Éducation Sociable

BÊTA PUBLIQUE

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Je prenais mes seins en coupe, dénudait un sein, puis l'autre. Cambrée à la limite de me briser les reins, je tortillais mon cul comme une pute qui appelle le client. Penchée en avant, je secouais mes fesses et mes seins dans un twerk endiablé.

Ensuite, je me suis vautrée sur le canapé, croisant et décroisant mes jambes. Le déshabillé s'était ouvert, exposant plus la chair tendre de mes cuisses. Pas besoin de vérifier, j'étais certaine qu'il avait sorti sa bite pour se branler d'une main, tandis que l'autre maintenait ses jumelles devant ses yeux pervers. J'étais certaine qu'il voulait juste que j'écarte mes jambes pour qu'il puisse voir ma chatte.

Mais pendant que je le faisais languir, j'ai esquissé un pas de danse digne de l'opéra. Dans le même mouvement, j'ai éteint les lumières et je me suis accroupie derrière la plante verte. Le crépuscule commençait à tomber, je l'ai vu chercher désespérément où j'avais pu disparaître.

La bite sortie, les deux mains sur les jumelles pour essayer d'apercevoir ma silhouette dans la pièce envahie par l'obscurité. Arrêté en plein élan, comme je l'avais été plus tôt avec son puceau de fils, je pouvais deviner la frustration et la détresse sur son visage. Sans me relever, j'ai rampé jusqu'à ma chambre, où je me suis habillée pour la nuit, pyjama et robe de chambre.

Revenue dans la pièce principale, j'ai rallumé les lumières et j'ai commencé à aller et venir pour préparer mon repas du soir. Pas besoin de regarder le voisin dépité sur son balcon, je pouvais sentir sa déception.

Rencontres fortuites:

Malgré les amants qui me baisaient plus ou moins régulièrement, j'avais toujours un fort attrait pour le sexe et, parfois, lorsqu'une opportunité se présentait, je m'offrais à un mâle de passage. Mes élèves nourrissaient mes fantasmes, Chérif ou Denis me baisaient avec une régularité routinière, mes voisins, père et fils, n'étaient pas très performants, Max restait désespérément impuissant, il me fallait casser la monotonie de la routine avec des rencontres sans lendemain.

Je ne connais rien à l'entretien des voitures. Déjà, pour faire le plein de carburant, je trouve cela répugnant. Le lavage, le nettoyage, ça me gave. Le niveau d'huile, la pression des pneus, pas question. Je connais une station-service ou le jeune mécano est suffisamment sympa pour faire tout cela à ma place. En plus, il est beau gosse, ce qui ne gâche rien.

La première fois qu'il m'a baisée, j'étais allée à la station vêtue d'une courte robe qui laissait voir mes jarretelles à mi-cuisse. Lors de ma précédente visite, j'avais vu sa jeune épouse, qui tenait la caisse, et qui était toute proche d'accoucher. Elle avait un ventre énorme, et j'avais pensé que le jeune homme devait être un peu privé de sexe.

Pendant que le gars nettoyait mon pare-brise, j'écartais suffisamment mes genoux pour qu'il puisse voir mes jambes jusqu'à ma culotte. J'ai baissé ma vitre pour lui demander de vérifier mon niveau d'huile. Naturellement, il m'a dit d'ouvrir le capot, mais j'ai répondu que je ne savais pas faire. Il s'est approché et j'ai ouvert ma portière.

J'ai posé mon pied par-terre, comme pour lui laisser ma place, mais il m'a dit de ne pas bouger. Je me suis statufiée avec les jambes largement écartées. Il s'est glissé à côté de moi, et il a plongé sa main sous le tableau de bord pour tirer sur le déverrouillage du capot. En même temps, il avait une vue magnifique sur mes cuisses et ma culotte. Comme il regardait ma culotte, j'ai demandé :

«J'aimerais aussi que vous constatiez mon niveau de liquide. Savez-vous vérifier le niveau de liquide d'une femme?»

Il n'avait pas besoin du mode d'emploi. Juste un regard sur mon visage de chatte en chaleur, les mi-clos, la bouche gourmande, avec la pointe de la langue qui humidifie les lèvres, il a compris qu'il allait me baiser.

Sans hésiter, sa main s'est posée sur ma jambe, caressante, en remontant sous ma culotte. Il a constaté mon humidité en doigtant ma chatte. Ses doigts qui me pompaient m'ont fait gémir.

«Il me semble que votre niveau de liquide est correct, Madame»

«Je pense que votre inspection a été beaucoup trop rapide et pas assez profonde pour le vérifier correctement. Auriez-vous un outil plus adapté à mon conduit, et que vous pourriez utiliser de manière plus approfondie?»

Il m'a emmenée dans les toilettes des femmes. J'ai troussée ma robe à la taille, et je suis penchée sur le lavabo, jambes écartées. Son outil était déjà parfaitement opérationnel. Il a vérifié consciencieusement tous mes niveaux. À deux reprises, il a rajouté quelques gouttes de liquide dans ma jauge. J'ai été très satisfaite de son instrument, à plusieurs reprises, et je suis devenue une fidèle cliente de son établissement.

Lorsque Max et moi nous sommes invités à une soirée, une fête, il n'y a généralement pas de possibilité pour le sexe. Mon mari étant présent, les autres femmes surveillent leur conjoint, c'est rare qu'un homme tente sa chance.

Cela s'est produit il y a deux ans. Je portais une robe de cocktail évasée, des talons, j'étais ravissante. Je sirotais une coupe de champagne lorsqu'un homme m'a caressé les fesses. Souvent, lorsqu'un type touche mon cul, c'est agressif. Une tape, un pinçon, une main lourde qui palpe et qui incite au rejet. Là, c'était charmant, et j'ai immédiatement frissonné de désir.

Devinant mon consentement, il m'entraîna dans une pièce sombre, probablement un bureau. Ses mains ont facilement retroussé ma robe ample, écarté ma culotte, et ses doigts ont commencé à jouer avec mes orifices. Il me doigtait la chatte, mouillait ses doigts, et utilisait mes jus pour me sonder le cul. Je résistais à l'envie de gémir et de geindre qui montait de mon ventre, et je me penchais en avant, sur le bureau, jambes écartées.

J'ai senti sa bite sonder ma fente pour récolter mes jus. Il m'a ordonné de me cambrer. Je me suis penchée encore plus sur le bureau en haussant mes fesses, reins creusés. Il m'a pénétrée d'une seule poussée rectiligne, jusqu'au fond, étirant ma chatte autour de sa tige épaisse. J'ai crié et mes genoux sont devenus faibles. Sans le soutien du bureau, je serais tombée.

Il m'a attrapée par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, et il m'a baisée sauvagement, durement, à grands coups de reins puissants. Je pantelais sous son assaut furieux. On aurait cru qu'il voulait se venger de quelque chose. Je fondais de plaisir. Il a éjaculé en moi, brusquement, sans prévenir.

Immédiatement, sans débander, il a changé de trou, pour s'introduire dans mon cul. Toujours avec la même absence de délicatesse, il m'a violé le cul, avec une autorité toute masculine, et mon corps tremblait de bonheur. Ses couilles giflaient ma chatte à chaque pénétration. À plusieurs reprises, il m'a claqué les fesses cruellement.

J'ai joui encore une fois lorsqu'il a giclé dans mon cul. Il s'est retiré, s'est rajusté, et il est parti sans un merci. Ma chatte et mon cul dégoulinaient de son sperme, et je suis partie à la recherche d'un lavabo, avec ma robe autour de la taille

Sa baise avait duré moins de vingt minutes, mon cul et mon vagin étaient douloureux, mais ma libido était satisfaite. Je l'ai croisé plus tard, dans la soirée, au bras d'une femme magnifique. Je me suis demandé s'il lui avait dit qu'il venait de baiser une salope. Cette nuit-là dans mon lit, je n'arrivais pas à m'endormir, et je me suis masturbée en pensant à lui.

Un jour, seule à la maison, je m'ennuyais ferme. Max était parti avec ses potes, à la pêche, ou un truc comme ça. J'avais vu, en passant devant, qu'ils avaient ouvert un sex-shop sur le boulevard. Sur un coup de tête, j'ai décidé d'aller visiter ce magasin, pour voir s'il y avait quelque chose d'intéressant.

Je me suis amusée à porter une tenue affriolante, décolleté plongeant, et jupe courte à frous-frous. Des bottines cloutées complétaient ma tenue. J'exposais la moitié de mes seins et mes jambes gainées de nylon. Je ressemblais à ce que j'étais, une chatte en chaleur.

Quand je suis entrée, les hommes qui étaient dans le magasin me regardaient, mais aucun ne s'est approché. Les hommes semblent toujours en quête de sexe, mais quand il y a une femme sexy dans les parages, ils ne font que regarder. C'est incroyablement frustrant, quand ma chatte a besoin d'un coup de bite.

J'ai me suis promenée dans les rayons, feuilletant des magazines, surtout ceux de l'étagère du bas, qui m'obligeait à me pencher, et à montrer mon cul mal dissimulé par ma courte jupe. J'avais capté l'attention de plusieurs hommes dans le magasin, mais aucun ne se décidait à m'aborder.

Je suis passée dans le rayon des godes vibrants. Certains étaient en exposition, j'en ai profité pour essayer. Je mettais en marche la vibration, et je me caressais le visage avec, pour voir la réaction des mâles présents. Chaque fois que je croyais avoir capturé un regard, il se détournait pour fuir toute conversation.

J'étais sur le point de partir en chasse ailleurs, lorsqu'un groupe de quatre jeunes noirs est entré. Ils m'ont remarquée très vite. Mais eux, ils n'étaient pas timides. Ils se sont approchés :

«Bonjour, Mme Novelle. Vous n'allez pas acheter une de ces fausses bites?»

J'étais étonnée que ce gars me connaisse, mais aussi excitée : «Vous me connaissez? D'où?»

«Max... Maxime Larron. J'étais dans votre cours d'histoire il y a trois ou quatre ans. Impossible de vous oublier, avec vos tenues sexy qui faisaient bander tous les mecs du lycée! Alors, vous voulez une fausse bite?»

«Peut-être! Pourquoi pas?»

«Une grosse?» demanda un autre mec.

«La plupart des femmes aiment les grosses bites. Celle-ci m'intéresse» je désignais un gros gode noir.

Un autre coquin est intervenu : «Merde! Quel châssis!» Il soupesait et pressait mon sein.

Sans lâcher ma poitrine, ses doigts s'emparèrent de mon mamelon durci, le broyant et triturant le bouton sensible. Une main passait sous ma courte jupe pour cajoler mes fesses. Je ne savais même pas à qui j'avais à faire. En même temps, ma respiration haletante, et ma bouche grande ouverte ne pouvaient pas les convaincre d'arrêter leur invasion.

«Oh, doucement ... tout le monde nous regarde. Et vous, qui êtes-vous? Ah ... Ouche ... Waouh!»

Le coquin qui jouait avec ma poitrine a répondu : «Moi? Habib! Bien sûr que tout le monde te regarde. T'es une vraie bombe! Avec une poulette comme ça, je pourrais m'amuser pendant des heures! De la dynamite! Bon sang, j'ai la queue toute raide, rien que de te regarder. Sors tes gros nichons!» Il a déballé mes loches et m'a tripoté partout.

«Ah! Mais elle a un string! Je l'avais pas vu! Mignon! Transparent ... Oh putain... elle est trempée, la salope!»

«Enlève-lui! Tu la doigtes?»

«Ouais! Trois doigts dans la chatte, et elle n'a même pas frémi!»

Les quatre salopards m'entouraient et mettaient leurs mains partout.

«Oh, arrêtez, s'il vous plaît! Ah, je vais jouir!» je gémissais, impuissante et docile.

«Occupe-toi de son clito, Malik!»

Je ne pouvais plus réprimer mes gémissements excités. Les doigts de Malik malmenaient mon clitoris sensible. Les doigts de Harry baisaient ma chatte. Les mains de Habib pétrissaient mes seins. Je sentais que la situation commençait à m'échapper.

«Préfère-tu une fausse bite en plastique, ou quatre vraies en chair?» Demanda Habib.

«Oh, oui ... oui!»

«Oui quoi?»

«Quatre ... quatre grosses bites noires ...!»

Max prenait la direction des opérations : «Tu nous as toujours donné des devoirs difficiles en classe, Mme Novelle. Maintenant, c'est à ton tour de faire tes devoirs ... des devoir difficiles!»

Quelques minutes plus tard, j'étais à l'arrière de leur gros 4x4, en train de faire mes premiers devoirs. La bite de Harry enfoncée dans ma gorge, Malik, entre mes cuisses, baisait ma chatte, et Max tripotait mes tétons pendant que Habib pilotait le truck. Les occupants des voitures qui roulaient à côté de nous sur le périphérique regardaient une salope en train de se faire baiser.

Accroupie en travers de la large banquette arrière, Malik, cramponné à mes hanches, me baisait en levrette. Harry appuyait de toutes ses forces sur ma tête pour voir jusqu'où poussait s'enfoncer son énorme bite noire dans ma gorge. Max, assis sur le passage de la transmission, entre les sièges, maltraitait mes mamelons. Et Habib commentait les ouvrages de ses potes en nous surveillant dans le rétroviseur.

«Assure-toi de bien faire tes devoirs, Nina! Surtout ne sèche pas les cours, ou tu auras une punition! Et c'est moi qui distribue les punitions, ici!» Rigolait Habib depuis le siège du conducteur.

Je ne pouvais pas répondre, Harry bâillonnait ma bouche. Je ne pouvais que gémir pendant que ces trois taureaux fougueux utilisaient mon corps. Ma chatte commençait à convulser.

«Cette salope jouit déjà» annonçait Malik à ses potes. «Sa chatte tremble et palpite sur ma bite.»

Quelques minutes plus tard, nous étions chez Habib, un squat abandonné en banlieue. Nous étions tous entièrement nus, agglutinés sur un vieux matelas crasseux au milieu de la pièce. Les quatre baiseurs étaient montés comme des étalons de concours. Je n'avais jamais vu de bites aussi grosses.

Je chevauchais Malik allongé sur le dos, pendant que Harry, accroupi derrière moi, me perçait le cul. Habib utilisait ma bouche, et Max continuait d'astiquer mes nichons. J'avais les mains occupées sur les bites qui passaient à ma portée.

J'ai perdu le compte de mes orgasmes. Je jouissais presque à flot continu. Les bites échangeaient leurs places. J'évoluais dans un univers parallèle où les mâles qui me baisaient n'étaient que des bites géantes. Après plusieurs heures de baise violente, chacun des membres avait joui plusieurs fois dans mes orifices. J'étais épuisée et pantelante. Le sperme qui s'écoulait de mes orifices dilatés tachaient un peu plus le vieux matelas crasseux.

Après avoir récupéré un peu mes esprits, je suis partie en quête d'un lavabo, afin d'effectuer une toilette sommaire. Miracle, j'ai découvert une salle de bain en état de marche. J'en ai profité pour prendre une douche. Propre et requinquée, je suis allée à la recherche de mes vêtements. Les gars s'étaient rhabillés, pomponnés, prêts à partir, et ils avaient fait chauffer un barbecue dans la cour arrière.

Après avoir fouillé toutes les pièces à la recherche de mes vêtements, je n'ai pu trouver que mes talons. Tout le reste était introuvable! J'ai rejoint les quatre voyous pour leur demander s'ils savaient où étaient mes fringues.

«Tu es très bien comme ça, Nina! Reste comme tu es, tu n'as pas besoin de vêtements!» m'a dit Max avec un sourire narquois.

«Mais je ne peux pas rentrer chez moi à poil!»

«Tu n'as pas besoin d'aller chez toi! Tu peux rester ici, avec nous! On va faire à manger, des potes vont se joindre à nous, et on va te baiser!»

Un frisson parcourut ma colonne vertébrale, de mon cerveau malade jusqu'à ma chatte, qui s'humidifiait à la pensée d'être encore baisée. J'ai essayer de garder une voix calme.

«D'autres gars vont venir me baiser? Oh putain... je ne sais pas si je vais être capable ...!»

«Ça n'a pas d'importance. Eux seront capables. On va te baiser toute la nuit. Maintenant, viens manger, Nina, tu as besoin de reprendre des forces!»

Max s'est approché de moi pour caresser mon corps. Il a palpé mes seins, l'un après l'autre, puis sa main a massé mon cul nu. On aurait dit un gamin dans un magasin de jouets, ses yeux brillaient d'excitation :

«J'en ai rêvé pendant mes années de lycée. Je me branlais en pensant à toi, Nina. La prof d'histoire sexy, jamais ne n'aurais pu imaginer t'avoir nue entre mes mains. Une femme mariée, respectable ... qui se transforme en chienne dès qu'elle a une bite dans sa chatte gourmande!»

Sa main bougeait entre mes cuisses : «Écarte, salope!» ordonna Max.

J'ai obéi, et trois doigts agressifs se sont enfoncés brutalement dans ma chatte. J'ai poussé un cri de surprise et d'inconfort. Mais je ne pouvais pas m'empêcher d'onduler des hanches sur ces doigts impertinents, gémissante et pantelante. Sans ôter ses doigts de ma chatte, Max m'a entraînée vers le matelas crasseux, avec les trois autres qui suivaient le mouvement en reluquant mes fesses.

Deux gars sont arrivés au crépuscule, Tony et Kevin, deux jeunes noirs. Sur le matelas crasseux, je chevauchais Harry pendant que Malik me prenait cul. Max était dans ma bouche.

«Dis bonjour à mes potes, Tony et Kevin, Nina!» ordonna Habib.

«...»

«C'est qui cette pute, d'où sort-elle?»

«C'est pas une pute! C'était notre prof d'histoire ... Du temps où on allait au lycée. Mme Nina Novelle. Une bourgeoise respectable et mariée. Et un bon coup ...!»

«C'est pas possible! Vous me faites marcher! Vous la baisez depuis longtemps? À quelle fréquence?»

«On la baise quand on veut, elle est à notre disposition!»

«Des conneries ... Vraiment?»

«Demande-lui. Max, libère sa bouche, qu'elle réponde à Tony»

«Tu baises sur commande, salope?»

Harry et Malik ont accéléré leur rythme, heurtant leurs grosses bites en moi. Je haletais, gémissante et geignante, incapable de parler, secouée par le tempo forcené des deux abrutis qui me mitraillaient.

«Tu baises avec tout le monde? Sur commande? Nina?» répéta Tony.

«OUI! OUI! OUI! Ah... OUI!»

Ces individus virils m'ont gardée deux jours, nue, à leur disposition. Je n'ai pas eu beaucoup de repos. Ma chatte, mon cul et ma bouche étaient à leur service. Je n'ai pas eu l'honneur d'utiliser une chambre où j'aurais pu m'isoler un peu. Je n'ai fréquenté que le vieux matelas crasseux.

Ils étaient tous montés comme des pur-sang, vigoureux et fertiles. Ils n'ont pas utilisé de préservatif, et j'étais contente d'être ménopausée. D'autres gars ont rejoint les six premiers. J'étais devenue une bête de concours, mais je me demandais si je pourrais encore marcher quand ils en auront fini avec moi.

Quand ils prenaient une pause, les gars racontaient des histoires sur les salopes qu'ils avaient baisées. Ils ont tous dit que j'étais la meilleure, et ils recommençaient à me baiser.

Quand ils m'ont ramenée chez moi, ils étaient obligés de me soutenir parce que je ne pouvais plus tenir sur mes jambes. Ils m'ont ramenée de nuit. À la maison, Max ronflait sur le divan, devant sa télé allumée. Je l'ai laissé là.

Mon gendre :

Ma fille Charlène est mariée à un très bel homme, Philippe, qui travaille dans le bâtiment. Max et moi, nous les voyons souvent, car nous sommes très proches. Parfois, lorsque j'ai des congés, je passe quelques jours chez eux, parce qu'ils ont une petite villa en banlieue.

Lors d'un séjour chez eux, sans raison particulière, je me suis réveillée tôt, à l'aurore. J'ai enfilé mon peignoir et mes pantoufles, et je suis allée à la cuisine pour me faire un café. Je suis passée devant la chambre de Philippe et Charlène. Leur porte étant entrebâillée, j'ai juste jeté un coup d'œil à l'intérieur, et j'ai vu ma fille Charlène, entièrement nue, en train de chevaucher sauvagement son mari allongé sur le dos.

Elle rebondissait sur sa bite, telle une walkyrie chevauchant son fidèle destrier. Penchée en avant, elle lui offrait ses gros seins à sucer. Je pouvais clairement voir la chatte étirée de ma fille coulissant sur la grosse bite de son mari.

C'était la première fois que je les voyais en pleine action. Philippe était fort, grand et épais, et il était évident que Charlène prenait beaucoup de plaisir. Ma fille tournait le dos à la porte, elle n'y avait aucune chance pour elle de s'apercevoir de ma présence. Mais quand mon gendre a levé les yeux, il m'a vue dans l'entrebâillement, avec ma main entre mes cuisses, en train de m'astiquer la chatte.

Il m'a souri, et il a baisé Charlène encore plus fort. Elle est venue très vite en s'effondrant sur le torse de son mari. Sa jouissance a déclenché l'orgasme de Philippe. Leurs grognements et leurs gémissements m'ont fait gicler presque en même temps. Je me suis sauvée très rapidement, mais je savais que Philippe m'avait vu jouir.