En Perdition Ch. 02

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Je me laisse porter par les désirs d'Océane.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 03/16/2024
Créé 01/03/2024
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Je ne vois plus mon compagnon d'infortune, seul le plafond me fait face. De toute façon je n'en ai cure je suis dans des souffrances inouïes, je tremble de tout mon corps. Je me sens totalement animal, je n'ai aucune pensée cohérente, aucune conscience, je souhaite juste que cela s'arrête, ou au moins que cela diminue, en fait je ne sais même pas ce que je souhaite.

Si ma tête regarde le plafond c'est que j'ai une minerve trop serrée autour du coup qui force ma tête à être cassée vers l'arrière, provoquant d'intenses et rapides souffrances dans mon cou et le haut de mon dos, sans oublier ma mâchoire : en effet, en guise de bâillon a été inséré un large cylindre recouvert de cuir, avec une entaille en-dessous et au-dessus permettant à mes dents de se refermer dessus. Il est si large qu'il a fallu qu'elles se mettent à deux pour me l'enfoncer, le soulagement du renfoncement pour mes dents étant de courte durée, tant la tension est atrocement douloureuse et je suis en totale panique de ne pouvoir le retirer d'aucune façon. Je n'arrive pas à calmer cette panique qui s'exprime en pleurs, et fait rire mes tortionnaires. Je suis moins qu'un animal pour elles.

Mes couilles sont lestées de poids, eux-mêmes attachés par un élastique épais à un treuil situé sous moi. La tension sans le treuil est très douloureuse, je me sens tiré vers le bas, sans pouvoir bouger puisque mon sexe est lui tiré vers le devant et mes tétons vers le haut avec un mécanisme similaire. Pour compléter, une machine à baiser me ramone le cul avec un objet bien trop gros pour moi, bien trop dur et bien trop long. Je me sens déchiré de partout.

Ma responsable m'explique enfin :

- Devant toi, le boitier qui clignote est relié à tes couilles, ton gland, ton gode métallique dans le cul et à tes tétons. C'est un générateur plus ou moins aléatoire de décharges électrique qui vont jusqu'à 110 volts. Nous avons un capteur pour savoir si tu t'es évanoui, et venir te réveiller. Tu vas recevoir ces décharges en continu, interdiction pour toi de dormir pendant ces prochaines quarante-huit heures.

- Rassure-toi, ton dressage va durer bien plus longtemps, là c'est juste une mise en condition, que tu saches ce que cela signifie qu'une punition, disons, légère, chez nous! (Elle rit). Très vite tu comprendras et tu seras un bon toutou, tu me parais bien faible psychologiquement, je ne prendrai pas beaucoup de plaisir à te détruire!

- Dans ton bâillon, toutes les heures tu recevras à boire, c'est un mélange de pisse de cheval et de chien. Tu bois ou tu ne bois pas, c'est comme tu veux. Toutes les trois heures tu reçois un pâté, là aussi tu manges ou tu ne manges pas. Tu verras c'est impensable comme c'est immonde, mais nutritif.

- Puisque tu n'as pas de question, je vais te laisser profiter, et surtout pense à ta Déesse, et remercie la pour tout!

***

Quelques jours plus tôt

« Sais-tu masser? »

Le message me surprend, je m'attendais à une demande bien plus hard. Je me demande dans quoi je m'embarque. Peut-être je devrais tout arrêter, mais cette idée s'envole aussitôt, jamais je n'ai vécu aussi intensément, et ce n'est pas comme si j'avais une alternative. Non, je ne sais pas masser. Je reçois un nom, bizarre, et un numéro de téléphone. Je n'aurais droit de revoir Océane que quand je saurai masser!

Nala est une très belle femme, d'une quarantaine d'année, avec un accent très bourgeois. Elle est mince, très mince, presque maigre, malgré tout avec une poitrine moyenne qui ressort sur son corps exsangue. C'est la propriétaire d'une cabine d'esthétique très chic à Victor Hugo, temple de la féminité, où je me sens gauche et déplacé. Les femmes me regardent de travers, et je préfère regarder mes pieds. Les autres employés l'appellent Madame Lefébure, je ne sais pas pourquoi je dois l'appeler autrement. Je la sens tendue, crispée, rien de très agréable, mais elle attend ma venue puisque nous nous sommes accordées au téléphone. Elle doit m'apprendre à masser suivant les désirs de ma propriétaire. C'est ainsi qu'elle a appelé Océane, c'est à la fois humiliant pour moi et excitant.

Elle me précède et me fait rentrer dans une cabine très spacieuse, la lumière est tamisée, la musique est douce, et l'odeur est fraiche. Je suis surpris de trouver une jeune femme allongée, nue, sur la table de massage, pas même recouverte d'une serviette. Elle semble plutôt jolie même si je ne la vois que de dos. Son visage est enfoncé dans le coussin, elle ne bouge pas, ne dit rien, garde ses jambes légèrement écartées.

Nala m'ordonne de me déshabiller entièrement, cela soulage la tension dans ma ceinture que la vue de cette jeune femme a provoqué. Je suis déjà très en manque de jouissance, je ne pense qu'à cela. Je n'ai pas réfléchi et me voici en ceinture de chasteté devant ces deux femmes, Nala ne semble aucunement surprise, je suppose qu'Océane a dû la prévenir! Curieusement je n'ai pas honte, voire je suis fier de montrer qu'ainsi j'appartiens à sa cliente. Elle est là pour m'apprendre à masser et m'informe que cela ne devrait pas dépasser les cinq séances prévues quotidiennement. L'apprentissage sera progressif. Le plus important, après l'huile de massage, c'est d'être connecté avec la personne que je masse, afin de sentir quand je lui fais du bien, quand il faut insister, et surtout quand il faut passer à l'étape suivante.

J'apprends ainsi à commencer par les épaules et le haut des bras. En posant mes mains timides sur la femme ainsi offerte, je sens une décharge électrique, rien que la douceur de sa peau me donne envie de jouir. Je découvre alors dans son cou un petit tatouage, un cadenas dessiné avec deux lettres entremêlées que je n'arrive pas à distinguer, concentré sur ses émotions à elle. La chair est ferme et la masser est incroyablement sensuel. J'apprends à descendre sur le dos, masser les côtes flottantes, le chakra en bas de la colonne vertébrale, je sens ma poupée détendue, soupirer d'aise, c'est grisant.

La sévère Nala me montre alors comment glisser un coussin sous les hanches de la jeune femme, mettant ainsi en avant son postérieur, dévoilant son trou sombre mais aussi son sexe que je découvre suintant. Elle n'a toujours dit aucun mot et se laisse ainsi utiliser. Mon sexe me torture dans sa cage trop petite, j'aimerais tant au moins le toucher, le laisser se développer, j'ai terriblement envie de jouir. Je gémis sans même en avoir conscience.

Je suis repris par Nala qui m'ordonne d'écarter doucement les fesses ainsi offertes, faisant légèrement béer son anus. Les chairs intimes se dévoilent. Je suis interloqué quand je reçois l'ordre de la lécher, et de faire pénétrer ma langue le plus profond possible. Je ne suis pas d'un naturel dégoûté, mais je n'ai jamais pensé à une telle pratique! Mais je me soumets, curieux de la sensation. Elle est étrange, rien que je n'ai déjà connu. Je sens à la fois une surface lisse, et une tension énorme en-dessous, comme un sandow. La jeune femme gémis doucement, ses hanches poussant son cul vers moi, c'est grisant, ne serait-ce que cette damnée ceinture de chasteté. Que de plaisirs je découvre. Je la lèche, l'ouvre doucement de ma langue pendant une bonne dizaine de minutes avant que je ne doive enduire mes mains d'huile pour lui masser les globes fessiers, puissants et fermes.

C'est délicieux, pour moi, comme pour elle, je me sens fusionner avec cette inconnue, sous l'œil toujours agacé de Nala. On dirait une surveillante de lycée! Puis je dois enduire mes doigts d'huile, positionner mon pouce sur son anus, le masser doucement, le détendre, tandis que la pression le fait rentrer naturellement. Les chairs s'éclaircissent, mon pouce est happé, c'est si lisse à l'intérieur. Mon cobaye n'est que gémissement. Je change de doigt, c'est l'index, il rentre doucement, il est pressé même si elle détend son cul, je la masse de façon circulaire, avant de faire de doux allers et retours. Je sens, comme par magie, l'anneau se détendre progressivement, pouvant alors glisser un second doigt et bien plus tard un troisième doigt. La pression reste forte, mais je peux faire des va et vient rapide, m'enfonçant complètement avant de ressortir pour replonger en elle. Les gémissements se sont transformés en cris de plaisir. Je suis surpris quand je l'entends hurler, son corps couvert de spasmes, ignorant qu'une femme pouvait jouir de la sorte!

Je dois ralentir mon rythme, retirer doucement mes doigts, les nettoyer au lavabo du coin, avant de lui refaire un tendre massage du dos, pour la détendre après cette tension maximale. La séance se termine, je dois me nettoyer, me rhabiller, toujours sans un mot de la demoiselle.

- Demain même heure, mais vous viendrez avec une culotte en soie rose.

L'idée m'excite, l'humiliation que la jeune femme ait entendue aussi. J'aime ces ordres, en eux-mêmes presque plus que ce qu'ils imposent. Je suis contrôlé, dirigé, et c'est infiniment reposant et excitant.

***

Les jours suivant ressemblent à ce premier exercice. Mais les femmes sont chaque fois différentes, restant toujours aussi muettes, Nala toujours aussi stricte, et moi de plus en plus ridicule. Puisque si le second jour j'ai dû me mettre en culotte rose, le lendemain j'ai dû ajouter un soutien-gorge assorti, puis des bas fins avec porte-jarretelles intégré. Enfin le dernier jour, il me fut demandé de venir avec des escarpins d'au moins dix centimètres sans plateforme. J'ai passé la journée à les trouver, avant de me tourner vers un magasin réservé aux travestis, où, sans état d'âme, la vendeuse m'a fourni une paire, somme toute confortable. Mais j'ai dû faire le massage ainsi affublé, mes poils naturels ressortant de façon assez obscène.

Nala m'ayant déclaré prêt, je suis ce soir à genoux dans l'entrée de l'appartement d'Océane, affublé des mêmes accessoires, attendant la sonnerie d'une clochette m'informant que je dois venir la masser. Elle habite le dernier étage d'un ensemble d'immeubles neufs dans un quartier calme de Paris, je dirais presque mort. Apparemment c'est ce que préfèrent les personnes aisées! Rien que l'entrée doit faire la surface de mon studio, je ne la pensais pas faire partie de cet univers. Je me redresse en entendant la clochette, amusé du bruit de mes talons que le marbre par terre. Je pénètre dans un très beau salon traversant, suivant le son qui me guide vers une des portes fermées.

La pièce est à peine éclairée, avec un parfum dix et frais, une musique aux relents asiatiques que je reconnais comme étant celle du salon. Toutes les trois minutes une cloche signifie qu'il faut changer le massage effectué. Sur une table, Océane est allongée comme les femmes que j'ai pu masser toute la semaine. Mon cœur bat la chamade, je suis tout intimidé. Elle est toute en courbure, douce, féminine, invitant à les suivre, les caresser. Je comprends à cet instant la célèbre œuvre de Courbet, pas sur le plan biologique, mais celui de la matrice, de la féminité sublime qui s'offre à mes yeux à cet instant. La pâleur de la chair n'a d'égal que la douceur de sa peau, que je touche avec délicatesse, après m'être longuement enduit les mains afin de réchauffer l'huile. Je me sens complètement fusionner en la massant, me remplissant des mille sensations renvoyées par ma peau. Je n'avais jamais envisagé le massage comme un échange qui nourrit l'un comme l'autre. J'oublie tout, je ne suis plus que ces mains au service de son plaisir.

Les hanches relevées, je découvre son cul qui me semble plus détendu que celui des autres cobayes. Je me souviens du plaisir anal qu'elle avait pris avec moi lors de notre première rencontre. Ma langue s'enfonce facilement en elle, je regrette qu'elle ne soit pas plus longue, j'aimerais la lécher ainsi au plus profond de son âme. Lorsque mes doigts ont envahi sa cavité secrète, c'est une jouissance unique que de sentir son élasticité jouer de mes doigts avides, très rapidement j'en ai quatre, je la masse de l'intérieur, c'est divin, je prends mon temps, son cul s'évase magiquement, comme un tourbillon, je la sens vibrer à l'unisson, je prends mon temps, je ne cesse de remplir mes mains d'huiles pour que tout glisse tendrement. Enfin je me décide de joindre le pouce, dubitatif que je puisse ainsi rentrer ma main. Et pourtant minutes après minutes, je sens les résistances s'élargir, le souffle court d'Océane, jusqu'à ce qu'elle prenne ma main pour me guider, l'enfoncer autoritaire, je sens le passage qui est forcé, jusqu'à la libération de mon poignet qui envahi complètement son cul, aspiré par elle, enserré dans une gaine serrée. Je suis en elle, si j'étais en position je dirais que je la possède, mais évidemment je n'oublie pas mes hauts talons et ma tenue et que c'est elle qui m'a amené ici! Je déplie mes doigts, m'enfonçant plus profondément encore jusqu'à cogner au fond, même si je sens que je pourrais aller plus loin, je n'ose pas, mais je fais de mouvements de va et vient, elle gémit en continu, ma main la fiste longuement avant qu'elle ne m'ordonne, premiers mots, de maintenir ma main en elle, tandis qu'elle pivote, passe ses jambes et se retrouve sur le dos, la bouche ouverte, les yeux clos. J'insère deux doigts dans son sexe trempé suivant son injonction, massant la partie haute de son vagin, tandis qu'elle titille son clitoris, ondulant des hanches de façon de plus en plus importante. J'ai une vue unique sur son sexe ainsi ouvert, son ventre rebondi, ses hanches dessinées, ma main toujours emprisonnée profondément en elle.

Quand enfin elle jouit, dans un râle bruyant, je suis inondé d'un liquide chaud et inodore. Sa jouissance dure de nombreuses minutes, tandis que je garde mes mains en elle, la caressant doucement. Je retire mes doigts du sexe, puis doucement ma main de son cul, la tournant progressivement, la faisant bondir quand le poignet passe! J'enlève le gant en latex que je jette dans une poubelle hermétique, épuisé par ce massage très particulier et violent. J'ai les jambes qui tremblent, les pieds douloureux, mais je me sens euphorique. Quelle expérience encore!

- Quand tu ne sais pas quoi faire, tu te mets à genoux, tu baisses la tête et tu penses à moi.

J'obéis immédiatement, restant là de nombreuses minutes à ses pieds, avant qu'elle ne se décide à bouger. Assise sur le bord de la table elle me regarde longuement.

- Voici donc ma petite pute, tu es très mignonne ainsi!

- Merci euh... Maîtresse

- C'est bien, tu peux plutôt penser à moi comme ta Déesse, je veux que tu m'idolâtre.

- Oui ma Déesse

- Viens, je vais maintenant m'occuper de toi. Tu restes à quatre pattes, sauf quand je te dis le contraire.

- Oui ma Déesse

Nous sortons, moi la suivant difficilement à quatre pattes, cela donne une sensation assez étonnante que d'être réduit ainsi, les yeux rivés sur ses pieds, jusqu'à une autre pièce au bout d'un couloir. L'ambiance est différente, le bruit semble complètement absent, c'est étrange. La pièce est très grande avec beaucoup de meubles que je n'identifie pas. Le sol est couvert de moquette, Océane met de la musique, l'éclairage est tamisé. Je suis attaché solidement à un banc, la tête et les bras plus bas que les fesses totalement exposées, mon sexe reposant sur une planche verticale exposant mes couilles compressées en permanence par ma ceinture de chasteté que j'oublie souvent maintenant.

- Tu ne parles que quand je te demande. Tu n'as rien à dire qui ne m'intéresse. Me dire que tu as mal, soif, faim ou quoi que ce soit ne m'intéresse pas.

Intelligemment je ne réponds pas, mais je suis mortifié en moi-même, la tournure me semble vraiment poussée et je repense à tous les mots qu'elle a pu utiliser pour le fait de lui appartenir.

Ses mains me massent le dos, c'est délicieux, je sens sa force et sa puissance. Sans surprise, elles viennent rapidement ouvrir mon cul, je me détends autant que possible, tandis que je sens de plus en plus de doigts m'ouvrir. C'est un mélange de plaisir, dérangement, douleur, mais j'adore que ma Déesse s'occupe ainsi de moi. Je suis en manque quand les doigts se retirent, vite remplacés par un objet oblong que je sens peser sur lui, déjà rentré en partie dans l'anus lui-même. La pression se fait forte, mon cul s'évase, les allers et retours sont de plus en plus profonds, je me sens déchiré, je gémis sans pouvoir me retenir, elle me coupe en deux.

C'est au moment où je vais craquer que je sens une pression extrême exercée par sa main, et mon cul se refermer légèrement sur un morceau plus étroit de l'objet qu'elle m'a introduit et que je sens déformé mon rectum. Je suis totalement envahi, l'objet semble avoir trouvé sa place élargissant mon cul à l'extrême. Je pousse, rien ne se passe, je me contracte, rien non plus. Je comprends qu'elle m'a enculée avec un plug, un très gros plug sans doute.

- Une femelle doit toujours être bien remplie, cela sera ton quotidien en permanence maintenant. Je veux que tu ne penses plus à toi comme un homme, mais comme une femelle, le masculin ne te sied pas. Tu es ma femelle et je te veux parfaitement obéissante.

Je ne sais pas si c'est exprès, mais ces mots m'excitent profondément, comme cette sensation d'être enculée en permanence, de penser à moi en femelle, c'est une révolution qui me bouleverse!

Mon émotion est cassée nette par une brûlure qui traverse mes fesses tendues. Les coups se succèdent lentement, me faisant bondir et crier à chaque fois. Je perds le compte, peut-être vingt ou trente, je ne sais pas, je sanglote. La canne est remplacée par une cuillère en bois qui vient frapper mes couilles offertes par mes cuisses écartées et ligotées. Je saute sans effet sur la douleur qui irradie dans tout mon ventre. Je couine, je me sens une truie, Océane continue longuement, je vois qu'elle se caresse en me martyrisant, et je suis soulagée de la voir enfin jouir espérant, avec raison, que mon calvaire se termine.

- Je prends un plaisir incroyable à te faire souffrir ainsi, je crois que c'est le début d'une grande relation. Jamais je n'ai prix autant de plaisir dans le sadisme.

Je ne sais pas si je devrais être flatté, je suis terrorisé sur ce que cela signifie à l'avenir. Mais curieusement, pas une seule seconde l'idée de m'enfuir ne me vient.

- Tu vas passer une semaine ici, pour que nous nous connaissions mieux. A la fin de cette semaine tu pourras reprendre ta liberté pour une dernière fois. Si tu restes, ce sera définitif, et tu n'auras plus aucune échappatoire, tu verras.

J'enregistre, sachant que je n'ai pas du tout prévu de m'absenter une semaine, j'ai un travail, des sorties prévues. Mais Océane ne semble pas en tenir compte. Et je n'ai pas le droit de m'exprimer. J'ai une vague de stress qui m'envahi, qu'est-ce que je dois faire?

Ma Déesse me passe un collier en cuir qu'elle serre trop fort, avec un anneau sur le dessus. Elle y passe une laisse et après m'avoir détaché, m'amène à quatre pattes dans le salon. Halluciné, j'y découvre Nala attendant à genoux, les mains sur la tête, les cuisses écartées, nue sauf un corset qui la serre atrocement. J'avais deviné des anneaux à ses tétons, mais ils sont bien plus nombreux que je ne pensais, trois ou quatre à chaque téton, tandis que son sexe est couvert d'anneaux dorés, le fermant hermétiquement. Elle est mince, presque maigre, sauf ses seins qui paraissent gros en comparaison, étranges, déjà très pendant pour son âge je trouve. Jamais je ne l'aurais imaginée soumise, bien au contraire.

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