En Thérapie Ch. 02

Informations sur Récit
La relation devient terriblement sulfureuse et incontrolable.
5.1k mots
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1
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 08/14/2022
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- J'espère que je ne vous ai pas trop manqué! Il s'est passé tellement de choses il faut que je vous raconte!

- Pourquoi ne m'avez-vous pas prévenu quand vous n'êtes pas venue mercredi dernier? Vous savez que cette heure est bloquée exclusivement pour vous et que je devrais vous la facturer.

- Mais oui, je saurais me faire pardonner! Et puis je vous ai mis un sms pour vous dire que je viendrai ce soir. Bon on ne va pas en faire toute une histoire.

C'est vrai que ce n'est pas important. Souvent ce genre d'absence est un refus d'obstacle devant une vérité qu'on ne veut pas aborder. Evidemment ce n'est pas le cas. Et oui elle m'a manqué. Cela étant ces 15 jours sans la voir m'ont soulagé, et j'ai pu penser à autre chose. Enfin un peu. J'ai pris de bonnes résolutions, mais totalement illusoires puisqu'elles se sont évaporées dès que je l'ai vue. J'aurais aimé en parler avec mon superviseur, comprendre l'effet qu'elle me fait, mais il m'aurait intimé l'ordre de cesser immédiatement la thérapie. Qui n'en est pas une en fait. C'est plutôt une exploration. J'ai le sentiment de l'aider à explorer sa pleine perversion. Pas terrible!

Réciproquement ma libido est en effervescence comme jamais. Cette fille a quelque chose d'inouï. Et elle m'entraîne sans que je n'ai envie de freiner. Je revis. Et je bande!

- Et si vous me disiez ce qui vous a empêché de venir mercredi dernier?

- Bonne idée! Mercredi j'ai pris mon après-midi avec mon petit soumis

- Votre petit soumis?

- Mais oui Jean, je vous en ai parlé.

- Oui bien entendu, mais pourquoi dites-vous qu'il est votre petit soumis?

- Nous avons pas mal avancé ces deux dernières semaines. Je lui ai fait remarquer sa passivité et sa soumission et il a admis être fasciné par moi et vouloir tout faire pour me contenter. Et qu'il aime m'être soumis et que je sois sa Maîtresse.

- Dans une relation SM?

- Je ne sais pas trop si c'est sm ou pas, vous savez, les étiquettes. Disons qu'il fait tout ce que je lui dis, qu'il ne fait rien sans mon accord et qu'il m'appartient. Et moi je fais tout ce que je veux, surtout côté sexuel. Est-ce que c'est sm?

- Cela y ressemble

- Cela vous choque?

- Non bien entendu, c'est un type de relation bien moins répandu que ce que les cinéastes et publicitaires voudraient faire croire, mais cela existe quand même et j'en croise de temps à autre.

- Et vous vous en pensez quoi?

- Du SM? Rien de particulier, c'est une transgression sexuelle comme beaucoup d'autres, qui a en plus une grande variété d'intensité et de pratiques. L'important n'est pas ce que vous faites dans la chambre à coucher, mais que chacun y trouve sa place et son rôle.

- Voilà! Lui son rôle c'est soumis, et moi dominatrice.

- Vous vous sentez dominatrice

- (Elle pouffe) Je suis certaine que cela ne vous a pas échappé

- Oui mais vous?

- Oui bien sur, j'aime tout diriger et tout contrôler depuis toute petite, c'est naturel pour moi. Et vous cela semble bien vous plaire, non? (oh oui mais plutôt mourir que de l'avouer là maintenant!)

- Est-ce que ce ne serait pas pour cela que vous trouvez les hommes ennuyeux?

- C'est évident, je l'ai compris depuis la rencontre avec Jean, voyons!

- Alors tout va bien!

- Mais oui très bien, et beaucoup grâce à vous! (la flatterie ce n'est pas son truc, cela me paraît bizarre. Je sais bien que je n'y suis pour rien)

- Pourquoi continuer la thérapie alors?

- J'ai besoin d'en parler, d'échanger avec vous, de découvrir ce côté de ma personnalité. Si vous saviez les images que j'ai, les envies, je me dit que c'est bien que vous soyez là?

- Par exemple, vous voulez me parler de ces images?

- Oui, non, pas de façon abrupte, vous me prendriez pour une folle. Je vous raconte alors mercredi dernier. Nous avions pris notre après-midi, et j'avais très envie de baiser, mais aussi de l'humilier. J'adore cela, quand il baisse la tête, comme un petit garçon. Sa queue devient toute dure c'est délicieux. C'est trop drôle. Nous sommes allés dans un club échangiste. Il n'y avait quasiment que des hommes ou alors des super vieilles. J'ai baisé pendant deux bonnes heures dans toutes les positions, une baise torride, alors que lui devait me regarder. Je voulais qu'il voit sa Maîtresse si belle, à satisfaire tous ces mecs. Il était fou d'envie. Tellement frustré, sans même pouvoir se caresser. Je l'ai fait mettre à genoux dans un coin face au mur ensuite, qu'il n'entende que mes cris et les râles des mecs en train de jouir.

- Nous sommes rentrés chez moi, il est venu s'installer maintenant, et je me suis empalée sur son pieu. Exceptionnellement, et c'était la première fois depuis notre rencontre et sa première éjaculation, je lui ai permis de jouir dans mon cul. Vous auriez vu cela! Qui a dit que les orgasmes masculins étaient moins forts que les féminins? Il était groggy et je lui ai collé mon cul ouvert et dégoulinant sur la bouche, et pendant ce temps là je lui ai fermé une cage de chasteté sur son sexe! C'est là qu'il a admis qu'il était soumis et qu'il m'appartenait.

- Il a accepté la cage? Comme cela?

- Je lui en avais déjà parlé, et je m'étais pas mal renseigné. Il faut qu'elle soit large pour être confortable, courte pour éviter d'être vue, en métal et bien serrée. Je l'ai pris étroite, car je veux qu'il sente en permanence que je le tiens. Je ne veux pas qu'il soit à l'aise dans sa cage.

- Et comment cela se passe depuis?

- Comme je pensais. Il m'a avoué qu'il se masturbait avant, même malgré mon interdiction. Et là ce n'est plus possible. La fièvre du désir le rempli en permanence, j'ai un soumis super serviable, à l'écoute, qui me fait jouir toute la journée de ses doigts et sa bouche. Je reviens au mercredi toujours, j'étais super excitée de le voir avec sa cage, lui humilié et excité. Je lui ai demandé s'il voulait officiellement devenir mon soumis et il m'a dit oui. Le truc de dingue!

- Pourquoi un truc de dingue? Vous n'aviez jamais rencontré un homme soumis ou passif?

- Bien entendu, si, mais lui c'est un mâle alpha, conquérant, de ceux que toutes femmes veut dans son lit. Alors du coup je lui ai demandé une preuve de sa soumission et de sa confiance en moi. Nous sommes allés chez un tatoueur et je lui ai fait tatoué sur le poignet un motif qu'il n'avait pas vu!

- Il s'est fait tatouer sans savoir ce que c'était? (je suis incrédule, tout cela est si rapide, c'est assez fou. Mais tellement excitant. Sa robe est très sage et serrée aujourd'hui. Une robe droite couleur ivoire, vraiment classe. Je pensais voir sa culotte, mais la robe ne bouge pas. Katia a les mains croisées et caresse ses tétons tous durs qui pointent sous le fin tissu. Elle sait varier son plaisir et le mien)

- Il a fait une drôle de tête quand il a vu le motif : Un fouet avec inscrit au-dessus owned by KD

- Vous êtes sérieuse? (elle se redresse vivement, m'incendie du regard, je comprends que oui. Sa robe remonte et je vois presque sa hanche mais pas sa culotte. Elle m'obsède, sa voix est d'une sensualité torride, et ses propos tout autant. J'ai toujours eu une inclination vers cet univers mais jamais je n'aurais cru rencontrer une telle femme. Peut-être le milieu a-t-il beaucoup changé?)

- Oui je suis sérieuse et lui a compris que je l'étais. Il était finalement très fier tout en se demandant comment il allait faire auprès de sa famille. Moi je lui ai dit qu'il devrait assumer. Et être fier de m'appartenir!

- Vous ne pensez pas que ces relations doivent rester intimes? Là vous le forcez à l'étaler au grand public.

- Oui c'est ce que je veux, justement, que tout le monde sache que je suis sa Maîtresse et que je suis dominante et que lui ne compte pour rien.

- Il ne compte pour rien?

- Dans notre couple, non, je décide de tout dans sa vie. Et dans la mienne évidemment! Donc toujours ce mercredi, je n'ai pas fini, je lui propose de fêter cela, entre la cage et le tatouage, je décide de le dépuceler. Nous allons dans un sex shop un peu haut de gamme à Pigalle et je prends une culotte gode. Vous savez ce que c'est?

- Oui bien entendu.

- Oh vous avez déjà été sodomisé comme cela? (Elle s'est retournée vers moi, le sourire carnassier)

- Madame, s'il vous plaît,

- J'aime bien quand vous m'appelez Madame, vous savez?

- C'est vous qui me l'avez demandé!

- C'est bien vous êtes bien obéissant. Nous rentrons à la maison, et je passe la soirée à le sodomiser. Je n'avais jamais fait cela. La culotte est confortable, je l'ai fait mettre à 4 pattes, c'était magnifique de voir son sexe enfermé dans la cage par derrière. J'ai pris du lubrifiant, mis un puis deux doigts dans son cul. Il m'a avoué n'avoir jamais rien mis dans son petit trou! Quelle absence d'éducation quand même. J'ai mis un troisième doigt, il a commencé à souffler. Il faut dire que j'ai pris un gros gode, je voulais bien le défoncer. Du coup j'ai enfilé le gode et je suis venue à 4 pattes derrière lui. Il tremblait de peur, c'était drôle. Je me suis enfoncée comme dans du beurre. Lui l'a ressenti un peu différemment, il s'est mis à couiner quand j'ai commencé les allers et retours. Je sais bien ce que j'aime ou pas dans la sodomie, aussi j'ai tout essayé avec lui. Surtout ouvrir juste l'anus puis ressortir dans de petits mouvements. C'est épuisant, cela rend dingue, et j'adorais le voir délirer comme cela. Puis m'enfoncer d'un coup. J'ai perdu la notion du temps, il s'est écroulé allongé sur le ventre, mais j'ai continué encore et encore, regrettant de ne pas avoir pris un gode énorme pour le trouer définitivement. J'étais extatique.

- C'est pour cela que vous n'êtes pas venue

- Voilà c'était quand même tellement plus jouissif ainsi. Je prenais mon premier homme, enfin un soumis, ce n'était pas un homme. Vous en pensez quoi?

- Que vous avez l'air très épanouie et heureuse de votre rencontre

- Cela vous exciterait de vivre cela aussi?

- Tssst tssst! Ma sexualité n'a pas d'importance.

- Pour moi si quand même

- Bon alors pour éviter que vous ne vérifiez de vous-même, je suis en érection effectivement.

- Vraiment? Vous me le dites! Eh bien Docteur je suis très heureuse de vos progrès

- Je ne suis pas certaine que le déontologue parlerait de progrès. J'aime vous savoir excité

Si cette journée du mercredi fut un point d'orgue pour Katia et son soumis, les autres jours furent d'une intensité érotique affolante. Katia était une manipulatrice et une dominatrice hors pair, j'en étais certain.

Quand il fut l'heure d'interrompre la séance, je fis remarquer à Katia qu'elle devait aussi me régler la séance de la dernière fois.

- Oh c'est vrai c'est ce qui est convenu. Je vous avais dit que j'allais me faire pardonner.

Elle se penche sur mon bureau, relève de quelques centimètres sa robe, et m'offre son postérieur dénudé, son abricot déjà ouvert et humide. Ses fesses sont relevées, sa chute de rein magnifique, l'image est irrésistible. Elle était sans culotte pendant toute cette heure à quelques centimètres de moi! Mon sexe n'en peut plus. Je ne peux et ne dois pas céder à l'invite. Mais je suis bien trop faible. Mon pantalon est déjà sur mes jambes avec mon boxer. Mon sexe à l'horizontal, qu'elle prend dans une main pour me guider entre ses lèvres. La sensation est affolante, je réalise qu'elle ne m'a même pas mis un préservatif. Je la pénètre profondément, sentant son corps vibrer, ses mots m'encouragent à la prendre plus fort, plus vite, plus profondément. J'essaie de me retenir le plus possible, mais ses mots m'envoutent et je hurle ma jouissance en elle, sentant des flots ininterrompus de sperme la remplir.

Je me redresse, je me rajuste, Katia ne dit rien. J'ai encore envie d'elle. J'hésite, mais j'approche ma bouche de ses fesses que j'écarte, et je lèche son petit trou d'un rose clair étrange. La sensation est unique, je ne la connaissais pas. Elle gémit, me traite de tous les noms, me dit que la prochaine fois je ne jouirais que sur son ordre, m'intime de lui lécher son sexe. Je n'hésite pas, ma bouche sur son vagin béant. Sa mouille mélangée à mon sperme, cela me dégoute mais je la lèche. Je descends plus bas, autour de son clitoris, elle jouit très vite, expulsant du sperme sur mes cheveux. Quand elle reprend ses esprits, elle rajuste sa robe et sans un regard s'en va en me rappelant qu'elle sera là mercredi prochain.

Hagard, je me regarde dans la glace. Je ne ressemble à rien. J'ai fait la pire connerie qu'un thérapeute peut faire. Et je m'en fous. Je n'ai qu'une envie, c'est de recommencer avec elle.

+++

Nouvelles résolutions cette semaine, je vais mettre les choses au clair avec Katia. Evidemment qu'elle me trouble, inutile de le nier, cela ne ferait qu'empirer mon désir. Elle a réveillé en moi d'anciens désirs que j'avais étouffés, puis oubliés. Je suis troublé par sa beauté, mais ce n'est pas le principal. Son aura, son autorité, sa facilité aussi me troublent et m'envoutent. Je suis entouré de personnes qui sont mal et souffrent, viennent avec leur faille, et je suis dans ma zone de confort, le sauveur, le thérapeute. Avec elle, rien de tout cela, c'est elle qui mène le jeu depuis la première minute, et moi qui me laisse faire. Qui ai terriblement envie de me laisser emmener sur cette pente dangereuse qui ne peut que me mener à la catastrophe.

J'ai changé de tactique, au lieu de refouler mon désir de domination et de femmes fortes, je m'y suis adonné à fond. J'ai retrouvé le plaisir des récits érotiques sm, les photos de femmes dominantes, les fantasmes masculins. Je lis beaucoup de témoignage et me remplis de cet univers. Puis j'ai eu une idée de dingue pour me protéger de son emprise, je suis allé voir une dominatrice professionnelle. Ce n'est pas le même tarif qu'une séance, mais il faut avouer que c'est bien plus intense. Pendant les deux heures où je me suis fait rabrouer et surtout fouetter sur tout le corps, je n'imaginais qu'une chose pourtant, que c'était Katia qui était là avec moi. Malgré tout cela m'a fait un bien fou, je me suis enfin senti libéré quand la Maîtresse m'a fait jouir à la fin de la séance. Une jouissance honteuse et misérable, mais enfin la tension était apaisée. Je pouvais aborder la prochaine séance serein et professionnel.

- Bien maintenant on peut commencer.

Ce n'était pas même une question, elle s'est levée et allongée sur le canapé. Je venais de lui faire un discours pour lui expliquer que nous ne pouvions pas continuer dans cette voie, que si elle avait besoin d'un thérapeute, je n'étais pas son amant et que je n'aurais jamais dû aller aussi loin. Elle avait semblé pas du tout ébranlée et m'avait simplement donné son accord. Mais allongée avec sa légère robe fleurie orange je pouvais déjà voir la naissance de son sexe qui n'était recouvert par aucun tissu! La décharge dans mon sexe fut terrible, j'en perdis à nouveau tous mes moyens. Si j'en avais eu besoin, c'était bien la preuve de ma faiblesse qui m'avait fait me réfugier dans ce métier.

- Est-ce que vous pourriez rabaisser votre robe? (ma voix est bien mal assurée)

- Elle est très bien ainsi. Vous avez remarqué? J'ai l'habitude de me caresser quand je réfléchis, cela me détend.

- C'est assez gênant.

- Parce que cela vous met dans tous vos états, mais là c'est moi qui paie alors à vous de maîtriser votre libido. C'est bizarre comme c'est toujours aux femmes qu'on demande de maîtriser la libido des mecs : foulard dans les cheveux, jupes longues et que sais-je.

- Comment allez-vous? (je préfère changer de sujet d'autant qu'elle a légèrement écarté les cuisses et que je me régale de son doigt s'enfonçant entre ses grandes lèvres. Je ne perds rien de son décolleté non plus, je paierai cher pour pouvoir y glisser ma main. Oh oui j'en ai tellement envie. La dominatrice d'hier est déjà loin quand bien même je garde des traces cuisantes.)

Les séances s'enchainent et je ne vis plus que pour celles-ci. Je délaisse ma clientèle, refuse de nouveaux patients, me perds sur Internet pour épuiser sans succès ma libido en ébullition. Katia me narre semaine après semaine toutes les humiliations et contraintes qu'elle impose à son petit soumis comme elle l'appelle. J'ai d'abord eu de la compassion pour lui, manipulé comme cela. Puis un certain mépris, ce garçon est une vraie lope à tout accepter ainsi. Mais aujourd'hui c'est une sorte de jalousie que j'ai, Katia est une femme dominatrice vraiment exceptionnelle. Quand je lis les forums, je mesure à quel point elle est perverse et sadique.

Elle me raconte le plaisir qu'elle prend à flirter avec les amis de son soumis, puis de les amener aux toilettes pour baiser avec eux, au vu et au su de tout le groupe d'amis. L'humiliation de Jean étant totale. Un jour en boîte de nuit, elle est repartie avec l'ami de Jean, sans même prévenir ce dernier qui est resté tout seul. Une ou deux amies sont venues le consoler, mais avec sa cage de chasteté c'est encore plus humiliant. Elle a eu alors l'idée d'inviter toutes les copines et de forcer Jean à se déshabiller et à montrer pourquoi il ne draguait plus personne. Certaines ont été choquées, mais d'autres ont trouvé cela très amusant et ont retenu l'idée. Très rapidement Jean s'est retrouvé isolé, n'ayant plus que Katia dans sa vie. Ce qu'elle voulait. Qu'il ne soit dépendant que d'elle et lui semble y trouver son bonheur. Je suis certain que j'y trouverais le mien.

Bien entendu, je ne prends pas tout au pied de la lettre. Je ne remets jamais en doute ce que me dit le patient, que les faits soient réels ou pas, l'important c'est que le patient ait eu envie de me dire cela. Et le plus important est rarement ce qu'il dit, mais pourquoi il le dit. Pour ma patiente, de façon narcissique j'en conviens, je pense que c'est d'abord pour me provoquer et m'exciter. Elle vérifie toujours que mon sexe est bien bandé quand elle repart. J'ai d'ailleurs troqué mes boxers pour des caleçons qui entravent moins mon érection, et la rendent très visible. Mais depuis des semaines, en fait depuis mon laïus, elle ne me touche plus. Je le regrette. Ce qui m'ennuie un peu, en tant que thérapeute, c'est que je crains un effet retour. Que pour atteindre ses objectifs en séance, elle fasse subir à ce pauvre garçon des sévices et tourments qu'elle n'aurait pas faits sinon.

Pourtant c'est elle qui est revenue sur ses fantasmes du début qu'elle ne m'avait pas dévoilés. Elle a une violence contre les hommes inouïe, que rien dans son histoire ne me semble expliquer. Son rêve est d'émasculer son soumis, de le pendre par les couilles et de le battre jusqu'au sang. Elle rêve d'un cheptel de mecs à son service, qu'elle maltraite et humilie sans cesse. Tout cela toujours avec sa voix sensuelle, et son index profondément enfoncé en elle. Je la sens haleter avant d'exploser dans un orgasme bruyant qui me laisse haletant. Elle retrouve ses esprits plus vite que moi, et continue comme si de rien n'était. Jamais un patient n'avait joui dans mon cabinet!

Cela fait maintenant trois mois qu'elle est venue me voir pour la première fois. Trois mois que je ne vis plus. Ma glissade continue et cette séance ne présage rien de normal. Je suis nul en intuition, mais je sens l'air électrique dès qu'elle rentre.. Katia arrive avec des talons démesurés qui la rendent bien plus grande que moi et très impressionnante. Sa poitrine est à peine contenue dans un haut croisé qui descend jusqu'à son nombril, séparant ses deux globes somptueux. Je dois ressembler au loup de Tex Avery, tellement mes yeux sortent de la tête. Je ne fais plus l'effort de soutenir son regard et je reste rivé sur sa poitrine fantastique. Sa jupe ressemble plus à une ceinture tant elle est courte et laisse voir le rebond de ses fesses. Il fait certes très chaud, mais cela dépasse l'entendement. Sur une autre femme elle aurait l'air d'une prostituée, mais chez Katia, c'est juste ultra sexy. J'ai la bouche sèche. Il me faut toute mon éducation pour ne pas lui sauter dessus.

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