Harcèlement 03

Informations sur Récit
La présence de Patricia change beaucoup notre dynamique de...
7.6k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 6 pièces

Actualisé 12/16/2023
Créé 09/09/2023
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_ Débarrasse! Apporte nous deux cafés.

_ Oui mon Amour.

Je leur apporte les cafés. Patricia prend la parole.

_ Charles ton discours, est presque touchant, mais tu sembles sincère. J'ai entendu tes remords. Mais, tu comprends que ta situation à bien changé depuis vendredi.

_ Oui Madame Patricia.

_ Très bien. Tu sais pourquoi je suis là?

_ Non, je ne sais pas trop même si je me doute un peu.

_ Tu es un homme intelligent, je n'en doute pas. Donc, pour clarifier la situation. Je suis là pour t'apprendre ta nouvelle place et aider ta magnifique Épouse à prendre sa décision.

Je dois te dire que quand j'ai rencontré Karla elle avait décidé de te quitter.

_ Ah!!??

_ Oui Charles, Karla veut te quitter. Je l'ai convaincu d'attendre un peu avant de prendre cette décision.

_ Merci, Madame Patricia.

_ Tu veux peut être lui dire quelque chose?

_Karla, s'il te plaît écoute moi. Tu es la seule femme qui compte. Je t'aime. Je m'excuse encore d'avoir fait des choses dans ton dos. Je ferai tout pour que tu puisses me pardonner.

Je souhaite tellement te satisfaire, te plaire. Je suis ton mari tu es mon épouse, nous sommes mariés depuis plus de vingt ans.

Ce weekend, j'ai compris une chose essentielle. Pendant toutes ses années, j'ai été un homme égoïste. Je n'ai pensé qu'à mon plaisir. J'ai fait des choses dans ton dos, mais je ne t'ai jamais trompé.

Depuis que tu m'as demandé de porter cette cage de chasteté, j'ai compris que ma vie est dirigée par ma queue. Je le savais avant mais je ne l'avais pas réellement compris.

Ce weekend, j'ai réalisé à quel point j'ai trahi ta confiance. J'ai été submergé par mes pulsions pendant des années. Je me sens si nul. Je te prie encore de bien vouloir m'excuser mon Amour.

_ A la bonne heure, des excuses sincères. De plus, c'est la première fois que tu parles de ta bite. T'es tu branlé ce weekend?

_ Euh! Non! Madame Patricia, bien sûr que non.

_ Tu dis la vérité?

_ Oui Madame Patricia.

_ Je connais ce modèle de cage, il n'est pas fiable à 100 %.

_ Je sais Madame Patricia. J'y ai pensé, mais quel intérêt?

Ça fait des années que je rêve de porter une cage. Même si je peux en effet sortir mon pénis je ne me suis pas branlé. Je n'ai pas envie de trahir la demande de Karla. J'ai pris très au sérieux la punition de ce weekend. Je l'accepte. J'ai mérité ce qui m'arrive.

_ Tu sembles honnête Charles. Mais Karla ne te fait plus confiance. Qu'est tu prêt à faire pour regagner cette confiance?

_ Tout ce que Karla décidera.

_ C'est à dire?

_ Je ne veux plus jamais te cacher quelque chose.

_ Normal, mais concrètement?

_ Je n'ai plus de téléphone, plus d'ordinateur, je n'ai pas eu accès à internet de tout le weekend. En temps normal,je regarde peu de porno, je surfe surtout sur des sites d'histoires, de récits de témoignages. Je reconnais que j'y vais presque tous les jours. Si tu le souhaites Karla.

Je m'engage à ne plus les consulter. De ne plus utiliser l'ordinateur pour tout ça. Je suis prêt à reprendre un vieux téléphone qui n'a pas d'accès internet,

_ Quoi d'autre?

_ J'y ai beaucoup réfléchi ce weekend. Karla, si tu le souhaites je suis prêt à m'occuper de toute la maison. Je ferai avec plaisir le ménage, les courses, les repas, je peux gérer toute l'intendance...

Je ne veux pas t'imposer mes désirs, ni mes phantasmes. Karla. Je ne suis qu'un mâle dominé par des pulsions de soumission.

Je sais que la cage de chasteté que tu m'a fait porter depuis vendredi est un moyen de me punir. C'est aussi pour asseoir ton autorité. C'est un outil puissant pour me contrôler. C'est moi qui l'ai acheté. C'est la première fois que je la porte aussi longtemps. J'ai toujours rêvé que tu contrôles ma sexualité, si tu le désire bien entendu.

_ Et si cela ne lui plaît pas du tout?

_ Alors je ferai ce qu'elle veut.

_ Tu serais prêt à ne plus jamais lui imposer ta soumission?

_ Euh, si c'est sa demande. Oui. Je ne souhaite pas que l'on divorce.

_ Tu réalises que tu as dégoûté ton épouse avec l'étalage de tes envies d'être dominé?

_ Oui Madame Patricia, je suis désolé.

_ Et! Si ton épouse décide malgré toutes tes propositions de divorcer?

_ J'y ai pensé aussi. Alors si c'est son choix, je lui laisse tout.

_ Comment ça?

_ Je lui laisse la maison, avec tout ce qu'il y a dedans.

_Tu ne veux rien?

_ Non.

_ Tu vas tout lui laisser? Sans te battre?

_ Oui, Madame Patricia, j'ai déjà envisagé cette éventualité. Nous nous sommes mariés sous la communauté des biens. En 25 Ans de mariage nous avons accumulé un certain nombre de biens. Nous avons une maison, je lui laisse. Nos enfants sont grands, ils sont autonomes. Je n'ai pas besoin de beaucoup pour vivre. Je vais démissionner de mon travail dans les mois qui viennent. Je ne sais pas où je vais aller ni ce que je vais faire, mais j'aime Karla. Je ne veux pas que l'on se quitte. Je respecterai malgré tout ses choix quelque soit sa décision.

_ Tu veux vraiment tout laisser à Karla?

_ Oui Madame Patricia. Je ne veux que son bonheur. Si elle ne veut plus de moi, je partirai sans faire d'histoire.

Plus personne ne parle. Ma tentative d'érection a disparu depuis longtemps. Mes yeux sont brillants, j'ai envie de pleurer. Elles sont assises, je suis debout les mains derrière le dos, elles me regardent sévèrement. J'ai l'impression de me retrouver devant un tribunal. Je ne sais pas ce qu'elles pensent.

Karla n'a presque pas parlé depuis que Patricia m'interroge. Je viens de lui livrer une décision que j'ai longuement réfléchi. Je n'ai pas du tout envie qu'elle me quitte.

Je ne rêve que de me jeter dans ses bras. La couvrir de baisers, lui montrer tout mon Amour. Je l'aime, je suis prêt à faire tout ce qu'elle veut, je rêve d'être son esclave, son homme, son mari, son amant, son ami. Je veux rien d'autre que son bonheur. Je suis prêt à faire tout ce qu'elle veut.

_ Va nous faire deux cafés. Débarrasse la table.

_ Oui mon Amour.

_ Au fait, le rouleau de printemps est pour toi.

_ Merci.

Mon épouse veut me quitter! Je ne comprends plus rien. Ça va très loin.

Tout ça à cause de mon ancienne collègue, mais quelle salope. Elle a ruiné ma vie. Non, non, elle n'y est pour rien. C'est moi le fautif. Jamais je n'aurais dû lui envoyer des messages.

Je suis trop con. Pourquoi je n'ai pas pu m'empêcher de faire des conneries pareilles?

Putain de pulsions de merdes! Qu'est ce que je peux faire maintenant. J'ai vu son regard. Son attitude ne trompe pas. Quand Karla fait cette tête, c'est sûr, elle est décidée, et rien ne peut lui faire changer d'avis.

Quand je leur apporte les cafés, elles se sont arrêtées de parler. Mon épouse ne me regarde sévèrement. Son visage est fermé.

_ Charles, tu as mangé?

_ Non Madame Patricia.

_ Alors vas-y. Quand tu auras fini, ramène moi, le sac noir qui est sur lit.

_ Bien Madame Patricia.

Quelques minutes plus tard je le dépose sur la table. Elle en sort des papiers, me les tend.

_ Ce sont les papiers du divorce. Tu peux les lire et tu peux les Signer.

_ Quoi? Mais non!

Ce n'est pas possible!

Karla, s'il te plaît ne fait pas ça.

Tu es en colère contre moi, je te comprends. C'est légitime. Mais 25 ans de vie commune rayées, balayées à cause d'une erreur débile.

C'est vrai, je me suis comporté comme un connards. Mais je t'aime, tu m'aimes aussi, tu me l'a dit. S'il te plaît. Réfléchi. S'il te plaît.

_ Charles, Karla à pris sa décision. Tu as dit que tu respecteras son choix.

_ Oui! C'est vrai. S'il te plaît! Je ferai tout ce qui est possible. Ne me quitte pas. Je t'aime.

Je suis tombé à genoux pour la supplier.

Je pleure. J'aime mon épouse. Je ne veux pas vivre sans elle.

_ Charles, il y aurait une alternative.

_ Quoi? Quelle alternative? Oui je vous écoute. Je ferai tout ce que Karla veut.

_ Charles, j'ai un autre contrat, il est un peu particulier.

_ Oui, bien sûr montrez moi s'il vous plait.

_ Tu as dit que tu étais prêt à tout accepter?

_ Oui bien sûr.

_ Alors lis ces papiers. Non! Ne te lève pas, tu peux rester à genoux devant nous. Ta position est très appropriée.

_ Bien Madame Patricia.

Quoi? Non ce n'est pas possible! Je lis bien. Contrat d'appartenance.

Je lève la tête mon épouse me regarde sans aucune expression, un " Poker Face ". Elle est imperturbable. Sur le visage de Patricia je vois un grand sourire par contre.

Je me replonge dans la lecture. C'est clairement un contrat d'esclavage. J'en ai lu de nombreux sur le net. Noir sur blanc, il est écrit que je transfère toute autorité à mon Épouse.

Une trentaine de paragraphes, sur deux pages, définissent mon nouveau statut.

Je deviens littéralement l'esclave de Karla. Je n'ai plus aucun droit, je n'ai plus que des devoirs. Je dois une obéissance totale à mon Épouse. Elle devient l'autorité suprême. C'est la supériorité féminine dans toute sa splendeur.

Le choc est violent, je ne m'y attendais pas du tout. Elles avaient donc tout prévu. Tous les voyants danger hurlent dans ma tête. Mais mon corps me trahi. Ma queue tente désespérément de se tendre, je bande depuis les premières lignes que je viens de lire. Cela devient même très douloureux au niveau de mes couilles.

Pourquoi je réagis comme ça. Je ne peux pas ignorer mon excitation. Est-ce qu'elles aussi, voient mon trouble? Bien sûr que oui, mon sexe est tendu à son maximum malgré la cage qui empêche toute érection. Je lis, relis le contrat. Il y a deux pages. Son nom est déjà écrit. Je reconnais son écriture. Il ne manque que nos signatures.

_ Nous pouvons voir que cette proposition semble te plaire.

_ Euhhhh... Pardon?

_ Tu as l'air d'apprécier?

_ Oui, c'est vrai. Mais c'est tellement inattendu.

_ Prends ton temps pour prendre ta décision, Charles. Nous te laissons toute la soirée et toute la nuit. Nous sortons ce soir.

_ Ah d'accord.

_ Je te laisse les deux contrats. Tu nous donneras ta réponse demain matin. Le deuxième, celui qui te fait bander, a une validité d'un an. Reconductible évidemment.

Sur ces paroles elles se sont levées, je reste à genoux. Il me faut plusieurs minutes avant de réagir. Quand je rentre dans la maison, j'entends du bruit dans la salle de bain. Elles se préparent ensemble. Je range la cuisine, une fois terminé je me place à l'entrée debout près de la porte.

Elles arrivent bras dessus dessous. Elles s'apprêtent à sortir. Je les entends rire, elles se sont changées.

Mon épouse est splendide. Sa robe, une nouvelle, met parfaitement en valeur ses délicieuses formes. Ses cheveux noirs bouclés tombent en cascade sur ses épaules. Elle a mis un léger maquillage sous ses yeux. Le kol rehausse la profondeur de son regard. Son rouge à lèvres est d'un rouge profond. Son parfum est toujours aussi envoûtant.

_ Whaou! Tu es magnifique mon Amour.

_ Merci, mais ce n'est pas pour toi tout ça. Ta langue est peut être efficace mais j'ai envie d'une bonne baise et vu que tu ne peux décidément pas me le donner. Je vais le trouver ailleurs.

_ Quoi?

_ Regarde entre tes jambes.

Elles se mettent à rire pendant que je baisse la tête pour regarder ma petite cage de chasteté.

_ Je vais me faire plaisir ce soir. Aide moi à mettre mes talons. Les rouges bien entendu.

_ Euhhh!!! Bien sûr mon amour.

Je suis à genoux devant mon épouse, je l'aide à enfiler ses chaussures. Elle porte un bracelet de cheville. Une petite clef y est accrochée. Je lève la tête. Ses mains sont posées sur ses hanches, elle a légèrement écarté les jambes, relevé un peu sa robe. Je réalise qu'elle a une toute petite culotte qui cache à peine sa chatte poilue. En remontant le regard, je vois ses deux tétons pointer à travers le tissu. Elle ne porte pas de soutien gorge.

Ma petite prison à du mal à contenir mon sexe. Je croise son regard. Elle me domine de toute sa hauteur. Ses yeux pétillent de désir, je la connais. Même à travers son parfum, n°5 de Chanel, je reconnais l'odeur de son excitation. Elle doit être toute mouillée.

_ Je te plaît?

_ Tu es absolument magnifique mon Amour.

_ Tant mieux. Mais! Dommage pour toi. Moi aussi j'ai envie de me faire plaisir. Ce sera avec un beau mâle viril. Au fait! Ce soir tu ne dors pas dans ma chambre, ni dans la chambre d'amis évidemment, ni dans les chambres des enfants. Je ne veux pas te voir sur le canapé du salon non plus. Trouve toi une place pour dormir. Je ne sais pas, peut être au garage.

_ Ah d'accord.

_ Avant de te laisser Charles, une dernière consigne. Tu poseras le contrat de ton choix, signé sur la table du salon. Je veux le voir demain matin à mon retour. Amuse toi bien. Bonne soirée.

_ Merci, bonne soirée à vous aussi Madame Patricia. Bonne soirée mon amour.

Mon épouse ne m'a même pas répondu. Elle fait quelques pas devant moi, se retourne, me regarde, relève sa robe, descends son string me le jette à la figure. Et dans un grand fou rire annonce qu'elle n'en a pas besoin ce soir.

Elle est montée dans sa voiture avec Patricia. Elles sont parties.

Je suis resté dans l'entrée, toujours à genoux sa culotte sous le nez. La porte est restée ouverte. J'ai regardé le portail se refermer avant de réagir.

Je me sens abandonné, frustré mais terriblement excité. Mon épouse est sortie habillée comme une femme à la recherche de mâles. L'humidité et l'odeur de sa culotte confirme son excitation. Elle m'a clairement dit qu'elle voulait se faire baiser. Je vais donc être cocu?

Je ne suis même pas en colère, au contraire. Je suis excité, content, heureux que mon Épouse prenne du plaisir, même si c'est avec un autre homme. J'ai toujours été clair avec Karla sur ce sujet. Je suis candauliste.

Pourtant mon épouse a toujours refusé de coucher avec un autre homme. Si elle m'a trompé, je ne l'ai jamais su.

Aujourd'hui c'est différent. C'est un élément de plus pour confirmer ma position de mari soumis, obéissant. C'est aussi un moyen d'affirmer son autorité sur moi. En tout cas c'est une humiliation de plus pour moi.

Je fais un tour de la maison, la salle de bain est en désordre, elle a laissé ses habits un peu partout. Je range, nettoie, lave son linge et son string. Je fais la même chose pour la salle de bain de la chambre d'amis.

Patricia est beaucoup moins désordonnée que mon Épouse. Je n'ai pas touché à ses affaires. J'ai juste nettoyé, changé les serviettes de toilette.

Nettoyer, ranger, organiser m'aide à ne pas trop penser. C'est en passant devant un miroir que je réalise que je suis nu ou presque. J'ai oublié cet état de fait depuis vendredi. Mon cul est un peu sensible, il est légèrement rouge encore. Mon sexe a beaucoup coulé, mon excitation s'est calmée. Le goût de mon jus est plutôt insipide. Je n'en perd pas une goutte.

Mon garage est propre et rangé. J'ai trouvé où m'installer. Il y a la petite pièce qui me sert de débarras. À l'origine j'avais prévu d'en faire une cave. Mais une grande armoire frigo pour conserver les bouteilles m'avait fait changer les plans. C'est une petite pièce rajoutée à la dernière minute. Il y a 5 marches pour y accéder. Elle est un peu enterrée. Elle doit faire 3 mètres sur 3 avec une hauteur de plafond d'environ 1 mètre 80 à peine.

Je devais faire du tri, ça tombe bien. Une heure plus tard c'est chose faite. Un matelas une place, posé sur des palettes. Les murs bruts sont en béton, comme le sol, une petite lucarne avec des barreaux, donne sur le petit parking à l'entrée. Il y a une pauvre ampoule au plafond . Ça me renvoie l'image d'une cellule de prison. La douche et les toilettes carrelées juste à côté, semblent être un palace en comparaison.

Je récupère quelques affaires dans notre chambre que je range dans un carton, contre un mur de ma nouvelle chambre.

Je suis fou, je viens de construire ma propre prison. J'avais même installé une porte renforcée, avec un digicode pour la fermer.

Pourquoi je fais ça?

Parce que j'ai fait mon choix. Je sais quel contrat je veux signer. Ça fait des années que je phantasme d'être soumis à mon Épouse. Elle a toujours refusé de me dominer. Aujourd'hui non seulement elle accepte, mais elle va encore plus loin. Karla veut que je devienne son esclave.

Après m'avoir mis dans la chasteté, elle m'annonce qu'elle va avoir des relations sexuelles avec un autre homme. Que s'est-il passé? Comment c'est possible? Comment a-t-elle pu changer autant en quatre jours?

Je pense à Laeticia mon ancienne collègue. Il y a quelques jours, quelques heures c'était la pire des "salopes". Celle qui avait détruit ma vie, ruiné mon mariage. À cet instant pendant que je relis le contrat d'esclavage que j'ai signé, je n'ai qu'une seule envie c'est de la remercier. Car, en fait tout vient de sa plainte pour harcèlement.

Les trente lignes du contrat sont très précises. Il y est détaillé point par point mon statut. Je renonce à ma liberté. Je vais être le valet de chambre de mon épouse, son majordome, son homme de ménage, son cuisinier, son sextoy, son homme à tout faire, en fait. Je deviens un mari soumis au service de son épouse.

Est-ce que je peux encore dire mon épouse? Elle ne m'appartient pas. C'est moi qui, en signant ce papier, devient sa propriété. Je n'ai plus que des devoirs, elle a tous les droits.

Un dernier tour dans le jardin, dans la maison avant de rejoindre ma "cellule".

Je mets un long moment avant de m'endormir. Je suis réveillé vers 5 heures du matin par une tentative d'érection. La douleur disparaît, très vite, après être passé aux toilettes. C'est très bien, je m'y habitue. La voiture de mon épouse est là, je la vois à travers le petit vasistas. J'entends du bruit dans la maison. Je retrouve Karla et Patricia au salon un verre à la main, une bouteille de vin presque vide sur la table.

_ Tiens mon petit mari, tu tombes bien on parle de toi. Je suis contente. Tu as signé le bon contrat. Je suis fière de toi. Jusqu'à présent tu ne m'as pas déçu. Patricia m'éclaire sur les méandres de la psyché du mâle soumis. Tu aimes être contrôlé?

_ Euh! Oui mon Amour.

_ Tu aimes être puni?

_ Je ne sais pas trop. La fessée de hier était douloureuse mais très excitante en même temps.

_ OK. Tu sais que tu vas en recevoir de bien plus fortes?

_ J'imagine.

_ Ça ne te fait pas peur?

_ Si! Mais j'ai confiance en toi. Je t'aime.

_ Au fait comment va ta cage?

_ Ça va. D'ailleurs, c'est une érection qui m'a réveillée ce matin.

_ Comment tu l'a supporte?

_ Plutôt bien, les premières nuits ont été difficiles. Mes érections nocturnes m'ont réveillées plusieurs fois. Il a fallu un longs moments avant que je redescende mais depuis deux nuits ça va beaucoup mieux. On dirait que je m'y habitue.

_ Très bien, tant mieux.

_ Tu as de la chance Charles. Certains hommes ne peuvent pas la supporter. Ils sont réveillés presque toutes les heures même après des semaines enfermées. Leur corps ne s'habitue jamais. C'est très bien pour toi. C'est de très bon augure pour la suite.

_ Viens! Mon petit mari soumis. Approche toi! Plus prêt! Mets tes mains sur la tête! Ne bouge plus! C'est tout petit quand même, je n'aurai jamais cru que tu arrives à faire tenir ta grosse bite dans ce petit truc.

Ne bouge pas! Je l'examine! C'est la première fois que je te touche la bite enfermée dans ce petit truc. Je ne vois pas de marque. Tu disais qu'il fallait être très vigilante, c'est ça Patricia?

_ Oui, montre moi.

_ Tu as entendu, rapproche toi de Patricia.

_ C'est très bien, pas de rougeurs ou d'irritations. Il faut bien regarder partout. Sur le dessus, les côtés et sous leurs couilles. Et surtout tu dois être très vigilante sur l'hygiène car il n'est pas circoncis. Il doit se nettoyer parfaitement, partout. Cette cage en acier est pratique, elle a une forme ergonomique, elle est solide, fiable et il peut nettoyer sa bite sans la sortir. Elle est très bien ajustée, l'anneau qui lui enserre les couilles est à la bonne dimension, on dirait du sur mesure. Il se rase tout les combien?