Episode 01 : Ma Première Fois.

Informations sur Récit
Après mon divorce, ma première histoire de sexe, avec Karim.
3k mots
4.55
15.4k
5

Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 06/07/2022
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Sandra_78
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Episode 1 : ma première fois. Dimanche 13 juin 2021.

Il était dans le même wagon que moi, dans ce train, et il me regardait tout le temps ; certes je portais un masque, covid oblige, mais il n'y avait pas foule et je m'autorisais à le tirer en bas du menton, tout comme lui. Mon visage, mes cheveux, mon corps, mes jambes, ses yeux étaient partout sur moi. C'est vrai que je portais une robe légère, ajourée, plutôt courte, qui pouvait attirer les regards. Mais c'était le début de l'été et j'avais envie de profiter des beaux jours. Il était brun, avec une très fine barbe, cheveux très courts, yeux noirs. Un rebeu. Nos regards se sont croisés très souvent, oui très souvent, car même si je voulais éviter de le regarder, je ne pouvais pas m'en empêcher. Je ressentais à la fois une gêne et une sorte d'attirance. Et puis, à 46 ans, on aime aussi plaire aux plus jeunes...

Une fois arrivée à la gare vers 22h45, ce soir du mois de juin, de retour de Normandie, je devais récupérer ma voiture pour rentrer chez moi en banlieue parisienne. Après quelques minutes de marche, j'arrive au parking souterrain, et en atteignant les ascenseurs, je vois dans le reflet d'une porte vitrée qu'il était derrière moi. Il m'avait suivie. Je me retourne et le regarde, sans rien dire ; lui me fixe. La porte s'ouvre, je pénètre dans la cabine d'ascenseur ; lui aussi. J'appuie sur le bouton -5 et lui demande machinalement « vous allez à quel étage? ».

-Bah au même étage. Me répond-il. J'avais compris que tu m'invitais, non?

Pendant quelques secondes je n'ai rien su dire. Je ne comprenais pas et j'étais impressionnée. Sa voix était grave, il était plus grand que moi, ses yeux noirs me fixaient toujours.

-Mais je n'ai rien dit! Je ne vous ai pas invité...Je dois juste rentrer chez moi, c'est tout.

-Arrête, t'as pas arrêté de me regarder dans le train...Je sais bien ce que ça veut dire, ça, hein?

-Je... non! C'est vous qui m'avez regardée tout le trajet... Mais bon bref, je dois rentrer chez moi, quelqu'un m'attend. Désolée je ne peux pas.

Je mentais, personne ne m'attendais chez moi. J'étais divorcée, et mes enfants étaient déjà en études supérieures à Lyon et Marseille. L'ascenseur était arrivé à destination, et les portes s'ouvrirent. Je sors de la cabine, il m'emboîte le pas, et continue à me parler derrière moi.

-Ouais c'est ça, quelqu'un t'attend...c'est quoi ce mensonge? T'assumes pas, c'est tout. Tu allumes et tu vas pas au bout. Ou alors t'as quelque chose contre les rebeus, hein? T'es raciste?

-Non pas du tout, je n'ai rien contre les rebeus c'est pas vrai, mais c'est que je ne peux pas vous inviter chez moi, tout simplement.

- Ok alors tu kiffes bien les rebeus mais là t'es coincée, y'a ton mari qui t'attend, c'est ça?

- Euh, oui voilà, donc vous ne pouvez pas venir.

- Ah tu voyages sans ton mari alors? Il te délaisse? Charmante comme ça et il te délaisse... c'est dommage ça...en plus tu kiffes les rebeus... mais c'est sûr tu kiffes les rebeus ou pas, tu m'as pas répondu?

J'arrivais enfin à ma voiture. Dans un coin du parking, entre deux piliers, à côté de gros ventilateurs. L'éclairage est défaillant, il fait sombre. Je m'approche de la portière, je cherche mes clefs à tâtons dans mon sac.

- Eh tu pourrais me répondre, je te fais des compliments et toi tu dis rien. Alors dis-moi, tu kiffes les rebeus? Allez dis-le...

Je me retourne pour lui faire face et lui répondre.

-...Oui.. Ok..

- Oui quoi? Dis-le, fais une phrase, t'es capable de faire une phrase je pense? T'as l'air d'une française éduquée non?

J'étais maintenant dos à ma voiture, appuyée sur la portière. Il était en face de moi, assez proche, et me regardait toujours avec ses yeux perçants.

- Ok, oui j'aime les rebeus. Voilà vous êtes content...

- Bon...bien... tu vois c'est pas difficile à dire. Faut que tu t'assumes, c'est comme ça. Allez dis-le encore.

- ...je...c'est bon...

- Allez dis que tu kiffes les rebeus, dis-le, répète le, allez...

- Oui j'aime les rebeus...je kiffe les rebeus...voilà.

- ...Bien...c'est bien...

D'un coup il se rapproche de moi, me colle, appuie ses bras sur la voiture, de chaque côté de mes épaules. Son visage est à 10 centimètres du mien. Je ne sais pas quoi faire, je ne bouge pas, je ne dis rien. Les battements de mon cœur s'accélèrent. Sans faire attention, je laisse tomber mon sac par terre. Il se renverse à moitié et laisse échapper mes clefs, des lingettes, mon portefeuille et un préservatif. Je cherche à me baisser pour ramasser mes affaires mais il m'en empêche.

- Tu vois que j'avais raison. Que tu voulais m'inviter chez toi. Je l'ai senti. Tu m'as maté dans le train, t'es attirée...

- ...je...c'est...je ne sais pas...

- Mais si tu sais...tu sais que c'est vrai...et moi je sais ce que tu veux...

Soudain, je sens une main entre mes cuisses, qui remonte lentement sous ma robe. Il approche encore son visage, sa bouche touche presque la mienne.

- C'est ça que tu veux hein...

Il m'attrape par la nuque, et m'embrasse en même temps que son autre main arrive sur ma culotte. Sa grosse langue rentre dans ma bouche, sa main commence à frotter mon entrecuisse. Je pousse un petit gémissement quand ses doigts se glissent sous ma culotte. Je ferme les yeux, je me sens agressée mais curieusement je me laisse faire.

- T'aime ça, hein...c'est ça que tu veux hein...

Il rentre un doigt dans ma chatte, doucement, profondément, en me regardant dans les yeux. Je gémis à nouveau. Je sens son doigt rentrer et sortir de ma chatte humide.

- Réponds, salope. C'est ça que tu veux.

- ...oui...oui c'est ça...

- T'as une petite chatte bien serrée dis-moi. Et tu mouilles bien, salope, on dirait que t'aimes ça hein... dis-moi que t'aimes ça, dis-moi que t'aimes mes doigts dans ta chatte...

- ...Oui...j'aime tes doigts...dans ma chatte...

- Mais oui t'aimes ça...Allez enlève ta culotte, donne-moi ta culotte, allez

Il retira son doigt de ma chatte. Je sentais comme un vide d'un coup. J'étais excitée, j'avais envie qu'il continue. Je regardais vers le reste du parking pour voir si quelqu'un arrivait. Personne. On est dimanche soir, il est 23h, et je suis au dernier sous-sol au fond d'un parking avec un inconnu qui vient de me pénétrer avec ses doigts. Suis-je une salope, comme il le dit?

Je mets mes mains sous ma robe, baisse ma culotte, l'enlève, et lui tend.

- C'est bien. Maintenant lève ta robe, je veux voir à quoi tu ressembles là-dessous.

Je m'exécute. J'attrape le bas de ma robe, de chaque côté, et je la soulève, jusqu'à mes épaules. Il regarde mon corps. Il baisse mon soutien-gorge, agrippe un sein d'une main, puis remet sa main entre mes cuisses, retouche mes seins à nouveau. Puis avec ses deux mains il me tourne, dégrafe mon soutif, tâte mes fesses, me met une claque sur chaque et me retourne à nouveau face à lui. Il recule d'un pas.

- T'es une bonne cochonne, toi. Chatte rasée, bon petits seins, un bon boule...Tes bien conservée, t'as quel âge? Allez, vire-moi ta robe et ton soutif. Et montre-moi comment tu te caresses, allez, touche-toi maintenant, vas-y.

J'hésite quelques secondes, regarde autour de moi, puis j'enlève ma robe qui tombe par terre, avec mon soutif. Je commence à me caresser devant lui. Je suis très gênée de faire ça. Il me regarde, et je remarque une bosse dans son pantalon. Il a la main dans la poche de son jean et il se caresse aussi. Au bout de deux minutes il se rapproche de moi, m'embrasse à nouveau avec sa langue, et sort son sexe de son pantalon.

- Maintenant tu vas me sucer salope. Tu vas goûter du bon zeb algérien. T'as déjà goûté de la queue de rebeu?

- ...heu...non jamais...

- Allez vas-y maintenant.

Il appuie avec ses deux mains sur mes épaules, et je m'accroupis docilement. Il baisse son pantalon. Mon visage arrive au niveau de sa taille et je découvre son sexe. Long, gros, tendu, marron, circoncis bien sûr. Ses couilles sont grosses et poilues.

- Tu vois c'est ça un gros zeb de rebeu, c'est pour ça que vous nous kiffez, les françaises... allez ouvre ta bouche...

J'ouvris ma bouche mais il commença par me frotter son sexe sur mon visage, sur mes joues, mes lèvres, mon front. Je gardais ma bouche ouverte, comme un petit oiseau qui attend la béquée, et quelques secondes plus tard il la pénétrait avec sa queue.

Je m'applique; ma bouche, ma langue, mes lèvres, toutes au service de cette queue. Je lui caresse les couilles et les fesses en même temps. Me voilà accroupie, nue au fond de ce parking, en train de sucer ce rebeu inconnu. J'ai la réponse à ma question : oui je suis une salope. Divorcée depuis 6 mois, après 25 ans de vie commune, mère de deux enfants, je me prends pour une femme bien élevée, et là, je m'offre à un inconnu dans un parking.

Je le suce de longues minutes. Je l'entends grogner, respirer un peu fort. Il me dit que je suis une bonne suceuse, une bonne salope, et moi je prends ça pour un compliment. Et il enlève sa queue de ma bouche.

- C'est bien. Maintenant relève toi, tourne toi et mets-toi contre la voiture.

Je me relève, j'hésite quelques secondes, mais il me saisit par les bras, me tourne, et me plaque contre la voiture. Je sens le froid de la portière et de la vitre sur mes seins et mon ventre.

- Ecarte bien les jambes putain, allez, recule-toi un peu, et cambre toi.

Je suis prête, mes mains sur le toit de la voiture, penchée en avant, le cul en arrière, les cuisses écartées. A ce moment-là, je vois mon reflet dans la vitre de la portière. Je vois mon visage, mes seins, moi dans cette position, un homme qui s'affaire derrière moi. Je me regarde dans les yeux. Je ne dois pas encore réfléchir à mon ex-mari, à mes enfants, à mes amies, au bureau. Je dois débrancher mon cerveau, oublier ma fierté. Je quitte mon reflet et je regarde par terre. Je vois ma robe, mon sac ouvert et ce préservatif qui traîne.

- Attends, j'ai une capote, tu peux peut-être...AAHHHH!

Il venait d'enfoncer sa grosse queue dans ma chatte. En une seconde elle est rentrée toute entière. Il mit ses mains sur mes hanches et commença à me pilonner.

- Tiens salope, tu la sens ma grosse queue d'algérien? Hein? Tu la sens bien...?

- ...aahh ...oui...aahh... je la sens...bien... aahh... oohh... oohh... han...

- Tu kiffes, hein, salope de française...T'aimes ça, hein, te faire baiser par un rebeu, hein...

- aahh... Oui...aahh... oui j'aime ça... aahh... oohh... oohh...

- AH putain j'ai ma queue marron de rebeu dans ta petite chatte blanche, je te baise comme une pute, kahba...

Il me baisait en m'insultant, moitié en français moitié en arabe.

Il m'a prise d'abord par les hanches, puis ensuite par les cheveux. Il me claquait les fesses. Puis il m'a mis un doigt dans le cul tout en continuant à me baiser. J'ai joui très vite, au bout de quelques minutes seulement, en m'empêchant de crier trop fort. Il se retira.

- J'ai pas fini avec toi salope. Tu vas le goûter jusqu'au bout le zeb algérien...écarte tes fesses avec tes mains, allez.

Je collais mon visage sur la vitre de la portière pour garder l'équilibre, et je me mis à écarter mes fesses avec mes mains. D'un coup il crache sur mon anus, étale sa salive, rentre un doigt, le ressort, puis recrache deux fois. Il rentre à nouveau un doigt, puis deux. Puis les ressort. Et les rentre encore. Je pousse des petits cris. J'hésite entre douleur et plaisir. Il continue. Au bout d'une minute, ses doigts rentrent et sortent comme si c'était ma chatte. Mon anus était complètement lubrifié.

- Crache sur ma queue maintenant.

Je me tourne légèrement, il me dit de cracher plusieurs fois. Je m'exécute. Je vois où il veut en venir. Je n'ai jamais été sodomisée, et j'appréhende.

- Ecoute on ne m'a jamais fait ça, je ne suis pas sûre de...

- Ta gueule ma salope, laisse-moi faire

Il repasse derrière moi, crache une dernière fois sur mon anus, et colle son gland dessus. Il pousse, pousse encore. Son gland rentre. Je sens mon anus s'écarter. Il continue de pousser. Le reste de sa queue commence à rentrer. Un gémissement rauque sort de ma gorge.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhh...

- Lààà... ça rentre...ma queue rentre dans ton cul, ma chienne...

- Mmmhhhh... oohhhhhhhhhhhh...

Il avait rentré entièrement sa queue au fond de mon cul, et commençait à faire des vas-et-viens.

- Je t'encule ma chienne française... t'aimes ça avoir une grosse queue d'Algérien dans ton petit cul de française?

- Ohhhh... oui...oui...aahhhh...

- je suis le premier à prendre ton cul, hein

- ...aahhh...oui....oui...

- c'est bon ça, j'te dépucèle du cul...tiens...prends ça...tiens...tiens...

Il accélérait progressivement jusqu'à atteindre un rythme élevé. Sa queue me remplissait, la sentais en moi, dans mon cul, dans mon ventre, le plaisir montait.

Il recommença à me claquer les fesses et à m'insulter. J'étais tour à tour une petite pute, une salope française, une chienne à rebeus, une cochonne, une vide-couilles, une traînée. Et il avait raison. J'étais là, nue dans ce parking, les jambes écartées, en train de donner mon cul. Je me suis offerte tellement facilement. Tellement obéissante. Totalement soumise. J'étais à sa merci. Je me suis mise à jouir progressivement, de plus en plus fort, et longtemps. J'ai joui par le cul pour la première fois de ma vie.

J'ai grogné, j'ai étouffé mes cris. En voyant ma jouissance, il a encore accéléré. Il me baisait tellement fort, il me défonçait. J'avais les yeux mi-clos. Ma tête tournait, j'avais une sorte de vertige. J'étais dans un état second. Le souffle coupé par la jouissance. Et d'un coup il a retiré sa queue.

- Tourne-toi et mets- toi à genoux espèce de salope

Je n'ai pas compris tout de suite. J'étais encore ailleurs.

- Plus vite salope, allez, mets-toi à genoux, vite, et ouvre la bouche

- ...Oui...d'accord...

Je me suis tournée, mise à genoux face à lui et il s'est approché de moi, la queue à la main, en se masturbant. Puis il a émis un grognement sourd. Son sperme a jailli, abondant, en plusieurs giclées. Dans ma bouche, sur mes lèvres, mes joues, mes cheveux, mes seins, mon ventre.

J'en avais partout. Il y en avait aussi sur ma robe qui était restée par terre. Je n'avais jamais vu une telle quantité de sperme pour un seul homme.

- Regarde-moi. Avale ce que t'as dans la bouche, et montre-moi après.

J'obéis. J'avale un peu difficilement, puis j'ouvre à nouveau ma bouche vide. A ce moment, il me prend par les cheveux, et me met sa queue dans ma bouche.

- Tiens une dernière goutte. Et comme ça tu sens le goût de ton cul ma chienne. Allez maintenant lèche mon zeb, nettoie-le.

Je goûtais ce mélange de fluides et d'odeurs. Ce n'était pas désagréable. J'ai léché sa queue avec application pendant environ 1 minute. Puis il a fait un pas en arrière, et a remonté son boxer et son jean.

J'étais toujours à genoux, et j'ai vu les lingettes qui étaient tombées de mon sac. J'essaie de me relever pour aller les chercher, mais ma tête recommence à tourner et je tombe à terre, sur les fesses, puis en arrière. Je suis maintenant étendue par terre, sur le dos. Nue, je sens le froid du béton. Je ne sais pas ce qui se passe. Je vois flou, je distingue une silhouette, j'entends des bruits. Je n'arrive pas à parler.

Au bout de quelques instants je reprends mes esprits. Il est debout, un téléphone à la main, et moi je suis toujours allongée par terre.

- Ça va? Tu te remets? C'est ça la baise avec des rebeus, t'as pas l'habitude, hein

- ... oui.. ça va... j'étais un peu étourdie mais ça va...

- Bon, file-moi ton 06, madame Sandra B...

- ...mais...comment tu connais mon nom?

- Bah j'ai regardé dans ton portefeuille, ta carte d'identité.

- T'as fouillé dans mon sac pendant que j'étais évanouie?

- Bah oui, j'aime bien savoir à qui j'ai affaire. Et puis on peut se revoir non?

Je ne savais pas quoi dire. Je me relevais doucement, attrapais mes lingettes et commençait à me nettoyer sommairement.

- Bon alors ton 06, ça vient? T'as peur pour ton mari c'est ça?

- ...je...en fait, je suis divorcée...

- ahhh...petite menteuse...allez file ton numéro

Je finissais par accepter de lui donner. J'ai remis ma robe, rangé mon sac.

- Tiens je vais t'envoyer un sms pour vérifier, on sait jamais hein que t'essaies de me rouler...

Mon téléphone émit deux bips. Il semblait satisfait.

- Allez salut ma salope, rentre bien dans ton quartier, et à bientôt peut-être ok?

Pendant qu'il s'éloignait et disparaissait, je me recoiffais dans le rétroviseur et j'enlevais tant bien que mal les taches sur ma robe. Il était 23h40 et je devais rentrer chez moi. Je cherche ma culotte mais je me souviens lui avoir donnée. Il l'a gardée. Avant de rentrer dans ma voiture, je vérifie mon téléphone. Et je vois un sms, celui que je venais de recevoir de ce rebeu inconnu. Avec une photo.

Mon dieu. Une photo de moi, prise quelques minutes plus tôt. Nue, sur le sol, inconsciente, pleine de sperme. Avec ce message signé Karim : « Je sais qui tu es. Je sais où t'habites. A bientôt ma pute ».

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8 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a plus d’un an

Cà me fait souvenir d'une aventure quand j'habitais en banlieue, Créteil, avant mon mariage. Mon copain était un algérien, j'ai retrouvé dans ce récit l'absence de complexe, et même de politesse de ce genre de garçon. Je n'ai pas eu la même "chance" car notre accouplement ne fut pas pour moi une folle réussite. En effet, Yacine n'était pas généreusement pourvu par la nature, et sitôt après un début de pénétration, j'ai senti son éjaculation après deux ou trois aller-retour. Lui semblait satisfait, il avait eu ce qu'il voulait. Je l'ai par la suite toujours évité, il devait se vanter d'avoir niqué une "koufar"

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

super excitant j'adore les françaises soumises aux rebeus car elles deviennent des chiennes

AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Mmmm ça démarre fort ! Du "interracial" pur jus...

Sandra_78Sandra_78il y a presque 2 ansAuteur

Merci pour vos commentaires! La suite arrive

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