Éducation Sociable

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Salope soumise à ses fantasmes.
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Nina Novelle arpentait les allées de sa classe d'histoire. Alors qu'elle expliquait les événements qui ont précédé la Guerre Mondiale, en commentant la manière inefficace de gérer les circonstances par les dirigeants du monde, elle savait que tous les garçons de la classe s'intéressaient davantage à ses jambes galbées de nylon beige, et à ses talons qui claquaient sur le sol, qu'aux évènements qui avaient précédé la guerre.

En parcourant les allées, elle pouvait deviner les yeux des garçons suivant la courbe de ses hanches. Derrière elle, les garçons avaient les yeux rivés sur ses fesses qui tanguaient, partiellement cachées par sa jupette vaporeuse. Devant, ses tétons essayaient de traverser son chemisier blanc largement décolleté. Son chirurgien plasticien avait fait un excellent travail, à en juger par le regard des garçons fixé sur ses énormes globes.

Nina aimait claquer ses talons sur le sol, cela faisait vibrer la chair de ses fesses et balancer ses gros nichons. Sa haute stature de femme s'entretenant régulièrement dans une salle de gym, ses tenues sexy, sa sensualité exacerbée, ses attitudes, rendaient ses cours extrêmement captivants pour les ados boutonneux.

Nina Novelle était habillée sexy, parfaitement consciente du trouble qui s'emparait des garçons de sa classe. La plupart tentaient de dissimuler une érection gênante. Les garçons blancs, gênés, aux regards honteux, mataient ses gros nichons par-dessous. Les garçons noirs scrutaient franchement en écartant les jambes, pour qu'elle puisse bien voir à quel point ils étaient tendus.

S'arrêtant brusquement devant Jason, la forte tête de la classe, elle vit le regard du garçon qui essayait de scanner à travers ses vêtements. En écartant les pieds dans une position ouvertement provocante, elle posa sa main droite sur sa hanche en saillie et dit :

«Jason, tu rêvasses et tu n'écoutes pas un seul mot. Pas étonnant si tu es le cancre de cette classe!»

Sachant qu'il avait été surpris en train de mater les seins de la prof, Jason ne fit rien pour dissimuler son intérêt pour ce corps parfait. Il a juste répondu, en gardant les yeux braqués sur le sillon qui sépare les seins :

«Je vous écoute, Madame. Vraiment. J'essayais juste de mémoriser tout ce que vous dites si bien.»

«Tu mémorisais les choses importantes? C'est ça, Jason?»

«Ouais ... euh, enfin, les points importants ... j'essayais ... enfin ...»

Nina se pencha ... en s'appuyant d'une main sur le bureau, elle promenait son décolleté plongeant sous les yeux du garçon. Les seins gonflés de silicone, pressés par le soutien-gorge balconnet, se balançaient doucement au gré des mouvements de la prof. Parfaitement consciente de l'effet qu'elle produisait sur le jeune black, elle s'amusait à mesurer son degré d'émotion. En agitant encore un peu sa lourde poitrine, Nina demanda :

«Si vous écoutiez ce que j'ai dit, M. Jason, expliquez-moi quelle était le rôle de la ligne Maginot?»

Incapable de lever les yeux, Jason crevait de chaud et son pantalon baggy était devenu subitement trop étroit. Les seins de Mme Novelle occupaient tout son espace visuel. Elle se penchait, et le poids de sa lourde poitrine tendait le fin tissu. L'entrebâillement du décolleté s'élargissait, et Jason attendait avec joie et avec impatience que ces lourdes loches lui tombent dessus. Mon dieu ... si elle se penchait encore un peu ... un peu plus ... sa bite durcie palpitait à l'étroit.

Mais la salope s'est redressée et le toisait d'un œil furibard :

«Et bien, Jason. La Ligne Maginot, ça t'inspire quoi? Ou préfères-tu rester comme un idiot avec la bouche ouverte?»

Les filles de la classe ricanaient, se foutaient du bellâtre qui les snobait en les traitant de gamines.

«Heu, ouais ... La Ligne Maginot, c'était une ligne de défense qui entourait Paris» chuchota Jason.

Les rires des filles se sont agrémentés de commentaires désagréables. Jason ne s'en souciait plus. Mme Novelle s'était penchée encore plus bas et lui laissait entrevoir l'aréole de son mamelon.

«Vraiment ... une ligne de défense ... Peux-tu me dire ce qu'était le phosgène, hum?»

«Euh ... ouais ... ouais ... le phosgène, c'était le truc qu'ils mettaient dans la nourriture pour donner du courage aux soldats, pour qu'ils soient braves au combat!»

«Bien, très bien, enfin ... intéressant ... pour tout le monde, une feuille de papier, un stylo, interro surprise. Je veux que vous m'écriviez ce qu'était la ligne Maginot et le phosgène ... vous avez 15 minutes ... à partir de maintenant!»

Pendant que les élèves soupiraient en obéissant, Mme Nina Novelle s'est assise sur son bureau. Ainsi perchée, elle avait une vue dégagée de l'ensemble des élèves, pour surveiller les tricheurs pendant les examens. Et les garçons des premières rangées avaient une vue imprenable sur les belles jambes de la prof.

Penchée en avant, les mains à plat sur le bureau, Nina offrait aux garçons une vue panoramique sur son décolleté plongeant. Les filles et les garçons qui n'étaient pas proches du bureau de la prof rédigeaient leurs commentaires. Inutile de vous dire que les trois premières rangées ne pouvaient pas écrire et mater en même temps.

Cinq minutes après le début de l'exercice, Nina a ouvert son livre et l'a posé sur ses genoux. Elle ne pouvait pas résister. À vrai dire, elle n'a même pas essayé de résister. Lentement, elle a ouvert ses genoux pour que la vision de l'intérieur de ses cuisses s'améliore. Les garçons avaient des difficultés croissantes pour écrire.

Dix minutes après le début de l'exercice, Nina avait les jambes suffisamment ouvertes pour que les garçons puissent distinguer la tache claire de sa culotte.

Aucun des garçons des premiers rangs ne tentait d'écrire quoi que ce soit. Jason, comme les autres garçons, fouillait du regard l'entrecuisse de la prof, et de la main l'entrejambe de son pantalon.

Nina avait les jambes suffisamment ouvertes pour que les garçons puissent voir sa culotte. Mais étaient-ils capables de distinguer la tache d'humidité qui grandissait sur son fond de culotte, ou de deviner sa chatte à travers le fin tissu. Peu importe, ils étaient tendus et à l'étroit dans leur baggy.

Plus que deux minutes, Nina a posé son bouquin sur le bureau, avant de se retourner pour faire face à la classe. Dans le mouvement, ses jambes se sont largement écartées. Puis elle a agité ses jambes dans le vide sans refermer ses jambes, comme une gamine qui ignore qu'elle montre sa culotte. Quand les 15 minutes se sont écoulées, elle s'est levée. Certains garçons des premiers rangs avaient envie de gémir.

«Le temps est écoulé. Rendez vos copies. Maintenant» Les copies des garçons des premiers rangs étaient quasiment vierges.

La journée était terminée, les élèves se dirigeaient vers la sortie, quelques garçons s'attardaient dans l'espoir d'en voir plus. Nina a récompensé leur patience en se penchant par-dessus le bureau. Elle savait que le tissu de la jupette moulait parfaitement le galbe de ses fesses, en découvrant ses cuisses exposées. Jason fut le dernier à partir.

Rapidement, Nina s'est précipitée vers les toilettes des dames. Une fois verrouillée à l'intérieur d'une cabine, elle a troussé sa jupette autour de sa taille et glissé sa culotte jusqu'aux genoux. Penchée au-dessus des toilettes avec le couvercle fermé, elle a plongé ses doigts dans sa chatte excitée.

Dents serrées pour ne pas gémir en frottant son clitoris brûlant, Nina imaginait Jason entre ses cuisses, sa bite sortie. Il l'alignait sur l'orifice en attente. Son bassin a poussé en avant, enfouissant sa bite dans le vagin trempé. Il la baisait fort et vite ... giflant le cul de Nina avec son pubis.

Rapidement, Nina a connu un orgasme convulsif. Des jus coulaient de sa chatte volcanique tandis que ses hanches oscillaient d'avant en arrière dans des mouvements incontrôlés. Elle imaginait la bite noire de Jason projeter son sperme dans son vagin fertile.

Problèmes médicaux :

Après 20 ans d'armée, son mari, Max, a pris sa retraite pour commencer une carrière civile dans le bâtiment. C'était un bon choix, mais un peu tardif. Toutes les horreurs qu'il avait vues sur les théâtres d'opérations avaient imprégnées son esprit de manière irréversible. Ses cauchemars nocturnes ont atteint un tel niveau, qu'ils l'empêchaient d'obtenir des érections. Peu de temps après, Max est devenu impuissant.

Au début, il essayait de câliner Nina avec le sexe oral et avec ses doigts, mais sa libido l'a finalement abandonné. Depuis, elle se masturbe ... elle chauffe les gars, et s'imagine être violée. Tout est bon pour exciter son imagination. Une fois, sa fille Charlène est entrée dans sa chambre, et l'a surprise en train de se soulager avec son vibreur. Nina l'a vue, mais elle était trop proche de l'extase pour s'arrêter. Charlène l'a regardée avec curiosité. Lorsque son orgasme a explosé, Nina s'imaginait avec la main de Charlène entre ses cuisses trempées.

L'impuissance de son mari n'était évidemment pas une bonne situation, mais Nina était si proche de la ménopause, qu'elle a pensé que cela réglerait le problème. Sa libido n'avait jamais été importante et, avec le début de la ménopause, elle a supposé qu'elle diminuerait, peut-être même jusqu'à disparaître.

Cependant, cela n'a pas fonctionné de cette façon. Au lieu de diminuer, sa libido a augmenté ... beaucoup trop! De plus en plus souvent, Nina pensait au sexe, aux hommes, et à leurs bites dressées.

Nina se masturbait comme une collégienne, avec des fantasmes de plus en plus sauvages, dans des situations scabreuses. Rien ne la calmait. Les doigts ou les jouets vibrants sont de très mauvais ersatz. Rien ne remplace un homme couché sur soi et poussant furieusement sa bite dans votre chatte.

Formation Permanente :

Après des mois de frustration causé par l'impuissance de Max, et un nombre incalculable d'orgasmes masturbatoires, une formation de deux jours était organisée par l'éducation nationale, pour les enseignants, sous forme de conférences. Dans mon lycée, je n'avais pas remarqué avant que plus de la moitié des enseignants, et la plupart des administrateurs, étaient des hommes. Mais maintenant que je suis sevrée de sexe, j'ai remarqué immédiatement la forte proportion d'hommes présents à cette convention.

Alors que je m'apprêtais dans ma chambre d'hôtel pour la soirée, j'étais tellement excitée que tout mon corps tremblait. Après tous ces mois de sevrage, il me fallait un mâle viril en moi. J'allais en choisir un, issu de mon milieu, un que je ne reverrais pas de sitôt. Ce n'était pas difficile de convaincre un homme de me satisfaire, loin de leurs femmes, ils sont tous les mêmes, de vrais chiens en chaleur, la difficulté c'était d'en trouver un bon.

La grande salle était bondée avec une majorité d'hommes. Beaucoup dévisageaient les rares femmes présentes qui se groupaient comme pour se protéger. J'étais seule et donc exposée au regards concupiscents de ces messieurs. Beaucoup détournaient leur regard quand mes yeux rencontraient les leurs. Rares étaient ceux qui osaient soutenir mon regard en souriant. Ceux-là m'intéressaient, et j'essayais de deviner lequel pourrait me tenir compagnie cette nuit.

Occupée à choisir le mâle idéal, j'ai remarqué un homme séduisant et viril, dans la quarantaine, qui me regardait sans sourire. Quand je lui ai rendu son regard, il a pressé sa bite pour me montrer la taille de son désir. Le souffle court, je ne pouvais plus détourner mon regard. Soudain, il m'a fait signe avec ses mains d'écarter mes jambes.

Subjuguée, sans prêter attention à l'entourage, je me suis assise sur le bord d'une table, et j'ai levé ma jambe pour poser mon pied sur une chaise. Ma jupe fendue s'ouvrit jusqu'en haut de mes cuisses, presque jusqu'à ma culotte.

Ce macho n'avait pas besoin d'autre acceptation. Je frissonnais d'anticipation en le voyant s'approcher. Je gardais ma position. Il s'est avancé presque à me toucher. Sa voix était basse et grave :

«Salut, je m'appelle Ralph. Tu as l'air délicieuse. Tu sais que je vais te croquer, n'est-ce pas?»

«Je ... je ne suis pas sûre ... je suis ... mariée» bégayais-je.

«Les femmes mariées sont les meilleures. Montre-moi tes seins»

«Pas ici. Il y a trop de monde. Je ne peux pas faire ça ici » protestais-je.

«Montre-moi tes seins . Maintenant. Ouvre ton chemisier et sors-les. Tu veux que je les voie. Tes tétons sont durs»

« ... »

«Réponds. Tes tétons bandent déjà, n'est-ce pas?»

«Oui ...» ma voix était à peine audible.

«Montre-moi tes seins. Je ne le répéterai plus!»

J'ai ouvert deux boutons de mon chemisier, et j'ai sorti mes nichons des bonnets du balconnet. Mes tétons bandaient»

Ses doigts se sont refermés sur mes mamelons ... il les a pressés ... j'ai haleté ... il les a tordu ... j'ai gémi. Il a tiré sur mes nichons maintenant lancinants pour me forcer à me lever. Mes gémissements sont devenus assez forts pour que plusieurs hommes à proximité se retournent. Il a demandé :

«Ta chambre ou la mienne?»

«M'en fiche! Emmène-moi où tu veux et baise-moi ... s'il te plaît!»

Ralph m'a entraînée vers l'ascenseur. J'ai essayé de ranger mes seins dans mon balconnet, il a giflé mes mains :

«Laisse tes seins sortis. Remonte ta jupe plus haut!»

Je n'ai pas relevé ma jupe, des gens circulaient autour de nous et regardaient mes seins nus.

«S'il te plaît ... tout le monde regarde mes seins!»

«Remonte ta jupe plus haut sur tes cuisses!»

J'ai obéi. Remontant ma jupe à mi-cuisses. Il a grogné : «Plus haut ... en haut des cuisses!»

J'ai troussé ma jupe plus haut, jusqu'à la limite de la décence, qu'elle dissimule au moins ma culotte. Il m'a poussée devant lui, en direction de l'ascenseur, sa main sur mes reins. Les hommes que je croisais mataient mes jambes et mes seins.

Une fois dans l'ascenseur, Ralph m'a ordonné : «Trousse ta jupe à la taille!»

«Mais quelqu'un pourrait entrer?»

«Jupe à la taille. Sinon tu vas devoir ôter ta culotte, en plus!»

Instantanément, j'ai obéi. Lorsque les portes de l'ascenseur se sont ouvertes, sa main était sur mon cul, à l'intérieur de ma culotte. C'est comme ça qu'il m'a cornaquée dans le couloir, mes seins se balançaient librement, ma jupe troussée, et sa main sur mon cul. Une porte s'est ouverte et un couple d'âge moyen est apparu dans le couloir.

La femme m'a vu la première : «Regarde, chéri. Regarde cette salope. C'est une pute, n'est-ce pas?»

«Mais non, chérie. C'est sa femme. Regarde ses bagues» dit son mari.

La femme nous barrait le passage : «Ce n'est pas votre femme, n'est-ce pas?»

«Non. Elle est mariée, mais pas avec moi.»

«Et vous allez la baiser, n'est-ce pas?»

«Bien sûr, plusieurs fois et longtemps!»

«Est-elle bonne au lit?»

«Je ne sais pas encore. Je viens de la ramasser en bas!»

«Oh ... comme c'est excitant! Tu ne trouves pas, chéri?»

«Oh merde, oui! Il vient de la lever, et il a déjà les doigts dans son cul!»

«Tu lui baises le cul, ici, dans le couloir?» Il a demandé.

Avant que Ralph ne puisse répondre, la brune a ajouté :

«Bien sûr, il la doigte. Tu ne vois comme elle se cambre sur sa main?»

Elle s'est baissée devant moi et, d'un seul mouvement, elle a glissé ma culotte sur mes cuisses. J'ai écarté mes jambes pour que le couple puisse voir les doigts agiles pomper dans ma chatte dégoulinante de luxure.

«Vas-y, Chéri. Tripote-la. Tu en meurs d'envie. Je ne serai pas jalouse. Tu peux caresser cette salope sexy!»

Le mari a attrapé mon sein d'une main et mon clitoris de l'autre. La femme a serré mon sein libre et m'a pincé le téton.

Je me penchais en arrière contre Ralph et poussais mon bassin en avant. Haletante, je sentais venir mon plaisir.

Presque synchrones, les doigts sur mes seins, mon clitoris et dans ma chatte œuvraient pour m'exciter. Sensuellement, j'ai glissé une main derrière moi pour masser de haut en bas son arbre palpitant. Pantelante, jambes écartées, mes gémissements encourageaient mes bourreaux à ignorer mes plaintes et mes dénégations. Les deux hommes ont joints leurs doigts dans ma chatte. Je suis venue instantanément de manière impétueuse.

Lorsque je me suis calmée, la femme a éloigné son mari :

«Laisse-la, chéri. Ce monsieur va baiser cette salope maintenant.» Elle tâtait l'entrejambe de son mari.

«Tu ne vas pas pouvoir marcher avec ça dans ton pantalon, chéri. Reviens dans la chambre, je vais t'arranger ça.»

Elle se tourna vers Ralph : «Ça ne vous dérange pas si mon mari utilise la bouche de cette salope?»

«Mais bien volontiers. Vas-y. suce-le ... fais-le jouir!»

Sa femme a sorti sa bite, et je me suis accroupie pour prendre sa bite palpitante dans ma bouche. Il était énorme ... dur ... gonflé de désir ... mon dieu ... comme j'en avais envie!

J'ai pompé sa bite aussi profond que je pouvais. La partie que je ne pouvais pas mettre dans ma bouche, je l'ai branlée. Je lui ai massé les bourses pendant que je le suçais. Du coin de l'œil, j'ai vu que Ralph avait sa main sous les jupes de la femme. Jambes écartées, ses hanches oscillaient pendant qu'elle me regardait sucer son mari.

Je n'ai pas eu besoin de le sucer longtemps. Il s'est retiré :

«Garde la bouche ouverte!» Il a juté dans ma bouche ouverte en grognant. J'ai essayé d'avaler, mais il en avait trop, trop vite. Une grande partie a coulé sur mon chemisier. Quand il eut fini de se vider, la femme ramena son mari dans leur chambre pendant que Ralph me poussait dans la mienne.

«Sur le lit, écarte les jambes ... mieux que ça!»

«Je peux pas. Ma culotte m'entrave!»

«Tu veux que je t'autorise à enlever ta culotte, n'est-ce pas?»

«Oh, mon dieu, oui, s'il te plaît!»

«Pourquoi? Pourquoi le veux-tu?»

J'étais à bout d'impatience et de désir. Je voulais qu'il me couvre, qu'il me prenne, qu'il me baise ...

«Pour que tu baises ma chatte de salope mariée et infidèle ... oh, s'il te plaît ... ne me fais plus attendre! Je n'ai pas été baisée depuis des mois ... viens, s'il te plaît!»

Ralph a lentement tiré ma culotte le long de mes jambes tremblantes de désir. Dès que j'ai pu, j'avais les jambes grandes ouvertes, et je levais mon bassin, m'offrant à la saillie. Avec mes doigts, j'ai ouvert ma chatte pour que Ralph puisse voir l'intérieur.

Ralph a ôté ses vêtements et il a traîné son sexe rigide le long de ma cuisse recouverte de nylon, me rendant folle de convoitise :

«Oh ... ne me fais plus attendre ... mets-moi la ... baise-moi!»

«Tais-toi! Tu l'auras quand je le déciderai!» Ma chatte a suinté encore plus fort quand j'ai entendu ça.

Lentement, la tête de Ralph descendit ... sa bouche se posa sur mon ventre, ses lèvres déposèrent de petits baisers sonores, puis sur mon pubis tandis que mes hanches se soulevaient, mes jambes s'écartaient encore plus, pour offrir ma chatte à ses baisers. Mais ses lèvres contournèrent habilement l'obstacle, il embrassait et mordillait l'intérieur de mes cuisses au-dessus des nylons, tandis que je gémissais de rage contenue.

Quand ses lèvres se sont posées sur mon clitoris, que sa bouche l'a sucé, que sa langue l'a fouetté, j'ai failli jouir à cause de la trop longue attente. Il lécha longuement ma chatte fendue, écartant mes lèvres pour me pénétrer avec la pointe de sa langue, ma vulve s'est ouverte pour expulser mes jus. Lorsque ses lèvres se sont emparées de mon clitoris, pour le faire danser et palpiter dans sa bouche, j'ai été secouée par un long spasme de bonheur.

Ma chatte était un flot de ferveur palpitante lorsque je sentais sa lance prête à me pourfendre. Ralph a rapidement profité de mes hanches surélevées pour pousser un oreiller sous mes fesses. Avec mon bassin calé sur l'oreiller, mon cul et ma chatte étaient disponibles pour permettre à Ralph d'utiliser l'un ou l'autre, au gré de ses envies.

«Allez, viens maintenant, je suis prête! Baise-moi! S'il te plaît. Baise-moi!»

Le bâtard a ignoré ma supplique. Avec son doigt, il sondait ma chatte, me faisant gémir de famine. Puis, de nouveau, avec sa langue, il agaçait mon clitoris exacerbé, mes cuisses se sont pincées convulsivement autour de sa tête alors que mon deuxième orgasme éclatait.