Hypnose Mécanique 11

BÊTA PUBLIQUE

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Aziza crie de plus en plus fort, son sphincter est en train de perdre la partie. Puis c'est un hurlement qui jaillit de la gorge de la malheureuse policière. Le gland est entré en elle. Je tiens ma bite d'une main quand le gland gagne enfin. Je ne veux pas que cela aille trop vite, que son trou du cul avale d'un seul coup ma bite. Je veux faire durer le plaisir. Je compte l'enculer longtemps, j'ai pris une pilule juste avant. Cette sale pute pense vivre le pire moment de sa vie. Le futur lui prouvera le contraire. Moi je continue à rentrer lentement dans son conduit trop étroit pour me recevoir. Suffisamment lentement pour décupler la douleur de ma victime, mais trop rapidement pour que son rectum s'habitue à la dilatation. J'ai forcé tant de femmes par derrière, que je sais parfaitement maintenant, leur arracher le maximum de souffrance, avec un minimum de blessure. Ma victime hurle tout le temps de ma pénétration. Je savoure son étroitesse, elle a le trou du cul comme une chaussette. Je reste quelques instant immobile dans le rectum contracté de ma splendide victime.

Eux, ils la violent sous la douche, ensemble, changeant de trou après chaque éjaculation. Puis Aurélie est conduite dans une autre salle que la veille. Hélas pour elle, il y a encore plus de malade. Ce ne sont pas les même, mais tous vont se servir de son corps pour vider leurs semences. Une nouvelle journée de vide-couilles commence pour Aurélie.

Du plus profond de son enfer, Aziza est persuadée d'avoir connue le pire avec la bite de Jonas enfoncée à fond dans son fondement. Elle sent le ventre de son violeur contre ses fesses. Puis, elle comprend le vrai sens du mot douleur quand Jonas commence à aller et venir en elle. D'abord lentement puis de plus en plus vite. La policière hurle tellement, que sa gorge est en feu, mais elle ne peut rien faire pour stopper ses cris tellement la douleur est terrible, horrible. Moi je la martèle comme un fou, comme si je voulais lui transpercer le corps. Rarement un rectum à autant compressé ma bite, je la savoure, je la bois. J'ai l'impression d'être un dieu antique punissant un de ses sujets. Je me retiens de jouir, voulant faire durer le plus longtemps possible ce moment.

Siobanne regarde le calvaire d'Aurélie, avec un grand sourire. Si après trente-trois orgasmes, la jeune femme ne se caresse plus, le spectacle de la malheureuse lui plaît toujours autant. Elle voudrais le montrer au monde entier. Leur dire que personne ne peut s'attaquer à son amour, son dieu, son maître.

Je ne peux plus me retenir, je me plante complètement dans le rectum d'Aziza, et je me met à lui inonder les entrailles. Je jouis en gémissant de plaisir, je crache un véritable geyser de foutre. Je reste comme ça en elle, reprenant mes esprits, tellement mon orgasme à été puissant. Aziza convulse tellement, que sans s'en rendre compte, elle me branle littéralement avec ses fesses. Je bande encore, alors, je recommence mon viol, arrachant de nouveaux hurlements à ma victime. Hurlements beaucoup plus forts que les précédents, tant son cul martyrisé par mon viol lui fait mal.

Aurélie alterne entre court évanouissement, et long éveil à subir ces viols multiples. La jeune femme, complètement choquée, ne réagit plus. Elle se laisse faire, se laisse manipulée. Elle ne referme même plus les jambes ou les fesses. Elle ne tente plus de se débattre ou de se soustraire à un nouveau viol. Les deux seules choses qui prouve qu'elle appartient encore au monde des vivants, se sont ses larmes et ses grimaces de douleurs.

Je me vide une deuxième fois entre les fesses de la policières. Cet fois, bien que puissante, ma jouissance est moindre que la première fois. Je me retire, le membre flasque. Aziza se met en fœtus. Je l'entends sangloter. Son trou du cul est encore grand ouvert, mon sperme s'en écoule, ainsi qu'un peu de sang dut à son dépucelage anal. Je m'allonge sur le sol. Mon sexe est souillé. Je pose ma main sur sa cuisse, la jeune femme gémit et sursaute.

- Suce moi pour me nettoyer la bite. Tu iras jusque au bout, tu avaleras tout, c'est un ordre.

Elle ne peut rien faire, elle s'agenouille et gobe mon gland. Elle aussi est douée pour les pipes, je ne tarde pas à rebander. La douceur de sa langue me fais jouir rapidement, comme ordonné elle avale tout.

- Mets-toi debout.

Aziza m'obéit. Je vais m'asseoir dans le canapé.

La jeune femme est debout devant moi, nue, les bras le long du corps. Je vais lui dire la raison de ce que je lui veux. Le reste n'est qu'accessoire, juste un petit amusement pour moi.

- Tu t'occupes exclusivement de crimes sexuel, ou l'affaire avec Aurélie est un accident?

- Avec Dubois, on ne s'occupe que de viols de majeurs. Pour les mineurs, ce n'est pas nous.

- De toutes façon, les mineurs ne m'intéresse pas. D'ailleurs tu diras aux flics de la brigades des mineurs, si ils ont des suspects récalcitrant ou si ils doutes vraiment de leurs innocence de faire appel à moi en qualité de consultant. Je me charge de faire éclater la vérité.

- D'accord.

- Donc, tu as accès a tout les dossiers de viols de la région?

- Oui.

- Parfait, tu me feras parvenir chaque nouveau dossier, avec les photos de la fille.

- Pourquoi?

- Disons qu'elles subiront un second viol.

- C'est horrible.

- Pas tant que ça. Quand j'en aurais fini avec la fille, je m'arrangerais pour qu'elle s'en tire avec énormément de séquelles psychologiques. Par contre, je m'arrangerais pour que le coupable avoue tout. Je ne suis pas seulement un pervers sexuel, j'ai une conscience. Puis je n'aime pas la concurrence.

- D'accord.

Une autre idée pour Aziza me vient en tête, cette chienne va regretter de m'avoir arrêter.

- Tu t'entends comment avec le commandant Dubois.

- Plutôt bien. Il me forme, il est très professionnel.

- Tu es attirée par lui?

- Non, cela pourrait-être mon père. Je n'aime pas les hommes vieux. De plus, je connais bien sa femme, c'est devenue une amie. Je ne pourrais pas lui faire ça, même si Eric m'attirait.

- Pourtant, tu ne vas pas pouvoir t'en empêchée. Ton but va être de le séduire. De coucher avec lui.

- S'il vous plaît...

- C'est un ordre. Tu devras baiser avec lui chaque jour. Je te laisse faire, mais tu en as besoin. Bien entendu, ce que je t'ai dis sur le sexe reste valable, même avec lui. Mais malgré ton dégoût sexuel, tu le fera. Tiens, par amusement, je vais rajouter un truc, il t'écœure physiquement, coucher avec lui sera une torture mentale pour toi. Pour qu'il ne se doute de rien tu simulera, mais seulement avec lui. Je te laisse trois jours pour coucher avec lui. Tu commencera tes activités avec les autres flics, seulement après.

- Si je n'arrive pas à le séduire au bout de trois jours?

- Tu ne pourras t'empêcher de te faire prendre par des chiens, dans la chatte, le cul et la bouche, matin, midi et soir. Chaque fois avec un chien différent. Pour bien faire tu coucheras aussi avec chacun des maîtres.

- Mon dieu...

- Comme tu dis, donc un conseil, séduis le si tu veux éviter cela. Tout les jours, à midi, tu m'appelleras, pour que je te donne de nouveaux ordres ou pas. Tu me raconteras également ce que tu as fait et ce que tu as ressentis.

- Vous êtes une ordure.

- Oui, je le suis. A partir de maintenant, tu ne mettra plus que des habits de putes, des trucs courts et moulant. Vu que tu as de petits seins, pas la peine de mettre de soutiff. Tu ne mettra que des mini-strings, mais seulement quand tu auras tes règles, sinon aucun sous-vêtements.

- Bien.

- Si tu n'as pas assez de vêtement de pute, tu iras en acheter. Tu vois Dubois quand?

- Dans quatre jours.

- Parfait, en attendant, tu va aller dans les bars les plus miteux de la ville. Tu coucheras avec tout les clients, le patron aussi. Tu te feras prendre dans les WC, et tu n'essuiera pas le sperme qui coule. Tu demanderas maximum cinq euros par éjaculation, mais si ils ne veulent rien te donner, c'est OK, c'est leurs choix. Tu laisseras ce que tu as gagné au patron, en le remerciant. Si ils sont plus de cinq, tu leurs demanderas si ils peuvent te baiser en groupe, chez toi. Tiens tu t'offriras aussi à tes voisins, aux commerçants que tu connais, à tes amis ou simple connaissance. Sinon, pas de capotes et pas de pilules. Si tu tombe enceinte, après l'accouchement, tu te fera faire une reconstruction vaginale dés que possible. Que ce soit à cause de l'accouchement ou de la reconstruction, tu n'offriras pas ta chatte tant que ce n'est pas possible. Je ne voudrais pas que tu t'abîmes. Par contre tu pourras sucer et offriras ton cul.

- S'il vous plaît...

- Ta gueule. Tu pourras te reposer quatre heures par jours, de quatorze à dix-huit heures. Le repos est valable jusque à ce que tu commence à séduire les flics, dans une semaine. Là, c'est les ordres précédents qui prennent le relais. Mais seulement pour le repos, pour le reste, les ordre s'entre-croisent. Compris?

- Oui.

- Une dernière chose, comme tu es un salope consciencieuse, tu suceras tout les mecs qui te prennent la chatte ou le cul, après qu'ils aient éjaculés en toi. Tu iras au bout ou pas suivant leurs désirs. Tu proposeras aussi, si ils le veulent d'être leurs WC vivant. Tu leurs proposera qu'ils te pissent dessus le corps, ou dans ta bouche. Si c'est dans ta bouche, tu avaleras tout. Si ils ont envie de faire la grosse commission, pas de PQ. Tu les nettoieras avec ta langue. Bien entendu, tu ressentiras ce que tu ressentirais normalement en faisant ça.

- Vous êtes fou!

- Non, pas du tout, si je l'étais, crois-moi, je serais bien pire avec toi. Autre chose, tu ne pleureras pas pendant le moment où tu proposera tes services, tu seras sincère. Je ne vais pas tarder, à partir appui toi contre le mur, que je te défonce le vagin.

Pour Aurélie, les jours vont se suivre et se ressembler. Du viol, du viol et encore du viol. Tout est huilé. Le matin et la journée c'est les malades d'un pavillon du quartier de haute-sécurité qui la prennent. Elle tourne parmi les pavillons en faisant un différent tout les jours. La nuit et au réveil c'est le personnel qui s'occupent d'elle. Elle dort et mange avec une bite dans son corps. L'enfer s'annonce sans fin pour elle. Jonas à réussit sa vengeance.

Je suis partis en sifflotant, je me suis bien vider avec Aziza. Avec ce que je lui ais ordonné, je ne la toucherais plus, trop de risque de maladie. Mais bon, ce n'est pas un problème. Je peux avoir toutes les femmes que je souhaite. Je me dirige vers ma voiture quand mon téléphone sonne, c'est Radiu. Je décroche.

- Allô Radiu, un problème?

- Hello Jonas, non aucun. J'ai besoin de te voir, si tu peux passer au bar.

- C'est pourquoi?

- J'ai un de mes clients qui voudrait te voir.

- C'est qui?

- Pas au téléphone, passe au bar.

- OK, j'y suis d'ici trente minutes maxi, à de suite.

Siobanne éteint la télé à son grand regret. Comme souvent, il y a trop de clients pour les filles. Enfin, ce n'est pas trop le nombre qui est gênant, mais le temps d'attente. Alors comme souvent, Siobanne s'occupe des fellations. Elle déteste cela, mais il faut bien faire plaisir à Jonas. Il faudra qu'elle lui parle d'embaucher d'autres filles. Elle en connaît certaines qui sont de la haute-bourgeoisie comme sa famille.

Aziza est sortie de suite après mon départ. Elle est allée s'acheter des vêtements de putes. Au passage, elle a demandé à se faire sodomiser par le patron de la petite boutique. Il ne s'est pas fait prier, il a fermé le magasin et il l'a enculé dans la cabine d'essayage. La jeune femme est en enfer, elle suit les ordres sans qu'il lui soit possible de résister. Elle ne sait pas ce qu'il se passe, mais une chose est certaine, le purgatoire, pour elle, c'est maintenant.

Mario Rocantri regarde ses clients, il a soixante deux ans. Il y trente ans quand il a acheté le bar, le quartier était joli, petit bourgeois. Aujourd'hui avec la croissance exponentielle de la ville, c'est un quartier pauvre, voir très pauvre. De la racaille, des vieux, des alcoolos. Une sacré clientèle. Ce qui le fait tenir, c'est que même si c'est prix sont bas, le nombre de clients et le fait qu'ils soit de plus en plus à être au chômage, lui assure des revenus croissant. Encore un an ou deux et il pourra prendre sa retraite avec un joli pactole, et ce même si il ne vend pas son bar. Pou l'instant il est tranquille, il n'y a qu'une petite vingtaine de client sur la terrasse et dans le bar. Son serveur gère tout facilement sans avoir besoin d'un coup de main. Il est en train de lire son journal, quand la porte s'ouvre. Il lève les yeux pour regarder si il connaît le client, quand il ouvre si grand la bouche, qu'il manque se déboîter la mâchoire.

Le videur qui surveille l'entrée du bar me laisse rentrer. Je pénètre dedans. Radiu est en train de boire un verre avec un homme. Il doit avoir la quarantaine, il est sapé comme un roi. Il respire le charisme et l'autorité. Radiu me sourit quand il me voit.

- Jonas, mon frère, viens me voir.

On se fait l'accolade, je serre la main du gars. Il est naturellement impressionnant.

- Je te présente Vladimir Boursev, un vieil ami.

- Enchanté Jonas, appelle-moi Vladimir.

- Enchanté Vladimir.

Je me demande qui est cet homme, ce qu'il me veut.

- Vladimir dirige un réseau de traite des blanches. Il fait de tout, du snuff, du viol réel, du zoophile, du BDSM. Le tout avec des femelles non consentante.

Je souris.

- Bien sur. Que des majeurs j'espère?

- J'ai moi-même des enfants et une conscience Jonas.

- Je n'en doute pas, Vladimir, mais vous avez aussi une femme mais pourtant...

- Je le concède. Non, que des majeurs. J'ai fait tomber d'autres réseaux qui ne respecte pas les règles.

- Bien, mais ton organisation à l'air de bien fonctionner, je ne vois pas ce que je fais là.

- Disons que je fournis des filles aussi à des gens riches ou puissants, parfois les deux à la fois. Mais ce sont des filles que ces puissants choisissent. Des jeunes femmes que je fais enlever, que je dresse par la violence, pas le choix pour qu'elles acceptent toutes les perversions nombreuses de ces hommes. Pour celle là, le dressage doit être express. Pour celles destinées à mon réseau, il faut un ou deux ans pour arriver à ces fins. Beaucoup de viols et de coups pour qu'elles soient obéissante. Bien entendu, il y a d'abord les pertes inhérentes à ce genre de dressage, sans compter celles qui sont finalement trop abîmées ou qui deviennent folles. Seules trente pour cent arrive au stade finale qui est la prostitution totale. Sans parler de l'argent perdu pendant le dressage.

- Je vois. Beaucoup de femmes concernées?

- Disons que nous sommes présents sur tout les continents, dans tout les pays où des gens ont assez d'argent pour payer nos services.

- Cela doit faire beaucoup d'enlèvements, les autorités n'enquêtent pas?

- Rien qu'en France, il y a soixante mille disparitions chaque année. Volontaire ou pas. A quatre-vingt pour cents ses disparitions ne sont pas volontaires, à soixante-quinze pour cent cela ne concerne que des femmes. Les autorités trafiquent les chiffres, sauf celui des soixante mille disparitions.

- Je ne savais pas.

- Cela est valable pour la France, qui est une des cinq plus grandes puissances mondiale, un pays démocratique et où les gens sont en sécurité. Alors imagines dans des pays plus pauvres, ou moins sûr, comme le Brésil, la Russie, l'Ukraine, la Thaïlande pour ne citer que les plus connus.

- Je vois en effet.

- Bref, nos prix sont chers, mais ils pourraient l'être encore plus si les femelles venaient par exemple d'un meilleure milieu. La plupart de nos modèles, viennent soit de communes rurales, soit des quartiers pauvres.

- D'accord, mais je ne vois pas quel est mon rôle là-dedans?

Bien sur, j'en ais une petite idée, mais je préfère le laisser venir.

Mari Rocantri a également beaucoup de femmes parmi ses clients, environs quarante pour cent de sa clientèle est féminine. Mais ce sont soit des vieilles, soit des femmes si marquée par l'alcool que pour rien au monde il ne les toucheraient. Bien sur, avec les racailles, il y a de la femelle. Certaines pourraient être jolie, mais avec leurs survêtements, leur airs de garçon manquée et leur absence de maquillage, elles sont vraiment loin d'être bandante. Aussi, Mario hallucine en voyant arrivée la divine petit arabe qui vient de pousser la porte de chez lui. A part son rouge à lèvre flashy, elle est maquillée jusque ce qu'il faut. Ses longs cheveux noirs de jais, ondulés et son superbe visage la rendent déjà très attirante. Elle doit avoir le début de la vingtaine, sa peau est lisse. Mais ce qui fait baver Mario, c'est la tenue de la fille. Une robe noire moulante, qui montre qu'elle a de petits seins, qu'il devine à croquer, mais surtout qui s'arrête en haut des cuisses, dévoilant les plus belles jambes qu'il n'ai vu de sa vie. La robe est si courte, que quand la fille marche vers le comptoir, il manque éjaculer dans son pantalon. Il peut voir le bas de sa culotte. Ou plutôt de son absence de culotte.

- J'ai vu les modèles qui travaille pour Radiu. Mais surtout, j'ai vu les bourgeoises que tu fais travailler dans le bordel de Franck. Je suis un de ses clients. C'est de la très haute- bourgeoises. Des filles intelligentes, bien éduquées. C'est ce que je recherche pour mes clients les plus fortunés. Je sais que c'est la famille de Siobanne, ta copine. Ce que tu as fais d'elles est impressionnant. On veux la même chose pour nous.

- Je comprends, tu veux que je dresse tes filles?

- C'est ça.

- D'accord. C'est toi qui fournis les filles?

- Oui, mais avant de faire affaire, combien de temps il te faut pour dresser une fille?

- Cela dépend. Je peux y goûter ou pas?

- Bien entendu, mais cela jouera sur la compensation.

- C'est à dire?

- En sachant que dans mon métier les fellations ne comptent pas. Une fille violée de partout, te seras payée cinq mille euros. Sept mille pour une fille à l'anus jamais violé. Huit mille pour une fille au vagin jamais violé. Dix mille si aucun de ses deux orifices n'ont jamais été violé. Quinze mille pour une vierge anale. Dix-huit mille pour une vierge vaginale. Vingt-trois mille pour une vierge anal et vaginal. Et enfin vingt-cinq mille pour une vierge totale, c'est à dire qui n'a jamais sucée non plus.

- Je croyais que les fellations ne comptaient pas?

- Pas si la fille est totalement vierge, mais c'est le seul cas, de toutes façon elles sont vraiment rare en personnes majeures. Si tu en vois une tout les deux ans, c'est le maximum.

- OK, disons entre une semaine et dix jours pour un groupe de vingt filles.

- C'est une blague?

- Non, c'est trop?

- Ben je tablais sur six mois.

- Non, pas avec ma technique. Je pourrais faire plus court, mais pour un dressage haut de gamme, c'est le temps qu'il me faut pour être à l'aise. Le dressage doit être le même pour toutes?

- Comment ça?

- Ben, je peux les dressées de la façon que vous souhaitez. Celles qui hurlent tout le temps de leurs viols, celles qui ne bougent pas d'un cil, celles qui ne font que pleurer ou supplier. Je peux aussi leurs implanter le fait de jouir ou pas à la fin du coït, de vomir, de se pisser dessus. Si elles doivent nettoyer la ou les bites qui les ont prises. Bref je peux tout faire.

La jeune femme est maintenant devant Mario. Il peut voir que tout les hommes du bar la matent.

- Bonjour mademoiselle, ce sera?

- Je pourrais utiliser vos toilettes?

- Normalement il faut consommer pour cela.

- Vous ou moi?

Mario est étonné de la réponse de la fille, il ne comprend pas bien. Elle comprend qu'elle doit préciser sa réponse.

- C'est moi qui doit consommer ou bien c'est vous?

- Comment ça?

- Ben je dois boire un verre, ou vous préférez une pipe pour me laisser utiliser vos toilettes. Enfin, vous pouvez aussi prendre à la place ma chatte ou mon trou du cul. Voir les trois à la fois si vous avez la forme.