Emprise sur la Ville - Acte 08

BÊTA PUBLIQUE

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- Ne t'inquiète pas ma belle. Tu es magnifique. Comme j'aime. J'ai même demandé qu'on retouche ton nez que je trouvais trop épaté.

Slampa Lämnats n'osait pas prendre le miroir que le médecin avait posé sur le lit.

- En plus, continuait Joséphine, on a réduit les poches sous tes yeux et tiré tes paupières du haut. Avec le léger lifting, tu es une beauté absolue.

Slampa buvait les paroles de la brune.

- Maintenant regarde toi.

- Je n'ose pas. Vous êtes certaine que je suis regardable?

- Obéit. Regarde-toi

Slampa Lämnats découvrit son nouveau visage avec joie et circonspection. Était-elle encore celle qu'elle croyait être? Elle ne ressemblait plus à la jeune femme de 32 ans qu'elle voyait dans son miroir avant son agression.

Les jours passèrent et l'emprise de Joséphine s'intensifiait. Slampa laissa l'inspectrice l'embrasser.

- Donne moi ta main ma belle, commanda t elle

La scandinave laissa la brune utiliser sa main pour se masturber. Quand, Joséphine jouit debout, à côté du lit, en se frottant avec la main, Slampa fut contente.

Puis les jours d'après, on retira les bandages des seins pour découvrir une énorme poitrine sans aucune cicatrice. On retira également la sonde urinaire qui permit enfin à la blonde de se lever.

- Tu es exactement comme je l'espérais ma belle.

- Merci, murmura Slampa devant le miroir de la salle de bain.

Complètement nue, la scandinave admirait la femme au visage de top model, à la poitrine énorme et à la taille hyper mince.

- Oui... j'ai également demandé une liposuccion pour ton ventre et ta taille. Tu es ma poupée.

- Vous m'aimez comme ça?

- Oui. Et encore, il reste des choses que tu vas découvrir.

Jeanne allongea Slampa sur le lit sans lui permettre de s'habiller. Elle écarta ses cuisses et ouvrit les lèvres avec son pouce et son index.

- Regarde ton clitoris ma belle. Le chirurgien a modifié la base et le capuchon. Dès que tu seras un peu excitée, tu jouiras très vite.

Pour démontrer son propos, l'inspectrice massa doucement le bouton. Slampa ne comprenait pas pourquoi elle laissait cette femme la masturber. Elle s'étonnait de ne pas être révoltée. Mais rapidement la douce caresse réveilla son plaisir et comme une vague incontrôlable, un puissant orgasme la terrassa. Elle hurla dans sa chambre. Longtemps. Sa tête tournait. Son ventre papillonnait encore tandis que Joséphine continuait tranquillement sa caresse. Le chirurgien entra dans la chambre.

- Ah! Je vois que tu as essayé notre petite modification, dit-il à la brune en cuir en regardant le sexe ouvert et humide qui était caressé.

- Ça marche mieux que je ne le pensais.

Slampa écouta à peine l'échange et n'eut pas le temps de s'offusquer de la présence d'un homme. Un terrible tsunami la submergea à nouveau, encore plus fort. Ses yeux pleuraient de plaisir, tout son corps trembla. Elle explosa.

- Ah oui. Pas mal, jugea le médecin.

Il baissa son pantalon et son boxer pour présenter sa verge encore un peu molle.

- Vas-y, proposa Joséphine en laissant le sexe offert pour se concentrer sur les énormes obus mamaires qu'elle n'avait pas encore testé.

Le chirurgien grimpa sur le lit, entre les cuisses de sa patiente et la pénétra. Slampa ne disait rien. On lui pinçait les tétons en les suçant en même temps et son vagin était rempli.

- Putain! Elle est vraiment étroite...

- Comme je le voulais.

Après quelques va et vient, Slampa gémit à nouveau plus fort et sans qu'elle ne comprenne, un nouvel orgasme la saisit la faisant hurler. Le médecin admira la jouissance de la blonde.

- Une machine à orgasme.

- Ouais... comme je le voulais. Dès qu'on la touchera, elle jouira.

La brune et l'homme baisèrent la scandinave pendant des heures. Elle n'en pouvait plus de jouir et réclama qu'on la laisse. Mais Joséphine l'informa qu'elle était sa poupée à orgasme et que seule sa Maîtresse décidait quand elle arrêterait.

*** Slampa Lämnats ***

Ce soir-là, Lars Lämnats rentra du bureau. La nouvelle organisation à Health Dynamic autour de la nouvelle patronne accaparait beaucoup les collaborateurs. Slampa attendait son mari dans le salon. Étendue sur le canapé, dans une nuisette très légère, elle interpella son époux :

- Je suis là chéri!

Lars desserrait sa cravate en entrant dans le salon.

- Que me vaut ce cadeau, s'écria t il en découvrant sa femme à demie nue.

Slampa remarquait que son homme la regardait différemment depuis son retour de la clinique. Ce n'était plus la même femme. Au bout de quelques semaines, Lars avoua qu'il avait l'impression d'avoir une nouvelle épouse.

- Approche chéri. Bjorn est chez la nounou ce soir.

La scandinave dégrafa le pantalon et prit la verge dans sa bouche. Elle gonfla rapidement.

- Tu es formidable mon amour.

Lars admirait l'énorme poitrine qu'il ne manquait jamais de malaxer. Le nouvel appétit sexuel de son épouse le réjouissait également. D'ailleurs, à cause de la disponibilité sexuelle de Slampa et de son nouveau physique de top model, Lars taisait sa curiosité quant aux escapades quotidiennes de Slampa.

- Prends-moi là, proposa la blonde en tendant son cul.

- J'aimerais te faire jouir ma puce

- Chéri, pas dans mon vagin. Tu le sais. Sodomise-moi. J'adore.

En fait, Slampa passait ses après-midi dans les chambres de l'Uber Sex. La modification de son vagin et de son clitoris faisait qu'elle jouissait toute la journée. Le soir, elle n'avait plus l'énergie. De plus, sa Maîtresse lui interdisait de jouir avec son mari.

Cet après-midi là, pas moins de cinq clients l'avaient commandée. Sa capacité à jouir enchantaient les clients qui devenaient ses fidèles. Georges Dason la réservait tous les deux jours. Le petit homme assez gros arrivait à 14h. Agé de plus de soixante-dix ans, sa vaillance virile lui faisait parfois défaut et la capacité à jouir de la pute le rendait heureux. Il s'installait entre ses cuisses et la léchait doucement. Puis après le premier orgasme, il enchaînait en la doigtant. Souvent, Slampa jouissait tellement fort qu'elle éjaculait. Georges sortait ensuite ses jouets. Il aimait goder la blonde dans le cul et dans la chatte. Les hurlements de plaisir le faisaient finalement bander. C'est alors que Slampa le suçait et arrivait parfois à le faire cracher. Ensuite, Georges continuait jusqu'à la fin de l'heure laissant la femme épuisée de plaisir sur le grand lit.

- Alors ma pute à orgasme? Combien as-tu fait aujourd'hui?

C'était la phrase habituelle de Dom Pietro quand Slampa terminait sa journée. La belle scandinave devait passer le voir avant de rentrer chez elle. Le même rituel immuable. À genou devant l'homme, elle dégrafait son chemisier et accueillait entre ses deux énormes globes mammaires la bite du parrain. Elle le branlait consciencieusement en le léchant de temps en temps jusqu'à éjaculation sur sa poitrine.

*** CONCLUSION

Le cœur d'Isabelle Labrosse battait fort au fond de sa poitrine. Seule dans une petite pièce attenante à la chapelle, son attente gonflait son angoisse. Mais loin de ses émois de soumise, la pharmacienne patientait avant son initiation. La Confrérie avait organisé cet évènement dans la chapelle du château de Martial Bascoul. L'autel de l'édifice religieux était vide. Tous les membres de la Confrérie portaient un masque blanc et une longue toge noire. La femme de 45 ans fut introduite et placée au devant l'autel avec les yeux bandés.

- A ce jour, tu vas devenir une de nos sœurs. Ton obligation servir la Confrérie et soumettre. Jouir et faire souffrir.

La voix grave résonnait dans l'immense chapelle.

- Acceptes-tu?

- Oui.

On ôta le bandeau des yeux de la récipiendaire aux cheveux châtains. On fit défiler toutes les soumises et les soumis devant elle. Ils étaient nus, un collier d'acier autour du cou reliés par une chaîne d'acier. L'imagerie de la traite négrière frappa l'esprit d'Aurélie qui lisait les numéros tatoués sur les poignées et sur les ventres. L'esclave noire Aïké apporta un coussin rouge sur lequel était posé une paire de menottes particulière. Un anneau était en or, l'autre en argent.

Joséphine Cherline détacha S-51 et lui passa la paire de menottes. C'était Eléonore Bascoul qui apparut la première. Isabelle lui passa les menottes et l'agenouilla devant elle.

- S-51, lèche-moi!

La proviseure nue, au milieu de ses semblables enchaînés, se pencha et colla sa bouche sur la vulve de la pharmacienne. La langue tourna autour du clitoris et s'enfonçait entre les lèvres humides.

Derrière la pharmacienne, les membres de la Confrérie admiraient le spectacle derrière leur masque et confortablement installés dans des fauteuils de cuir. Isabelle Labrosse clippa un mousqueton à la chaîne des menottes qui entravait S-51. La nouvelle dominante tira sur la corde reliée au mousqueton qui tournait sur une poulie installée au sommet de la voûte de l'édifice religieux. Les bras d'Eléonore Bascoul se trouvèrent tirés vers le haut et la proviseure soumise se retrouva debout sur la pointe des pieds, tout son corps nus tendus verticalement à l'extrême. Quel spectacle le corps d'une femme nue dans la pleine beauté de son âge avec des seins lourds et des hanches vigoureuses prisonnière au centre de la nef d'une église comme substitut sacrificiel! En somme, un christ féminin dont les souffrances ne rachèteraient rien mais nourrissaient que les désirs pervers de ses Maîtres.

Sûre d'elle, la pharmacienne de 45 ans saisit un lourd martinet aux nombreuses lanières de cuir. Elle avança vers Cassandre Bascoul, la fille du sacrifice.

- Fouette ta mère!

La jeune fille se tourna vers sa sœur jumelle à la recherche d'un échappatoire puis vers son grand-père qui siégeait avec les membres de la Confrérie. Mais l'énorme gifle qu'Isabelle lui administra la rappela à son obligation : obéir. Les lanières claquèrent d'abord sur les cuisses d'Éléonore, puis sur les fesses. Cassandre évitait de fouetter deux fois au même endroit sachant la cuisante sensation.

- Viens-là toi, lança Isabelle à l'endroit de Clémence, la seconde fille de la suppliciée.

La pharmacienne releva machinalement ses lunettes avant de placer la jeune fille de 21 ans entre les cuisses de sa mère qui se faisait fouetter le dos et les fesses.

- Lèche ta mère, salope pendant que ta sœur jumelle rougit sa peau.

Martial Bascoul bandait comme un âne devant le spectacle incestueux et pervers qu'élaborait la nouvelle recrue. Il se pencha vers Marie Mousatir pour lui exprimer son admiration. Fodé se branlait en contemplant sa proviseure prisonnière au prise des deux splendides jumelles blondes.

Pendant ce temps, Isabelle traîna Slampa Lämnats par la chaîne autour du cou et l'installa à quatre pattes sur l'autel de marbre froid. Les énormes globes mammaires tout nouvellement refaits, pendaient effrontément au-dessus de la table anciennement sacrificiel que le culte christique transforma en appareillage de la transsubstantiation. La scandinave n'était-elle pas le symbole du désir fait chair après les transformations esthétiques qu'elle avait subi à son insu? Femme ordinaire vivant une existence morne et obéissante aux diktats d'une société post chrétienne et consumériste, la voilà obéissante à une société hédoniste de libertés lui offrant une existence de soumissions extraordinaires. Son visage, sa poitrine, sa silhouette, son esprit tout fût transformés pour le service des membres du double anneaux.

Les coups de martinet sur le corps de S-51 continuaient de résonner dans le vaste édifice religieux s'harmonisant avec les gémissements de la mère que la langue de sa fille provoquait.

Mais déjà, les cris de Slampa s'accordaient à cette douce mélodie perverse. Les doigts d'Isabelle écartaient l'anus de la soumise qui maintenait sa position sur l'autel de la chapelle. Deux puis trois doigts pénétraient l'orifice mainte fois fouragé depuis que Slampa officiait pour l'Uber Sex. La pharmacienne ajouta son pouce mais elle perçut l'agitation de l'esclave.

-Tu bouges et tu vivras le plus terrible des enfers, sale pute.

Les mots suffirent à dissuader Slampa de bouger mais pas de hurler car la main de la récipiendaire écartait les chairs anales. Soudain, Eléonore cria sous un puissant orgasme. Sa fille Clémence savait les zones érogène maternelles. Cassandre fouettait la poitrine ronde et les bras tendus vers le haut de la chapelle. Slampa gueula comme une bête quand le bras d'Isabelle pénétra son conduit.

Dans l'assemblée, on ne tenait plus. Le mélange de perversité et de torture échauffa la patience. Martial Bascoul embrassait Marie Mousatir pendant qu'elle le branlait. On demanda à sa petite fille Clémence de venir sucer sa bite. Fodé s'approcha et profita du cul de la jumelle pour soulager son érection. Le jeune lycéen embrassait également Marie et la doigtait comme il pouvait avec le grand-père de la jumelle.

Une rumeur gémissante gonflait dans l'église comme un nuage s'amoncellant avant l'orage. Jacques Mousatir tira Leila à lui pour l'attacher contre un pilier large en pierre de la chapelle. Chacun pouvait passer près d'elle et profiter de son sexe offert. Bernard de Francouleur, le promoteur, claqua une cravache en cuir sur le joli corps de la maghrébine en l'insultant. Les seins lourds à la peau caramel rougirent.

Aurélie Robin qui avait presque retrouvé sa silhouette d'origine, suçait à genoux l'immense queue de Moussa qui voulait s'enfoncer toujours plus loin dans la gorge de la soumise qui s'évertuait à faire de son mieux malgré l'étranglement. La bave et la morve coulait sur l'épais mandrin du tatoueur black.

Jade et Aya, les deux étudiantes du lycée de Fodé devaient offrir leur petite moule au juge Xavier Brémont qui passait de l'une à l'autre en n'oubliant pas de les fesser. Les deux bouches des jeunes filles de 19 ans se remplissaient de bites passant par là.

La troisième étudiante, la jeune coréenne Jia, sous l'emprise du collier se donnait à toutes les perversités sans pouvoir y échapper malgré le sentiment de dégoût qui lui vrillait l'estomac. On l'enculait, on la fouettait, on l'utilisait. Jeanne Cherline la fista profondément avant d'utiliser son joli visage d'asiatique comme défouloir masturbatoire à son sexe avide.

Camille et Jean-Charles de Charette, les deux époux, subissaient les pires outrages. Dom Pietro violait la femme du maire devant ce dernier qui se faisait enculer par un homme robuste. Puis la professeure de philosophie se prit la bite de son élève Fodé dans le cul. Le maire offrit son érection à une Maîtresse de la Confrérie qui le chevaucha violemment en le giflant sans arrêt.

S-83, la greffière du juge Brémont léchait l'inspectrice de police qui écabrouillait les testicules d'un soumis debout à côté et qui hurlait comme une bête.

Laura Mucadam ne bougeait pas sur une table à roulettes qui l'avait amené jusqu'au centre de l'église. Sur le dos, les quatre membres attachés, des appareils dans son vagin, dans son anus, sur ses seins vibraient et multipliaient les orgasmes de la métisse. À chaque jouissance, un signal était envoyé à l'appareil qui gérait les électrodes fixées sur tout le corps de Linh, la mère de Laura, elle-même attachée sur une autre table identique à côté de sa fille. Ainsi, la torture imaginée par Jacques Mousatir consistait à électrocuter Linh quand Laura jouissait. Pour la fille l'orgasme, la torture pour la mère.

Charline et Julien Sefredgo, le jeune couple, anciens voisins de Laura Mucadam, regardaient l'orgie sans pouvoir bouger mais en ne comprenant pas ce qui se passait. La drogue développée par Isabelle Labrosse fonctionnait toujours. Ils devaient suivre les ordres sans pouvoir s'y soustraire mais leur conscience n'était pas altérée. Voilà la torture infligée. Marie Mousatir s'approcha d'eux.

- Vous êtes jolis tous les deux. Charline, j'aimerais que ton mari me prenne pour me faire jouir. Tu le veux?

- Oui Maîtresse, murmura la jeune femme aux tâches de rousseur en pensant que l'enfer est tombé sur son couple.

Marie installa Julien assis sur un fauteuil en cuir. Le pauvre bandait comme un âne. Comme il n'avait plus le droit de faire l'amour à sa charmante femme qui s'habillait maintenant comme une pute, le jeune homme s'excitait au moindre bout de sein ou cuisse dénudé. Marie s'empala sur la verge droite en fixant Charline droit dans les yeux.

- Elle est bonne la queue de ton mari. Toi, tu as de la chance, tu goûtes pleins de bites toute la journée, déclara Marie en faisant référence à l'Uber Sex où Charline officiait.

L'orgie clamait son plaisir dans l'immense espace de l'édifice religieux. On jouissait, on hurlait, les fouets et les cravaches claquaient un peu partout comme pour rythmer les débordements pervers.

Soudain, la voix puissante et grave du Grand Ordonnateur résonna :

- Enfants de la voie de la souffrance et du plaisir, nous nous retrouvons à un moment important de l'existence de la Confrérie. Le nombre d'esclaves et de soumis augmente dans votre cité. Vos techniques de manipulation , d'asservissement et de contraintes sont à présent éprouvées. Grâce au contrôle des principaux rouages des administrations locales, nous avons établi l'édifice d'un outil de perversions, de contrôle et de financement pour nos prochains projets. Le bâtiment construit constitue une pierre importante pour le financement de la Confrérie. Les putes asservies nous rapportent énormément d'argent. Prochainement, nous utiliserons plus régulièrement les donjons du sous-sol. Pour la prochaine rentrée universitaire, nous aurons un cheptel potentiel à disposition et je sais le plaisir que vous aurez à asservir ces étudiants. Pour finir, le centre médical constituera également un aspect des plus excitant de nos prochains projets. Je vous en parlerai ultérieurement.

Tous les membres de la Confrérie écoutaient religieusement la voie du Grand Ordonnateur. Repus de sexe après l'orgie, ils n'aspiraient qu'à continuer leur existences de jouissances et de pouvoir.

Fin

(Vous retrouverez l'univers de cette série dans de prochains textes sous une forme différente)

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5 Commentaires
dicordobadicordobail y a 11 mois

Merci pour cette série que j'ai adoré.

comme dirait Yokebed83, vivement les spin off.

Yokebed83Yokebed83il y a 12 mois

Hate de lire les spin off !

AurailiensAurailiensil y a 12 mois

Bien d'accord... beaucoup de plaisir à lire cette histoire merci les auteurs !

trouchardtrouchardil y a 12 mois

Je n'ai pas commenté chaque partie de ce récit, mais j'ai aimé chaque morceau. Merci.

AnonymousAnonymeil y a 12 mois

J'ai adoré cette saga de bout en bout.

Merci.

Rudy.

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