Harcèlement 04

BÊTA PUBLIQUE

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_ Redresse toi. Lève la tête.

Devant moi, je découvre alors mon épouse. Elle est méconnaissable. Elle porte une combinaison intégrale noire. Je ne reconnais pas la matière mais elle brille, elle lui colle au corps comme une seconde peau. Elle porte un petit masque qui lui cache une partie du visage. Ses magnifiques cheveux sont détachés. Elle semble sortie d'un film de science-fiction fétichiste. Elle tient le bout de la laisse d'une main ferme. Un sourire illumine son visage.

_ Charles, je te présente ta Maîtresse. Montre lui toujours le plus grand respect.

Tu lui dois une dévotion sans limite. Ses désirs sont des ordres.

Aujourd'hui tu vas apprendre ce qu'il peut te coûter de ne pas obéir et répondre à tous ses désirs. Pour que tu n'oublies jamais ta place, ton rôle, ton statut.

Tu vas découvrir un plaisir que tu n'imagines même pas. Lève toi. Approche toi de la table. Allonge toi sur le ventre. Écarte les jambes. Les bras aussi.

Karla ne me quitte pas des yeux. Elle est en face de moi. Elle tient toujours la laisse. Je vois dans son regard une grande excitation mais aussi de l'inquiétude.

Patricia a fixé mes chevilles à l'établi. Mes pieds sont posés à plat sur le sol. Mes jambes sont écartées comme mes bras. Mes mains sont fixées à une barre de l'établi que je peux serrer. La large ceinture autour de ma taille est solidement accrochée à l'établi. Mon collier est fixé à son tour. Je ne peux plus bouger. De mon pubis à mon torse je suis allongé sur cette table improvisée. Mon sexe dans sa petite cage pend derrière moi, entre mes jambes. Mon trou du cul est exposé sans pudeur ni défense. Karla s'est déplacée un peu sur la droite. Une petite caméra est en face de moi.

_ Bien. Tu es sécurisé. Plus tard avec ta Maîtresse vous conviendrez d'un mot de sécurité. Aujourd'hui tu n'en as pas besoin. Ouvre la bouche. Nous ne voulons pas inquiéter tes voisins.

Quoi? Je ne peux plus parler. Un morceau de caoutchouc me remplit toute la bouche. Une grosse tétine m'écarte les mâchoires.

En plus elle fait de l'humour. Qu'est ce qui va m'arriver? Je peux quand même respirer par la bouche, il y a un petit trou dans ce gag-ball.

Mon épouse semble inquiète, mais pas autant que moi.

_ Charles je vais y aller progressivement. Je vais commencer par le martinet. Mais avant tout. Karla, ta maîtresse va te libérer.

Derrière moi je sens des mains me caresser lentement le dos, descendre sur mes fesses. Des doigts s'insinuent le long de ma raie, s'arrêtent un instant sur mon petit trou et descendent lentement. Mon sexe est tiré en arrière. Mes couilles sont étirées. J'entends le bruit de la clef dans le barillet, je sens le tube se désolidariser. Il glisse le long de ma queue. Mes couilles sont malaxées, serrées. L'anneau est retiré. Ma bite est libre. 5 jours qu'elle était enfermée.

Les caresses continuent. Mon sexe revient à la vie. Je sens la main de mon épouse remonter et descendre le long de ma hampe. Le flux sanguin commence à affluer. Ma queue grandit, rien ne l'empêche de retrouver sa taille maximale. Maintenant se sont ses deux mains qui branlent ma queue. J'avais oublié le plaisir que cela me procure. Je bande à nouveau.

Patricia ne m'a pas quitté des yeux.

Elle disparaît de ma vision. J'entends ses talons claquer sur le sol, puis s'arrêter... Le temps s'est arrêté.

J'entends un sifflement continu puis Splash, splash, splash,... les coups ne sont pas forts. J'ai l'impression qu'ils me frôlent à peine, puis s'abattent sèchement, puis me frôlent légèrement. Je reçois des coups sur les fesses, sur les cuisses, sur le dos, sur les jambes, sur les épaules. Je ne ressens pas de réelle douleur juste une chaleur diffuse.

Entre les coups plus appuyés, les lanières du fouet glissent sur tout le corps. C'est une délicieuse caresse qui me procure des frissons de partout.

Je ne sais pas combien de temps ça dure. Les coups sont tous différents. Je ne sais jamais où ils vont tomber.

Quand Patricia passe devant moi les coups continuent. Karla participe activement elle aussi? Tout mon corps est maintenant chaud. C'est très troublant, ma queue est régulièrement branlée. Mon érection est maintenue. Le plaisir est continu. Je ne sais pas si c'est les stimulations de mon sexe ou les lanières du fouet qui me procure ce plaisir. Tout commence à ce mélanger.

L'intérieur de mes cuisses, mon sexe, mes couilles ne sont pas épargnées.

Cela dure un long moment. J'ai l'impression que pas un millimètre de mon côté pile n'est épargné. J'ai de plus en plus chaud. La douleur ressemble à une brûlure, comme si on m'avait recouvert d'une couverture à la fois piquante et brûlante.

Je serre la barre aussi fort que je peux entre mes mains. Je ne retiens plus les cris. J'essaie de me débattre mais je ne peux pas bouger. Je hurle. Je bave. Mais rien ne les arrête. J'ai l'impression que les lanières frappent tous mon corps en même temps. J'ai mal. Et soudain plus rien.

Je les entends marcher dans la pièce. A travers mes larmes, je les vois apparaître toutes les deux devant moi. Patricia et Karla tiennent un fouet chacune . Celui de Patricia est assez long, il est constitué de nombreuses lanières très fine. Celui que tient Karla est plus court. Je comprends mieux l'origine des sifflements et les effets sur mon corps. Les deux femmes sont en sueur, elles boivent devant moi. J'essaie de parler mais je n'arrive à produire qu'un gargouillement incompréhensible. C'est Patricia qui me parle.

_ Charles est ce que ça va?

_ Mmouumouîmmm...

_ Charles si tout va bien cligne 2 fois les yeux.

_ ••

_ Charles si tu veux t'arrêter cligne une fois les yeux. Si tu veux continuer cligne 2 fois les yeux.

_ ••

_ As tu soif?

_ ••

_ Très bien, tu vas boire un peu. Respire bien par le nez. Elle rentre une paille dans gag-ball qui est reliée à une bouteille posée par terre devant mes yeux. Je tête, j'aspire une boisson sucrée.

_ C'est un jus de fruits sucré. Charles! bois tranquillement! Oui c'est bien encore un peu. Voilà. On va passer à un autre instrument. Prépare toi.

_ Mmemrrriiimmmmumm!!!!

Comme tout à l'heure, des mains me caresse le dos, les cuisses, les fesses pour finir sur mes couilles et ma queue. C'est la main de Karla, ça ne peut être qu'elle. C'est sûr. Elle me masturbe très lentement en me malaxant les couilles. Je bande. Ma queue n'a jamais été si dure. Patricia passe devant moi. Elle a un sourire sadique. Les caresses s'arrêtent. Mes fesses sont tapotées.

_ Charles, tu vas goûter à un autre jouet. Tu vas recevoir 10 coups sur chaque fesse. Je vais alterner, je vais prendre mon temps. Prépare toi.

CLAC!

Le bruit est violent autant que la douleur. Je ne peux m'empêcher de hurler au premier coup. Le deuxième arrive sur l'autre fesse. Puis un deuxième, un troisième,...Les coups s'enchaînent rapidement. Elle ne prend pas du tout son temps. Elle alterne rapidement entre mes fesses. Ce n'est pas du tout une main. Le bruit est beaucoup plus mat. La douleur est sourde. L'endroit ciblé est précis c'est le bas de mes fesses.

La main de mon épouse était ridicule à côté.

Les derniers coups sont encore plus forts que les premiers. J'ai vraiment mal. Tout mon cul est en feu. Une main me touche la fesse. Elle semble glacée. Une main attrape ma queue encore dure. C'est une masturbation lente. Le contraste entre mon cul brûlant et la main qui me touche est électrisant.

Mon sexe se tend encore plus. Je bande malgré la douleur. Le plaisir prend le dessus. Je sens monter la jouissance. La masturbation ralentie, s'arrête, reprend. Je ne suis qu'un jouet entre les mains expertes de ma maîtresse. Je m'approche doucement de la jouissance. J'ai très envie de jouir. C'est si bon ce qu'elle me fait. Oh Oui! Encore! Encore! Nonnnn! Pourquoi tu t'arrêtes? S'il te plaît. Continue.

_ Charles. Deuxième série.

Quoi! Mais non! S'il vous plaît non!

CLAC, CLAC, CLAC, CLAC, CLAC,.... la douleur est revenue instantanément. Une dizaine sur la fesse gauche puis autant sur la droite.

Arrêt? Masturbation. Oui merci. Je reste toujours dur. Arrêt. Reprise de la fessée sur chaque fesse, ma queue est branlée entre chaque coup. Combien de fois j'ai alterné de la douleur au plaisir? Je n'en ai aucune idée. Tout se mélange. Plaisir? Souffrance?

Je ne comprends plus rien. Même sous les coups de butoir je continue de bander.

Je suis ailleurs. Mon corps est là sur l'établi, attaché, mais mon esprit est parti.

Suis-je masochiste? Je n'ai jamais supporté la douleur pourtant c'est si bon de ressentir ce que je vis à cet instant, de souffrir pour le plaisir de ma Maîtresse Karla. Alors oui! encore, encore, encore.

Les frappes sont devenues différentes. La force des impacts n'a pas diminué. C'est moi qui a changé. Je suis totalement détendu. Je ne cherche plus à éviter les coups. Si je pouvais tendre encore plus mon cul. J'ai envie d'hurler mon Amour à Karla. Les femmes sont devant moi. Je n'avais même pas réalisé que les coups avaient cessé. Mon épouse m'essuie les yeux, caresse mon visage, même à travers la cagoule je sens la chaleur de ses mains. Je reviens peu à peu dans la réalité.

Je veux la serrer dans mes bras mais je ne peux pas bouger. Oui, ça me revient, je suis dans mon garage attaché sur mon établi. Mon cul me brûle, mon sexe est toujours dur. Patricia tient dans sa main un " paddle" c'est une large et longue spatule en cuir.

_ Charles, ça va?

_ ••

_ Parfait. On continue. Mais avant bois un peu. Doucement. Oui, c'est bien. Tu es très courageux. Tu prends très bien ta correction.

Mais qu'est ce que je peux faire d'autres? Boire me fait du bien. Même si mes fesses sont en feu je me sens étrangement bien. Je suis sur un nuage, comme si j'étais défoncé.

Ma Maîtresse s'approche de moi, elle s'est baissée à mon niveau. C'est vrai que je ne peux pas lever la tête.

_ Mon chéri, je t'aime. Soit fort pour moi.

Moi aussi je t'aime mon amour. Pourquoi tu me demandes d'être fort?

_ Charles. Je vais te canner maintenant. Tu vas recevoir 10 coups pour commencer. Tu peux serrer fort les dents. Mais je veux que tu comptes le coups.

Un petit tapotement sur les fesses. Des bruits terribles dans les airs. Des secondes qui durent des heures. Le bruit du sifflement puis l'impact sur mon cul. Rien dans la première seconde puis l'horreur absolue. AAAAAAAHHHHHHH!!!!! Mon cul est coupé en deux.

_ Ummaaaaammmm

_ C'est bien.

Mon cul est coupé, déchiré, c'est sûr! Des pas se rapprochent. Karla est devant moi. Elle me tient le visage à deux mains.

_ Charles mon chéri, mon petit esclave. Ça va aller. Je suis là. Je vais compter avec toi.

_ Meeérrrriiîînnmmooonnnnn

Le sifflement. L'impact. La douleur.

_ AAMMAHHNNNMmHHHH!!!! Deeeeeeeeeee.....

_ Deux mon petit mari. C'est bien.

Le sifflement. L'impact. La douleur.

_ AAMMAHHHhTROOIIAAHhh.....

_ Trois, mon soumis.

Karla a compté avec moi. Entre chaque coup il y a beaucoup de temps. Je ne sais jamais quand je vais le recevoir. Parfois j'entends le sifflement mais je ne reçois rien sur mes fesses.

Karla m'a régulièrement obligé à boire. Heureusement que mes cris sont étouffés par le morceau de caoutchouc que je serre très fort entre mes dents.

Je pleure sans discontinuité. Karla s'est beaucoup déplacée. Entre chaque coup elle branle ma queue qui reste tendue. Je ne comprends pas pourquoi je garde mon érection alors que j'ai si mal.

Enfin les frappes s'arrêtent. J'ai réussi à compter jusqu'à 10 avec l'aide de mon épouse.

Ça fait trop mal. C'est pire que tout ce que j'ai pu imaginer. Je ne veux plus jamais revivre une torture pareille. Mon cul est en feu. Elle m'a écorché vif. Je dois saigner.

La douleur se diffuse partout de mes cuisses à tout mon cul. Pourquoi elle m'a fait si mal? Qu'est ce que j'ai fait pour mériter une correction pareille?

Patricia est devant moi. Je vois ses bottes vernis et la moitié de ses jambes à travers mes larmes qui ne s'arrêtent plus. Elle tient une longue et fine baguette. Je n'en vois qu'une extrémité.

_ C'est fini Charles. J'espère que tu as compris ce qu'est une punition? C'est sûrement très différent de tes histoires. Rien ne vaut l'expérience du réel. Charles, je dois te dire que j'ai pris beaucoup de plaisir à te fesser.

Je serai toujours disponible si ta Maîtresse Karla fait appel à mes services.

Aujourd'hui tu n'as goûté qu'à trois de mes nombreux jouets. J'ai beaucoup d'imagination, des années de pratiques. J'adore discipliner les mâles désobéissants.

Je vais libérer ta tête ta taille et ta bouche mais je ne veux rien entendre. Tu n'as pas droit à la parole encore. Ta Maîtresse va te passer de la pommade. Ça va soulager un peu la chaleur de tes fesses. Je suis sûre que tu as le feu au cul. Petit coquin!

Toujours son humour. Elle serait presque drôle. En effet, Karla me passe de la pommade sur les fesses. C'est bizarre de sentir ses doigts suivre les sillons laissés par la canne. Ils sont moins grands que les douleurs ressentis. Mon épouse est très très douce. La fraîcheur des ses mains est magique.

Elle saisit mon sexe toujours dur. Lui donne plusieurs va et vient. Que du bonheur. J'en arrive presque à oublier la douleur.

C'est quand même curieux, je n'ai plus vingt ans pourtant? Je ne comprends pas pourquoi je bande toujours. J'ai l'impression que je suis dur depuis des heures.

_ Nous allons te laisser un moment. J'ai très faim. Ça te laissera le temps de réfléchir et de te reposer. Hydrate toi bien. Quand je reviens je veux que la bouteille soit vide. A tout à l'heure.

Elles sont parties toutes les deux. Karla n'a pas dit un mot. La cagoule me tient très chaud. Je transpire à grosses gouttes. J'ai très soif. Je bois rapidement tout le contenu de la bouteille.

Bouger la tête me fait du bien. Je me suis beaucoup contracté. Petit à petit je sens mon corps se détendre. Je bouge mes pieds, je retrouve mes appuis. Mes épaules, mon torse, mon bassin. Je réalise que tout mon corps était crispé. Je fais des étirements. Mes muscles me font mal. Je ressens encore la fraîcheur de la crème sur mes fesses. Comment sont les marques? Profondes? Est ce que je vais pouvoir m'asseoir? Combien de temps vais-je ressentir la douleur? Est ce que je vais garder des séquelles?

C'est quand même fou ce que je viens de vivre. Karla a participé. Elle qui avait toujours refusé de me dominer réellement. Elle m'a fouetté.

A quoi a t'elle pensé? Qu'est ce qu'elle a ressenti? A t'elle apprécié? Sinon pourquoi a-t-elle laissé faire? Et après, que va t'il se passer? Elles doivent revenir pour la suite. Quelle suite?

Notre relation a définitivement changé. Ça ne sera plus jamais comme avant. C'est évident. Est ce que je regrette? Non pas du tout. Je ne regrette rien.

Ma tête est en ébullition. Mille pensées me traversent. Mon cul déchiré me brûle.

Je ne sais pas pourquoi mais je repense au contrat. Je me mets à le réciter à voix haute. Lentement. Mes angoisses, mes inquiétudes disparaissent peu à peu. Ça a un effet hypnotique, relaxant. Je reprends contact avec la réalité qui m'entoure. Je suis attaché sur mon établi. J'ai les jambes et les bras écartés. Mes chevilles, mes poignets sont fixés. J'ai les pieds à plat par terre. Je peux bouger la tête et un peu le haut du corps. Mes fesses me brûlent toujours.

En tournant la tête je vois la petite caméra. Il y a la même en face de moi. J'imagine qu'il y en a une autre derrière moi. pourquoi suis-je filmé? Est ce que c'est diffusé?

Si c'est le cas je comprends mieux la raison de la cagoule. elles ont voulu préserver mon intimité. Karla avait un masque aussi. Mais que je peux être naïf.

Elles ont tout prévu, tout organisé. Je suis presque certain que Patricia se fait du fric avec moi. Si ça se trouve, son statut d'assistante du procureur était bidon. Je suis manipulé depuis le début.

En général, je n'aime pas du tout être pris pour un "con". Mais je trouve quand même génial tout ce que je traverse avec mon épouse depuis vendredi.

Je commence à comprendre la toile qu'elles ont tissé.

Jamais Karla n'aurait eu des idées pareilles. L'idée du divorce, ce contrat d'appartenance, ma mise en cage de chasteté, tout est trop parfait. Je suis certain que Patricia est une Dominatrice Professionnelle.

Et pourquoi je bande encore? Une heure, deux heures? ou même plus que je garde mon érection. Ce n'est pas naturel. Elles ont du mettre quelque chose dans la boisson, viagra, cialis,...

Qu'est ce que j'ai fait? j'ai accepté de devenir l'esclave de mon épouse. C'est totalement fou.

Est ce possible de revenir en arrière?

Le contrat à une durée de validité d'un an. Je suis pieds et poings liés. Et ce n'est pas une métaphore. Quelle est l'attitude à adopter maintenant?

Je me suis fait prendre à mon propre jeu.

Mes désirs, mes pulsions m'ont fait faire de nombreuses conneries. Est ce que j'ai fait la plus grande erreur de ma vie en signant ce contrat? Mon corps, mon esprit est marqué à tout jamais. Je ne serai plus jamais le même homme.

Karla, l'amour de ma vie, mon épouse, celle qui partage ma vie depuis plus de 25 ans, la mère de mes enfants, est maintenant ma Maîtresse. Est ce que c'est réel?

Est ce que c'est un jeu pour elle?

Est ce qu'elle a voulu me donner une leçon?

Va t'elle prendre son rôle au sérieux? Veut-elle d'un esclave? Et moi? Qu'est ce que je veux?

Attaché comme je suis, mon questionnement me fait sourire. C'est un peu tard pour reculer.

Du bruit, des pas s'approchent. Elles apparaissent. Elles se sont changées. Patricia a un autre corset, un petit short en cuir et une grande paire de cuissardes. Karla a une autre paire de chaussures à talons. Elle porte des bas noirs. Un petit shorty très moulant. Un haut qui semble être un corset. Ses seins sont à moitié exposé. Ses cheveux sont détachés. La vision de ses deux Déesses me fait presque oublier toutes mes réflexions.

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Anonymous
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3 Commentaires
JuliensoumbdxJuliensoumbdxil y a 7 moisAuteur

Je vous prie de bien vouloir m'excuser pour les répétitions dans cette partie de l'histoire.

Il n'y en plus dans les suivantes.

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Des répétitions avec l'épisode précédent.

Rudy

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Plus de la moitié de cet épisode a déjà été raconté dans l'épisode précédent

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