Éducation Sociable

BÊTA PUBLIQUE

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Je suis allée me servir un café, puis je suis retourné dans la chambre, mais impossible de retrouver le sommeil. Je me suis branlée longuement, en pensant à ma fille et à mon gendre, à mes élèves, à mes amants, ils ont tous défilé dans mon esprit pervers, avant que je me rendorme, épuisée. Je n'ai aucune idée de la durée de mon sommeil sans rêve, avant de me sentir retournée sur le dos et montée par un mâle en rut.

Un arbre tendu m'a ouverte et pénétrée froidement. J'ai couiné en me sentant étirée et remplie. Machinalement, j'ai ouvert mes jambes et je les ai repliées pour faciliter la saillie. J'ai entrebâillé mes yeux et, dans le petit jour qui filtrait entre les volets clos, j'ai reconnu mon gendre, Philippe. J'ai essayé de le repousser, mais il m'a dominée facilement et m'a murmuré, avec une autorité toute masculine : «Ouvre tes jambes, salope!»

Quand un mâle me parle ainsi, je n'ai plus aucune volonté, je me soumets instantanément en obéissant à ses désirs. C'est Philippe qui m'a fourni les explications nécessaires :

«Charlène est partie tôt parce qu'elle va à la salle de sport avant d'aller travailler. Moi, j'ai encore 1/2 heure avant de partir, alors je ne vais pas perdre mon temps à discuter. Je rêve de toi depuis longtemps, Nina. Tu chauffes tous les mâles avec tes tenues sexy, et ta fille m'a suffisamment parlé de ta façon de beugler quand ton mari te baise, ça m'a rendu fou quand je t'ai vu te masturber ce matin, pendant que tu nous regardais baiser, ta fille et moi.»

Sans plus de discours, Philippe a glissé ses mains sous mes fesses pour me soulever le bassin, et il a heurté ma chatte comme s'il voulait la démolir. Sous ses furieuses poussées, ma vulve s'est contractée, mon clitoris s'est mis à danser, je me cramponnais à ses épaules pour ne pas sombrer trop tôt dans un orgasme intense.

Ma chatte me faisait mal, mais j'ai découvert qu'il savait utiliser sa grosse bite pour faire plaisir à une femme, mon gendre était en fait un étalon tout en maîtrise et insatiable. Mes cris ont augmenté en volume et en fréquence pendant qu'il me labourait mon vagin. J'ai joui, mes jambes tremblaient, et lui imperturbable, continuait sur le même rythme.

J'ai découvert que mon gendre était beaucoup plus costaud qu'il n'en avait l'air. Il m'a soulevée sans effort, comme une poupée gonflable, tout en gardant sa queue plantée dans ma chatte. Il m'a promenée autour de la chambre en me faisant rebondir sur son arbre profondément encastré. Je ne pouvais plus m'arrêter de couiner.

Il a appuyé mon dos contre le mur en soulevant mes jambes plus haut, m'a écartelée comme une grenouille, ouvrant ma chatte à son intrusion implacable. Il m'a perforée ... farouchement! J'ai hurlé en le sentant heurter mon col. Ses grognements masculins se mélangeaient à mes plaintes féminines lorsque sa bite plongeait et fouillait ma chatte douloureuse. J'ai giclé en jouissant.

Il s'est assis sur une chaise avec moi le chevauchant, et il m'a serrée dans ses bras, tendrement. Fini la violence, la baise sauvage, il m'a câlinée, en m'embrassant et en me pelotant. Je ne pouvais pas m'empêcher de soupirer de plaisir pendant qu'il suçait et pressait mes mamelons. Avant de partir travailler, il m'a fait nettoyer sa bite avec ma bouche. Mon trouble mouillait ma chatte quand il m'a ordonné de le sucer.

Une autre fois, j'étais venue passer quelques jours chez ma fille Charlène et mon gendre Philippe. Il y avait son jeune frère, Simon, qui était là pour une semaine. Avec Charlène, nous nous sommes installées sur la terrasse, en maillot de bain, pour profiter du soleil. Quand je suis chez ma fille, je ne me gêne pas, et je mets un maillot minimaliste.

En bas, un string, une ficelle à la taille, une autre dans la raie des fesses et un triangle qui dissimule ma chatte. En haut, les bonnets ne cachent que les tétons, pas les aréoles. Les garçons jouaient au ballon, mais Philippe envoyait le ballon de notre côté et, quand Simon venait le chercher, il avait les yeux qui lui sortaient de la tête.

Simon n'avait pas encore 18 ans, il est de la fin de l'année, et il était probablement puceau. Avec Charlène, on riait sous cape de voir son embarras. Sur nos transats, le regard dissimulé sous nos lunettes de soleil, nous surveillions la bosse qui déformait progressivement le devant de son short.

On repliait nos jambes, les talons près des fesses, en agitant élégamment nos genoux comme pour nous rafraîchir. Bien évidement, le mince tissu du maillot soulignait les formes charnues et fendues de nos chattes. Et le gamin n'en perdait pas une miette.

Ma fille et mon gendre ayant dû s'absenter, ils m'avaient laissée seule avec le gamin. Fini la rigolade, je m'étais prestement allongée à plat ventre sur le transat. J'ai demandé à Simon de me passer de la crème solaire sur le dos. Il avait les mains douces. Il ne descendait pas sous les reins, j'ai dû insister pour qu'il m'enduise les fesses, en lui disant que c'était là que je redoutais le plus les coups de soleil.

Puis, j'ai écarté les jambes pour qu'il me badigeonne l'intérieur des cuisses. Ses mains frôleuses mouillaient ma chatte, et il fallait vraiment que le gamin soit inexpérimenté pour ne pas s'apercevoir de mon état de faiblesse. En tournant la tête, j'ai vu le devant de son short déformé par un piquet de tente. Je me suis assise sur le transat, il restait debout à côté de moi, les bras ballants, rouge de honte :

«Ne reste pas comme ça, tu vas attraper du mal! Aide-moi à t'ôter ton short!»

J'ai dû me pencher et tendre le bras pour l'attirer vers moi, il était tétanisé. J'ai fait glisser son short, et sa bite m'a sautée au visage. Elle oscillait dans le vent, au grand désarroi de son propriétaire, rouge d'humiliation. Il possédait un sexe d'une taille tout à fait honorable et, quand je l'ai pris en bouche, c'était très agréable, pour une fois, de ne pas avoir à faire à un pervers qui voulait absolument me l'enfoncer dans la gorge.

Après plusieurs minutes à jouer avec sa bite et ses testicules, suçant, léchant, j'ai déplié un tapis de gym au sol et je lui ai demandé de s'allonger dessus. Aussitôt, je l'ai enfourché et je me suis assise sur sa bite tendue. Après quelques mouvements du bassin, destinés à trouver la position la plus confortable et à s'ajuster, j'ai commencé à monter et descendre sur son pieu de chair. Progressivement, j'ai augmenté mon rythme en heurtant mes fesses sur lui.

Encore quelques minutes de baise furieuse, il a grogné, a attrapé mes hanches et s'est encastré profondément dans ma chatte ruisselante. Son geyser de sperme au fond de ma vulve a provoqué ma volupté. Je me suis effondrée sur lui, et j'ai pris sa bouche pour le remercier du vertige qu'il venait de me donner.

Après s'être vidé les couilles dans ma chatte, je m'attendais à ce qu'il disparaisse dans sa chambre, mais j'avais oublié que c'était un gamin de 17 ans, au faîte de sa vitalité sexuelle. Nous sommes restés sur la terrasse jusqu'au crépuscule, et il m'a baisée presque continuellement dans ma chatte, dans mon cul, et dans ma bouche.

Le lendemain matin, je m'étais levée tôt, en pleine forme suite à la bonne baise de la veille. Je pensais être seule avec Simon, et je projetais d'aller le réveiller dès que j'aurais pris mon café, mais Philippe était encore là, en train de siroter une tasse de café, quand je suis entrée.

«Bonjour Nina. Je t'attendais. Aimerais-tu visiter le chantier sur lequel je travaille actuellement?»

«Les visites sont autorisées sur le site?»

«Normalement, non. Mais je suis le chef de chantier. Alors?» Il me souriait.

«J'adorerais.»

En chemin, il m'a caressée la jambe en remontant sa main sous ma courte robe.

Quand nous sommes arrivés sur le site, un bâtiment en cours d'achèvement, Philippe a fait signe à l'un des gars de son équipe lorsque nous commencions la visite. Nous n'étions pas allés très loin lorsque j'ai senti sa présence contre moi. J'ai baissé mon regard, j'ai vu que sa bite était sortie, et qu'il la poussait dans ma main.

«Tu veux me ...» ai-je commencé à dire, mais je me suis tue lorsque Philippe m'a courbée sur une table, a soulevé ma robe pour m'enfourner sa grosse bite épaisse dans ma chatte voluptueuse. Il n'y a pas eu de préliminaires. Je n'en avais pas besoin. Ma chatte était déjà marécageuse. Il a commencé à me baiser, puis il l'a ressortie.

Il s'est positionné devant mon anus et il l'a enfoncé. J'ai gémi et il m'a enculée. Durement, profondément. Mes cris étaient couverts par les bruits du chantier. Il m'a dit que j'étais une salope. La pire salope qu'il n'avait jamais baisée.

Je le suppliais de me baiser plus fort, je lui criais ma jouissance imminente, je me cambrais pour sentir ses couilles heurter ma chatte. Il est venu rapidement et s'est retiré. Je me suis redressée et j'ai commencé à ajuster ma tenue.

Il m'a attrapé par le bras, et m'a fait pivoter face à lui. Il a ouvert mon chemisier, et il a sorti mes seins. Il m'a poussé à genoux et j'ai vu qu'il n'avait pas débandé. Il était naturel pour moi d'ouvrir la bouche et de le sucer.

Absorbée par ma tâche, je n'ai pas vu entrer le type. Philippe a sorti sa bite de ma bouche, et m'a aidée à me relever. Il m'a montrée le grand noir qui se tenait là, silencieux, et m'a dit d'aller l'embrasser. Je me dirigeais vers le gars, en ondulant des hanches, mes seins nus se balançaient librement.

Je lui ai offert ma bouche, il m'a embrassée profondément, nos langues luttaient ensemble. En même temps, il a sorti un long serpent noir. Il m'a soulevée une jambe et m'a prise debout. J'ai enroulé mes jambes autour de sa taille. Philippe s'est introduit derrière moi pendant que le black mamba dévastait ma chatte. J'étais empalée sur deux bites monstrueuses, et j'ai aimé chaque seconde.

Je suis bien malheureuse d'avoir un mari impuissant. Je suppose que je devrais me contenter d'étalons de passage pour soulager ma misère. Je ne refuse jamais de rendre service. Après tout, un professeur doit faire ses devoirs.

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