Du vice à l'esclavage 04

Je me lève et caresse le cul de Carla pour la féliciter. Quel cul!

- "Tu vois ce qui t'attends, ma petite pute de star, si les après-midi tu n'es pas efficace!"

Et je lui donne une bonne fessée d'avertissement.

- "Oui mon maître"

- "Rangez vos string et soutien gorge dans ce placard, vous n'en avez pas besoin! Après vous vous habillez. Carla, tu vas poser tes congés. Luisa, tu restes avec moi. Ana, tu retournes à l'open-space et tu me ramènes différents modèles de pinces à papiers. Quatre autres de la même taille, six moyennes et six pour les rapports importants, les gros modèles"

Elles ont changé de tête en imaginant les pinces moyennes et pire, les gros modèles sur leurs tétons. Elles s'habillent. Luisa a vraiment du mal à mettre sa robe moulante avec les pinces sur ses tétons. Elle gigote.

- "Carla, Ana, aidez Luisa à plier ses tétons pour qu'elle puisse mettre sa robe"

Elles s'avancent et chacune attrapent une pince et la pousse vers le haut. Luisa hurle et remonte sa robe d'un coup. Ses tétons restent coincés, repliés à la verticale avec ses pinces, maintenus par sa robe moulante. La vision de ses nibards martyrisés sous sa robe est vraiment excitante.

- "Dépêchez vous, on se retrouve dans cinq minutes à l'entrée de l'entreprise. Vous avez intérêt à être là quand j'arriverais. Je déteste attendre mes salopes."

- "Oui maître"

Ana et Carla filent comme le vent...

Luisa en pleurs se retourne vers moi et comme une bonne petite salope dressée me propose toujours la même chose.

- "Maître, j'aimerais vous faire plaisir avec ma bouche"

Je la regarde en soufflant et lui donne une fessée énorme. Elle sursaute...

- "Tu n'as aucune originalité. Tu vas tout le temps me proposer de me sucer. Tu n'as rien trouvé d'autre à faire pour mon plaisir. Tu veux m'user la bite avec ta bouche ou quoi? On a cinq minutes. Je vais regarder les historiques de tes collègues vicieuses. remonte ta robe au-dessus de ton cul, viens à côté de moi et allonge ton torse sur mon bureau en me présentant bien ta chatte et ton trou du cul!"

- "Oui maître"

Elle se positionne en grimaçant de la douleur. Ses tétons frottent sur mon bureau. Je veux jouer un peu avec ses trous.

Je regarde sur mon bureau... des trombones, non, des stylos, non, une gomme, peut-être, un marqueur indélébile noir, pas mal, des surligneurs d'une marque bien connu, parfait. J'attrape le marqueur noir.

Je dessine sur le bas de son dos une flèche qui descend jusqu'à sa rondelle. Au-dessus, j'écris en majuscule "ENCULEZ MOI". J'ajoute "PUTE" en grand sur sa fesses gauche et "SALOPE" sur sa fesse droite.

Je me recule et prends quelques photos. C'est vraiment pas mal!

Je lui présente la boîte de surligneurs.

- "Choisit une couleur pour ton trou du cul, salope!"

- "Le rose, mon maître"

Je prends un lubrifiant. Luisa est surprise. Elle devait s'attendre à un nouveau dessin. J'en met sur le bout du surligneur. Il est bombé et assez gros. Je le positionne devant son trou du cul et le pousse doucement. Son anus s'ouvre facilement. Je continue à pousser, il rentre complètement et je continue à la pousser le plus profond possible avec mon doigt.

Je lui caresse le cul pour la récompenser.

- "Choisit une couleur pour ta chate, salope!"

- "Le bleu, mon maître"

Je lubrifie le surligneur bleu et le présente à l'entrée de son vagin. Je le pousse et il est absorbé directement. Luisa fait même un petit gémissement.

- "Choisit une autre couleur, salope!"

- "Le vert, mon maître"

J'introduis le vert lubrifié et il disparaît en moins d'un seconde.

Je luis caresse le cul.

- "Allez, ma petite pute, il est temps de faire des courses et de rentrer à la maison.'

- "Oui maître"

Luisa me suit. J'ouvre la porte et commence à marcher dans le couloir. Cette idiote me suit avec son cul à l'air.

- "Descends ta robe, petite salope, tu me fais honte avec ton cul à l'air et tes dessins!"

Luisa est honteuse. Elle descend bien sa robe. Le tissu tire sur ses pinces, mais elle se sent mieux. Elle marche bizarrement avec ses surligneurs et ses talons hauts. Je lui donne une petite claque sur le cul pour l'encourager et la féliciter en même temps.

- "Je n'aurais jamais cru que tu étais une telle salope! Je te retirerais ta punition en arrivant à la maison. Tu devrais avoir compris"

- "Oui mon maître, j'ai bien compris. Je vous recruterez des nouvelles putes pour votre plaisir"

Quand je pense que cette idiote était prête à sortir de l'entreprise son cul à l'air!

L'ascenseur s'ouvre. Ana et Carla nous attendent sans rien dire. Elles n'ont pas l'air d'être copines ces deux-là. Elles regardent Luisa avec ses pinces bien visibles sous sa robe et une démarche vraiment bizarre. Elles ne demandent rien, mais imaginent le pire.

- "Allez mes petites putes, en voiture!"

J'ai possède un pickup noir mat avec les vitres latérales et la lunette arrière fumée très foncé. Seul le pare-brise n'est pas teinté.

- "Ana et Luisa, derrière. Carla à côté de moi"

On entre dans la voiture. J'ai décidé de laisser un peu tranquille Luisa qui a visiblement eu un peu de mal à s'asseoir. Je regarde dans mon rétroviseur avec un regard noir. Elles comprennent le message et commencent à se gouiner en s'embrassant et se caressant.

- "Carla, enlève moi ce top de petite pute et viens me sucer pendant que je conduis. Fais moi une pipe douce, lente et agréable. Je n'aimerais pas éjaculer en conduisant et risquer ma vie par ta faute!"

Elle enlève son top, exhibe ses gros nichons à l'air libre et vient ouvrir ma braguette et mon caleçon pour en sortir ma bite molle. Elle est visiblement heureuse de voir que les vitres sont teintées. On ne peut le voir que par le pare-brise.

Elle commence à me sucer et c'est vraiment agréable. Je passe un bon moment de détente en conduisant jusqu'au centre commercial de mon quartier. Il y a des bouchons. Par moment, un chauffeur routier ou les passagers d'un bus remarque ma pute en train de s'activer. Certains me félicitent en klaxonnant, d'autres sont choqués. Par moment, Carla veut se relever pour vérifier ce qu'il se passe. Je lui donne une grande fessée et enfonce sa tête sur ma bite avec ma main.

Ana et Luisa la motivent régulièrement...

- "Suce bien notre maître, idiote"

- "Joue avec ta langue, salope"

- "Tu es une bonne petite pute, continue"

C'est le meilleur retour du travail que j'ai pu vivre.

On arrive au centre commercial. Je me gare devant un sex-shop plutôt grand.

Je passe ma main sous Carla et lui pince son téton droit.

- "Arrête de me sucer, petite salope et met ton top de petite allumeuse affamée de bite. On va s'équiper un peu. Vous allez chacune choisir une tenue sexy, une tenue de soubrette, une paire de chaussures hautes, un plug anal avec un joli brillant, un god pour votre chatte et des boules de geisha. Ce sera votre matériel pour me satisfaire. Je vais compléter avec quelques articles à mon goût. Carla, ma petite pute de star fortunée, tu payeras la note.

En arrivant à la maison je contrôlerai vos achats.

Celle qui aura la tenue sexy la plus bandante n'aura pas de punition.

Celle qui aura la tenue de soubrette la plus bandante n'aura pas de punition.

Celles qui auront les plug anaux les plus petits auront une punition.

Celles qui auront les gods les plus petits auront une punition.

Celles qui auront les boules de geisha les plus petites auront une punition.

Vous avez 15 minutes pour choisir, alors concentrez vous bien!"

- "Oui mon maître"

On descend de la voiture. Je marche sur le parking avec mes trois putes soumises. Je suis aux anges. On rentre dans le sex-shop. C'est tranquille.

J'en profite pour me promener dans les rayons avec un petit caddie. Je prends tous les articles que j'aimerais essayer sur ces trois petites putes, sans réfléchir. C'est Carla qui régale.

La liste n'est pas complète, mais entre autre, j'ai pris des masques occultants, des menottes, des cravaches, des colliers de chiennes avec marqué dessus "JE SUIS LA PUTE DE MON MAÎTRE", des lesses, des tenues en latex, des baillons avec des boules de différentes tailles, des pinces mammaires de différents types, des gels lubrifiants, stimulants, chauffant, des pilules pour l'érection, des plugs anaux avec des queues de lapin et de cheval, quelques bikinis ultras minis, du maquillage bien rouge ...

J'arrive à la caisse avec mon caddie plein. Mes trois salopes m'y attendent avec leurs choix.

Le vendeur n'en revient pas. C'est trois salopes sont à sa caisse sans soutien gorge et avec un choix de produit vraiment hot. Mais c'est visiblement les pinces sous la robe de Luisa qui l'hypnotise le plus. Il n'a visiblement jamais encore vu cela.

Je m'avance.

- "Bonjour monsieur"

- "Bonjour monsieur"

- "je prends tout. Videz mon caddie, mes petites putes vicieuses, et déposez également vos achats!"

- "Oui mon maître"

Elles s'avancent la tête baissée, honteuses et déposent tous les achats.

Je vois la note monter très rapidement!

Le vendeur annonce le total. C'est énorme. Plus que les salaires de Luisa et Ana. Elles sont choquées.

- "Carla, paye!"

- "Oui mon maître"

Carla sort sa carte internationale dorée et paye le tout. Elle n'a visiblement pas l'habitude de payer pour les autres. Elle va s'y habituer!

- "Prenez chacune un collier et mettez le immédiatement"

Elles attrapent leurs colliers, lisent le message et le mettent sans rien dire. J'attends qu'elles aient terminé et les regarde avec des yeux noirs.

Luisa, endure le martyre et ne souhaite pas aggraver son cas. Elle me remercie.

Les deux autres sursautent et se rendent compte qu'elles n'ont rien dit. Elles se dépêchent de me remercier.

- "Prenez les sacs, on rentre s'amuser!"

Nous sortons du magasin. Je ne peux pas être plus fier. Mes trois petites putes me suivent avec leurs magnifiques colliers de soumissions, chargées des sacs du sex-shop. Luisa marche de plus en plus bizarrement avec ses surligneurs dans la chatte et dans l'anus.

- "Rangez les sacs dans le coffre! Luisa, Carla, derrière! Ana tu t'occupes de ton maître"

On s'installe. Luisa s'assoie le plus doucement possible. Elle n'a toujours pas l'habitude d'avoir quelque chose dans le trou du cul. Carla commence immédiatement à la gouiner. Cette salope en profite!

Luisa et Carle encouragent Ana dans la lignée.

Luisa lui dit d'enlever sa robe et Carla de bien me sucer.

Ana enlève sa robe et se retrouve nue sur le siège passager. Elle ouvre ma braguette et sort ma bite. Elle commence à me sucer et je démarre ma voiture.

Cette petite sortie au sex-shop m'a redonné des forces. Quand je suis arrêté aux feux de signalisation ou dans les bouchons, j'en profile pour tenir la tête d'Ana afin qu'elle me prenne dans sa gorge. Je lui martyrise ses tétons en les tirant, les pinçant et les vrillant.

Le trajet de retour à la maison est vraiment parfait. Elles ont compris le fonctionnement en voiture. Je n'ai plus besoin de perdre mon temps à l'expliquer.