En Thérapie Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Oui bien entendu, j'utilise mon cerveau et mon corps, cela fait un bon mix.

- Bien nous continuerons mercredi prochain.

- C'est toujours aussi abrupt! Oh je suis désolée votre pantalon est tout taché (elle se mit à rire, autant devant le pantalon que ma mine cramoisie.). Je vous promet je serai plus sage la prochaine fois.

Une grande fatigue s'abattit sur moi. Je m'allongeais sur le canapé qui avait encore sa chaleur et son parfum, et m'endormit ainsi, ne préférant pas penser aux conséquences de ce qui se tramait.

***

J'essaie de calmer ma fébrilité tandis que l'heure de notre séance approche. Je ris de moi comme un collégien pour son premier rencard. J'ai tellement pensé à son cas cette semaine, sachant que je n'arrive pas à mettre le doigt sur la dissonance dans son discours. Sans être inquiet, cela se révèlera tout seul, mais je doute qu'elle ait vraiment besoin d'une thérapie. Je ferais le point avec elle après quelques semaines. Et je voudrais savoir ce qu'elle vient chercher chez moi? Peut être juste à s'amuser?

Elle plonge son regard dans le mien, tandis qu'elle me tend la main. Sans un mot elle va directement s'allonger comme pour prendre les commandes. Elle porte des collants ultra fins sur une jupe écossaise bleue tellement sexy. Je ferme les yeux pour détendre ma libido, endormie depuis longtemps il est vrai, qu'elle a réveillé de façon si brutale la semaine dernière. J'ai bien envie d'autre chose que de l'écouter. Je décide à cet instant d'occulter ce cas à mon superviseur, je sais très bien ce qu'il va en dire. Et je n'ai pas envie de l'entendre. Je sens une pointe de frustration à la vue de ses collants, m'étant enivré pendant des heures du souvenir de sa main agitant doucement son clitoris. Elle m'avait promis d'être plus sage.

- J'ai trouvé très intéressante notre dernière séance, j'ai pu mettre plein de mots sur des choses qui tournaient en moi. Je me suis sentie apaisée et j'ai passé une super semaine. (elle prend la parole sans même que je lui pose une question! Décidément). Et devinez quoi? Je suis sorti avec un jeune homme et j'ai envie de le revoir! Cela ne m'est jamais arrivé.

- Et cela vous a donné quoi comme sensation? (Est-ce une pointe de jalousie en moi. Je me déteste à cet instant. Je devrais être soulagé qu'elle ne fasse aucune mention à l'incident de la semaine dernière, mais pour être honnête j'en suis un peu humilié).

- Une sensation de puissance!

- Est-ce que vous voulez me raconter? (Jamais une thérapie ne fonctionne ainsi, sinon je ne pourrais pas gagner ma vie, tout ceci sent le faux prétexte. Et pourtant il y a quelque chose de profond en elle qui me touche et me rend dingue.)

- La puissance?

- Oui et la rencontre!

- La puissance, c'est plus court, c'est le fait d'être capable, de pouvoir, mais aussi de contrôler et diriger.

- Contrôler et diriger?

- Oui je vous raconte la rencontre. Un homme, appelons le Jean, que je croise depuis quelques années en soirée, nous sommes issus de la même faculté. C'est un tombeur de femmes. Un brun aux yeux noirs, très bien foutu, qui enchaîne les conquêtes. Curieusement on n'a jamais flirté. Je le trouve un peu évident, si vous voyez ce que je veux dire. En sortant de chez vous, je le croise, on prend un verre, on monte chez lui et on fait l'amour.

- Vous avez fait l'amour?

- Oui et là j'ai senti un truc unique : le gars m'a laissé complètement le contrôler. Nous avons baisé toute la nuit, et chaque fois qu'il allait jouir, je le bloquais, lui interdisant de se lâcher. Et au fur et à mesure, il devenait de plus en plus dingue, mais aussi à l'écoute, je le sentais complètement dans le creux de ma main. J'ai adoré cette sensation. Et j'ai jouis encore et encore, et lui pas une seule fois. La situation inversée de d'habitude.

- Et ensuite comment a-t-il réagit?

- Il a trouvé cela magique, il m'a dit toute la nuit que j'étais belle, je le sentais totalement fondre. Et plus je le possédais, plus je le sentais attiré.

- Vous avez fait un lien avec notre séance?

- C'est une évidence, vous ne trouvez pas?

- C'est vous qui devez trouver les réponses, je vous rappelle!

- Ah, Ah! Il n'y a jamais un patient qui vous a hurlé dessus de garder vos réponses toutes faites?

- Je dois avouer plus d'un, mais il faut suivre le protocole. Cela a du sens. (je suis mal, c'est idiot. Jaloux de ce garçon, déçu qu'elle soit si contente et comblée, frustré de ne pas la voir se caresser. Je fantasmais qu'elle vienne sans culotte, je deviens dingue)

- Et pour vous le protocole c'est très important

- Oui bien entendu (je me sens très mal en répondant cela, mais je ne suis pas certain d'avoir perçu une pointe de sarcasme chez elle. A-t-elle tout oublié? )

- Alors oui d'évidence, j'ai fait le lien que les hommes me dégoutaient car une fois qu'ils ont bien joui, il n'y a plus personne, et qu'ensuite la clé est de ne pas les faire jouir.

- Et vous pensez qu'ils sont d'accord?

- Et vous croyez que les femmes sont d'accord pour se faire ramoner sans jamais jouir comme c'est toujours le cas? Non ils ne sont pas d'accord, je me fous des autres femmes, mais avec moi cela devra être comme cela.

- Et ce Jean, il est d'accord?

- En tous cas ses sms sont très enflammés, je vais bien voir à l'usage. Et j'ai très envie en fait de voir à l'usage. Mais cela me semble lumineux. Je suis furieuse de ne pas avoir trouvé cela toute seule.

- Mais vous avez trouvé cela toute seule!

- Oui, enfin vous voyez ce que je veux dire.

- Vous voyez la suite comment?

- Vous voulez que je vous raconte le fantasme que j'ai eu et qui m'a fait hurler comme une hystérique quand j'ai joui? (je n'avais pas fait attention, sa main caresse doucement le nylon ultra fin de ses jambes, je sens presque dans ma main la sensation de ses chairs tendres et délicates. J'essaie de contenir en vain ma respiration, la frustration est remplacée par une tension sexuelle, j'aimerais me masturber là tout en l'écoutant. J'aime sa voix).

- Vous avez envie de me le raconter?

- Oui beaucoup, et je suis certaine que vous avez envie de l'entendre.

- Si c'est important pour vous, bien entendu que j'ai envie de l'entendre.

- Pffft (elle souffle frustrée de mes réponses en biais, elle me touche de beaucoup trop près). Alors je l'ai prévenu de plein de choses. D'abord que s'il voit une autre fille c'est fini il n'y aura pas d'autres fois. Normal non?

- Oui je suppose. Il vous a répondu quoi?

- Qu'après moi il ne pouvait y avoir personne. C'est trop chou! Mais je crois qu'il le pense vraiment. Ensuite que je ne voulais pas qu'il se masturbe pour garder intacte tout son désir. Bon là je suis plutôt certaine qu'il ne va pas tenir le coup, mais au moins il va diminuer ses masturbations.

- Vous pensez qu'il se masturbe beaucoup?

- Comme tous les garçons, voyons. Vous devez savoir cela. Lui m'a dit une à deux fois par jour. Soi-disant par hygiène, mais surtout pour mater les filles sur internet. J'aime l'idée du gars utltra excité qui n'a d'autres possibilités que d'espérer que je lui permette de jouir. C'est excitant vous ne trouvez pas?

- Peut-être pas pour lui?

- Oh je ne le force pas, et si je lis ses messages cela semble bien lui convenir. Ou alors je vaux le coup pour faire cet effort. La prochaine fois, il vient à la maison, je l'attache par les jambes et les bras, qu'il soit complètement à ma merci. Nu bien entendu. Je l'imagine avec son corps musclé, le sexe tendu à la verticale. Je vous ai dit qu'il avait un très beau sexe?

- C'est quoi un beau sexe pour vous?

- Un sexe grand, large, dur, vertical. Qui reste dur tout le temps.

- Ce n'est pas possible malheureusement

- Dans mes fantasmes si et il a intérêt à se conformer avec mon fantasme. Donc une fois attaché, je l'embrasse partout, je me frotte contre lui, je me fais lécher le sexe en m'écrasant sur lui, puis la même chose avec le cul. J'adore me faire lécher le cul. C'est quelque chose de vraiment inouÏ. Vous devriez essayer.

- J'y penserai (l'idée ne m'a même jamais traversé l'esprit et tout sexologue que je suis ce ne sont pas des pratiques répandues, loin de là. Je pense qu'elle me provoque, mais en même temps, elle n'a pas eu le temps de faire un transfert aussi je ne sais pas encore sur quel pied danser. Je crains de projeter mes propres désirs sur elle. Car oui, là je lui lécherai bien le cul).

- Une fois mon cul bien humide par sa salive, je me retourne, et je m'encule directement sur sa queue rigide, en écartant mes fesses pour bien m'ouvrir. Sentir la tension dans mes chairs, mais aussi la brûlure de la pénétration. Je m'enfonce progressivement sur son pieu tendu, me sentant fendue en deux, au bord de la jouissance déjà, l'écrasant de tout mon poids. C'est une sensation de folie que de sentir mon cul se mouler autour de sa bite, de me sentir défoncée au plus profond de mon ventre, de hurler à la fois de souffrance et de plaisir, tout en maîtrisant parfaitement la sodomie. Avant de commencer une folle cavalcade en m'empalant jusqu'à la garde, m'arrachant des cris d'agonie et des jouissances incontrôlables. Oh je l'imagine si bien, je vous ai dit que j'adorais la sodomie?

- Qu'aimez vous dans la sodomie (c'est un murmure qui sort de ma bouche tant je suis proche de l'apoplexie, elle ne semble pas s'en rendre compte).

- La violence, l'impression si forte de pénétration, la profondeur de l'intromission, la relative sécheresse même si je mouille du cul mais rien à voir avec le sexe, la transgression aussi.

- C'est une transgression pour vous?

- Pas pour vous? Ah non vous ne me répondez pas. Peut être que je suis perverse?

- Vous vous sentez perverse?

- C'est vous le spécialiste, moi je me sens normale.

- C'est le plus important.

- Vous allez jouir?

- Euh... c'est de vous qu'il s'agit.

- Vous aimeriez que je vous prenne dans la bouche.

- Mademoiselle!

- Madame (son ton est coupant, presque violent). Pour vous je suis Madame.

- S'il vous plaît, Madame, pouvons nous reprendre? (oh oui j'en pleurerais tellement j'ai envie de sa bouche sur mon sexe. Ai-je raison de résister ainsi?)

- Je continue à m'empaler sur lui (elle reprend comme si de rien n'était) et quand j'ai assez joui, je lui permets de jouir au fond de mon cul. Je l'imagine se cabrer comme un fou, jouir comme il n'a jamais joui et me remplir le ventre de son foutre. Comme il est attaché, il reste à moi, même s'il voudrait, comme les autres faire autre chose. Je me retourne à nouveau, je lui colle mon cul ouvert par son pénis dans la bouche, et je lui ordonne de bien tout lécher.

- Vous pensez qu'il acceptera? (cette fille est d'une perversité folle, je n'en crois pas mes oreilles. Le tout avec une voix sensuelle qui permet de visualiser la scène sans difficulté).

- Dans mon fantasme, oui. Et puis les mecs adorent qu'on boive leur sperme quand ils jouissent dans notre bouche, alors je lui rends la pareille.

- Un peu plus même, non?

- Oui c'est mon côté généreux. Je l'imagine bien me nettoyer, et une fois repue, m'allonger à ses côtés et dormir lui toujours attaché. Ainsi demain matin je pourrais à nouveau l'utiliser comme je le voudrais.

- Et comment ressentez vous votre image dans ce récit.

- Une guerrière, puissante

- Vous ne craignez pas de faire peur aux hommes?

- Je ne lui fais pas peur, je lui fais envie. Et à vous aussi je fais envie, donc non.

- C'est important pour vous de sentir mon envie? (Mon dieu, je n'ai qu'une envie c'est de jouir, de la prendre ou qu'elle me prenne, cette jeune femme est torride je n'en peux plus derrière mon masque impassible).

- Non, je trouve cela juste amusant. Vous essayez d'être impassible, mais tout chez vous crie l'envie de jouir. (Je suis totalement transparent pour elle c'est terrible).

- Si vous le dites! (elle rit, longuement, se lève, regarde mon pantalon déformé par mon désir. Elle laisse les 90 euros prévus et me laisse pantois sur ma chaise.)

Toute honte bue, je vais dans le cabinet de toilette me masturber, je jouis immédiatement, rempli de honte et de frustration, l'envie est toujours intacte. Je me regarde dans la glace, je devrais mettre fin à cette thérapie. Mais je sais que je n'en ai pas la force, je me sais faible. Je ne serais pas là sinon.

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a presque 2 ans

Encore une fois excellent ! Passionnant et très excitant, les visages de Frédéric Pierrot et Mélanie Thierry colle parfaitement, impatient de la suite...

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