Éducation Sociable

BÊTA PUBLIQUE

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Jason s'asseyait au premier rang. Jambes écartées. Je pouvais voir le renflement de son entrejambe. Vaguement ... je devinais ... une forme ... imprécise ... le contour de sa bite ... si volumineuse? J'ai croisé son regard, il souriait, s'étant parfaitement rendu compte que je matais le contour de sa bite. Il savait que je le matais! Je craignais qu'il me rapine au surveillant général. Je serais virée. Enfin, la raison a pris le dessus. Les adolescents ne courent pas vers la direction en se plaignant qu'une femme mate le renflement de leur entrejambe.

Il a vu que je le matais, et ce sournois me provoquait. Il était assis, les jambes écartées, et sa main caressait sa protubérance. Et ça grossissait ... merde, j'étais trempée. Il savait que je le voulais ... Je bafouillais, m'embrouillais dans mon cours, brûlante de désir, et il gardait son petit sourire narquois en se caressant la bite. Salaud!

Je n'avais pas été baisée depuis plusieurs mois, depuis la formation, à l'hôtel. J'avais désespérément besoin d'une bite. Jason, du haut de ses 18 ans, ferait très bien l'affaire. Si sa bite n'était pas un leurre, une chaussette roulée en boule, un attrape-nigaud que les garçons dissimulent dans leur slip pour appâter les filles naïves. J'essayais de regarder ailleurs, mais il levait sa main, posait une question, pour que je le regarde ... dessus ... encore.

À la fin du cours, j'étais épuisée ... mes seins étaient douloureux, ma chatte ruisselante, et j'étais pantelante. Si Jason avait eu un peu d'expérience avec les femmes en chaleur, il aurait pu me pencher sur mon bureau, remonter ma robe, écarter ma culotte et me baiser. J'aurais joui des dizaines de fois s'il m'avait fait ça.

La journée était terminée, tous les élèves étaient partis. Je restais assise à mon bureau, en proie à mes fantasmes. La bite de Jason, son attitude moqueuse, et ce que j'aurais aimé lui faire. Ma chatte s'humidifiait et se crispait. J'avais besoin d'être baisée, j'avais besoin d'une bite! Ma main sous ma jupe, j'envisageais Jason, mon clitoris se redressait.

Assise à mon bureau, les mains sous ma jupe, toutes ces sensations qui déferlaient dans mon ventre. Je savais que je devais pas rester là, je devais aller dans les toilettes des dames, mais mon fantasme commençais. J'avais hâte.

Penchée en arrière sur ma chaise, j'ai soulevé mes fesses pour enlever ma culotte. J'ai allongé mes jambes devant moi, sur le bureau, grandes ouvertes, en troussant ma robe. Je n'avais pas de gode, mes doigts suffisaient. J'ai commencé lentement ... une simple caresse de mon index dans la longueur de ma fente.

Ma chatte était en attente, désireuse, mes lèvres étaient congestionnées, gorgées de sang, de mon fantasme sauvage de baiser Jason. J'ai ouvert ma chatte pour révéler mon clitoris palpitant. Ma chatte suintait, prête à être baisée. Chaque fois que mon doigt se glissait à l'intérieur, un spasme contractait mon périnée. Si je tripotais mon clitoris, des ondes de désir dansaient dans mon ventre.

Je ne devais pas faire cela ici, je devais cesser pour me réfugier dans l'intimité des toilettes pour dames. Quelques caresses sur mon clitoris, et un orgasme tremblant déferla dans ma chatte qui giclait de plaisir. Impossible d'arrêter, c'était trop bon. Jason me violait, je ressentais chacun de ses coups de bite au fond de ma vulve.

J'étais déjà en train de monter au ciel pour la deuxième fois, quand j'ai entendu la porte s'ouvrir. Je n'ai pas eu le temps de réagir. Un homme est entré. Il m'a trouvée vautrée sur le bureau, les pattes écartées, les doigts dans ma chatte. C'était le gars de l'entretien, Chérif, un maghrébin, qui faisait le tour des salles de cours pour nettoyer.

Je l'ai regardé, tétanisée. Je l'ai laissé me regarder. Je savais que je devais m'arrêter, reprendre une position plus conforme à mon rang, et sermonner l'intrus qui aurait dû frapper avant d'entrer. Chérif s'est approché, lentement, de son pas lourd, en sortant sa bite, et en se caressant distraitement.

Parvenu tout proche de moi, il a tendu la main pour tâter ma chatte survoltée. Son doigt a parcouru ma fente, est entré à l'intérieur de moi pour sonder ma vulve ruisselante. Il n'a pas cesser de se tripoter d'une main pendant qu'il me fouillait de l'autre. J'adore voir un homme se branler devant moi, cela me fait frissonner.

Il m'a dit : «Branle-toi pendant que je me branle. Quand tu jouiras, je jouirai sur ton ventre!»

Interloquée mais docile, mes doigts volaient littéralement sur ma chatte séduite. Je suis venue, gémissante, et il a inondé mon ventre de sa laitance.

«Merci, Madame. À votre disposition» il souriait en rangeant sa bite dans son pantalon.

«Mais ... tu ne vas pas me baiser?»

«Peut-être une autre fois ... Ce soir, je dois rentrer tôt. Ma femme m'attend. Si elle sent ton parfum sur moi ...»

L'appel de Denis:

Désormais, le jeudi soir, j'appartenais à Chérif. Il avait dit à sa femme qu'il devait rester tard pour préparer le gymnase. Et tous les jeudis soirs, il était entre mes jambes écartées, s'occupant de ma chatte affamée de bite. Il tremblait de peur, devant le risque que son infidélité soit découverte, et sa nervosité le rendait adorable.

Un vendredi soir, j'ai reçu un appel téléphonique. Une voix d'homme que je ne connaissais pas :

«Bonsoir, Nina. Je suis un ami de Ralph. Vous vous souvenez de Ralph?»

«Je me souviens très bien de Ralph. Que me voulez-vous?»

«Ralph et moi, nous sommes des amis très proches. Je m'appelle Denis.»

« ... »

«Ralph m'a dit que vous êtes une femme très sensuelle, pulpeuse, et qui aime être dominée. Il m'a dit aussi que votre mari vous délaisse, ce qui vous rend très malheureuse.»

«Ralph vous a dit tout ça?»

«Pas immédiatement. C'est quand je lui ai raconté que j'étais muté dans votre ville, il m'a donné vos coordonnées. Et précisant que ce serait vous rendre service, si je voulais vous baiser. Je serai en bas de chez vous ce soir à 20 heures. Nous ferons plus ample connaissance ...»

«Je ne sais pas si je pourrai me libérer ... mon mari ...»

«Ton mari, on s'en fiche. Je serai là à 20 heures. Habille-toi sexy!»

Et il a raccroché son téléphone. J'étais déjà émoustillée. Une voix mâle, ce ton autoritaire, la promesse d'une baise, tout cela suffisait à m'exciter. J'ai pris un bain, et je me suis pomponnée. Trouver un prétexte pour Max, mon mari, n'a pas été difficile. Il s'en fichait, obnubilé par sa télé.

À 20 heures, j'attendais dans le hall de l'immeuble. La porte s'est ouverte, un type dans la trentaine, viril, se tenait sur le seuil :

«Bonsoir, Nina. Je suis Denis. Tu es ravissante. Très sexy. Ralph a dit que tu étais une affaire. On va prendre un verre pour faire connaissance?»

Denis m'a offert son bras et m'a emmenée dans un bar sportif. À peine installés, il m'a posé plein de questions. Toutes ses questions portaient sur le sexe, mes préférences, la fréquence de mes rapports, qui je voyais ... Il voulait tout savoir, et moi je fondais sous son regard de braise. Après, il m'a demandé de me tourner face à lui, d'écarter mes jambes en troussant ma robe, pour lui montrer ma culotte.

«Merde, alors! Il suffit de te parler de sexe, et tu es déjà mouillée, prête pour la saillie. Ralph a eu raison de me parler de toi. Ta période d'abstinence est finie, Nina. Tu vas t'éclater. Pas seulement avec ma bite. Mais avec plein de bites!»

«Quelle bite?»

«Celle que je choisirais. Ralph m'a dit que tu aimais être dominée ... alors, on va essayer ... maintenant ... ôte ta culotte, tourne-toi, et expose ta chatte!»

«Oh, non ... s'il vous plaît»

«Non? Tu ne veux pas? Tu veux que je te ramène chez toi, maintenant?»

«Oh, non ... s'il vous plaît! Je ferais tout ce que vous voudrez!»

En soulevant mes fesses, j'ai enlevé ma culotte et je l'ai donnée à Denis. J'ai troussé ma robe avant de me rasseoir, mes fesses nues sur la moleskine du siège. Je suis tournée face aux autres consommateurs, et j'ai écarté mes jambes, m'offrant à la vue des hommes. Plusieurs se sont approchés, incrédules. Denis m'attrapa brusquement par un bras, me mit debout sur mes pieds, et me ramena à sa voiture.

Sur le parking, à côté de l'auto, il m'a ordonné : «Déshabille-toi. Enlève ta robe! Vite!»

J'ai dézippé ma robe, je l'ai laissée glisser au sol et je l'ai enjambée. Je n'avais plus sur moi que mon balconnet, mon porte-jarretelles, mes nylons et mes talons. Plusieurs consommateurs nous avaient suivi, et commentaient. Tout au long du trajet, je me suis restées les jambes ouvertes.

Denis m'a raccompagnée chez moi. Je pensais qu'il allait me baiser dans l'auto. Mais il avait une autre idée en tête. Il voulait me baiser chez moi. Dans le salon, Max ronflait devant la télé. Denis a sorti sa bite et m'a dit de le sucer.

«Prends-moi dans ta gorge, Nina. Non ... ne te masturbe pas!»

Agenouillée devant Max, mon mari impuissant, j'ai sucé la bite de Denis. Lentement, il a poussé sur ma nuque pour forcer sa bite de plus en plus profondément. Le gland a sauté dans ma gorge et Denis a pu rentrer toute sa longueur dans ma bouche, faisant gonfler mon cou pendant qu'il me pompait. Il était vraiment très excité par ma gorge profonde, et je n'ai pas mis longtemps avant de lui faire tirer sa semence.

«Ah, t'es bonne. Ralph me l'avait bien dit, que tu étais formidable!»

Une fois soulagé, il a remballé sa bite et, dans l'embrasure de la porte, m'a dit :

«Demain soir, je t'emmène faire la tournée des lieux de débauche. Sexe et perversion. Mets ta tenue de chienne.»

Et il est parti, me laissant frustrée, ma chatte pleurait, mon clitoris palpitait, avec l'interdiction de me masturber. Je n'ai presque pas dormi de la nuit.

Le lendemain soir, Denis est venu me chercher à 20 heures pétantes. Max, mon mari, ronflait déjà devant la télé. En prévision des lubies de Denis, j'avais pris mes précautions en droguant son apéro.Il a pris le contrôle dès son entrée.

«Tourne-toi et soulève ta robe. Fais-moi voir ton cul.»

L'attente m'avait mise dans un état d'excitation, son ordre était presque suffisant pour me faire jouir. Tournant le dos, je me suis troussée jusqu'à la taille pour lui obéir.

«Penche-toi en avant. Bien. Assieds-toi sur le canapé, à côté de ton mari, et ouvre tes jambes. Fais voir»

Obéissante, je me suis assise du bout des fesses. Denis s'est penché sur moi pour faire courir ses doigts sur ma culotte. Quand ses doigts ont frôlé mon clitoris, je me suis penchée en arrière en levant mes jambes, persuadée qu'il allait me faire minette. Mais il s'est arrêté, m'a tirée sur mes pieds et m'a conduite vers la porte d'entrée. J'étais frustrée.

J'ai été surprise de voir une luxueuse limousine garée devant le trottoir, avec un chauffeur en habit tenant la porte arrière ouverte pour moi. Je suis monté dans la limousine, et Denis m'a suivie. Dès que la limousine a démarré, Denis m'a ordonné de tenir mes jambes bien écartées. Denis a sorti sa queue, et il a enroulé ma main autour. Mon alliance brillait dans la pénombre, je me suis sentie vraiment salope.

Ensuite, Denis a mis en marche une caméra dissimulée entre les sièges avant. Sur le tableau de bord, un écran de télévision s'est allumé. Le chauffeur avait une vue imprenable sur mes cuisses écartées. Denis m'a demandé d'écarter ma culotte pour montrer ma chatte rasée au chauffeur. Je l'ai fait en glissant le bout de ma langue sur mes lèvres.

«Masturbe-toi pour lui, Nina, mais ne jouis pas.»

J'ai commencé à frotter ma chatte, mais pas longtemps. Je devais m'arrêter souvent pour laisser mon excitation retomber avant de pouvoir recommencer. J'étais si proche de jouir, il m'a fallu beaucoup de volonté pour arrêter.

Denis a demandé au chauffeur de se garer. Quand il l'a fait, ils ont échangé leurs places. Le chauffeur a sorti sa bite et Denis m'a dit de le sucer. Le chauffeur a ouvert ma robe, et il a sorti mes seins. Je me suis penchée sur lui pour le sucer pendant qu'il me tripotait les mamelons. Je suçais un type que je ne connaissais pas dix minutes avant, et avec qui je n'avais pas échangé trois mots.

Je m'appliquais à faire glisser la grosse bite du chauffeur dans ma gorge. Chaque fois qu'il pinçait ou qu'il tirait sur mes tétons, mon clitoris palpitait et ça me coupait le souffle. Je n'ai pas pu résister longtemps à ce traitement, j'ai cambré mes reins avant d'éclater dans une jouissance intense.

En me voyant euphorique, il m'a allongée sur la banquette et il a plongé son visage entre mes cuisses. Quand ses lèvres ont capturé mon clitoris, j'ai exulté de nouveau instantanément.

«Monte sur lui, Nina. Chevauche-le et baise-le!»

Je suis montée sur lui, face à face, et je l'ai baisé. Je me suis empalée sur sa tige dure qui me remplissais toute. Mais Denis avait d'autres exigences :

«Tourne-la, mec, mets-la face à moi pour que je voie ta bite pénétrer sa chatte.»

Le chauffeur m'a fait faire volte-face pour que mon dos repose contre sa poitrine. Il m'a prise sous les genoux pour les remonter contre mes seins. Il m'a baisée comme une poupée sexuelle. Je n'avais plus aucun contrôle. Il me soulevait et me laissait retomber sur son poteau dressé. Il me baisait, encore et encore, sa bite percutait le fond de ma chatte et Denis me regardait gigoter sur son écran. J'ai frissonné dans un autre orgasme intense.

Quand le chauffeur a senti ses couilles se contracter, il a demandé à Denis:

«Je vais jouir. Puis-je éjaculer dans sa chatte?»

«Bien sûr! Cette pute est là pour ça!»

J'ai frissonné en les entendant parler de moi ainsi. Comme si je n'étais pas là. J'étais leur esclave, à leur disposition, juste un vide-couille. Cet homme que je ne connaissais pas allait juter dans ma chatte. Je tremblais d'excitation, sachant que j'allais jouir quand il éjaculerait en moi.

Le chauffeur a soulevé ses fesses du siège pour me percuter plus rapidement et plus durement. Ma chatte âprement baisée émettait un bruit de piston. Il me baisait comme un sauvage, me faisant crier et hoqueter. Denis s'est garé pour caresser sa bite en regardant le chauffeur m'ouvrir la chatte. Le chauffeur s'est soulagé en moi, plusieurs jets puissants qui m'ont inondée et fait crier.

Il s'est retiré, et les deux hommes ont de nouveau échangé leur place. Denis m'a embrassé langoureusement pendant que le chauffeur redémarrait la limousine. Denis m'a demandé de mettre mes doigts dans ma chatte pour récupérer du sperme et de le sucer. J'ai recommencé plusieurs fois la manœuvre, puis il m'a attiré contre lui et nous nous sommes embrassés à pleine bouche.

«Vas-tu me baiser?» Ai-je demandé, surprise.

«Pas maintenant. Plus tard. Quand nous te raccompagnerons chez toi. Nous allons te baiser dans ton lit, le chauffeur et moi. Devant ton mari.»

Mon corps tout entier tremblait de désir et d'anticipation.

Le chauffeur nous a emmené dans un très bon restaurant. Après le dîner, nous sommes allés assister à un concert. Pendant le récital, Denis voulait jouer avec ma chatte. Il m'a obligé à lui donner ma culotte. Ses doigts battaient la mesure à l'intérieur de moi. Denis a proposé au vieux monsieur assis à côté de moi de partager ma chatte car elle était "assez grande pour deux". Avant la fin du concert, leurs doigts luttaient à l'entrée de ma vulve.

Sur le chemin du retour, nous nous sommes arrêtés dans une supérette ouverte 24/24 heures.

«Va voir l'employé, Nina, et séduis-le. Montre-lui tes charmes et demande-lui de te baiser ... gratis. Invente-lui un bobard, dis-lui que ton amant a fini trop tôt, ou que ton mec te délaisse, enfin peu importe, trouve un truc pour qu'il ne baise. Si tu n'y arrive pas, tu rentres à pied. Allez, file!»

Séduire le jeune commis était facile. Il s'ennuyait ferme, et il était heureux d'avoir un peu de distraction. J'ai sorti mes seins, troussé ma robe pour lui montrer ma chatte rasée, il a mis sa pancarte "Reviens dans 10 minutes" sur la porte, et il m'a emmené dans les toilettes. Debout, jambes écartées, agrippée au lavabo, il m'a prise en levrette comme une pute pas chère. Il s'est enfoncé en moi sans ménagement, il a tambouriné ma chatte comme un marteau-piqueur, cramponné à mes hanches, en m'insultant. Il n'a pas tenu longtemps et m'a claqué les fesses pour faire bonne mesure. C'est dommage, j'étais sur le point de jouir et ça m'a coupé tous mes effets. J'ai quitté le magasin avec mes seins à l'air.

Arrivés chez moi, Max, mon mari, ronflait sur le canapé. J'avais mis la dose de somnifère. J'ai appris que le chauffeur s'appelait Martin lorsque Denis lui a demandé s'il voulait "baiser la pétasse en premier"? Ils m'ont installé sur le canapé, à côté de mon mari. Agenouillée sur le canapé, les reins cambrés, je gémissais tandis que leurs doigts impudiques sondaient mes orifices et mes replis.

«Baisons-la ensemble. Elle va adorer, pas vrai, Nina?» proposa Martin.

Sitôt dit, sitôt fait, Martin s'est assis sur le canapé, à ma place. Je l'ai chevauché, face-à-face, et je me suis empalée sur sa bite triomphante. Denis s'est collé contre mes reins pour utiliser l'entrée de secours. J'ai atteint mon point culminant en quelques minutes, tandis que les deux bites me pilonnaient. Ils sont partis peu de temps après, alors que je leur demandais encore un tour gratuit, et Denis ne m'a pas rendu ma culotte.

Bons voisins:

Mon voisin de palier et son jeune fils de 17 ans essayaient de mater mes fesses chaque fois qu'ils en avaient l'occasion. En montant les escaliers, ma courte jupe dévoilait mes cuisses, ou sur le balcon, si je faisais un peu de ménage. Je n'y prêtais aucune attention. Mais, j'ai toujours aimé taquiner les hommes qui me regardent.

Maladroitement, je pouvais accrocher l'ourlet de ma jupe qui se soulevait, dévoilant ... oups, j'avais oublié de mettre une culotte! Ou alors, c'est mon décolleté qui baillait, dévoilant un mamelon dodu. Qu'est-ce qu'il a ce chemisier, pourquoi il s'ouvre constamment? Le père et le fils étaient vraiment moches, mais quand je suis chaude, ça peut passer. Il faudrait que je voie leur bite, pour savoir s'ils m'intéressent. S'ils avaient de grosses bites, ma foi ...

Des fois, j'aurais aimé savoir si le fils du voisin était encore puceau. J'aimerais bien déniaiser un gamin. Un soir, je tenais l'occasion. Il maintenait ouverte la porte de l'allée, galamment, pour me laisser passer. Je l'ai remercié et j'ai engagé la conversation. Je lui ai posé des questions sur sa scolarité, c'est normal pour une professeure. En discutant, j'ai dédaigné l'ascenseur et j'ai emprunté l'escalier.

La montée durera plus longtemps. L'escalier était étroit, je suis passée devant, et j'ai dis en riant que monter les escaliers, cela fait de belles fesses. Il me suivait de près, je savais qu'il matais mon cul. Sur le palier, j'ai fais une pause. Je me suis tournée vers lui, je lui ai dis que j'avais chaud, et pour le prouver, j'ai passé mon index entre mes seins. Le gars était rouge pivoine et très à l'étroit dans son pantalon. J'ai tendu mon index trempé de sueur vers lui en disant :

«Tiens, Suce! Je sais que tu veux me baiser!»

J'ai cru qu'il allait se trouver mal. S'il n'avait pas été puceau, il m'aurait sauté dessus. Il était tétanisé. J'ai tendu la main pour caresser la protubérance dans son entrejambe. Il a émit un drôle de grognement et il s'est mis à trembler. Je savais que je ne pouvais pas m'attarder dans l'escalier. J'ai sorti mes seins de mon chemisier et je me suis agenouillée devant lui. J'ai ouvert sa braguette, sorti sa bite, et je l'ai sucé. Je l'ai senti vaciller, il a gémit, ses hanches se sont projetées en avant et j'ai reçu une giclée de sperme sur le visage. J'étais frustrée.

Maintenant, il fallait que je me venge sur son père. J'étais seule à la maison. J'ai vu le voisin sur son balcon avec ses jumelles autour du cou. Bonne occasion de le faire mariner. J'ai enfilé un déshabillé rouge ultra-transparent, des bas assortis, et un string noir. Dans la pièce principale, j'ai allumé toutes les lumières. Devant le grand miroir sur pied, je prenais des poses, toutes plus polissonnes et sensuelles les unes que les autres.