Emprise sur la Ville - Acte 08

Informations sur Récit
La Confrérie a-t-elle réussi son emprise sur la ville ?
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Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 05/05/2023
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Informations

La série "Emprise sur la ville" est le fruit d'une collaboration entre VerDu et APVapv.

Il s'agit d'un projet à quatre mains. Vous y trouverez : sexe, belles femmes, hommes, soumission, bdsm, relation pas toujours clairement consenties, inceste, intrigues, rebondissements....

Nous nous sommes attachés à construire un récit complexe et dense pour vous offrir de multiples raisons de l'apprécier.

Merci de commenter vos lectures. C'est le salaire des auteurs.

Nous vous rappelons qu'il s'agit d'un récit de pure fiction dans un monde imaginaire.

Ce récit n'est pas une caution pour les actes délictueux.

Dans le monde réel, le consentement doit être exprimé clairement et sans contrainte et un "Non" est un "Non"!

Ceci est le dernier acte de cette série. Mais... une suite, sous une autre forme, se profile...

Acte 8

Le temps s'étirait dans la répétition des semaines et des mois. Comme en accéléré, les activités humaines fourmillaient en tous sens au rythme des soleils montants et des lunes couchantes.

*** Marie et Jacques Mousatir ***

L'administration d'une drogue dans les boissons de Laura Mucadam avait été organisée par Jacques Mousatir. L'homme aux cheveux blancs ordonna à sa soumise musulmane de verser le produit chaque jour dans la Thermos de sa patronne. Bien conditionnée par des mois de dressage, Leila obtempéra sans sourciller. Elle constata, comme l'ensemble de l'entreprise, que le comportement de Laura devenait inquiétant. Chaque fin de journée, alors que la jeune arabe offrait sa bouche et son cul à son Maître, ce dernier l'interrogeait sur la déchéance de la cheffe d'entreprise.

Marie Mousatir organisa le faux internement de sa soumise. Elle en conçut paradoxalement une déception. La cinquantenaire aimait bien Laura. Elle l'avait dressée à son goût et en jouissait à volonté.

Tous les employés de Health Dynamic s'attristèrent de la déchéance de leur patronne en le mettant sur le compte de la pression de ses responsabilités. Les parts de l'entreprise furent vendues et réparties parmi les collaborateurs et c'est la jeune geek Justine, la soumise de Jacques, qui prit la direction.

Contrairement à ce que tout monde crut, Laura Mucadam ne fut pas internée dans une clinique ou un centre de repos. Le projet de l'organisation de construire un bâtiment regroupant des logements étudiants, des chambes à louer, un cabinet médical fut rapidement construit avec l'aide des pouvoirs publics parfaitement manipulés par l'organisation et également par l'emploi éhonté de main d'œuvre sans papier et sans droit qui fut mise en quasi esclavage pour terminer le bâtiment dans un temps record.

Donc, Laura fut la première locataire de l'immense sous-sol transformé en cellule et donjon. Ce niveau n'était évidemment pas public.

Après l'arrêt de sa drogue, la métisse recouvrait sa lucidité mais quelle lucidité? Prendre conscience qu'elle était maintenant prisonnière dans un cachot, que chaque jour elle était violée, que sa Maîtresse venait la fouetter pour son plaisir, que Jacques venait se vider les couilles dans son cul... bref Laura était une esclave.

Marie et Jacques avaient fait enlever Linh, la mère de Laura. Elle occupait la cellule voisine de sa fille et se faisait également violer chaque jour.

*** Dom Pietro ***

Charline Sefredgo monta dans les étages du nouveau bâtiment. Elle consulta à nouveau le SMS pour s'assurer du bon numéro de chambre : "Alerte Rouge-chb 23". La gérante d'un magasin de vêtements composa son code secret sur le digicode de la porte 23 qui s'ouvrit sur une petite pièce composée simplement d'un lit king size et d'une douche d'angle. La belle jeune femme rousse posa son sac sur un guéridon et déboutonna son chemisier déjà largement ouvert. Dix minutes plus tard, on frappa à la porte et Charline découvrit un homme d'une soixantaine d'années qui lui tendit son téléphone avec la photo d'un jeton rouge avec le numéro de la chambre. L'heure de baise pouvait commencer.

Le système d'Uber-Sex développé par la Confrérie et géré par Dom Pietro fonctionnait tellement bien que l'organisation avait accéléré le recrutement de nouvelles soumises. Pour pallier le manque de putes, on mit à contribution certaines soumises qui jouissaient normalement de certains privilèges. Dom Pietro se régala quand il auditionna Clémence et Cassandre, les deux petites-filles jumelles de son ami Martial Bascoul. Également sa belle-fille participa. Eléonore obéit aux injonctions mais faire la pute pour cette proviseure fut un calvaire. La femme du maire rejoignit l'opération.

Heureusement que Fodé alimenta le cheptel avec la beurette Aya, folle de cul, Jade la prude et surtout Jia, l'asiatique récalcitrante soumise à la drogue qui tapina quasiment dix heures par jour conservant la même chambre de 14h à minuit. Fodé la baisait dès qu'elle avait un trou dans son emploi du temps. Leila la soumise de Jacques et Aurélie qui retrouvait une silhouette moins énorme recevaient également des messages de l'Uber sex environ tous les jours.

L'entreprise était lucrative tant qu'on ne payait pas les soumises-putes. Et c'était bien là la beauté du système

Dom Pietro avait finalement installé son bureau et les administrateurs de l'application Uber Sex dans le bâtiment. Cela permettrait au parrain de la mafia de jouir également des sous-sols secrets. Des donjons, des cellules où la Confrérie jouait avec ses esclaves. De temps en temps, Dom Pietro rendait visite à Linh, la vietnamienne. Il aimait la suspendre et la fouetter avant de la sodomiser.

Mais son péché mignon était de rendre visite plusieurs fois par jour à la journaliste Larysa Pokirnyy d'origine ukrainienne qu'il avait fait enlever après le coup monté qui avait discrédité la grande blonde dans le monde de la presse. Pour elle qui tenta de le faire tomber pour proxénétisme, il conçut une vengeance inhumaine.

Dans le vaste donjon principal (il en existait trois), percée dans un des murs qui structurait l'espace, un trou d'une trentaine de centimètres de diamètre accueillait la taille de la journaliste. En fait, on avait construit le mur autour du ventre de l'esclave ukrainienne la laissant en permanence dans une position inconfortable debout et penchée à la fois : nue, debout sur des talons aiguilles d'un côté du mur de béton et légèrement penchée de l'autre côté. Impossible pour la grande blonde autrefois plantureuse de s'échapper de cette torture.

N'importe qui pouvait la prendre du côté de ses fesses sans qu'elle ne puisse le voir. Des esclaves la nourrissaient et, avec un jet d'eau, on la nettoyait. Pire que l'état d'esclave, Larysa dépérissait sans pouvoir s'exclure de son état.

- Tu vas bien chienne? Lança Dom Pietro en giflant la journaliste qui dormait quasiment debout.

Elle ne grogna même pas. Sa volonté et sa fierté l'avaient quittées.

- Je vais t'allonger les tétons, dit l'homme en tirant sur mes seins lourds de la blonde qui cria de douleur.

Dans une commode en chêne massif du donjon, il sortit deux poids accrochés à des pinces. Il les serra sur les tétons. Larysa hurla. Sous la gravité des poids, ses seins se déformèrent.

- Maintenant ton cul, continua le bourreau en passant derrière le mur.

Il saisit une cravache attachée par un crochet et commença à fouetter son souffre-douleur durement. Les fesses et le bas du dos en sang, il écarta les fesses pour percer l'étoile anale avec son érection. Voilà la vengeance inhumaine à laquelle toutes les esclaves du donjon assistaient quotidiennement. De quoi les rendre obéissantes.

Mais la perversion de Dom Pietro ne s'arrêtait certes pas à cette vengeance. Suite à l'enlèvement de Slampa Lämnats, la femme de Lars, le parrain avait promis de prendre en charge les frais des opérations de reconstruction esthétiques de la victime. La secrétaire juridique de 32 ans était revenue quelques mois plus tard complètement transformée au plus grand plaisir de son mari. Le visage de Slampa était rajeuni, les fesses bombées et les seins avaient pris trois bonnets. La blonde revint en Barbie.

Mais ce que Lars ne sût jamais, c'est que pendant la convalescence de sa femme, cette dernière subit un furieux conditionnement dont la Confrérie avait le secret. La bimbo se soumettait à n'importe quel ordre et elle compléta le cheptel de l'Uber Sex. Chaque jour, Dom Pietro se la réservait pour une turlutte espagnole.

*** Joséphine Cherline ***

Joséphine Cherline revenait d'une arrestation musclée où elle avait pris un coup dans son joli visage. Le délinquant dérouilla durement quand ses collègues apprirent sa violence. L'inspectrice sentait un besoin impérieux de se soulager. Les défouloirs pervers ne manquaient pas pour cette sœur de la Confrérie. Elle entra son code secret dans l'ascenseur et la cabine descendit deux étages alors que le panneau lumineux n'indiquait que -1. Les portes s'ouvrirent sur un vaste donjon. Ses bottes de cuirs claquèrent sur le parquet massif. Elle traversa la pièce meublée d'engins de torture et de couchettes. Arrivée dans un couloir étroit, Joséphine avança jusqu'à la quatrième cellule. Elle ouvrit le judas et contempla le corps nu et recroquevillé de Laura Mucadam qui leva un visage creusé et désabusé vers la brune.

- On va s'amuser mon bébé, ricana Joséphine en ouvrant la porte lourde de la cellule.

Depuis son enlèvement et celui de sa mère, les deux femmes avaient subi un reconditionnement violent. Jeûne forcé avec des séances d'électrocution répétées, eurent raison de leur volonté. Même Linh qui ne portait plus son collier d'imputation d'ordres obéissait, tellement la peur des tortures la terrorisait. Depuis plusieurs jours, Joséphine s'amusait avec la mère et la fille. D'abord la policière les avait installées dans la même cellule. Par un système automatisé qui commandait des spots lumineux hyper puissants et des hauts parleurs, les deux prisonnières ne purent pas dormir plus de deux heures en trois jours. Leur alimentation se résuma à de l'eau. Bref, le cerveau des deux asiatiques fondait .

- Aujourd'hui je vous laisserai dormir et manger à votre faim les filles si vous m'obéissez!

Linh se redressa et interrogea la tortionnaire de ses yeux bridés.

- Vous allez baiser ensemble pour mon plaisir.

Laura tressaillit et murmura un non indistinct. Joséphine sourit et attrapa une perche accrochée sur le mur du couloir. Terminée par une petite fourche en métal, la perche mesurait deux mètres. La brune posa l'extrémité sur la cuisse de Laura et actionna le bouton rouge du manche. Une décharge électrique fit bondir la métisse qui hurla violemment malgré son état d'épuisement.

- En plus de perdre un bon repas et de pouvoir enfin dormir, je vais vous électrocuter pendant des heures si vous ne me faites pas plaisir.

Elle démontra sa volonté en électrocutant le corps décharné de Linh qui vomit sa bile.

- Faites moi plaisir, chanta doucereusement la brune en jouant avec la perche.

Laura finit par tendre son bras vers les épaules de sa mère. Elles se rapprochèrent et s'embrassèrent doucement sur la bouche.

- Avec la langue, s'excitait Joséphine en dégrafant la fermeture éclair de son pantalon en cuir.

La bouche de la mère faisait à la langue de la fille ce que la fille avait fait aux tétons de la mère à sa naissance, elle tétait. Une puissance perverse traversa le ventre de Joséphine qui plongea sa main dans sa culotte. Les deux esclaves s'enlacèrent en s'embrassant langoureusement. Les doigts de la tortionnaire jouaient avec l'humidité de sa chatte.

- Donnez m'en plus les filles, commanda-t-elle toute excitée de son pouvoir.

Linh posa sa main sur un sein de sa fille. Cette dernière enserra la taille de sa mère. Joséphine gémit d'un orgasme fulgurant. Le spectacle incestueux continua sous ses ordres et ses doigts fouillaient toujours son bouton de plaisir.

Laura était maintenant debout les jambes écartées regardant sa maman plonger sa langue dans sa vulve poisseuse malgré elle. Le conditionnement de Marie Mousatir avait rendu la métisse dépendante sexuellement. Plus tard, c'est la fille qui écartait les cuisses maigres de sa mère allongée sur la paillasse de la cellule au sol en ciment pour se frayer un chemin vers le vagin qui l'avait mise au monde. Jeanne eut encore un orgasme. Seule la perversité arrivait à déclencher du plaisir chez elle. Et quel tabou absolu que celui d'une mère et sa fille qui se léchaient le sexe et pénétraient leurs doigts dans le boyau culier.

Les jours suivants, la menace n'était plus nécessaire. L'obtention de nourriture, l'assurance de dormir et d'échapper à des séances d'électrocution abolirent les réticences morales des deux asiatiques. Munie d'un épais godemiché fourni par son bourreau, Linh baisait le vagin de sa fille avec célérité, lui soutirant un ou deux orgasmes. Laura encula sa mère plusieurs fois avec la ceinture gode que Joséphine lui prêta.

L'enquêtrice cessa de venir lorsqu'elle découvrit les deux femmes se faisant l'amour un soir qu'elle arrivait à l'improviste. C'était beau, doux et pervers. Mais pas suffisamment pour les besoins d'excès de Joséphine. Elle ne voyait plus de dégoût et de réticence dans les yeux des esclaves.

Alors la brune en cuir reporta sa rage sur Lucie Turdorza. Joséphine décela un profond besoin d'appartenance chez l'avocate et surtout un plaisir pour la perversité. Sa déchéance fut rapide et elle remplit le cheptel de Dom Pietro pour lequel elle travaillait du reste en tant que conseillère juridique. Joséphine Cherline réussit à briser toutes les défenses de la brune aux cheveux longs à force de souffler le chaud et le froid, de séances de cravache et de badine, de frustrations d'orgasme. Finalement, Lucie accepta son état de soumission totale et passa les épreuves auxquelles sa Maîtresse l'obligeait.

A présent, l'avocate se prostituait volontiers avec le système de l'Uber Sex. Savoir que Madame Jeanne la récompenserait, l'engageait à se donner à des hommes. La lesbienne vivait à chaque fois l'intromission d'un pénis comme un viol. Mais le jeu en valait la chandelle.

Pour être acceptée comme soumise exclusive de l'inspectrice, Lucie avait subi la pire expérience de sa vie. Comme les travaux de l'immeuble de la Confrérie se terminaient et que les ouvriers sans papier allaient repartir dans leur pays, Joséphine Cherline trouva amusant d'organiser une petite soirée en amoureuse avec sa protégée.

Lucie Tudorza avait rendez-vous au restaurant avec sa Maîtresse et elle s'était achetée de jolies vêtements sexy et classe dans le magasin de Charline Sefredgo.

Un quart d'heure avant de se retrouver au dit restaurant, un des plus classe de la ville, Joséphine appela Lucie prétextant que sa moto était en panne et qu'il fallait qu'elle vienne la chercher.

L'avocate entra l'adresse dans le GPS de sa voiture et roula vers son amour. Elle acceptait tout de Joséphine mais elle se sentait amoureuse et feignait de croire que la réciproque était vraie. Quand elle gara sa voiture, elle trouva l'enquêtrice en cuir avec ses bottes de moto. "Curieuse tenue pour une sortie au restaurant" se dit l'avocate en jolie robe courte et volante.

- J'ai une surprise pour toi, dit Joséphine en l'embrassant tendrement

C'était ça que Lucie aimait. Être l'objet de désir et de tendresse mais, à la fois, dirigée fermement. Elles entrèrent dans un bâtiment visiblement en travaux. L'ascenseur encore absent, elles montèrent les escaliers. Puis tout s'accéléra. Joséphine poussa Lucie dans un immense espace en béton. Des dizaines d'hommes attendaient en riant. Mais quand la belle avocate fut projetée au milieu, le silence s'abattit sur son angoisse.

- Ils vont te baiser. Tous.

- Non Maîtresse! hurla Lucie

- Je ne sais pas combien ils sont, mais si tu veux qu'on soit ensemble, ça sera ton épreuve.

- Joséphine non... je t'en prie. Pas des hommes... en tout cas pas autant, pleurait la soumise.

On apporta une chaise à l'inspectrice qui s'y installa et l'abattage commença. Lucie n'eut pas le temps de refuser ou d'accepter, un grand noir passa ses mains sous la robe légère et les posa sur les fesses nues. Un roumain ou un indien pelota la poitrine tandis qu'un autre plongea directement ses doigts dans la vulve sèche. Sidérée, la femme ne cria pas mais les larmes sur ses joues témoignaient de son écœurement. Joséphine aimait bien cette femme. Mais il fallait qu'elle l'humiliât pour l'apprécier mieux.

Rapidement, Lucie fut prise par deux hommes en même temps pendant que d'autres la pelotaient. Sa si jolie robe qu'elle avait soigneusement choisie pour plaire à sa compagne fut déchirée comme un vulgaire bout de chiffon. Son sexe était plein de sperme qui coulait sur ses cuisses. Son anus la déchirait et le liquide visqueux en sortait par à coup. Bafouée, humiliée Lucie n'était plus qu'un trou à bite.

- Je sais que c'est dur ma douce, murmura Joséphine à un moment en se penchant sur sa soumise. J'aimerais que nous restions ensemble mais j'ai besoin de te maltraiter.

À travers les larmes et les mèches cheveux bruns collées à ses joues par du sperme, Lucie esquissa un sourire.

- Je t'aime Joséphine. Je veux être ta chose si tu m'aimes.

- Oui, je t'aime mon coeur.

Joséphine se releva et contempla les hommes encore vaillants qui entouraient sa soumise prostrée au sol, complètement nue.

- Vous tous, éjaculez sur elle puis barrez vous.

Une vingtaine d'ouvriers s'agglutinèrent autour du corps nue, la bite à la main. Ils se branlaient vigoureusement et la douche commença. Les premiers jets éclaboussèrent les longs cheveux déjà maculés. Puis on visa le visage et les seins.

- Visez sa chatte, messieurs.

Joséphine transporta Lucie chez elle pour la première fois. Sous le jet d'eau chaude de la douche, elle lava le corps maculé de jus masculin. Les deux femmes s'embrassèrent langoureusement sous les caresses de l'eau chaude. La nuit d'amour fut la plus belle de Lucie. Quand son réveil sonna, Joséphine sentit la bonne odeur de café et de pain grillé. Au pied du lit, complètement nue, Lucie attendait à genoux la tête baissée vers le sol.

***

Joséphine Cherline s'était personnellement occupée de Slampa Lämnats pendant sa convalescence après son viol et la destruction de son corps. Dom Pietro avait proposé au mari de payer les frais médicaux dans un institut spécialisé contre la dépossession de Health Dynamic à Laura Mucadam. De nombreuses opérations furent nécessaires pour reconstruire le visage de la blonde aux yeux verts, ses seins et ses côtes. Toutefois, Joséphine Cherline demanda une augmentation mammaire impressionnante, un visage modifié et un rétrécissement du conduit vaginal.

La pauvre Slampa ne savait rien des projets de la Confrérie à son endroit. Chaque jour, Joséphine venait lui parler et l'entourait d'attentions et de tendresse. Comme Lars, le mari de Slampa n'était pas autorisé à rendre visite à la malade, cette dernière reporta son besoin de contact sur la seule personne présente.

Puis, avec le concours de quelques médecins de l'institut, Joséphine endoctrina la blonde aux yeux verts qui demeurait parfois sous sédatif. Des enregistrements se répétaient dans ses oreilles lui intimant d'être obéissante aux membres de la Confrérie comme Joséphine et Dom Pietro. Également que son corps était une offrande à leurs perversions. L'inspectrice aurait bien pu utiliser les drogues d'Isabelle Labrosse, la pharmacienne, mais c'était trop facile pour la brune en cuir qui aimait contempler son pouvoir distiller dans les cerveaux de ses victimes.

Doucement, Slampa accepta les baisers de la brune. Comme la scandinave ne pouvait pas bouger de son lit, enrubannée de compresses et de bandes, le contact physique avec Joséphine était une porte ouverte sur une liberté dont l'horizon lui était inconnu.

Un matin, alors que le chirurgien esthétique qui avait opéré le visage ôtait les bandes après des semaines de cicatrisation, Slampa regarda Jeanne.

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