alors il voit qu'elle est parfaitement épilée. Elle lui sourit et entre dans les WC. Ce n'est que à ce moment là, que ses jambes se décident à bouger.

Je réfléchis, il me faut plus de renseignement.

- Je présume que les filles viennent aussi de l'étranger?

- Oui, bien entendu.

- Je marche, mais à plusieurs condition.

- Dis, on verra si cela me va aussi.

- Chaque arrivage dois parler la même langue. Si c'est une langue que je ne parle pas, je veux exclusivement une traductrice, à qui je pourrais faire subir ce que je veux. Une fois les filles dressée, la traductrice restera avec moi. Je m'en resservirais en cas d'arrivage parlant la même langue. Je te laisse le soin de me la fournir, mais il faut qu'elle soit jeune et belle.

- OK, quoi d'autres?

- Je veux êtres prévenu dix jours avant de l'origine et de la langue parlée par les filles.

- OK.

- Les filles seront livrées à l'endroit que je t'indiquerais dés que je l'aurais trouvé. Pour la sécurité du lieu, je te laisse fournir les hommes. Pareil pour les geôliers et ceux chargé de la nourriture. Il me faut au moins un vrai cuisinier, pour moi et les gars de la sécurité et des geôles. Pour les filles, plus c'est dégueulasse mieux c'est.

- Toujours OK pour moi.

- Dernière chose, personne ne dois chercher à savoir comment je procède. La moindre couille, et c'est fini.

- Je comprends, c'est OK pour moi. Moi aussi j'ai une condition, enfin pas pour moi, mais pour mes associés.

- C'est à dire?

- Une preuve de tes talents. Moi, je les aient vus, mais mes potes non. Ils ont choisis une cible. Une fois le teste réussit, tu en feras ce que tu veux.

- Je marche, quel est ta cible?

- Anna Diesel.

Aziza est en train de s'essuyer après avoir uriner, quand la porte s'ouvre. Le patron entre dans la petite pièce et referme la porte, lui, il met le verrou. Sans se lever, Aziza débraguette le sexagénaire, il bande dure, il a une bite conséquente. Sans le montrer, mais avec dégoût, elle l'avale. La jeune policière le caresse de sa langue. L'homme gémit déjà de plaisir. Pour le faire jouir plus vite, elle l'avale en entier. Le résultat est efficace, à peine le nez de la fliquette touche le ventre de l'homme, qu'il jouit en grognant dans sa gorge. La jeune femme avale tout la semence acre. Quand il a fini, elle le dégobe. A son grand désarroi, il bande encore. Alors Aziza se lève, enlève sa robe. Une fois nue, elle tourne le dos à son amant et s'appuie contre le mur. Elle tend les fesses vers lui.

- Au choix, mon vagin, mon trou du cul, ou les deux, en alternance ou l'un à la suite de l'autre.

L'homme est tenté par les deux. Mais il a rarement sodomisé sa femme. Alors c'est dans le cul d'Aziza qu'il s'enfonce. La jeune femme qui tient toujours sa robe à la main, se met à la mordre pour ne pas hurler, tant il lui fait mal au cul.

Anne Diesel, le nom me surprend. Je ne la connais pas, enfin pas physiquement, d'ailleurs personne ne la connais. Elle a eut dix-huit ans il y a deux jours de ça. Elle est connue en dans le monde pour tenir un blog sur les jeunes filles voulant rester vierge jusque au mariage. Un blog à contre-temps, mais qui marche du tonnerre. Aussi bien chez les ados, que les adultes. Elle a entamée son blog alors qu'elle n'avait que douze ans. Aujourd'hui, six ans plus tard, chaque semaine elle a cinq millions de visites. Son blog est en Français, mais est traduit en Espagnol et en Anglais. Personne n'a jamais vu son visage. Ses détracteurs disent d'elle qu'elle est laide, grosse et sale, c'est pour cela qu'elle veut rester vierge jusque au mariage. Que le mec qui voudra coucher avec elle ne pourra que l'épouser. J'espère que c'est faux, mais ça je le saurais bientôt.

La sodomie d'Aziza à durée longtemps. Il lui a massacré le cul, la forçant presque aussi fort que Jonas. La jeune femme est en pleure. Quand il jouit en elle, elle mord encore plus fort sa robe, tant le sperme brûle ses chairs tuméfiées. Dès que l'homme se retire d'elle, elle sent avec horreur, son sperme dégouliné, lui trempant les fesses. Mais Aziza s'agenouille, et nettoie la bite de l'homme avec sa bouche. Aziza est soulagée, il ne rebande pas. Elle se relève, le regarde dans les yeux.

- Cela te dérange si tes clients me sautent eux aussi?

Mario est abasourdie par les mots de la salope qu'il vient d'enculer.

- Non, pas du tout.

- Super, je vais les chercher ou tu me les envoies?

- Je vais les chercher si tu veux.

- Merci, tu es chou. Tu peux leurs demander de payer? Mais pas plus de cinq euros par gars. Après ils peuvent donner ce qu'ils veulent, zéro, un, deux, trois ou quatre, peu importe.

- Tu n'es pas chère pour une pute.

- Je ne suis pas une pute, la tune c'est pour toi. Pour te dédommager, vu que pendant que tes clients me prendront, ils boiront pas.

Mario est encore plus abasourdie.

- C'est... C'est gentil, je vais te les envoyer. Tu ne veux pas aller dans la réserve, c'est un peu plus grand.

- Non, j'adore me faire prendre dans les chiottes, c'est bien assez grand pour une chienne comme moi.

- Comme tu veux.

- Une dernière chose, si ils sont plus de cinq à vouloir me prendre, qu'ils aillent chez moi, on seras mieux, j'y serais vers vingt-deux heures.

- OK, je le dirais si il y a des groupes.

Aziza lui tend un truc que Mario prend. C'est un trousseau de clés, l'adresse de la fille est marquée dessus.

- Ils n'auront qu'a m'attendre chez moi. Fais toi payer avant, c'est mieux.

- D'accord, merci.

Mario remonte sa braguette et sort. Aziza font en larmes, en attendant les premiers clients.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
félicitations

Heureux que tu poursuives ce récit.

Continue comme ça.

Juste une remarque : je n'ai pas trop aimé reconstruire le récit des 2 héroïnes ...

Vivement la suite

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Diabolique

Oui ce récit est toujours aussi diaboliquement génial.

Un seul bémol est qu'il faut quelques fois recoller les scénarios qui s'entremêlent.

Rudy

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