Éducation Sociable

BÊTA PUBLIQUE

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Je retins mon souffle en le sentant aligner sa bite sur mon ouverture. Puis le gland boursouflé se pressa contre ma chatte, écartant les chairs, pour pénétrer au fond de mon vagin. L'émotion était trop forte, j'ai un un troisième frisson instantanément :

«Bon sang! Tu ne mentais pas, Nina. Tu étais vraiment en manque. Je n'avais jamais vu une chatte jouir comme ça dès la première pénétration!»

«Oh, tais-toi! S'il te plaît, ne parle pas et baise-moi! Allez ... Baise-moi!»

Ralph a fait glisser son pieu de chair dans mon puits d'amour, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Des bruits de baise emplissaient la chambre, je geignais, et mes plaintes entrecoupées de cris et de halètements le motivaient. J'ai crié encore plus fort quand j'ai senti deux doigts s'enfoncer dans mon cul, tandis que sa bite me fouillait la chatte.

J'ai perdu la notion du temps, et du nombre de fois, où la bite de Ralph m'a fait crier de bonheur. Finalement, il s'est effondré sur moi, en se vidant les testicules au fond de ma vulve. Il s'est reposé pendant un moment sur moi, mais mon cul et mes hanches n'ont pas cessé de se convulser, et je n'ai jamais cessé de le supplier de me baiser encore.

Finalement, il a roulé sur le côté, m'a attiré sur lui et m'a dit : «Suce-moi, si tu en veux encore!»

Je l'ai sucé ... oh bon sang, je n'avais jamais sucé ainsi ... fort ... profond ... tout le long ... essayant désespérément de le remettre en forme, pour qu'il continue de me baiser, encore et encore. Cela n'a pas pris bien longtemps pour que sa bite soit raide de désir, et palpitante dans ma bouche. Je l'ai senti se tendre, ses bourses se gonfler, il était prêt à éjaculer.

Immédiatement, je l'ai lâché et je me suis mise en position sur le lit, à côté de lui, à quatre pattes, pour qu'il me prenne en levrette. En voyant Ralph se positionner derrière moi, j'ai crié : «Viens, viens là, vite!»

Posant ses mains sur mes hanches surélevées, il a présenté sa bite contre mon puits d'amour. Sa bite est entrée en moi, impérieuse, puissante, m'étirant et chassant l'air dans un grand bruit de flatulence qui m'a fait honte. Il grogna de plaisir en heurtant mon col au fond de ma vulve. J'étais déjà prête à jouir.

Il me baisait rudement, allant et venant à grands coups puissants, lorsque brusquement, il s'est retiré entièrement, me faisant gémir et pleurer : «Non, reste, reviens, tu n'as pas fini, allez!»

«Je n'ai pas encore eu ton cul, Nina. Ouvre-moi tes fesses!»

Même si j'étais certaine d'avoir mal, car il était très épais, j'ai quand même mis mes mains sur mes fesses pour m'ouvrir. Avec précaution, il m'a doigtée, utilisant les jus qui suintaient de ma chatte pour lubrifier mon anus. Sa bite était déjà graissée de nos jus combinés. Quand je l'ai senti pousser contre mon sphincter, j'ai essayé de me détendre pour avoir moins mal. J'avais déjà connu des hommes qui pratiquaient l'anal, et je savais me comporter. Dès que le gland est entré, il s'est arrêté un instant, pour voir ma réaction, puis m'a enculée profondément, dressé au-dessus de moi, poussant jusqu'à ce que ses boules heurtent mon cul.

J'ai lâché mon cul pour poser ma main sur ma chatte, mes doigts frottant furieusement mon clitoris palpitant pendant que Ralph me baisait le cul avec détermination. À chaque poussée, ses couilles heurtaient ma chatte. Ralph me martelait âprement. Il me baisait de plus en plus fort, de plus en plus vite ... J'ai hurlé quand ma chatte a giclé.

Je me suis réveillée tard, vers 10 heures le lendemain matin. Ralph était parti juste après m'avoir baisé le cul. J'étais trop épuisée pour l'embrasser ou le remercier. Au réveil, j'ai passé une demi-heure à tremper dans la baignoire, et une autre demi-heure à me pomponner, pour masquer les ravages de la veille.

En déjeunant, je me suis aperçue que, malgré le sexe intense de la veille, ou peut-être à cause de ça, j'observais toujours les hommes. Chaque homme séduisant et sexy que je voyais, j'estimais la taille et l'épaisseur de sa bite, et comment il pouvait se comporter au lit. Bientôt, ma chatte était humide et prête pour plus de sexe.

Le conférencier :

Lorsque les conférences de l'après-midi ont commencé, je suis arrivée tôt et j'ai pris place au premier rang. Pendant la première heure, j'ai écouté des discours ennuyeux. Aucun des intervenants insipides qui se sont succédé à la tribu n'a prêté attention à mon physique. Ni mes jambes croisées haut, avec ma courte jupe, ni mon décolleté bien garni, ils n'ont pas marqué le moindre intérêt. J'étais sur le point de partir lorsqu'un jeune professeur noir, dans la trentaine, est monté sur l'estrade pour faire une présentation.

Alors qu'il installait son ordinateur portable, ses yeux allaient et venaient entre son matériel et mes cuisses. Presque instantanément, j'ai ressenti une émotion. Avec des bruissements de papillon dans le ventre, j'ai exalté son intérêt en troussant ma jupe un peu plus haut. Comme si nous étions seuls au monde, un dialogue muet s'installait entre ses yeux et mes cuisses.

Lorsque sa présentation a commencé, j'avais ma jupe à mi-cuisses. Il arpentait la scène, en essayant de distinguer entre mes jambes hermétiquement croisées. Alors progressivement, lentement, j'ai remonté un peu ma jupe en croisant et décroisant mes jambes. Bientôt, il se réfugia derrière le pupitre pour dissimuler son érection grandissante.

Pour augmenter son inconfort, j'écartais progressivement mes jambes ... un peu plus ... jusqu'à ce qu'il s'éponge le front en sueur. Alors, je me suis penchée en avant, lui donnant une superbe vue sur mes seins. Son regard devenait fou, et ses commentaires aléatoires.

J'avais des envies mélangées ... mon côté garce voulait l'exciter pour qu'il jouisse dans son pantalon ... mon côté chienne redoutait qu'il gaspille sa marchandise.

Quand on est passé aux questions, après sa conférence, j'ai levé la main pour attirer l'attention de l'orateur.

«Oui, Mademoiselle?» demanda-t-il en dévisageant directement mon fond de culotte.

«Je suis Mme Nina Novelle, professeure d'histoire. J'aimerais éclaircir certains points avec vous ... serait-ce possible d'avoir un entretien privé avec vous?»

«Absolument! Je me tiendrai à votre disposition après mon intervention.»

«Je vous en remercie, professeur. Merci.» J'ouvris un peu plus mes jambes, afin qu'il ne persiste aucun doute dans son esprit sur l'aide que j'espérais de lui.

Quelques minutes plus tard, dans un salon privé, le professeur noir cherchait comment il pouvait m'aider :

«Bien, Mme Novelle, c'est un plaisir de vous rencontrer. Comment puis-je vous aider?»

«Vous pouvez m'accompagner dans ma chambre, ou dans la votre, et passer le reste de l'après-midi à me baiser.»

«Bien. Voilà une attaque directe. Êtes-vous toujours aussi directe?»

«Nous n'avons qu'un après-midi et je ne veux pas perdre mon temps en mondanités. Êtes-vous d'accord?»

«Entièrement d'accord avec vous, Mme Novell.»

«Nina, mon chéri. Tu vas me baiser, alors tu peux me tutoyer et utiliser mon prénom, OK?»

«OK. Mon prénom est Georges. Enchanté de faire ta connaissance.»

«Écoute. Si nous restons assis ici à discuter, tu n'es pas près de me baiser. J'ai la chambre 905. Tu me suis?»

«Tu devrais y aller seule. Je te rejoindrais dans quelques minutes.»

«Hum, bien. Es-tu en forme?» J'ai mis la main sur son érection. «Waouh! Bel objet!»

«C'est de ta faute!» murmura-t-il. C'était maintenant son tour. Sa main explora sous ma robe, j'écartais les jambes pour lui : «Ta culotte est trempée!»

«C'est de ta faute!»

«J'ai envie de te doigter ici, dans ce salon, qu'en penses-tu?»

«Je dirais ... Ne te gêne pas» Ses doigts écartèrent ma culotte pour glisser jusqu'à ma chatte. Il les a fait coulisser de haut en bas dans ma fente humide. Je savourais sa dextérité.

«Hum ... Ne t'arrête pas!»

Ses doigts ont exploré minutieusement ma chatte. J'avais de la chance ... C'était un expert qui aimait prendre son temps pour satisfaire les femmes. Je tremblais de passion lorsqu'il maniait mon clitoris. Ses doigts savants et habiles l'avaient capturé, et mon clitoris tressautait et palpitait d'émotion.

«Mais ... Tu as ... jouis!»

«C'était un apéritif bien agréable. Merci. Je vais à la chambre 905. Ne me fais pas attendre ...»

Georges était incroyablement bien équipé pour plaire aux dames, long et épais. J'ai dû étirer ma bouche suceuse le plus largement possible pour le prendre. Ma main avait du mal à en faire le tour.

«Oh ... tellement bon! Je suis sur le point de jouir! Penche-toi sur le dossier du canapé. Maintenant!»

Je découvrais que j'aimais être dominée par un mâle viril. Quand un ordre me fustigeait, il se produisait un remue-ménage au fond de ma chatte. Je me suis penchée en un éclair. L'instant suivant, la bite de Georges m'assaillait. J'ai crié de plaisir lorsque son pieu de chair m'a ouverte en deux en me pénétrant.

Il a été surpris de sentir ma vulve se contracter et emprisonner sa bite. Bien que sa jouissance soit imminente, il avait supposé que je finirais la première. Faux! J'étais volcanique, mais après quelques coups de bite, son éjaculation a fait crépiter ma chatte. Il m'a entraîné dans son extase, dans un concert de cris et de grognements, avant de s'abattre sur moi, vaincu et repus.

«Désolé. Je ne t'ai même pas demandé si j'avais besoin de porter un préservatif.»

«Tout va bien. Je suis saine et protégée. Viens, bébé, allonge-toi sur le lit, que je m'occupe de cette belle bite. J'en veux encore.»

J'ai profité de sa détumescence partielle pour le faire pénétrer en partie dans ma gorge. Je ne pouvais pas l'enfoncer profondément, mais cela augmentait ma capacité.

«J'adore voir ton cou se gonfler à chaque fois que tu gobes ma bite!»

Quand il était redevenu tendu, je l'ai enfourché. J'ai posé ma chatte sur sa bite dure, et je l'ai frottée tout le long de ma fente en agitant mes hanches. Pendant quelques instants délicieux, j'ai brossé mon ouverture contre son pieu d'amour. Puis, lentement, je me suis laissée couler le long de sa tige jusqu'à être complètement empalée.

Je l'ai baisé. Fort et vite, en heurtant mon pubis sur le sien. Comme une cavalière déchaînée qui monte un pur-sang de concours. Puis je m'immobilisais, le retenais en moi, contractant mes muscles vaginaux, mon périnée, jusqu'à ce qu'il me supplie de le baiser.

Je recommençais ma chevauchée fantastique, jusqu'à ce qu'il recommence à grogner, soulevant ses hanches pour m'empaler. De nouveau, je me suis arrêtée. Pour qu'il me supplie. J'ai recommencé ce processus plusieurs fois, jouant avec sa patience. Je me sentais puissante en dominant ce bel étalon noir.

Pendant longtemps, j'ai maintenu Georges au bord du jaillissement. Mon impudeur, mon cynisme, le rendait fou de désir. À la fin, n'y tenant plus, il m'a basculée sur le dos pour me baiser comme un hussard.

Après cette session de l'après-midi, Georges devait rentrer chez lui, retrouver sa petite femme qui l'attendait. Je passais une dernière soirée à l'hôtel, mais la plupart des participants étant partis, je n'avais pas grand espoir de trouver un camarade de jeu pour la nuit.

J'étais en train de m'apprêter pour le dîner, lorsque le téléphone sonna. J'espérais que ce soit Max, mon mari, pour prendre de mes nouvelles, mais j'ai reconnu la voix de Ralph :

«Tu retournes chez toi ce soir, ou demain matin?»

«Demain matin»

«Bien. Mets ta tenue la plus sexy, je t'emmène dans un endroit amusant. Pas de culotte. Retrouve-moi dans le hall, dans trente minutes.» Et il a raccroché.

J'ai retrouvé Ralph dans le hall, qui s'est incliné pour un baise-main : «Tu es très en beauté!»

La main au creux de mes reins, il m'a entraînée jusqu'à sa voiture, m'a galamment tenu la porte ouverte et, pour le remercier, je lui ai offert le spectacle de cuisses nues, au-dessus des nylons, en me glissant sur le siège passager. En s'installant au volant, il m'a regardée :

«Remonte ta jupe à la taille!»

Jusqu'au restaurant, il a conduit avec la main entre mes cuisses, en doigtant ma chatte. Il a arrêté sa voiture devant un relais routier. J'étais un peu dépitée. J'avais imaginé mieux.

Il m'a conduite à l'intérieur du restaurant avec sa main sur mes reins. Ma jupe était si courte que je craignais de montrer à l'assistance une partie importante de mon anatomie. Quelques types traînaient près de la porte d'entrée. En passant devant eux, Ralph a saisi l'ourlet de ma jupe et l'a remonté à ma taille, découvrant mon cul nu aux regards. Il y a eu des quolibets et des sifflets :

«Hé, mec. Fais-nous voir la chatte de ta pute!»

«T'as entendu, Nina. Les désirs de ces messieurs sont des ordres!»

Je me suis retournée, souriante, j'ai troussé ma jupe jusqu'à la taille pour leur montrer ma chatte épilée, en leur faisant un doigt d'honneur.

Le menu était simple, hamburger-frites-bière. Visiblement, Ralph ne m'avait pas emmenée dans cette gargote dans un but gastronomique. Pendant que nous mangions, les tables voisines se remplissaient d'hommes. Ils semblaient tous avoir un grand intérêt pour mes jambes, espérant peut-être ...

«Tous ces hommes me regardent» ai-je chuchoté à Ralph.

«Ils veulent revoir ta chatte!»

«Peut-être que nous ferions mieux de partir avant qu'ils ne me violent» ai-je suggéré.

«Tu ne crains rien ici, Nina. Beaucoup de femmes viennent ici pour se faire baiser, c'est un endroit réputé. Mais aucune ne s'est faite violer. Jamais. Regarde les deux gros malabars à côté du bar ... ce sont des videurs. Si tu n'est pas consentante, personne ne te touchera. OK?»

«Ouais, bon. Je suppose que je suis en sécurité.»

Ralph m'a emmenée sur la piste de danse où il m'a fait virevolter, ce qui faisait voler ma jupe jusqu'à mes fesses. Les hommes se sont déplacés, bière en main, pour s'installer aux tables entourant la minuscule piste de danse.

«Ralph! Tout ces hommes qui me regardent! Ma chatte est un vrai marécage!»

«Un type se dirige vers toi, Nina. Un noir. Il veut probablement t'inviter à danser. Voudras-tu ou pas?»

«Si tu me le demandes, Ralph!»

«OK, danse avec lui. Laisse-le t'aguicher, emmène-le dans la voiture sur le parking, et baise-le!»

«Je ne veux pas être baisé ici. Par aucun de ces hommes. C'est toi que je veux!»

«OK. Pas de problème. Tu lui diras que tu ne baises pas ... c'est juste nul. Quand il t'emmènera au parking, suce-le. Ensuite, je te raccompagnerai à l'hôtel...»

J'ai conduit Ibrahim à travers le parking sombre jusqu'à notre voiture. Il avait sorti mes seins de mes bonnets quand nous dansions, et ils se balançaient librement. Il maintenait ma robe troussée avec ses deux épais doigts noirs enfouis dans ma chatte. Ses doigts qui me baisaient lentement, presque distraitement, nonchalamment. J'avais du mal à marcher. Je voulais juste m'allonger, et écarter les jambes pour ce putain de taureau noir.

«La voiture est juste là. Dépêche-toi!»

«Baiser une poulette sur le siège arrière d'une voiture, c'est bon pour les gamins. J'ai une chambre au motel, là derrière. Suis-moi, poupée!»

Avec ses doigts agrippés dans ma chatte, je n'avais pas d'autre choix que de le suivre.

Dans la chambre, il s'est déculotté et m'a tendu sa bite : «Suce-moi, pétasse ... Grouille-toi!»

J'ai été stupéfaite par la taille de son engin. Peut-être plus gros que Georges... et un peu plus grand!

Agenouillée, j'ai pris son énorme braquemart dans ma main et j'ai commencé à le branler. Ibrahim n'a pas du tout aimé cela : «Ne me branle pas, salope ... suce-moi!» Ma chatte s'est durement convulsée à l'idée d'être traitée comme une putain bon marché.

Ouvrant ma bouche aussi largement que je pouvais, j'ai gobé plusieurs centimètres de bite. Même pas le quart de la longueur et déjà le gland appuyait contre ma glotte. Ibrahim a posé ses mains derrière ma tête, et il a tranquillement poussé sa queue dans ma gorge. Je me suis étouffée et j'ai tenté de m'éloigner, mais il a maintenu ma tête en place. Au moins, il a arrêté d'augmenter la pénétration jusqu'à ce que mes nausées se calment.

Les hommes étaient agglutinés à la fenêtre de la chambre. Ralph était en première ligne. Tous regardaient l'énorme pieu de chair noire disparaître dans ma bouche. Étonnamment, je n'avais plus de nausées. Lentement, Ibrahim l'a ressorti presque entièrement, puis il est entré à nouveau. Plus loin, encore plus profond. Mes yeux s'écarquillaient. Ma gorge se gonflait sous l'énorme pression. Ibrahim a maintenu ma tête en place pour me baiser dans la gorge.

«Bien, très bien, petite. Maintenant montre-moi comment tu sais sucer une grosse bite!»

Ma gorge semblait élastique en allant et venant sur la grosse bite noire. Plus de nausées. Ibrahim a commencé à grogner en sentant sa bite palpiter dans ma gorge.

«Oh merde! Quelle pompe suceuse! Sale pute! Salope! Ah, prends tout, putain! Suce, bébé, suce-moi!»

J'ai continué de le sucer après que sa crème soit descendue dans mon ventre. Pour le remettre en forme, et parce que je ne voulais pas qu'il me baise avec sa grosse bite. Mais Ibrahim avait une autre idée en tête.

«Je vais te baiser, bébé.» Il a sortit sa bite de ma bouche et me poussa sur le lit.

«Ralph t'a dit que je ne baise pas, je ne fais que sucer!» je protestais, mais il écartait mes jambes en poussant mes genoux contre mes seins.

«Ouais, c'est ce qu'il a dit!» Mais il s'est allongé sur moi.

Quand j'ai senti la grosse bite pousser contre mon ouverture, j'ai bandé mes muscles en essayant de m'éloigner, mais c'était peine perdue. Il m'avait épinglée sur le lit, les jambes en l'air. Il poussa fort et la grosse bite entra. J'ai hurlé en le sentant m'ouvrir en deux. J'étais sûre qu'il m'avait déchirée. Définitivement estropiée.

Ibrahim a fait une pause, le temps que je m'habitue. Il me parlait à voix basse, m'embrassait pour que je me calme. Doucement, insensiblement, il rentrait plus profond. Il m'ouvrait, et ma chatte mielleuse coulait de plaisir

Ibrahim a commencé à me baiser avec des coups lents et profonds. J'ai frissonné de plaisir.

Longtemps, sans changer de rythme, patiemment, il m'a amenée où il voulait. Maintenant, c'est moi qui gémissait, le suppliait de me baiser plus fort, plus vite. Insensible à mes suppliques, même pendant ma jouissance, il a conservé le même tempo. Je suis venue plusieurs fois avant qu'il ne se soulage au fond de ma vulve. Mais, là encore, sans changer son mouvement, toujours tranquille.

Ralph m'a ramenée à notre hôtel. Toujours troussée, cuisses ouvertes, il m'a bricolée tout le long du chemin. Quand nous sommes entrés dans l'ascenseur, il m'a ordonné de me pencher et d'attraper mes chevilles sans plier mes jambes. Il m'a prise en levrette, debout dans l'ascenseur. Il a arrêté l'ascenseur entre deux étages, et il m'a baisée. Son sperme, mélangé à celui d'Ibrahim, coulait de mon vagin ruisselant.

Ces deux jours passés loin de mon mari impuissant, à me faire baiser par des étalons bien équipés, m'avaient appris une chose. Je préférais quand le partenaire prenait le contrôle. Il pouvait être brutal, autoritaire, pervers, cela m'excitait et j'étais heureuse d'obéir. Je savais maintenant que je devais rechercher ce type de partenaire.

Frustration :

Malheureusement, la récréation était terminée, j'étais de retour à mon monde habituel, fait de masturbation agrémentée par mes fantasmes sexuels sur mes élèves. Dès le deuxième jour, je m'imaginais kidnappée par mes élèves qui me violaient à tour de rôle. Le soir, j'avais la chatte en feu à cause d'une masturbation acharnée et destructrice.

C'était l'anniversaire de Jason, 18 ans. J'ai surpris une conversation entre plusieurs filles de sa classe. Elles ont compris que je les avais entendues, m'ont fait promettre le secret, elles lui avaient préparé une surprise. J'ai promis. Jason faisait partie de ces étudiants qui nourrissaient mes fantasmes.

18 ans! Il n'était plus mineur! Je pourrais baiser avec lui, ce serait légal. Je voulais qu'il me prenne, me ligote, me viole. Je serais sa chienne lubrique ...