Du vice à l'esclavage 04

*****

Ce texte comprend de la soumission féminine, de la contrainte, de la violence, de l'humiliation, de l'esclavage et des relations interraciales. C'est une pure fiction. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

*****

Mes instincts sexuels sont calmés pour le moment, mais l'envie d'enrichir ma collection reste intacte.

Je retourne à mon bureau pour contrôler les dossiers intéressants.

J'examine le dossier de Carla, une petite vingtaine d'années.

C'est la star de l'entreprise. C'est une fille de la nouvelle génération des réseaux sociaux. Elle s'est rendue célèbre en ayant centaines de milliers de vues.

C'est la latina brune par excellence. Toujours parfaitement habillée et maquillée. Elle est en représentation 24/24 7j/7. Se prend en photo à tout bout de champ.

Elle mesure environ 1,65m, avec des formes féminines incroyables. Jambes galbées, cul rebondi obtenu après des milliers d'heures de squat. Une taille de guêpe, une fausse poitrine 80D qui défie les lois de l'apesanteur. Des cheveux bruns, longs et soyeux parfaitement lissés. Un visage d'ange avec une bouche aux lèvres très pulpeuse et des yeux de biche avec des faux cils immenses.

Bref, une petite star avec un ego démesuré.

Je viens de constituer son dossier. J'apprends dans ses échanges, que mademoiselle est attirée par les femmes.

Je vais avoir plus de difficultés qu'avec mes deux premières putes, mais cela n'en sera que meilleur si j'arrive à mes fins!

J'attaque avec la même stratégie.

"Bonjour,

Je vous contacte car une activité interdite dans l'entreprise a été détectée sur votre ordinateur. En effet, des accès réguliers au site xxyyzz.com ont été relevés durant vos heures de travail.

Je vous adresse le dossier que j'ai constitué. Je vous remercie de venir m'apporter dans les meilleurs délais les explications sur cette situation particulièrement grave.

Cordialement.

Pierre

Ingénieur sécurité réseau"

Je la regarde avec ma caméra. Elle porte un mini top moulant blanc très décolleté, un pantalon stretch moulant noir et des jolies chaussure à talon. Elle est superbe.

Je la voie consulter son mail. Elle rigole. Visiblement la situation ne la préoccupe pas. Elle se lève et arrive pour me voir d'une démarche assurée.

Elle tape à ma porte. J'attends quelques secondes pour répondre.

Elle frappe à nouveau.

Je lui dit d'entrer d'une voix énervée.

Elle rentre directement et se positionne très sereine au centre de mon bureau. J'ai décidé de garder un ton très distant en la vouvoyant.

- "Veuillez fermer la porte, s'il vous plaît"

Carla va fermer la porte en soupirant et revient tranquillement au centre. Je ne dis rien. J'attends qu'elle commence.

- "Je viens vous voir au sujet de mes consultations internet"

- "Oui, j'imagine"

- "Je n'ai rien à expliquer, j'ai bien le droit de me détendre lorsque je n'ai plus de travail"

Je lui répond sans conviction, mais simplement pour la forme.

- "Vous savez que c'est interdit par le règlement et que cela relève d'un licenciement"

Carla rigole.

- "Mon travail est un passe-temps. Je gagne bien plus avec Internet. Je me moque de ce que vous ferez"

- "Je l'imaginais. Vous êtes la star de notre entreprise"

- "Oui, merci, je le sais"

- "Imaginons que je publie sur un site vos échanges lesbiens, vos photos à poil et vos vidéo en train de vous caresser le minou."

Carla vient de se calmer et m'écoute sérieusement.

- "Imaginons que j'envoie anonymement le lien de ce site à tout le personnel, que je le poste sur toutes vos posts de vos réseaux sociaux"

Carla s'énerve...

- "Espèce de salaud, c'est dégueulasse!"

- "Imaginons que j'ai envie de le faire..."

- "Tu veux ruiner ma réputation sur les réseaux et que je me retrouve sans rien"

- "Imaginons que je termine par déposer le dossier sur le bureau du DRH"

- "Mais , vous n'avez pas le droit, c'est du chantage."

- "Oui, mais vous perdriez vos followers et votre job en même temps."

- "Je ne veux pas perdre ces milliers d'idiots qui me suivent tous les jours et m'apportent la richesse et la vie que j'ai maintenant"

- "J'imagine bien. Vous avez compris que c'est donc une négociation que l'on entame maintenant. Je vais vous proposer un arrangement à l'amiable"

- "Comment ça?"

- "Vous venez me sucer maintenant et on en parle plus"

- "Hors de question, espèce de porc. Je suis lesbienne. Ta bite m'écœure!"

- "Ecoutez, vous avez bien supporté de vous refaire les seins pour vos internautes. J'imagine la motivation, la douleur et l'argent qu'il faut. Là, je vous demande une simple pipe, même si cela vous semble écœurant"

- "Tu es un gros pervers et un beau salaud. Je te suce et tu oublies tout?"

- "Je vois que vous êtes une vrai femme d'affaire et que votre "activité" vaut bien un accord, même mauvais. Il vaut mieux s'arranger discrètement entre nous, non?"

- "C'est d'accord. Faisons vite, ça me dégoute"

Je recule ma chaise, descend mon pantalon et mon caleçon et libère ma bite encore molle.

Elle la regarde écœurée et s'avance vers moi.

- "Je ne te fais même pas bander. Quel minable!"

- "Venez me sucer et appliquez-vous. Je ne vous demande rien de plus"

Elle se met à genoux devant moi et prend ma bite en bouche. Elle est dégoutée et me suce très mal. Ce n'est pas grave. Ce n'est pas ce que je cherche pour le moment.

Elle s'active et arrive à me faire bander. Il faut dire que malgré sa technique catastrophique, la vue de cette splendide petite star avec ma bite en bouche et ses seins qui se balancent dessous me font de l'effet.

Après quelques minutes d'un travail de pompe des plus répétitif, je commence à prendre mon pied.

Je ne la préviens pas et lance mes premiers jets dans sa jolie bouche.

Elle se recule et prend les autres sur son joli visage et ses seins.

Je suis fier de moi.

- "Espèce de salaud, tu éjacules dans ma bouche sans me prévenir et tu me recouvres de sperme!"

Elle recrache mon précieux nectar au sol et se nettoie rapidement avec un papier. Elle se lève furieuse et commence à partir.

- "Espèce de salaud tu as eu ce que tu veux, oublie moi maintenant."

Je ne réponds rien et elle claque la porte.

Je remonte mon caleçon et récupère la vidéo de cette pipe minable.

Je change de ton dans mon mail maintenant que j'ai eu ce que je cherchais.

"

Ma petite pute,

Je te joins un lien vers une vidéo où tu te moques de tes followers et où tu préfères me sucer comme une pute plutôt que de risquer de perdre ta situation confortable.

J'imagine l'effet que ferait une petite salope comme toi sur les réseaux sociaux!

Tu serais la nouvelle reine des salopes et serais radiée de tes chers réseaux sociaux.

Si tu ne veux pas que je publie cette vidéo à grande échelle, tu as intérêt à ramener vite fait ton cul dans mon bureau!

"

Je clique sur envoyer et regarde le résultat de cette bombe électronique sur Carla. Elle finit par cliquer sur ses mails et change de tête. Elle ne rigole plus comme tout à l'heure. Se lève et arrive lentement.

Carla tape à ma porte. Je peux la tutoyer et la maltraiter. Elle est mûre.

- "Entre et ferme la porte, salope!"

Elle entre et referme derrière elle, sans rien dire.

- "Tu as compris mon message, espèce de pute arrogante?"

Elle reste stupéfaite par mon changement de ton. Et tente un dernier coup de panache.

- "Espèce de salaud, tu vas me le payer! C'est du chantage!"

- "Ta gueule! Tu changes immédiatement de ton avec moi, salope! Je te fais chanter et je suis clairement en position de force alors ferme là et écoute! Soit, tu continues à me traiter comme un idiot et tu seras dans une situation catastrophique d'ici la fin du mois, soit, tu acceptes d'être punis pour toutes les saloperies et les mascarades que tu fais depuis des années"

Carla ne dit plus rien et change de tête. Elle n'a que deux choix et visiblement celui de renoncer à sa vie de "star" n'est pas au programme.

- "Qu'est ce que tu entends par punition?"

- "Tu seras mon esclave pendant un mois. Tu devras faire tout ce que je te dirais. Je ne te cache pas que si tu acceptes tu vas en baver. Sinon, si tu préfères perdre ta vie de "star", alors je m'en occuperais avec beaucoup de plaisir! Décides toi, petite salope!"

Carla se trouve dans une situation qu'elle ne connaît pas. D'habitude, c'est elle qui a tout le monde à ses pieds. Elle reste sans bouger et sans rien dire. Son monde est en train de s'effondrer sous ses pieds et elle n'y peut rien.

- "Alors, espèce d'idiote, tu arrives à décider?"

- "Je ... n'est ... pas ... le ... choix...! J'accepte la .... punition"

- "Tu commences immédiatement! Voici les règles : je commande, tu obéis! tu n'obéis pas, notre accord s'arrête et je ruine ta situation personnelle! Tu m'appelles maître et tu me vouvoie."

- "D'accord."

Visiblement, elle n'a pas trop compris, cela va être plus compliqué avec cette petite star.

Je me lève, m'approche d'elle sans rien dire et lui donne une bonne gifle.

- "Comment?"

- "D'accord, j'ai compris!"

Je lui donne une deuxième gifle, encore plus forte. Elle a son visage écarlate.

- "J'ai compris maître"

- "Pendant un mois tu es mon esclave. Tu vas devoir être éduquée! Assis toi sur le canapé sans rien dire et attends!"

Carla est visiblement choquée. Elle se dirige vers le canapé et s'assit tranquillement.

J'envoie un SMS à mes deux autres soumises pour qu'elles reviennent immédiatement à la base.

Ana arrive en l'espace d'une minute. Elle rentre et reste choquée de voir notre star locale installée sur le canapé. Elle ne sait plus quoi dire. Je la regarde avec un regard noir.

Ana se présente enfin avec un voix hésitante et honteuse.

- "Mon maître, puis-je vous satisfaire avec ... ma ... bouche...?"

Carla la regarde d'un air choqué!

- "Oui ma petite pute, c'est le mieux que tu es à faire pour le moment"

- "Oui maître"

Je recule ma chaise et sors ma bite. Elle vient entre mes jambes et commence à la sucer sans rien dire. Carla est choquée. Elle ne sait pas quoi dire. Je ne dis rien et profite de la bouche de ma petite suceuse en attendant Luisa.

D'ailleurs, elle frappe à la porte. Je la fais entrer et fermer la porte. Elle a changé ses fringues minables contre une robe moulante noire ultra courte très sexy. Elle a également des chaussures noires à talons hauts. Elle a compris. Elle voit en premier Ana qui me suce et n'est pas choquée. Elle tourne la tête et s'arrête devant notre star locale.

Je la regarde en colère.

- "Puis vous faire plaisir avec ma bouche mon maître?"

- "Oui, vient aider cette petite salope"

Luisa n'hésite pas et vient s'installer entre mes jambes afin de s'activer avec Ana sur mon pieu. Carla est hypnotisée devant cette scène irréaliste qui la dégoute.

Luisa et Ana me sucent comme des bonnes soumises à tour de rôle et parfois ensemble. C'est divin. Je les calmes pour qu'elles ne me fassent pas éjaculer trop rapidement.

- "Doucement mes salopes, je ne veux pas vous donner à manger de suite!"

Il est temps de faire les présentations et de donner les rôles.

- "Vous vous connaissez déjà. Vous êtes toutes les trois mes petites putes pour un mois! Carla n'a aucune éducation et mérite un traitement plus dur que le vôtre. Je suis fatigué d'apprendre les bonnes manières à des salopes sans cervelle. Vous allez la dresser pour moi. Vous avez visiblement déjà bien compris ce que j'attends d'une de mes petites putes. Je vous autorise donc maintenant à ouvrir votre bouche pour me sucer, me nettoyer, me proposer vos services pour me satisfaire, et pour, et seulement pour, la dresser à mon service."

- "Oui maître"

- "Carla, tu m'obéis sans réfléchir. Ana et Clara vont te dresser à mon service, tu as intérêt à apprendre vite!"

- "Oui, ... maître..."

- "Ana, Luisa, si vous n'obéissez pas ou si vous dressez mal Carla, vous serez punie. Vous avez le droit de punir Carla si c'est justifié. Carla, si tu ne m'obéis pas ou si tu ne te laisses pas dresser par ces deux petites salopes, tu seras punie. Cette nouvelle pute est lesbienne, il faudra reprendre son éducation à zéro"

Je pousse mes deux soumises, je me mets à poil, prends mes pinces à papier et vais m'installer, la bite à l'air bien bandée et coulante de salive, dans le canapé à coté de Carla. Elle me regarde avec des yeux écarquillés.

- "Ana, Luisa, déshabillez vous et apprenez à cette petite salope à me sucer!"

Elles se lèvent, se déshabillent et s'approchent du canapé. Elles voient les pinces dans mes mains. La motivation augmente. Luisa demande gentiment à Carla de se lever.

- "Luisa, tu dois lui parler comme à une esclave, salope!"

Je lui fait signe de s'approcher. Elle avance et je lui pose une pince sur le sein gauche. Elle hurle. Je lui fait signe de reculer. Elle me remercie de la corriger en la punissant. Carla est choquée. Elle voit Luisa endurer une douleur atroce et remercier son maître. Elle n'en revient pas. Ana prend alors le relais, beaucoup plus durement!

- "Lève-toi salope, et déshabille-toi!"

Carla reste sans bouger. Elle n'y croit pas. Ana et Luisa savent qu'elles seront punies si cette idiote n'écoute pas. Elles se regardent et sont visiblement d'accord. Elles attrapent sévèrement Carla et la lèvent de force. Elles la déshabillent. Elle a un corps à faire bander un mort cette petite star. Elles lui mettent chacune une belle fessée sur son cul.

Carla crie et ne comprend toujours pas la situation. Luisa lui explique la situation.

- "Si tu ne veux pas écouter comme une bonne salope, tu peux partir, mais sinon tu obéis ou tu es punie!"

- "Je vais écouter, excusez moi"

Je me permets d'intervenir pour les aider un peu au début.

- "Elle mérite d'être punie, cette petite salope"

Je fais signe à mes deux dresseuses qu'il faut lui faire comprendre la dure réalité.

Je fais signe à Luisa de retirer sa pince. Elle retire immédiatement sa pince et gémit de bonheur.

- "Merci mon maître, Je méritais ma punition, je ne recommencerais pas"

Je tends une autre pince à Ana. Elles se tournent vers Carla, chacune avec une pince. J'interviens à nouveau pour les aider en expliquant la situation à Carla.

- "Ma petite pute, tu as décidé d'être puni pour sauver ta belle situation. Tu vas comprendre qu'il vaut mieux obéir que d'être punie. Si tu bouges ou que tu essayes d'enlever ces deux pinces, notre accord sera terminé immédiatement. Comme tu peux le voir, de toutes les façons, j'ai déjà deux petites salopes dressées à mon service. Remercie pour ta punition et endure la comme l'esclave que tu as décidé de devenir!"

- "Je vous remercie pour ma punition, maître"

Je fais signe à Ana et Luisa de continuer. Elle s'approche en même temps, Ana à gauche et Luisa à droite. Les seins de Carla sont vraiment gros par rapport à sa taille si fine. J'imagine déjà ma bite au milieu en train de me faire branler par cette salope. Chacune attrape un téton et, en même temps, referme leur pince à papier.

Carla hurle de douleur et se met immédiatement à pleurer.

- "S'il vous plaît mon maître, retirez ma punition, je vous obéirais comme une bonne esclave, je ne vous décevrez pas!"

Je me lève de mon canapé et la regarde droit dans les yeux.

- "Tu n'es qu'une idiote. J'ai donné les règles qui t'autorisent à parler. Y a t-il une règle pour les jérémiades?"

- "Non mon maître, excusez moi"

Je donne mes consignes à Ana et Luisa.

- "Cette idiote n'a pas compris votre dressage. Vous allez lui donner chacune dix fessées. Toi, Ana, sur la fesse gauche et toi, Luisa, sur la fesse droite. La dresseuse de pute qui réalisera la punition la plus douloureuse n'aura pas de punition!"

- "Carla, tu compteras et remerciera tes dresseuses à chaque fessée!"

- "Mettez-la à genoux sur le canapé et commencez, mes petites salopes!"

Je m'installe debout entre elles, en face du cul incroyable de ma petite star. Je compte les encourager à ma manière. Luisa est heureuse de ne plus avoir de pince, elle semble vouloir commencer...

Elle donne une belle claque sur la fesse droite. Carla sursaute, mais la douleur n'est visiblement pas au rendez-vous. Je donne une vraie claque sur le cul de Luisa pour lui rappeler la force que j'attends.

Carla a oublié de remercier et de compter. Je m'occupe de ce détail. Je lui attrape la pince gauche et la tire en tournant sadiquement.

- "Compte sale pute!"

- "Un, merci de me punir mon maître"

Ana s'avance. Elle ne veut pas de claques et en donne une très forte sur la fesse gauche.

- "Deux, merci de me punir mon maître"

Je caresse de cul d'Ana pour la récompenser. Luisa veut récupérer son retard. Elle donne également une claque énorme.

- "Trois, merci de me punir mon maître"

Luisa a droit à sa caresse d'encouragement. Les fessées s'enchaînent, le cul de Carla est maintenant écarlate des deux côtés et la douleur semble de plus en plus insupportable. Mes deux soumises ont compris qu'il ne fallait pas se retenir et ont des caresses d'encouragement. Luisa donne la dernière claque de toutes ses forces.

- "Vingt, merci de me punir mon maître"

Ce spectacle m'a enchanté. Voir mes deux premières soumises s'occuper de la dernière récalcitrante est prometteur pour la suite. Le travail de dressage pourra être délégué d'ici peu. Dans le même temps, je dois maintenir une pression psychologique constante pour ne pas perdre le fruit de mon travail.

- "Poussez-vous que j'examine vos punitions!"

Le cul de Carla est bien rouge des deux côtés. On voit bien les petites marques de doigts et de main. C'est plutôt bien réalisé.

- "La fesse gauche est rouge. Mais les fessées étaient trop étalées sur la fesse. Le résultat est moins douloureux."

- "La fesse droite est bien rouge. Les marques sont bien regroupées, la punition a du être plus douloureuse"

Luisa sourit, elle semble fière d'elle-même. Ana baisse sa tête. Je regarde mes deux dresseuses de putes dans les yeux.

- "Luisa, retire la pince gauche à Carla"

Luisa est décomposée, elle anticipe la douleur qu'elle va vivre. Elle retire une pince et Carla gémit de douleur et de soulagement en même temps.

- "Luisa, cette petite idiote d'Ana mérite une punition pour avoir perdu son épreuve de dressage. Punit la"

Ana vient de comprendre, elle est décomposée. Je les regarde toutes les deux et attends.

- "Merci mon maître, je mérite d'être punit"

Luisa pose une pince sur le téton gauche d'Ana. Elle sursaute et gémit. Je demande à Carla de se lever. Je lui montre du doigt une place à côté d'Ana et Luisa. Il s'y installe en pleurs.

- "Vous me faites perdre mon temps et mon énergie, bande de petites salopes."

Elles s'excusent.

- "La prochaine fois que l'une d'entre vous n'écoute pas, je la punirais personnellement. Vous avez intérêt à écouter!"

Je me trouve debout, la bite à l'air pendante en train de faire la classe. Ce n'est pas ce que j'avais imaginé. Il est temps qu'elles reprennent leurs activités.

Je retourne m'asseoir et je les regarde sans rien dire. Luisa est visiblement la mieux conditionnée.

Luisa me propose de me sucer, suivit dans la lignée d'Ana.

Carla est en retard, en pleurs, la tête baissée.

- "J'aimerais ... vous faire .... plaisir ... avec ... ma ... bouche, mon ...maître"

Je demande à mes dresseuses de lui apprendre à sucer son maître.

- "Dressez cette petite pute pour me sucer dignement, elle n'a encore rien appris!"

Luisa et Ana poussent Carla entre mes jambes. Elle s'installe lentement et est visiblement résignée à apprendre comment sucer son maître. Luisa lui attrape les bras et les croise dans son dos. Ana pousse avec ses mains la tête de Carla au dessus de ma bite au repos.

Luisa donne les premières consignes. Elle donne une belle claque sur le cul de Carla pour lui faire comprendre de bien s'appliquer.